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n° 12542Fiche technique7453 caractères7453
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Temps de lecture estimé : 6 mn
05/05/08
Résumé:  Suite d'une nuit très mouvementée avec une superbe transsexuelle insatiable : mon initiation à de nouveaux orgasmes...
Critères:  hh douche trans hdanus hsodo init -transsex
Auteur : Marc73  (Marc737373)      

Série : Rencontre du 3ème sexe

Chapitre 02 / 05
Initiation à de nouveaux orgasmes

Lors de ce début de nuit, j’avais pris beaucoup de plaisir à déguster pour la première fois une bite de « fille » pas comme les autres et à jouir entre les deux superbes fesses d’un trans au corps de femme magnifique.


Alors que je m’assoupissais dans le lit et qu’elle entamait un massage relaxant, je sentis sa langue qui glissait le long de mon dos, glissait sur mes fesses, descendait entre mes jambes, remontait sur la raie de mes fesses, s’attardait sur mon petit orifice… J’eus peur de ce qu’elle voulait me faire mais je bandais à devoir soulever un peu mon cul, tant elle m’excitait. Je sentis son sexe durcir sur ma jambe. Par moment sa main appliquait un mouvement de va-et-vient sur son sexe bandé.


Ses mains vinrent alors se poser sur mes fesses, les écartèrent un peu. Sa langue se posa sur mon orifice anal, et commença un mouvement rapide, de haut en bas, comme un serpent qui ferait vibrer sa langue… Même si j’avais peur de la suite, j’étais sur un petit nuage. Je ressentais des sensations inexplorées jusqu’alors, des vibrations dans le bas-ventre qui repoussaient toute réticence. Je commençai à gémir malgré moi, à lui en demander encore et encore.


Je sentis alors un de ses doigts forcer l’entrer de mon anus qu’elle avait lubrifié de sa langue juste avant. Il entra sans aucune douleur, se fraya son chemin et se balança de gauche à droite, d’avant en arrière, de haut en bas. Alors que le bons sens aurait dû me pousser à dire non, ma voix la supplia de continuer. Tout à coup, elle arrêta et se pencha vers la table de nuit. Là j’admirai son corps, ses seins, ses fesses… Tout en elle m’excitait.


Elle retira du tiroir deux flacons : un petit et un grand. Elle me tendit le plus petit, me dit que « c’est pour sniffer, pour ne pas m’endormir ». Je reconnus du Poppers, un stimulant sexuel instantané. Je me souvins d’avoir essayé quand j’étais étudiant. Alors que j’ouvrais délicatement le bouchon, je sentis un liquide froid couler sur mes fesses. Elle l’étala en insistant sur mon petit trou.


Je sniffai un grand coup dans chaque narine. Une chaleur indescriptible envahit mon corps et cassa toute barrière à l’interdit alors que son doigt continuait à faire des merveilles dans mon orifice. Elle me demanda si j’aimais ça, si j’étais vierge de cet orifice. Je lui répondis en gémissant que j’adorais et que j’étais en effet vierge du cul. Elle me retourna alors en glissant un oreiller sous mes fesses. J’étais sur le dos, le cul surélevé.


Elle se coucha sur moi, me tendit à nouveau le Poppers que je sniffai à nouveau très fort. Elle fit de même puis m’embrassa à pleine langue. Son sexe était tendu contre mes fesses. Elle le dirigea à l’entrée de mon orifice et me demanda si je voulais. Alors que j’aurais voulu dire non, je m’entendis murmurer « doucement »… À ce moment-là, je sentis son sexe se frayer un passage entre mes fesses.


Ce fut d’abord très douloureux. Je n’aurais jamais pensé passer une nuit comme celle-là à me faire dépuceler du cul par un trans, mais qu’importe, j’étais trop excité pour penser à ça. Son sexe long et mince était maintenant enfoncé jusqu’à la base des couilles. Elle m’embrassait toujours et commença un va-et-vient entre mes fesses. Étonnement, la douleur disparut et laissa place à un plaisir dingue. Je m’entendis la supplier de me baiser plus fort encore…


On sniffa quelques fois de suite le Poppers, on gémit tous deux très fort, on cria de plaisir comme jamais je n’avais crié sans limites dans un acte sexuel. Je sentis tout exploser en moi alors qu’elle me pilonnait violemment de son gourdin d’acier. Elle me fit comprendre qu’elle allait jouir. Je la suppliai de m’envoyer son foutre au fond de moi. Je voulais alors le sentir gicler en moi !


Ma phrase à peine finie, je sentis un liquide chaud arroser l’intérieur de mes fesses. Tout explosa en moi, je jouis pour la toute première fois du cul. C’était violent ! Dans un grand cri de bonheur, elle me demanda alors de la prendre, elle aussi. On changea vite de place et je m’introduisis en elle. Après à peine quelques va-et-vient, je jouis en elle… Jamais je n’avais connu telle jouissance, la folie ! On s’écroula sur le lit et je m’endormis, vidé dans tous les sens du terme.


Le matin, alors que je m’éveillais, j’étais un peu honteux de ce que je venais de vivre. Et pourtant, rien que de penser à la jouissance que j’avais connue cette nuit, je bandais à nouveau. Je la regardai, nue, couchée sur le ventre. Une vraie beauté, un chef-d’œuvre de la nature ! Et ce petit plus qu’une fille n’a pas était finalement très excitant ! Mais maintenant que j’étais à jeun, je pensai que mon bon sens allait sûrement le dessus.


Elle se réveilla aussi, me sourit et m’embrassa. J’étais un peu réticent et lui demandai où se trouvait la salle de bain. Je m’y rendis, il n’y avait pas de clef sur la porte. Tant pis… Je fis couler la douche et me plaçai sous le jet d’eau en pensant à ce qui s’était passé… En me remémorant le plaisir de la nuit, je bandai à nouveau…


En me nettoyant le sexe, je me caressai un petit peu. Je tournais le dos à l’entrée de la douche et, avec le bruit de l’eau, je n’avais pas entendu ma partenaire de la nuit entrer dans la pièce… Elle vint alors se coller dans mon dos. Sa main vint remplacer la mienne. Sa poitrine me massait le dos, sa queue se balançait contre mes jambes. J’aurais voulu dire non mais aucun mot ne put sortir…


Ma seule réaction fut le durcissement soudain de ma queue. Elle accéléra le mouvement de sa main sur mon sexe. De son autre main, elle guida la mienne sur sa queue qui durcissait. Elle continua le mouvement de plus en plus vite. Sa deuxième main caressait mes fesses et son doigt glissa sur ma raie et finit par s’introduire en moi. Contrairement à ce que je pensais, la sobriété ne diminua pas le plaisir. Au contraire, je sentis comme des frissons dans mon bas-ventre.


Sans même contrôler mes gestes, je dirigeai le bout de son gland vers mon trou. Elle retira son doigt et enfonça sa bite entre mes fesses. La douleur fut nettement moins importante que la nuit et le plaisir, presque direct. J’appuyai mes mains contre le mur et accentuai les va-et-vient de son sexe en moi en poussant les fesses à la rencontre de cette colonne de chair qui m’envahissait.


Une de ses mains me masturbait alors que l’autre massait mes couilles. Elle accéléra, puis ralentit le rythme, se balança de droite à gauche. Elle me dit :



J’acquiesçai… Elle me baisa bien pendant vingt minutes, une heure, je ne sais pas. Chaque fois que j’étais prêt à jouir, elle poussait son sexe jusqu’à ce que ses couilles s’écrasent contre mes fesses et pressait mes couilles dans sa main pour ne pas que je jouisse trop vite. Elle finit enfin par accélérer le mouvement. Mes fesses claquaient sous l’assaut violent de son bassin, tout explosait à nouveau en moi…


Je jouissais à nouveau du cul dans un plaisir immense. Sous le mouvement de sa main, mon foutre jaillit de ma bite par gros à-coups et s’écrasa sur le carrelage de la douche. Son bassin frappa quelques derniers coups contre mes fesses puis se stabilisa en pression au fond de mes entrailles. Je sentis alors couler entre mes fesses puis sur mes jambes son jus blanchâtre débordant de mon orifice grand ouvert par ces coups de pylône violents. Elle me fit comprendre qu’elle était accroc au sexe et que je l’excitais un maximum… De mon côté, j’avais…