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Temps de lecture estimé : 8 mn
19/05/08
Résumé:  Expérience de partage entre copains intimes.
Critères:  fh hh couleurs douche fellation pénétratio init -inithh
Auteur : Chopito      Envoi mini-message
Amitiés particulières

Amitié particulière



Je n’ai pas d’attirance particulière pour les hommes, mais il m’est arrivé quelque chose que j’aimerais partager avec vous !


Mon pote Bertrand, chez qui je vais souvent pour bavarder de tout, même des choses intimes, m’ouvre la porte en peignoir :



Je bois un verre en attendant… et le vois rappliquer nu comme un ver, encore à moitié trempé.



Je me désape, il me suit, toujours à poil, et me lance, en me matant de la tête aux pieds :



Je suis devenu rouge de confusion… et excité par l’instant !



Il se glisse sous l’eau chaude avec moi, et me masse le dos lentement jusqu’aux fesses…



À ces mots, je me suis lâché complètement ; ma culpabilité s’est envolée.



Mes mains parcourent son torse ferme en un jeu subtil et taquin. D’un œil quand même discret, je perçois son sexe à demi tendu, me laissant pressentir son envie à peine voilée. J’ai envie de dire quelque chose… mais rien ne sort de ma bouche. Seul un rythme cardiaque plus rapide me trahit à moi même.


Bertrand, un pote de bringues, dragueur de jolies filles, infatigable, très libéré en paroles et en actes… mais à ce point ! Il me sidérait… et me bouleversait à la fois ! En fait, j’avais envie d’un moment de sensualité torride, mais ma pudeur me jouait des tours ! Avec un mec en plus ! Je devenais curieux de moi-même, pour voir jusqu’où je pouvais aller ! Et lui ? Jusqu’où irait-il ? Ces deux inconnues ajoutaient à mon excitation ! Un moment fort, je vous dis !


Mes mains savonneuses s’aventurent sur ses poils… sur son sexe durci… sur ses testicules fermes… Nous ne parlons plus ! Seul l’émotion persiste et ajoute à la scène un air de surréalisme… J’hallucine ! Mais je me régale ! Ma main décalotte sa verge et glisse le long de celle-ci en palpant tout son relief… lentement… avec application. J’insiste sur la base de son gland, très dur maintenant. Son sexe est très beau, proportionné, de bonne taille, sensuel quoi !



Nous nous séchons, l’un l’autre, en insistant pas mal sur nos sexes bandés. Le mien hésite encore à se tendre à fond, l’émotion me perturbe un peu ! Et là, d’un seul coup, je me libère en plein ! M’accroupissant aux pieds de Bertrand surpris, j’attrape son sexe à pleines mains et fais coulisser sa hampe lentement en observant de très près ce gland rose et tendu.


Un soupir de plaisir me confirme son plaisir naissant. Ma main gauche palpe ses fesses musclées et saillantes ; j’approche mon visage de cette verge tendue, légèrement cambrée et droite de plaisir ; l’eau de la douche lui a enlevé tout parfum… elle est toute neuve, et toute fraîche ! C’est bien la première fois que j’en vois une de si près !


Mes lèvres hésitent, s’entrouvrent, et se posent sur ce gland magnifique et lisse comme un fruit mûr. Ma langue le palpe, le découvre et goûte la saveur de la perle de liquide qui pointe en son extrémité. Le plaisir l’a fait naître !


Les mains de Bertrand caressent mes cheveux mouillés et pétrissent mon crâne de plaisir contenu. J’hésite encore, mais la fièvre du désir, irréelle, me pousse à engloutir ce sexe tendu en une aspiration jusqu’au fond de ma gorge. Le râle de mon ami me confirme son envolée fantastique, et toute ma culpabilité s’est envolée pour de bon. Ma verge bandée à bloc vient me le confirmer.


Je me redresse, le fixant intensément, un peu confus mais amusé par la situation extravagante.



Je ne réponds pas, trop excité par le moment ! Il pose sa joue sur mes abdos, tripotant mes testicules fermement. Je sens ses lèvres chaudes effleurer mon gland, ce qui raidit mon sexe dans une saccade ; et doucement il coulisse sa bouche et m’avale dans des allers et retours mesurés. Je me cambre de plaisir et exprime mon naufrage par des expirations profondes et sonores…


Je l’arrête soudain, sentant monter le plaisir.


– Goûtons en même temps, veux-tu ? lui murmurai-je.


Glissant sur le côté, il m’offre sa verge qui, me semble-t-il, a encore grandi. Je l’engouffre, gourmand, et l’aspire à souhait, ne craignant plus ni honte ni giclée. Lui s’attarde sur mon gland qu’il roule sur sa langue et titille à souhait.


À ce moment, je ne sais plus si mon plus grand plaisir vient du ressenti de sa bouche brûlante ou de sa verge splendide… Nous nous lançons de concert dans des va-et-vient soutenus, et je sens mon bas-ventre s’engourdir sûrement… le plaisir approche ! Je gémis en me cabrant, j’inspire à fond et… projette par saccades, dans la bouche de Bertrand, ce liquide crémeux qu’il recrache dans sa main.


La tension retombée, je reprends ma caresse buccale, assisté par ma main - il est bien monté le Bertrand - les saccades rapides le font haleter plus fort, son sexe se tend convulsivement, et ma bouche se remplit de liquide salé que je rejette d’instinct sur son ventre tendu… drôle de goût ! Âcre et doux à la fois.


Quel moment fabuleux ! Je n’aurais jamais cru prendre un plaisir pareil avec un ami !


Une fois rhabillés, nous avons trinqué ensemble. Après un silence gêné…



Éclat de rire de concert, peut-être un peu nerveux aussi… Nous en avons eu pas mal, des éclats de rire plus tard, avec d’autres amis, qui bien sûr ne savaient rien… Nos regards se croisaient… nous pensions à la même chose bien sûr !


Un petit peu de gêne… Beaucoup de plaisir.



* * *



En noir et blanc




Le blanc, c’est moi ! Bonjour ! Et la noire, c’est une amie qui, d’un coup, est devenue plus intime. À la suite d’une conversation rigolote, elle m’a fait avouer mon fantasme depuis toujours : faire l’amour avec une femme noire… et je me suis empressé de lui préciser que je n’avais pas d’arrière-pensées envers elle ! Vous pensez bien !


Après avoir bu le café, bien noir, lui aussi, je la vois disparaître dans sa chambre… Moi, j’étais sous tension, avec les bouts des doigts tremblants. Suis-je émotif, tout de même ! Hé oui ! Parce qu’en fait, sans se le dire directement, elle a très bien saisi que j’ai envie d’elle timidement, sans l’obliger, ni la fâcher ! Et moi, j’ai bien senti que mon contact lui est agréable et donc… plus car affinités !


En la voyant passer la porte en peignoir blanc très court sur ses longues jambes fines et superbes, je crois que mon rythme cardiaque a frôlé la palpitation… Elle était nue dessous et ses seins fermes et pointus de femme de vingt-huit ans montraient leur galbe parfait !



Je suis toujours long à la détente, et étant poète dans l’âme, je savoure toujours l’instant… au détriment des gens pressés ! N’est-on pas plus heureux à désirer qu’à posséder ?! Mais là, sur le coup, j’enlève mon pull et mon tee-shirt d’un seul mouvement ! Je me sais musclé et sans trop de brioche, ce qui plaît aux dames !


Elle s’avance vers moi, peignoir ouvert… Son corps est vraiment parfait ! La couleur sombre de sa peau efface son bas-ventre lisse et ajoute à mon excitation ! Le simple fait de poser ma main vibrante sur ses reins cambrés me fait disjoncter… je ne dis pas un mot ! Mon visage se noie dans son cou gracile et son odeur chaude m’enivre un peu plus ! Je finis de me déshabiller vite fait ! Mon sexe est à demi bandé… Sur le coup, j’ai eu peur d’être défaillant, because émotion ; mais sa main fine et douce est venue chercher mes testicules dans un massage soyeux mais insistant, et là, j’ai senti ma verge se tendre vraiment… Ouf ! Le trac est passé !


Ma verge tendue à l’extrême lui donne la mesure de mon émoi… et moi je suis en état second car je sens mon fantasme à portée de main… si j’ose dire ! Ses lèvres charnues m’engloutissent la bouche et sa langue pointue fouille ma bouche avidement. Je la sens chaude à souhait ! Je recule un peu pour contempler son corps de liane et ses seins parfaits.



Visiblement, je lui fais un effet maximum car je la sens excitée comme jamais je ne l’ai vu chez une femme…



Et elle se tourne en se baissant pliée en deux, me laissant voir son abricot sombre et charnu… Je m’engouffre d’un coup en elle, sans résistance, toute trempée qu’elle est d’excitation ! Je coulisse mon sexe tendu à faire mal et me concentre sur le ressenti de son vagin… Elle cambre ses reins d’une façon animale… Cela me rend fou de plaisir ! Ma main fouille vers son clitoris trempé… Elle bafouille…



Elle vibre de tout son corps… Je n’ai jamais vécu pareil plaisir, et cela sans sentir monter d’orgasme, je m’étonne moi même !



Je l’assois sur la table, elle écarte ses longues cuisses superbes et je caresse du pouce son sexe rosé… et rasé ! Ma bouche est aspirée par ce sexe magique et ma langue fouille au plus profond d’elle.


Ha, son odeur ! J’en ai les jambes qui tremblent ! Je la suis au rythme de ses soupirs expirés, je vis en elle, elle me possède totalement. Mon visage remonte sur ses seins dressés… Je gloutonne ses petits bouts excités en me glissant en elle, guidé par sa main fiévreuse… Mon déchaînement, que je me force à transformer en douceur, me pousse à aller au plus profond d’elle, comme pour l’habiter totalement… Elle explose d’une onde spasmodique qui me propulse vers un plaisir partagé… J’aspire un grand coup, transcendé, immobile… et vide en elle cette semence que je sens pulser de ma verge brûlante !!!


Ses yeux pleins de douceur me fixent infiniment ! Comment décrire cette deuxième plongée dans un amour torride ! Notre passion réciproque et subite nous a fait vivre un moment sublime et hors du temps… La magie est partout !


Ma princesse noire m’a envoûté…



Il y a dans le corps des femmes une beauté nous rappelant l’esthétique absolue, les hauteurs de lumière où tout est irréellement beau ! La candeur de leur visage leur donne l’expression des anges et le ton du sublime ! Jusqu’à leur sexe, discret, secret, qui exhale l’odeur de la passion une fois ouvert, avec juste un soupçon de poils trahissant leur partie d’animalité restante ! Les femmes sont des déesses qui peuvent nous dominer… nous, pauvres hommes, faits de désirs et de glaise !!