n° 12544 | Fiche technique | 9266 caractères | 9266Temps de lecture estimé : 6 mn | 05/05/08 |
Résumé: J'aime marcher dans Paris c'est toujours un plaisir pour moi, plaisir d'autant plus intense lorsque je retrouve Jean-Marc, ma petite faiblesse... | ||||
Critères: fh copains grosseins intermast fellation fdanus | ||||
Auteur : Eirine Envoi mini-message |
Brun, élancé et légèrement mat de peau, Jean-Marc a ce mélange indéfinissable de classe, de charme et de désinvolture. Il est mon meilleur ami et même un peu plus que ça, il est… ma petite faiblesse.
Jean-Marc habite un très bel appartement dans le 5ème arrondissement de Paris, au quartier Latin. Moi je suis dans le 13ème, je loge dans un petit studio proche du métro aérien.
Nous ne sommes pas très loin l’un de l’autre et souvent lorsque je vais le voir, c’est à pieds que je me rends chez lui.
J’aime me balader dans Paris et les vieilles rues du quartier latin si riches en souvenirs pour moi, sont toujours un plaisir, plaisir d’autant plus intense lorsque je vais le voir.
À cette époque de l’année, nous sommes en février, il fait frais sur Paris, mais malgré tout le ciel est bleu et le soleil est bien présent. C’est très agréable.
J’arrivai de bonne heure, car nous avions convenu de déjeuner ensemble. Lorsqu’il m’ouvre la porte, Jean-Marc n’est pas prêt du tout. Aussi je comprends qu’il m’attendait peut être un peu plus tard.
C’est vêtu d’un kimono de soie qu’il me reçoit. Celui-ci, très léger et souple, accompagne ses moindres gestes et lui donne une allure audacieuse et sensuelle. Il m’embrasse sur la joue, et m’invite à entrer. Nous n’avions pas convenu de l’heure à laquelle je devais passer, mais au sourire espiègle qu’il affiche sur son visage, je devine qu’il avait l’intention de me recevoir dans cette tenue, histoire de voir la tête que je pouvais faire.
Il m’indique la direction à suivre pour que je le précède et ajoute :
Je lui souris à mon tour d’un air amusé et lui réponds :
Il entre dans la salle de bain, se retourne et me fait face, tout en dénouant son kimono qui glisse à ses pieds et referme la porte en me souriant. Je n’ai pas eu le temps de voir grand-chose, mais tout ce que j’en ai supposé entre dans le cadre d’un jeu de séduction que nous avons lui et moi, de temps à autre et qui n’est pas pour me déplaire.
Je prends un café, tandis qu’il prend sa douche et se prépare.
Le temps est splendide, le soleil inonde la cuisine où je l’attends. Quand l’eau cesse de couler, je tourne la tête et je le vois sortir de la salle de bain nu cette fois, encore un peu mouillé, s’essuyant les cheveux avec sa serviette de bain.
Bref, naturel, décontracté comme à son habitude, sans se soucier de mon regard féminin sur son anatomie masculine, humide, qui commence à susciter chez moi une certaine fringale.
Alors qu’il entre dans sa chambre pour prendre des vêtements et s’habiller, je ne peux m’empêcher de penser que passer devant moi, à moitié nu ou totalement, est une provocation en bonne et due forme. Il sait que je vais réagir car j’aime ces jeux amoureux que nous avons parfois tous les deux, ils font partie de notre complicité.
Jean-Marc revient vers moi, habillé bien sûr, avec un air amusé comme s’il savait ce à quoi je pensais précisément. Il prend un soda, s’assied en face de moi et me dit en rigolant :
Je le regarde en m’esclaffant, c’est la phrase type pour éviter tout sujet « chaud » et là je suis à point. Je me rapproche de lui, aventurant mes mains sur sa chemise, pour en enlever les boutons un à un de mes doigts fiévreux, et tout en détachant les derniers, je flatte son petit ventre velu.
Je me place derrière lui, mes deux mains caressent maintenant son torse découvert et jouent avec ses poils. Je pose ma tête de côté, l’embrassant tendrement dans le cou. Les essences puissantes et raffinées de son parfum se mélangent au grain de sa peau, exhalant une fragrance sensuelle qui m’enivre totalement. Jean-Marc se laisse faire, me caressant la tête, sans bouger de sa place, profitant pleinement du désir grandissant qu’il ressent à travers mes gestes.
Je me replace devant lui, afin d’être plus accessible à ses caresses, nos gestes se mélangent.
Il se caresse le visage avec mes seins généreux, les prenant chacun avec une main, suçant leurs tétons raidis par l’excitation. Je fais glisser la fermeture éclair de son pantalon, pour prendre son sexe et le masturber. Il me repousse pour me faire signe de le suivre et m’entraîne dans sa chambre, me présentant son lit :
Je lui réponds tout en me déshabillant :
Et nous voilà tous deux entièrement nus, prêts à reprendre de plus belle là où nous en étions restés dans la cuisine. Il me pousse sur le lit avec un grand sourire. Nos corps et nos bouches s’entremêlent, c’est un vrai régal. Ses mains caressent mon corps, son genou se frotte contre mon sexe tout humide, pendant que nous échangeons nos langues. J’adore ça…
Il aspire le bout de mes seins en les mordillant légèrement, il descend avec sa langue sur mon corps, se dirigeant vers mon bas-ventre, pour s’installer progressivement entre mes cuisses.
Je m’offre totalement à lui en les écartant d’avantage afin de permettre à sa langue d’aller et venir librement sur mon clitoris enflé de désir.
Il me lèche, me suce, tout en me pénétrant progressivement avec ses doigts qui viennent s’enfoncer de plus en plus profondément en moi, dans un va-et-vient assidu.
Relevant la tête, pour m’embrasser sur la bouche et partager ainsi le goût de mon sexe avec lui, il me dit en souriant :
Surprise et incapable de lui répondre quoique ce soit de cohérent, complètement excitée, je le repousse avec le même sourire afin d’atteindre d’une bouche gourmande son sexe en érection et lui rendre la monnaie de sa pièce.
Je le suce goulûment en lui mordillant le bout du gland, léchant la rosée de désir qui en perle ;
Son sexe tendu dans ma bouche, le mien entièrement trempé sous ses caresses… hum ! Je me délecte.
Il en profite de son côté pour me pénétrer à nouveau de ses doigts longs et habiles mais cette fois-ci, se servant de l’humidité de mon sexe, c’est entre mes fesses qu’il plonge son doigt.
Je me cambre sous ce nouvel assaut, laissant échapper un gémissement de plaisir, tout en fermant les yeux. J’adore ça, Jean-Marc le sait, il se redresse, lâchant tout ce qui était en cours pour me le dire à l’oreille :
Je tente de lui répondre
Mais ma phrase se termine dans sa bouche qui aspire la mienne. Je sais que ma jouissance l’excite, comme je suis moi-même excitée par la sienne, du reste. Jouir tout en participant, et en assistant à sa propre jouissance à lui, c’est pour moi une excitation menée à son paroxysme.
Je titille ses tétons masculins avec ma langue pour descendre progressivement vers sa verge, tout en le léchant. J’ai moi aussi envie maintenant de sentir sa jouissance. Comprenant ma manœuvre, il se prête volontiers à mon désir, me permettant d’accéder sans encombre à son membre turgescent.
J’ouvre la bouche pour refermer mes lèvres sur son sexe, et enfonçant ce dernier au fond de ma gorge, je commence à le branler sans les mains, mélangeant les caresses de ma langue aux mouvements de va-et-vient de ma tête.
Je le sens gonfler sous ma langue, ses gémissements de plaisir se font de plus en plus fort, je le suce, l’aspire, tout en le masturbant avec ma main.
Sa jouissance explose dans ma bouche et son gémissement de plaisir m’amène, tout comme les caresses de ses doigts sur mon sexe, moi aussi à la jouissance.
Je garde son sexe quelques instants de plus dans ma bouche, le caressant doucement avec ma langue, tandis que ma jouissance envahit mon corps… c’est un pied royal !
Dans le calme, nous sommes tous les deux épuisés, rassasiés.
J’ai dans ma bouche le goût des vertiges et dérives abandonnés de nos corps tandis qu’il a sur ses mains l’odeur du plaisir…
Entrelacés, l’un sur l’autre, je le regarde et l’embrasse tendrement. Il me rend ce baiser de la même façon accompagnant celui de caresses sur mon visage.
Voilà, Jean-Marc c’est… ma petite faiblesse.