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Temps de lecture estimé : 11 mn
02/05/08
Résumé:  La suite de mes aventures avec ma belle mère...
Critères:  ffh fplusag alliance fépilée sexshop caférestau voiture fsoumise noculotte fdanus jouet piquepince
Auteur : Thomas C

Série : Un gendre parfait

Chapitre 03 / 03
Un gendre parfait - 03

Les choses se compliquaient peu à peu…


J’avais une femme superbe, j’étais sous le toit de sa mère de 49 ans toute aussi superbe, et je venais de succomber pour la deuxième fois aux charmes de cette dernière. Marie, visiblement, ne tenait pas à ce que l’incartade du début d’été reste sans suite et venait de me le prouver en faisant tout son possible pour me faire encore une fois craquer… La chair est faible on dit…


La fin d’après-midi fut riche d’informations. J’étais retourné dans mes appartements pour y prendre une douche et adresser quelques mails professionnels, puis avais lancé une messagerie bien connue afin de voir qui de mes contacts étaient connectés. Marie l’était. Ma belle mère faisait partie de mes contacts car du temps où nous résidions Sonia et moi à Toulon, parfois il nous arrivait d’échanger quelques mots ou bien elle avait avec sa fille quelques conversations vidéos. Je traitai mon courrier et adressai ensuite un message à Marie.



La question resta sans réponse quelques minutes alors que je m’étais mis à surfer de sites en sites. Une petite fenêtre orange se mit à clignoter au bas de mon écran.



PS : Suis toujours aussi "remplie" derrière…


J’hallucinais de savoir que Marie papotait tranquillement devant son ordinateur avec son amie Caroline, les fesses encore habitées par le plug que je lui avais mis. Je décidai alors d’espionner Marie et quittai mes appartements pour écouter sa conversation depuis le couloir. Une porte me séparait de Marie et je n’entendais que le bruit des touches sur son clavier. Elle n’avait donc pas branché sa webcam. J’étais sur le point de retourner vers mon "chez-moi" quand j’entendis rire. Un rire qui provenait des hauts parleurs de Marie. La conversation audio (peut-être vidéo) était en route et selon ce que j’entendis j’en conclus que Marie lui avait raconté nos derniers amusements. Cela devenait intéressant.



Je fantasmais sur le fait que Marie ait pu montrer le plug à son amie…



Je quittai le couloir sans faire de bruit et revins à ma table de travail. Je supposai que Marie était donc visiblement bisexuelle et avait au moins une fois fait cela avec Caroline… Ou alors des choses m’échappaient. Où avais-je mis les pieds en tout cas ! Je répondis à quelques e-mails arrivés entre temps puis enfilai un shorty et un tee-shirt pour mon footing quotidien. Lorsque j’en revins, Marie était au téléphone dans le salon, vêtue d’un paréo transparent et elle était visiblement de nouveau avec son amie au téléphone. Je filai prendre une autre douche et bientôt Marie vint frapper à la porte. Son paréo était noué derrière la nuque, drapé sur ses seins, laissant son ventre et son sexe visibles.



Je la regardai… Marie était appuyée contre mon bureau, hanches en avant et épaules rejetées en arrière et mon regard était irrémédiablement attiré par son sexe délibérément offert.



Je suivis Marie dans sa chambre et m’assis. Marie sortit plusieurs petits ensembles assez courts et mon choix se porta sur un haut noir, dos nu, se nouant sur la nuque, légèrement brillant et dont la fine matière semblait élastique. Je l’invitai à le passer et Marie quitta son "drapage". Ce haut, que je ne lui connaissais pas, lui allait à merveille et moulait sa lourde poitrine dans les moindres détails. Je ne cessais de m’étonner du corps de cette femme malgré ses 49 ans. Je l’invitai ensuite à choisir elle-même de quoi se chausser et elle choisit une paire de mules noires à talons hauts. Ni elle ni moi n’avions encore évoqué le "problème" des dessous, ni celui de sa jupe. Marie s’accroupit en face de moi pour ranger la boîte de ses mules, ce qui me permit d’admirer encore son coquillage ouvert. Marie sourit, elle avait suivi mon regard.



Était-ce un message ? Je décidais alors de saisir la balle au bond et lui dit :



Marie rougit mais ne se démonta pas.



Je m’approchai de Marie. Elle fit un pas en arrière pour s’appuyer contre la commode et écarta d’elle-même ses cuisses. Je pinçai alors ses lèvres entre mes doigts et les tirai vers le bas en les écartant un peu. Marie se mit instantanément à haleter, ouvrant encore ses cuisses. Je m’amusai un moment à étirer ses chairs…



Je le pris et lorsque je me retournai, Marie était de dos, sa poitrine appuyée contre la commode et elle tenait ses fesses ouvertes avec ses mains. Je lui caressai le sexe et son entrée secrète, et lui tendis ensuite mon index à sucer. Elle l’aspira et le noya de salive. Ses fesses s’ouvrirent sans effort sur mon doigt, et j’enduisis de gel pour la forme le plug afin de l’introduire. Il pénétra sans mal. Je tirai un peu dessus sournoisement pour voir son anus se tendre et repoussai les mains de Marie. Elle se dirigea ensuite vers le dressing afin de choisir une jupe. Elle la choisit noire, mi-cuisses, et légèrement fendue de chaque côté. Elle prit aussi une fine veste de la même couleur. Nous quittâmes ensuite la chambre pour nous diriger vers le salon. Marie me précédait, ce qui me permit de constater que le tissu de la jupe était très fin et qu’en contre-jour son entrejambe se devinait. Par une des portes-fenêtres, nous vîmes alors Caroline qui était assise sur la terrasse, feuilletant un magazine. Nous sortîmes la rejoindre.



Caroline sourit et après l’avoir détaillée des pieds à la tête, complimenta Marie sur sa tenue. Caroline n’était pas en reste non plus question tenue. Elle avait choisi une robe beige assez ample soulignée par une ceinture ton sur ton et des jolis escarpins sable coordonnés à son sac. Marie s’assit en face de moi en me regardant. La voir s’asseoir sachant ce qui était au fond d’elle m’était très agréable… Nous prîmes l’apéritif en discutant de tout et de rien, je surveillais Marie en apercevant parfois un peu plus que ses cuisses, elle était radieuse. Les "Filles" proposèrent de lever l’ancre et je fus désigné pour prendre le volant, comme de coutume. Marie proposa d’aller vers Cassis ou Marseille pour changer de Toulon, et notre choix se porta finalement sur Marseille, car Cassis en semaine est plutôt sinistre dès que la rentrée des classes a eu lieu. Nous avons décidé de dîner en terrasse sur la Corniche afin de profiter de la température encore clémente.


Le vin avait visiblement un peu d’effet sur Marie et Caroline car leurs rires devenaient plus sonores (tout en restant dans le raisonnable quand même) et les allusions de Caroline sur ma relation avec Marie fusaient. Les deux amies étaient assises en face de moi, un couple finissait de dîner à deux tables de nous, le repas était bon et l’ambiance agréable. Mes pensées allaient vers "l’after"… Comment allions-nous continuer la soirée, sachant que les deux femmes ne travaillaient pas, et que j’étais en RTT le lendemain ? Je décidai de me laisser porter par les envies des femmes, attendant de voir ce qu’elles allaient proposer. Le couple avait fini et se préparait à partir. Marie ôta sa veste et se leva pour une destination qui se devinait, et je la suivis du regard, profitant visuellement de ses formes et de son dos bronzé. Caroline me regardait en souriant, je lui rendis son sourire.



Marie revenait vers nous et j’eus l’impression que ses cuisses étaient plus dénudées. Elle s’assit, découvrant l’espace d’une seconde son sexe, ce qui n’échappa pas à Caroline qui pouffa !



Et Caroline se mit de profil vers Marie, relevant le bas de sa robe en ouvrant ses cuisses. Son sexe était lui aussi tout aussi libre et désormais aussi lisse que celui de Marie. J’éclatai de rire et osai demander à Caroline s’il m’était possible de vérifier cela moi aussi, ce qu’elle fit.



Les filles éclatèrent de rire et nous continuâmes à dîner.


Les sujets de discussion étaient par contre plus intimes et j’appris que Caroline avait 42 ans, que son "péché mignon" était la sodomie, qu’elle et Marie se donnaient souvent du plaisir mutuellement, que le mari de Caroline avait aussi eu droit aux faveurs de Marie lors d’un trio improvisé, que ce dernier était bisexuel et qu’il arrivait à Caroline de partager son mari avec un amant…


Je tombais des nues, imaginant à tort que ce genre de choses était réservé à une certaine tranche d’âge… Le repas touchait à sa fin et en attendant l’addition, le sujet arriva sur les bijoux intimes. Je proposai alors une visite de sex-shop pour nous "documenter". Nous avons trouvé notre bonheur dans un boulevard perpendiculaire à la Canebière.


Marie avait perdu de son assurance et était entrée timidement. Caroline, elle, avait visiblement décidé de prendre son amie sous son aile et avait demandé au vendeur où était ce genre de bijoux. Ces derniers étaient sous vitrine, dans une alcôve. Marie était visiblement très gênée mais aussi très excitée par la situation. Je choisis une paire d’anneaux clipsables avec des poids dorés pendus au bout de courtes chaînettes, réglables d’une dizaine de centimètres. Caroline demanda au vendeur à les voir de plus près. Ce qu’il fit et les lui tendit. Elle les prit, les soupesa en souriant. Je les pris à mon tour et décidai de les acheter. Marie était rouge comme une pivoine et Caroline éprouvait un plaisir non dissimulé à voir son amie dans cet état.


Le vendeur alla s’occuper d’un homme et nous laissa seuls à nos choix. Étant hors de vue du vendeur et de son client, je relevai la jupe de Marie jusqu’à la taille et lui écartai les cuisses. Je pris une lèvre, l’étirai et clipsai l’anneau. Son sexe était trempé. Le résultat était au-delà de mes espérances !! Caroline me regardait en souriant, puis s’accroupit et fit la même chose avec son autre lèvre, sans être choquée que son amie/amante ait l’anus occupé. Elle étira alors les poids sur les côtés et lécha lentement le sexe et le clitoris de Marie. Ses doigts la prirent ensuite profondément quelques secondes puis elle se releva et les donna à lécher à Marie. Mon sexe me faisait mal à force d’être en érection. Marie avait les yeux clos et léchait les doigts de son amie, sa jupe remontée aux hanches.


Je choisis ensuite un bijou d’anus en métal orné d’un strass pour Marie, de diamètre légèrement inférieur au plug et appelai le vendeur. Ce dernier me le tendit et proposa aussi de nous offrir du gel, alors que je lui demandais de nous montrer des pinces à poser sur les seins. Il me donna ensuite les petites pinces et retourna voir son client. Marie avait rabattu sa jupe mais le vendeur nous fit comprendre d’un sourire qu’il avait saisi où étaient les anneaux. Caroline prit le plug en métal en souriant et demanda à Marie si elle pouvait être la première à l’utiliser. Marie ne fut pas capable de répondre et Caroline prit cela pour une acceptation. Elle retroussa la jupe de son amie, l’introduisit dans son sexe et se l’enfouit ensuite dans les fesses en soupirant. Elle souleva ensuite le haut de Marie, libérant la lourde poitrine emprisonnée et tourna Marie vers moi en lui maintenant les poignets dans le dos. Les tétons de Marie dardaient et je lui fixai les pinces, reliées entre elles par une longue chaînette réglable qui pendait. Caroline repositionna le haut de Marie et s’agenouilla à nouveau devant elle. Elle fit tourner la jupe de Marie d’un quart de tour en la relevant un peu de sorte que les fentes se positionnent sur ses fesses et son sexe. Elle régla les petites chaînes de sorte que le bas des chaînettes et les poids soient visibles.



Marie se retrouva devant la glace sous le regard du vendeur et de son client, qui n’en croyait ses yeux. Marie avait les yeux baissés. Sa soumission m’ouvrait de nouveau horizons.



Un petit oui sortit de la bouche de Marie. Caroline jubilait.



Lentement Marie s’exécuta, montrant à nous tous sa nudité et ses entraves sans lever les yeux.



Marie leva la tête et soutint nos regards. Elle éprouvait sans aucun doute beaucoup de plaisir à être ainsi exhibée, soumise. Elle ordonna à Marie de régler les achats et nous sortîmes. La démarche de Marie était hasardeuse… et dès le boulevard traversé sous les phares des quelques voitures qui passaient, Caroline remonta encore la jupe que Marie avait baissée en sortant du sex-shop, offrant à la vue de qui viendrait à passer par là, le sexe de Marie et ses parements. Nous n’avons hélas croisé personne. Arrivés à notre voiture, Caroline exigea que Marie se déshabille totalement, ce qu’elle fit sans hésiter et l’installa à l’arrière, au centre, dissimulée heureusement par les vitres noires.


Caroline vint s’asseoir à ma droite en relevant sa robe pour être "à l’aise", se retourna et écarta les cuisses de Marie en lui ordonnant de rester ainsi pour le trajet. Caroline défit ma ceinture et libéra mon sexe au premier feu rouge et dès les premiers tours de roue sur l’autoroute, se mit à genoux, de travers sur son siège, et plongea sa tête sur mon membre, l’engloutissant jusqu’à la garde sans haut-le-cœur, dans de grandes allées et venues jusqu’à ce que je jouisse. Marie me fixait droit dans les yeux en se caressant… Caroline prit alors le bout de la chaîne qui reliait les tétons de Marie, l’attira vers elle et l’embrassa à pleine bouche. Nous rentrâmes sur les hauteurs de Bandol dans la maison de Marie.


La suite de la nuit fut telle que vous pouvez peut-être l’imaginer.



Thomas.