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n° 12538Fiche technique8898 caractères8898
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Temps de lecture estimé : 5 mn
04/05/08
Résumé:  Découverte de la sensualité entre copain-copine.
Critères:  fh jeunes massage intermast facial
Auteur : Chopito  (écrivain amateur de 51 ans inspiré par l'érotisme)      Envoi mini-message
Services compris

J’avais environ dix-neuf ans quand il m’a été donné, en mécanicien passionné et serviable, de réparer la 125 d’une de mes copines de classe qui, bien sûr, n’avait pas d’argent pour cela et qui ne souhaitait pas solliciter ses parents une fois de plus. Je passai un week-end complet à démonter une partie du moteur qui n’avait pas apprécié l’oubli du niveau d’huile de ma chère copine.


En bonne spectatrice elle m’assista tout au long de cette opération… Et sa compagnie me donnait du cœur à l’ouvrage. Elle était en effet pleine de charme, et son sourire charmant, agrémenté de deux petites fossettes séduisantes m’aurait fait démonter toute la moto si besoin… Comme quoi la bonne volonté est parfois motivée par le charme… Si, si !


Son jean moulant des fesses fermes et bien rondes n’avait d’égal que sa poitrine généreuse pour son âge, que je me plaisais à imaginer dépouillée de vêtements. Je sentais que son intuition de jeune fille ne lui laissait aucun doute sur mon goût pour sa personne ; ses réflexions amusées, au sujet de mon sacrifice de temps pour elle, me disaient qu’elle n’était pas dupe. De mon côté, je lui laissai entendre, avec galanterie et humour, que sa présence à elle seule me donnait du cœur à l’ouvrage… Délicieux moments où s’évapore le doute pour notre attirance mutuelle.


Sa façon de s’habiller et ses attitudes me laissaient penser qu’elle n’avait pas trop froid aux yeux… Et la suite me l’a largement confirmé.


Une fois le moteur en marche, nous sommes partis l’essayer, pour être sûrs du coup, et de retour, elle me proposa de boire un pot chez elle… Moment d’autant plus sympathique que ses parents étaient absents pour plusieurs jours… ce qui nous mettait à l’aise pour… discuter tranquillement. Ma timidité maladive envers les filles m’empêchait toujours de faire les premiers pas et, de plus, nous nous connaissions depuis peu de temps, la panne de la moto étant le motif premier de notre contact. Elle me couvrit de remerciements pour ce dépannage efficace… Moi, poli et timide, je lui retournai que c’était normal et que de toute façon, je n’avais pas de mérite de dépanner une charmante personne… (Jusque là, pas d’excès).



Mes pensées à ce moment là étaient tellement fortes que j’échappai à son regard en rougissant un brin… je le sentais.



Et, là-dessus, elle s’avança vers moi, me fit une bise sur le coin de la bouche… et me susurra :



Violant ma timidité, je me lâchai soudain :



Un grand sourire complice illumina son visage face au mien qui devait être écarlate.



Un petit nuage me porta jusque dans sa maison où elle me livra le fond de sa pensée :



Sa liberté de pensée me sidérait… Moi qui était en train de tomber amoureux confusément… Elle me montra sa chambre de fille… avec des super nanas collées aux murs… Serait-elle lesbienne ?


Elle disparut pour faire couler le fameux bain moussant et revint en peignoir… toute nue en dessous. Ses seins qui tremblotaient au gré de sa démarche me faisaient un effet terrible. Au beau milieu de la chambre, elle ouvrit son peignoir… le fit glisser sur ses épaules jusqu’au sol… et livra son corps superbe à mon regard tétanisé.



Une fille superbe comme ça, avec ses cheveux noirs tombant sur ses épaules, et son visage de princesse… toute nue… qui vous demande de la suivre dans son bain… Moi, ça me met en transe ! Ma timidité était mise à rude épreuve.


Je me désapai dans sa chambre en gardant un tee-shirt à la main pour garder une contenance, et me dirigeai vers la salle de bain où elle était déjà installée dans l’eau. Je m’accroupis près de la baignoire et passai doucement ma main sur son bras… remontai sur son épaule… pour effleurer son sein. Je la sentis un peu moins à l’aise que tout à l’heure… elle sourit mollement.



Et sur ces mots je pris place à grand peine dans l’eau tiède en passant mes jambes de chaque côté de son corps… Mon sexe en début d’érection la passionna, et son pied vint le palper, ce qui finit de le faire grandir en plein.



À ces mots, je vis son visage devenir plus sérieux… signe qu’elle avait le trac… elle aussi. Nous sortîmes de l’eau et j’attrapai une serviette pour masquer un peu ce sexe tendu, dressé par le désir sensuel de sa beauté de femme. Mon regard s’attarda sur son entrejambe à peine poilu de fille soigneuse et délicate.


Elle trottina vers son lit, et s’allongea à plat ventre… Des gouttes perlèrent sur sa peau délicate… Je les étalai doucement en va-et-vient gourmands… M’aventurai sur ses fesses, provoquant un frisson. Ma main se fit plus hardie, palpant sans hésiter, serrant doucement dans mes doigts fébriles cette peau souple et lisse. Une main sur son épaule… l’autre qui s’aventurait, jusqu’au creux de ses cuisses… remontait en fouinant doucement pour trouver son intimité… chaude et encore humide du bain…


Elle sursauta, mais apprécia, je le vis à ses reins qui se creusèrent. Imperceptiblement, elle écarta les jambes, permettant à ma main de palper la douceur de son « minou » poilu. Je remontai sur ses fesses, palpant l’une et l’autre sans presser la mesure. D’un doigt précautionneux je parcourus la brèche de ce cul magnifique en frôlant son anus… petit cercle discret. Si bien que mademoiselle par mes caresses charmée, redressa son postérieur, m’offrant son abricot… Fruit de femmes impudiques, que l’on aime croquer.


Mes deux doigts s’enhardirent, fouillant entre la fente, découvrant la chaleur du sexe détrempé. Un murmure de plaisir m’incita à continuer… murmure qui s’amplifia, mademoiselle était comblée. Mon doigt imita son maître il commença à trembler, de fièvre amoureuse, il se mit à fouiller. S’enfonça au plus profond en provoquant un cri… de plaisir partagé, je ne pouvais plus m’arrêter. Le va-et-vient subtil de mon doigt enfiévré provoqua la cambrure de ses reins, souples et racés… M’offrant le beau spectacle de ses lèvres rosées. En ressortant un peu de son minou en feu, mon doigt trouva un bouton qui raviva les soupirs… J’insistai à plaisir… Elle cria carrément, se contracta en serrant ses deux cuisses sur ma main.


Couchée sur le côté, elle me regarda gravement. Son plaisir m’avait surpris j’en fus tout retourné. Posant un genou sur le bord de son lit, je caressai son sein, lourd et bien galbé. Mon sexe toujours dressé laissait suinter une perle de plaisir… Sa main sans hésiter l’empoigna en serrant, et coulissa lentement… Elle savourait le spectacle. Quelques allers et retours de plus et je creusai le plaisir… Jouissant en jets puissants, lui arrachant un cri de surprise et d’amusement.


Quand je rouvris les yeux, je découvris son visage réjoui, maculé de semence… Elle éclata de rire… Je l’accompagnai de bon cœur.


Tout à ma fierté du plaisir procuré, je pris de l’assurance et découvris la fille qui me faisait rêver, lui offrant la jouissance… Plus un moteur refait.