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Temps de lecture estimé : 11 mn
02/05/08
Résumé:  À cette époque, j'étais dans la marine et je venais d'être muté sur Tahiti.
Critères:  fhh hbi couplus cocus fmast intermast fellation hsodo init -couple+h
Auteur : Hardi7273            Envoi mini-message

Série : Fabienne, Thierry et moi à Tahiti

Chapitre 01 / 03
Ma première expérience bi

Voici une histoire qui m’est arrivé il y a plusieurs années mais dont je me souviens comme si c’était hier. À cette époque, j’étais dans la marine et je venais d’être muté sur Tahiti. Je ne connaissais pas du tout cette région car c’était la première fois que j’y allais. J’étais célibataire et j’avais un ami, marié, qui avait un couple d’amis qui avaient eux-mêmes été mutés à Tahiti quelques mois plus tôt. Il me proposa de leur écrire pour leur dire que j’arrivais, mais ça me gênait beaucoup car moi, je ne les connaissais pas du tout. Les choses en restèrent là.


Quelle ne fut pas ma surprise en débarquant à Faaa (l’aéroport de Papeete), de voir une pancarte à mon nom. C’était les fameux amis qui, prévenus de mon arrivée, étaient venus me chercher. Avant de rejoindre mon unité - j’étais muté sur Mururoa - je passai quelques jours sur Papeete pour faire tous les papiers administratifs et, même si une chambre m’était réservée au centre d’accueil, pour eux, il n’était pas question que j’aille ailleurs que chez eux. Dans un souci de discrétion (On ne sait jamais, s’ils allaient sur Rêvebébé), je vais les appeler Thierry et Fabienne.


Ils avaient à peu près le même âge que moi, un peu moins de la trentaine, deux enfants, et habitaient un joli faré pas très loin de Papeete. Je disposais d’une chambre particulière et je dois dire que ces trois jours furent enchanteurs et me firent oublier que je venais juste d’arriver. Thierry était grand (1m80), du genre sportif et nous avons fait quelques cross assez costauds. Fabienne, quant à elle, était très gentille, pas très grande (1m60), des cheveux qui lui tombaient sur l’épaule, une jolie poitrine que j’avais pu estimer lorsque nous étions allés à la plage : le haut de son maillot semblait bien rempli. Mais, d’ailleurs très gentiment, elle mettait des limites très claires.


Je me rappelle qu’un soir où nous dansions un slow ensemble. Étant un peu - beaucoup - en manque, j’avais eu une réaction en sentant son corps contre le mien. Il faut dire qu’elle dansait très serré ; elle m’avait demandé en souriant si j’avais oublié mes clés dans ma poche. Voyant mon immense gêne, elle m’a dit que ce n’était pas grave, et même plutôt flatteur, mais qu’elle finirait cette série, pour ne pas me faire passer pour un imbécile, et qu’ensuite elle préférait ne plus danser avec moi. Ce que, après de très plates excuses, je m’empressai d’accepter. Mais à son sourire, je vis bien qu’elle n’était pas plus fâchée que cela.


Lorsqu’on vit dans des pays lointains, on a tendance à se regrouper par affinité ; je pus ainsi faire la connaissance de leurs amis et je dois dire que nous avons passé des soirées tarot que je ne suis pas près d’oublier. J’avais des temps de repos régulier, dix jours toutes les dix semaines et je venais toujours chez eux, car nous avions vraiment sympathisé. C’est lors d’une de ces soirées que tout s’est enclenché.


Après un repas, ma foi bien arrosé, la discussion tourna autour du sexe et des fantasmes. Ne les connaissant pas trop, je restai très évasif et assez classique, en disant que ce qui me faisait fantasmer le plus chez une femme, c’était ses seins. Au sourire que Fabienne m’adressa, je vis bien qu’elle avait remarqué mes tentatives, que je croyais discrètes, pour voir dans son décolleté ou deviner ses formes sous son paréo (qu’elle portait toujours à la maison). Ceux qui ont vécu là-bas connaissent le pouvoir de séduction d’une femme en paréo !!!


Quand vint le tour de Fabienne, je fus très très surpris de l’entendre dire que son fantasme était de voir son mari se faire sodomiser. Thierry ne semblait pas étonné mais, manifestement, ne partageait pas l’envie de sa femme.


Une fois la soirée finie, l’alcool aidant (je crois que je n’aurais jamais osé sinon), lorsque nous fûmes dans la voiture, Thierry s’attardant à discuter boulot avec un collègue en dehors de la voiture (j’étais bien sûr à l’arrière tandis que Fabienne était assise devant), je dis à Fabienne que j’avais en fait un fantasme dont je n’avais pas osé parler lors de la soirée. Bien sûr elle me demanda ce que c’était (je crois qu’elle non plus, si elle n’avait pas bu plus que d’habitude, ne m’aurait jamais posé la question). Je lui dis que c’était de faire l’amour avec une femme et un homme, et j’ajoutai que si Thierry était d’accord, j’accepterais de réaliser son fantasme. J’ajoutai que, bien que ce ne fût pas une obligation, j’adorerais réaliser le mien avec eux. Immédiatement, j’eus peur de l’avoir choquée et que nos relations en soient bouleversées à l’avenir. Elle ne dit rien, mais je la trouvais pensive.


Le lendemain matin, je rentrai sur Mururoa et comme l’avion partait de bonne heure, à chaque fois, Thierry m’accompagnait avant que Fabienne ne soit levée. Notre blague habituelle était que je lui disais de lui faire un gros bisou pour moi. Ayant repris mes esprits, j’étais très embêté de ce que j’avais dit à Fabienne la veille.


Ceux qui, comme moi, ont travaillé sur Muru, savent qu’un moment important de la journée est l’arrivée du courrier. Comme j’étais célibataire, je n’en recevais que peu et, très gentiment, Fabienne et Thierry m’écrivaient une à deux fois par semaine en me racontant les petits potins de Papeete.


Je n’osai pas écrire le premier et j’attendis avec impatience de savoir si, Fabienne ayant tout raconté à Thierry, ils n’allaient pas renoncer à m’écrire. Quand deux jours plus tard je reçus une lettre de Papeete, je restai longtemps avant de l’ouvrir. C’était toujours Fabienne qui écrivait, Thierry ne mettant que des « OK », « Oui, c’est ça », etc.


Je me décidai enfin à l’ouvrir. Et là, je fus très surpris : Fabienne me disait qu’elle avait beaucoup réfléchi. Qu’elle en avait parlé avec Thierry. Qu’ils avaient longuement hésité, mais que si j’étais toujours d’accord, il faudrait qu’on en reparle, Thierry faisant un commentaire disant qu’avec moi, il voulait bien tenter l’expérience. Je ne savais plus trop quoi faire car, en y réfléchissant, je n’étais pas très sûr de pouvoir faire l’amour avec un homme, et pour une fois le temps passa trop vite à mon goût. Quand vint le temps de mon séjour à Papeete, je n’avais toujours pas pris de décision.


Comme d’habitude, ils étaient là à m’attendre, mais sans les enfants. Lorsque je leur demandai où ils étaient, ils me rappelèrent que c’était les vacances et que les enfants étaient rentrés en France chez leurs grands-parents. Fabienne, avec un grand sourire, me dit :



Ce ne fut pas pour me rassurer. Heureusement, les deux premiers jours, il ne se passa rien, Thierry et Fabienne étaient comme d’habitude très gentils et très attentionnés. J’ai quand même remarqué que le paréo et les décolletés de Fabienne étaient plus accessibles à mes yeux. Le troisième jour était un samedi et Thierry ne travaillait pas. Nous étions en train de prendre l’apéro quand soudain, Fabienne me dit :



Et pour essayer de clore le sujet, j’ajoutai :


– Je ne suis même pas sûr d’arriver à bander pour ça.


Avec un sourire comme je ne lui en avais jamais vu et en passant une petite langue gourmande sur ses lèvres, elle me dit aussitôt :



Thierry, quant à lui, me dit :



J’étais gêné et en même temps je sentais monter une certaine excitation. Fabienne, comprenant qu’il fallait faire quelque chose, me dit :



Puis elle prit les choses en main.



Un peu dépassés tous les deux, nous nous sommes approchés l’un de l’autre et je dois dire que je commençais à sentir une petite réaction dans mon short et, en regardant bien, je vis qu’il semblait en être de même pour Thierry. Quand nous fûmes proches l’un de l’autre, Fabienne dit, d’une voix changée, un peu bizarre :



Nous nous sommes rapprochés, j’étais partagé dans mes sentiments, je n’avais jamais eu ne serait-ce qu’un geste déplacé avec un garçon et là, nos lèvres se rapprochaient. Bientôt, elles furent en contact. Dans un premier temps, il ne se passa rien, puis je sentis la bouche de Thierry s’ouvrir et sa langue jouer avec mes lèvres. Presque malgré moi, les miennes s’entrouvrirent et nos langues se rencontrèrent. C’était la première fois avec un garçon et je ne trouvais pas cela si désagréable. Ma main descendit le long de son corps et se posa sur ses fesses. Comme moi, il était tout tremblant. Lui aussi semblait trouver ça agréable. Doucement, je posai ma main sur son sexe et j’eus la surprise de le trouver raide et bien tendu. Il se laissait faire. Je défis le bouton de son short qui tomba à ses pieds. Je mis ma main dans son slip, je touchai maintenant un sexe d’homme (autre que le mien). Je sus, à ce moment, que je ne reviendrais plus en arrière. Alors je me laissai aller à mes envies.


Presque sans le vouloir, je me mis à faire des bisous sur tout le torse de Thierry et je descendis lentement pour finalement me retrouver à genoux. J’entendais Fabienne qui respirait très fort, mais je ne m’occupais que de Thierry. Je fis descendre son slip et le lui enlevai, pour me retrouver avec un sexe tendu devant moi, que je caressai délicatement. J’entendais Thierry respirer lui aussi assez fort, il semblait apprécier ce que je lui faisais. À ce moment-là, j’entendis Thierry me dire d’une voix rauque :



Tout en continuant de le branler doucement, je regardai en direction de Fabienne. Elle s’était assise (presque allongée) dans un fauteuil, son paréo était largement ouvert, elle ne portait rien dessous, on voyait un peu ses seins, mais surtout on voyait ses mains qui s’activaient sur son sexe ; elle était en train de se masturber en nous regardant. Quand elle a vu qu’on la regardait (est-ce cela qui l’a déclenché ?), elle est partie dans un orgasme qui ne semblait pas feint du tout. Du bout des lèvres, elle m’envoya un baiser qui me sembla plein de promesses.



Ce qu’elle me promit sans hésiter. Je regardai Thierry qui me fit un grand sourire ; je m’aperçus que je n’avais pas arrêté de le branler pendant tout ce temps, mais dans son regard, et bien qu’il n’osât pas le demander, je vis qu’il attendait autre chose. Je me retournai et, doucement, j’approchai ma bouche de son sexe. Décidément, c’était la journée des premières ! J’entendis Fabienne me dire :



Je posai doucement mes lèvres sur son sexe, je lui fis des petits bisous sur toute la longueur, puis je le pris en bouche. J’ai failli jouir à ce moment-là, tellement je trouvais ça bon. Je me mis à monter et à descendre le long de ce sexe tendu vers moi. J’essayais de lui faire ce j’aimais qu’on me fasse. J’entendais Thierry gémir en me disant que je suçais drôlement bien, presque aussi bien que Fabienne. J’entendais Fabienne me dire qu’elle trouvait cela tellement beau, qu’elle n’allait pas tarder à jouir une deuxième fois…



J’étais excité comme tout, et je me mis à sucer Thierry du mieux que je pouvais.



J’entendis Fabienne dire qu’elle allait jouir de nouveau quand, soudain, dans un grand râle, Thierry se mit à jouir dans ma bouche, ses mains plaquées sur ma tête. Je pris plusieurs jets que j’avalai sans hésiter tellement j’étais excité, et en même temps j’entendais Fabienne dire qu’elle jouissait dans des termes dont je ne l’aurais pas cru capable. Quant à moi, vous vous en doutez, je bandais comme un fou. Fabienne se leva pour se rapprocher de nous.



À ces mots, Thierry, sans hésiter, se mit à genoux, me tendant son cul en me disant :



Fabienne prit un tube de vaseline qu’ils avaient préparé. Elle en mit sur ses doigts et sa main se referma tout doucement sur mon sexe pour bien le lubrifier. J’en profitai pour lui lever la tête et l’embrasser, en lui disant que cela faisait longtemps que j’en avais envie. Elle me rendit mon baiser d’une manière passionnée. Puis elle prit une noisette de vaseline et en mit sur l’anus de Thierry qui se laissait faire. Puis doucement, elle prit mon sexe en main et l’approcha du cul de Thierry. Je me posai sur lui et, doucement, je poussai. Ce fut un peu difficile au début, car Thierry était un peu contracté, mais doucement, le premier obstacle franchi, je rentrai entièrement dans Thierry.


Je restai un peu sans bouger, pour qu’il s’habitue, et ce fut lui qui donna le signal en se mettant tout seul à remuer. Alors j’entamai des va-et-vient, doucement au début, puis plus fort. Ma main descendit vers son sexe et j’eus deux surprises : d’abord, Thierry bandait toujours ; deuxièmement, je sentis Fabienne qui le suçait à son tour. Quand ses lèvres entraient en contact avec ma main, elle en profitait pour me faire des petits bisous. À un moment, elle me dit d’arrêter de branler Thierry et elle arrêta de le sucer, car elle avait une autre idée. Pendant ce temps-là, mon plaisir montait, montait, et moi aussi, dans un grand râle, je me mis à jouir longuement dans Thierry. On resta quelque temps comme cela sans bouger, puis doucement je me retirai de Thierry.


C’est alors que Fabienne me dit de me mettre à mon tour à genou, Thierry bandait toujours comme un âne. Devinant ce qu’elle désirait, je me mis en position et je sentis ses doigts poser de la vaseline sur mon cul, un doigt puis un deuxième forcèrent mon petit trou, puis à mon tour je sentis un sexe d’homme se poser et rentrer doucement. Cela me fit moins mal que je ne l’aurais pensé. Au contraire, même, je trouvai cela très agréable. Thierry se mit à bouger, et je sentais ce sexe d’homme me pénétrer. Fabienne masturbait doucement mon sexe encore tendu, en me disant à l’oreille qu’elle ne pouvait pas me sucer maintenant, parce que je venais d’enculer son mari, mais qu’elle me promettait de se rattraper plus tard. Son souffle dans mon oreille, les mots et les promesses qu’elle me faisait, eurent raison de moi : Thierry se mit à jouir dans mon cul et je partis moi-même dans une grande jouissance.


Nous nous sommes tous les trois écroulés par terre sur le tapis (qui, à mon avis, allait avoir besoin d’un sacré nettoyage) et nous sommes restés là, allongés sur le côté, moi à côté de Fabienne, embrassant ces seins dont j’avais tant rêvé, Thierry qui ne s’était pas retiré de moi allongé derrière moi, me serrant fort dans ses bras. Combien de temps avons-nous dormi ? Je ne saurais le dire, mais quand nous nous sommes réveillés, nous étions quelque peu courbaturés, et sommes allés prendre une bonne douche.


Mais là, c’est la suite de mon histoire, que je vous raconterai une autre fois, si la première partie vous a plu.