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n° 12563Fiche technique18845 caractères18845
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Temps de lecture estimé : 10 mn
13/05/08
Résumé:  Ma femme a toujours fantasmé sur les pénétrations hors-norme...
Critères:  fhh fsoumise légumes zoo
Auteur : Histochris            Envoi mini-message
Tentations - Quelques jours d'égarement

Nous nous promenions en campagne. Nous étions bien et marchions tendrement enlacés dans un chemin creux ombragé. Il y faisait relativement frais.

Nous longions des herbages où paissaient des vaches et aussi parfois des chevaux. Nous étions satisfaits d’avoir loué ce gîte rural et profitions pleinement de ce repos après de longs mois de travail acharné. Ma femme avait abandonné tailleur et escarpins et j’avais remisé costume et cravate.

Au fond du champ, qui formait un vallon verdoyant, circulait un ruisseau que nous entendions chanter et nous décidâmes d’aller s’asseoir au bord pour une petite pause. Nous passâmes sous les barbelés. Elle avait un peu peur des animaux et je dus la convaincre que nous ne risquions rien. Ce qui s’avéra vrai et nous restâmes là un petit moment tendrement enlacés, couchés dans l’herbe.

Nous entendîmes soudain des hennissements provenant de l’autre berge du ruisseau. Des coups frappés sur le sol, encore des hennissements. Intrigué, je franchis le ruisseau et sortis de la futaie. Un homme en qui je reconnus notre hôte, un paysan à l’allure un peu rustique mais trompeuse, car il était très agréable, tentait d’équiper l’étalon qui occupait le pré.

Il me vit, me fit un signe et après quelques coups de tête d’esquive de l’animal, parvint à lui passer un licol.

Puis il le guida vers moi.



Il traversa le ruisseau en direction de ma femme restée de l’autre coté.



Il tendit sa main vers l’étalon. Ma femme et moi découvrîmes que ce dernier, ayant sans doute compris les intentions de son maître, était pris d’une certaine raideur entre les pattes arrières.



Je surpris les yeux écarquillés de mon épouse face au gigantisme de l’engin dont était doté ce bel étalon.



Le paysan disparut dans le chemin. Les sabots ferrés du cheval claquant sur les cailloux.



Nous éclatâmes de rire.



Nous regagnâmes la ferme.

Devant la grange, le paysan tenait l’étalon au licol et tentait de le convaincre de monter la jument nerveuse qui en fait ne semblait pas disposée. Après de longues minutes d’essais infructueux, découragé, il laissa tomber.

Je vis combien le regard de mon épouse était attiré par la hampe de l’étalon qui devait mesurer 80 cm. La scène s’acheva quand le paysan décida d’abandonner et que la jument attendrait.

Le soir, au lit, ma femme se fit câline. Sous le drap, elle glissa sa main vers mon entrejambe.



Sa main commençait à me caresser la queue qui se déploya dans sa main.



Elle m’avala tout au fond. Elle aime sucer et ne s’en prive pas, pour mon plus grand bonheur.



Ma main glissa sur sa hanche. Je la sentis se cambrer. Je contournai la rondeur de la fesse et du bout des doigts caressai la raie. Elle se recula.



Mon gland fut aspiré brutalement, pendant que ses doigts me massaient les couilles.



Sa langue frottait sous mon frein. Elle m’embrassa goulûment le gland et l’aspira.

Mes doigts pénétrèrent entre les cuisses qui s’ouvrirent. Sa chatte coulait déjà.



Son doigt glissa entre mes fesses. Mon majeur rampa dans la fente trempée. Elle soupira d’aise quand j’envahis sa grotte.



Sa croupe s’agitait pour aider mes doigts à la baiser.



Elle respirait fort, la bouche pleine de ma queue.



Elle lâcha ma bite, posa sa tête sur mon ventre et me branla vigoureusement.



Elle jouit en s’empalant sur mes doigts et en reprenant avidement ma queue en bouche.

Je ne tardai pas à la rejoindre dans le plaisir et éjaculai sur sa langue.

Nous ne parlâmes pas de ce qui venait de se passer. Nous avions sans doute un peu honte de ce dérapage tout à fait incontrôlé. Néanmoins, nous avions pris tous deux beaucoup de plaisir.


Nous ne revînmes sur le sujet que le lendemain. Et au cours de la discussion très excitante, mon épouse m’avoua que les pénétrations hors normes la faisaient vraiment fantasmer. J’en avais eu la preuve la veille.

Dans l’après midi, nous nous retrouvâmes au lit dans le même état que la veille.

Elle ronronnait littéralement, je sentais son corps agité de spasmes de plaisir. Chacune de mes caresses déclenchait une réaction, certes flatteuse, mais disproportionnée.



Nous avions souvent évoqué des situations hors normes lors de nos rapports sexuels, et à chaque fois elle aimait me laisser disserter sur le sujet. Elle était alors dans tous ses états et jouissait de m’entendre la pervertir.

Je glissai ma main sur son ventre, elle se cambra, je descendis sur son entrejambe, elle s’ouvrit.

Sa chatte était déjà trempée et ouverte. Elle planta ses dents dans mon cou et soupirant. À part dans l’orgasme, je ne l’avais jamais vu comme ça.



Elle se liquéfiait sur mes doigts qui jouaient à l’entrée de son sexe. Ses lèvres étaient souples, parfaitement détendues.



Je jetai un coup d’œil circulaire dans la chambre pour répondre à cette supplique. Rien.

Je me levai. Sa main remplaça la mienne.



Je pris la ceinture de son peignoir et lui ligotai les deux poignets en passant le lien dans la tête de lit en fer forgé. Une autre ceinture lui maintint les chevilles. Crucifiée sur le lit, elle me supplia encore de me dépêcher de la satisfaire.

Je partis dans la cuisine car je pensais que la solution à mon problème s’y trouvait. J’ouvris le frigo et contemplai les concombres que le fermier nous avait donnés en précisant qu’ils seraient à coup sûr délicieux. Quatre beaux concombres ! Quatre ! C’était trop mais bon.



Ces propos vicieux de ma femme m’excitaient vraiment. Je me sentais attiré par cette expérience. Je revins dans la chambre en exhibant mes concombres. J’aperçus alors derrière la fenêtre la silhouette de notre hôte. Il fixait ma femme nue, indécente, attachée sur le lit. Il me fit un sourire complice. Sans hésiter, j’allai jusqu’à la porte fenêtre et l’ouvris.



Il contempla le corps offert de ma femme. Admiratif. Sans faire attention à lui, je m’assis sur le bord du lit. Elle regarda mes légumes avec envie, le corps agité d’ondes. La présence du fermier ne fit que l’exciter plus encore.



Le fermier n’attendit pas et descendit la fermeture éclair de sa cote de travail, sous laquelle il était nu. Il avait un corps trapu, musclé et poilu. Il était taillé grossièrement dans un bloc. Il exhiba une belle bite qui surgit d’un épais buisson de poils. Il se débarrassa de son vêtement et s’assit de l’autre côté de ma femme. Il posa sa grosse main calleuse sur le ventre creusé par la cambrure de ce corps en délire.

J’avais posé les concombres entre les cuisses de ma femme et lui caressais doucement l’intérieur de la cuisse. Il en saisit un et posa le bout juste à l’entrée de ce ventre béant. Le corps de ma femme fut agité par un nouveau spasme. Elle tentait de se frotter sur la pointe.



Le fermier eut un sourire. Il approcha encore le légume qui se colla entre les lèvres gluantes.



Encore deux centimètres. Il tenait toujours le phallus végétal et poursuivit la progression. Ma femme accueillait sans difficulté cette bite verte.



J’étais fasciné et excité par cette vision. Elle s’agitait autour de ce pieu. Ses beaux seins pointaient. Le fermier posa la main sur ce beau globe de chair bronzé. Ses deux doigts saisirent le téton et le pressèrent. Un râle envahit la chambre. Le concombre était à moitié planté en elle, distendant ses lèvres intimes. Tout doucement, il commença un lent va-et-vient sans cesser de maltraiter le sein. Il tira sur le téton. Ma femme se mordait les lèvres.

Le concombre quitta la chatte qui resta ouverte. J’adore la vue de son sexe après l’amour mais là, c’était fantastique ! Le fermier porta le concombre à sa bouche et lécha le jus qui l’enduisait.



Il m’arrive souvent de la sodomiser et elle aime ça mais le diamètre était bien supérieur à celui de mon membre.



Je défis les liens des chevilles et nous prîmes chacun un pied pour la forcer à nous présenter sa croupe en plaquant ses cuisses sur ses flancs. Le fermier lubrifia le légume dans la chatte et ensuite posa l’extrémité contre la pastille lisse.

Il poussa et le bout rond disparut entre les fesses.



Elle répondit juste par un soupir.

Son œillet se dilatait lentement. Le fermier se pencha et goba le téton. Je fis de même avec l’autre. J’entendais la respiration haletante de notre victime consentante.



Elle poussa un petit cri.

Je me redressai. Jamais je n’avais vu son œillet si ouvert, jamais je n’avais pensé qu’elle puisse accepter une telle sodomie.



J’aimais la voir se faire toucher, baiser, sodomiser par ce type rustique. Je ne faisais que regarder maintenant, spectateur de l’orgie.

Le fermier planta un second concombre dans la chatte. Ma femme se tordit de plaisir.



J’obéis à cette supplique, curieux de voir ce qu’elle allait faire. Elle tenta aussitôt de saisir cette bite parfaitement gonflée.


Le fermier se pencha pour regarder les deux orifices occupés de ma femme. Il manœuvrait les légumes alternativement. Chaque pénétration était profonde. Je ne l’avais pas souvent vue aussi gémissante. C’était bon.


Au bout de quelques minutes de ce traitement, il libéra les deux issues. L’œillet m’apparut totalement dilaté puis lentement se referma. La chatte trempée resta ouverte.

Elle se plia en deux et avala la queue du paysan, qui râla de plaisir. Il posa ses mains dans les cheveux et appuya pour qu’elle l’avale totalement.



Ma femme embrassait le gros gland et le léchait avec une gourmandise évidente. Je savais que mes propos l’excitaient encore plus.



Il tira ma femme par le bras et sortit en la tirant. Nous traversâmes la cour de ferme tous les trois nus.


Il la poussa contre les mangeoires et elle y prit appui, pliée en deux, croupe offerte.



Il les écarta largement, entrouvrant l’œillet préparé par le concombre. Il plongea son majeur dedans sans délicatesse, arrachant à sa victime un gémissement.

Il la traitait de tous les noms en la sodomisant de tout son doigt. Les yeux clos, elle écoutait avec délice. Une chaîne destinée à attacher les bêtes pendait de la mangeoire, il s’en saisit et l’enroula autour de son cou gracile.

Il planta son index aux cotés de son majeur. Elle s’offrait totalement, les reins cambrés, les fesses ouvertes. Enfin il se présenta derrière elle et posa son gland contre son orifice.



Elle ne parlait jamais comme ça. Le paysan contempla son outil et d’un coup encula ma femme jusqu’à la garde. Il la tenait aux hanches et écartait les fesses pour bien voir. Les seins de ma moitié se balançaient sous elle. Il les attrapa et se mit à les pétrir férocement.



Je le remplaçai de la même façon, brutalement.



Le paysan trouva sa bouche gourmande. Tout en l’enculant, je la regardais sucer.

Nous échangeâmes nos places plusieurs fois, baisant ses deux orifices à volonté.

Elle avait déjà joui mais en demandait encore.

Je commençais à faiblir. Après une série de coups de reins rapides dans ses deux ouvertures, je sentis ma semence monter. J’éjaculai abondamment à l’entrée de son anus béant. Le paysan prit ma suite et ramona fébrilement mon épouse jusqu’à l’orgasme. Sa semence se répandit sur l’orifice gras.

Il se soulagea en beuglant et inonda la raie déjà trempée. Il reprit ses esprits., puis claqua les fesses de mon épouse comme il l’aurait fait à une bête.



Il repassa sa cote et me fit un clin d’œil. Il prétexta du travail pour s’esquiver sans plus de cérémonial, nous laissant seuls. Je contemplai le corps ravagé de ma femme, et retirai la lourde chaîne, puis nous regagnâmes l’appartement.

Le soir, dans le noir, elle me dit combien elle avait aimé être traitée ainsi, comme la bête qu’elle était devenue. Elle avait joui à plusieurs reprises.