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Temps de lecture estimé : 8 mn
19/05/08
Résumé:  Lors du voyage que mon homme m'a offert pour mon anniversaire, il a prévu une surprise de taille !
Critères:  hhh couleurs grossexe vacances hotel hsoumis hmast facial fellation hsodo
Auteur : Marco Sexo
Joyeux anniversaire

Je m’appelle Marc, j’ai trente ans et je vis depuis près de trois ans, en couple avec Fabrice, non loin de Rennes. Nous nous sommes rencontrés sur Internet, le courant est tout de suite passé entre nous et nous nous sommes installés ensemble au bout de seulement six mois.


Me concernant, je travaille comme attaché de direction dans un cabinet d’expertise comptable, Fabrice, pour sa part, dirige une boutique de vente de téléphones mobiles. Pour être complet, physiquement, je mesure 1,75 mètre pour soixante-sept kilos, je suis plutôt fin, Fabrice mesure 1,87 mètre pour quatre-vingts kilos, une silhouette plutôt sportive, mais tout de même assez svelte.


L’histoire que je souhaite partager se déroule au moment de mon trentième anniversaire. Pour fêter l’événement, mon homme m’offre un voyage d’une semaine dans un hôtel trois étoiles de Cuba. Le jour exact de mon anniversaire tombe la veille de notre retour en France. Je suis prévenu suffisamment à l’avance pour prévoir mes congés.


Rien de vraiment passionnant ne s’étant déroulé entre le moment de l’annonce et celui du départ, je fais une « petite avance rapide » pour situer l’action directement à l’aéroport.


L’avion étant retardé de trente minutes, nous allons prendre un verre à la cafétéria, une fois les bagages enregistrés, pour ne plus avoir à s’en soucier. Finalement, le vol décolle avec plus de quarante-cinq minutes de retard, mais le trajet, bien que très long, se déroule sans le moindre problème, ni orage, ni trou d’air, un voyage parfait en somme.


L’arrivée à Cuba est paradisiaque, du hublot de l’avion, j’aperçois déjà les plages à perte de vue, la mer turquoise et les palmiers. Dès notre descente d’avion, l’air chaud, presque étouffant, nous enveloppe et nous ravit.


Et puis, vient le moment de pénétrer dans l’hôtel, pour moi qui n’ai jamais mis les pieds dans un trois étoiles, ce moment est grandiose. Tout y est si lumineux, si clair, si propre, c’est un véritable enchantement pour les yeux, je me sens presque gêné par toutes les attentions dont nous sommes bénéficiaires. Les cubains sont extrêmement accueillants et je sens déjà que le séjour va être riche en émotions.


Effectivement, les cinq premiers jours seront inoubliables, entre visites de monuments et farniente, entre la plage et le soleil, tous ces moments passés en compagnie de Fabrice sont simplement un pur bonheur.


Le matin, nous partons assez tôt pour visiter les villes aux alentours et certains monuments, l’après-midi, nous allons à la plage pour profiter du soleil, des cocktails et de l’océan.


La veille du départ, c’est-à-dire le jour de mon anniversaire, la journée se passe comme les précédentes, mais vers dix-neuf heures, Fabrice me demande de descendre à l’accueil pour m’assurer que la prise en charge de nos bagages pour le lendemain sera effectuée.


Lorsque je remonte dans la chambre, elle est vide, Fabrice n’est plus là, mais un petit mot est posé sur le lit.



SURPRISE : Tiens-toi prêt à 20h00…



Je suis bien sûr très heureux que mon homme ait préparé une surprise pour moi, mais je suis aussi très troublé et impatient de savoir ce qu’il me prépare. Je dois avouer qu’à ce moment, l’excitation me gagne, sachant à quel point Fabrice aime me faire des surprises coquines.


Je me douche, m’habille et attends impatiemment vingt heures. L’horloge me paraît ralentir et l’attente est interminable, encore plus de vingt minutes à patienter.


Vingt heures… La poignée de la porte de la chambre tourne, Fabrice entre, suivi par Ernesto, un cubain employé de l’hôtel, qui travaille en cuisine et essentiellement pour la préparation des petits déjeuners. Nous avons fait la connaissance d’Ernesto lors d’une soirée à l’hôtel, son français étant impeccable.


Sur le moment, j’avoue ne pas vraiment comprendre ce qu’Ernesto fait ici, mais Fabrice a vite fait de m’éclairer sur le sujet.



Cette dernière phrase décuple mon excitation, l’idée de me donner entièrement à ce beau cubain, d’être « sa chose » et tout ça devant mon homme, c’en est trop, mon slip va exploser tellement mon érection est forte.


Fabrice prend alors place dans un fauteuil en osier, retire son pantalon puis son caleçon et commence à se branler. C’est ce moment que choisit Ernesto pour s’asseoir sur le canapé et m’inviter à le rejoindre.


Je m’assieds à ses côtés, passe une main sous son tee-shirt et commence à lui caresser le torse… Il est très musclé, je sens la forme parfaite de ses pectoraux, ainsi que celle de ses abdominaux.


Ma deuxième main se dirige alors vers son entrejambe, je lui caresse le sexe à travers son pantalon, il ne semble pas encore être en totale érection, mais la taille de son membre me paraît déjà très conséquente.


Ernesto me demande alors de me mettre à genoux entre ses jambes et du regard, m’invite à retirer son pantalon. Je saisis l’étoffe de chaque côté de ses hanches. Il relève légèrement les fesses pour me laisser descendre son vêtement.


Son pantalon sur les chevilles, le dernier rempart avant sa queue reste son slip de coton blanc, déjà très déformé par une bosse qui me réjouit. N’y tenant plus, je fais glisser le morceau de tissu le long de ses jambes et la première chose que je remarque, outre le fait que son sexe, même au repos et déjà bien plus gros que celui de mon homme, c’est la grosseur de ses couilles. Deux énormes couilles que je ne peux m’empêcher de toucher, puis de lécher.


Mes premiers coups de langue ont pour effet de « réveiller » la bête, qui progressivement se tend et se durcit. Je la saisis alors de ma main droite et je peux constater qu’elle est effectivement largement supérieure en taille et en diamètre à celle de Fabrice.


Irrémédiablement, ma bouche est attirée vers ce superbe engin, je commence par poser mes lèvres sur le bout de son gland et j’y dépose un petit baiser. Puis lentement, mes lèvres s’ouvrent et glissent le long de son gland, jusqu’à ce qu’il soit entré entièrement dans ma bouche. J’ai toujours adoré sucer, Fabrice en sait quelque chose ! Je lui « offre » ma bouche presque tous les jours et il paraît que je suis plutôt doué.


J’enfonce ainsi le sexe d’Ernesto plus profondément dans ma bouche, ma langue tourne autour de son membre et joue avec son frein. Son sexe est tellement imposant que je ne peux pas le mettre en entier dans ma bouche, je le branle donc en même temps que je le suce.


Visiblement, il aime beaucoup ça. Il a les yeux fermés et sa respiration se fait plus pressante, il pose ses mains à l’arrière de ma tête et appuie légèrement, m’obligeant à maintenir sa queue au fond de ma gorge. Il relâche son étreinte. J’en profite pour regarder en direction de Fabrice. Il se branle toujours en se délectant du spectacle, il m’adresse un petit sourire et m’encourage à continuer ma fellation, ce que je fais avec gourmandise.


Pendant que ma bouche s’active sur cette somptueuse queue, ma main gauche s’attarde sur ses couilles, que je malaxe et caresse tendrement. Au bout de plusieurs longues minutes, Ernesto se lève du canapé, me demande de me déshabiller et de ne conserver que mon slip. Je me lève donc à mon tour et m’exécute. Désormais, seul mon slip sépare les yeux d’Ernesto de mon intimité.


Justement, ce dernier vient se placer derrière moi, me fait pencher en avant et, lentement, fait glisser l’étoffe de coton le long de mes cuisses. Le fait qu’il ait le visage à hauteur de mon cul, me fait rougir, j’imagine qu’il regarde mon petit trou. Il écarte d’ailleurs légèrement mes fesses pour en avoir une meilleure vue.


Je sens un doigt qui parcourt ma raie et vient se poser sur mon anus. Il répète ce geste plusieurs fois. Pendant ce temps, je regarde Fabrice : il se branle toujours aussi énergiquement.


Ernesto me fait alors placer sur le canapé, le torse sur le dossier et les genoux sur les coussins. Il m’écarte les jambes et appuie légèrement sur mon dos pour me faire cambrer davantage. Dans cette position, je me sens complètement offert à ses moindres désirs et, de plus, il a une vue imprenable sur ma grotte.


À ce moment, Fabrice se lève de son fauteuil et vient se placer devant moi, m’offrant sa queue à sucer, je m’empresse de l’enfourner et retrouve des sensations bien connues de notre vie sexuelle. J’entends Ernesto derrière moi qui déchire un emballage de préservatif, je veux tourner la tête pour le regarder, mais Fabrice refuse que sa queue sorte de ma bouche, je suis donc en « aveugle » !


Soudain, je sens le sexe d’Ernesto se poser sur mon anus. Fabrice, qui quelques instants plus tôt voulait garder son sexe bien au chaud dans ma bouche, décide de passer derrière moi pour voir la queue d’Ernesto entrer en moi. Et c’est justement ce qui se produit : Ernesto commence à forcer l’entrée et son gland rentre d’un coup sec. Un léger cri de douleur sort de ma bouche, mais il ne s’en laisse pas compter et il continue sa progression.


Je sens sa grosse queue entrer en moi millimètre par millimètre. Cette sensation est vraiment exquise, nouvelle aussi, du fait de la différence de taille entre le sexe d’Ernesto et celui de mon homme.


Fabrice, justement, écarte mes fesses pour faciliter l’accès à mon amant du soir, il en profite également pour me caresser l’intérieur des cuisses, ce qui a pour effet de me faire m’ouvrir un peu plus Ernesto rentre alors d’un coup, son sexe est presque entièrement au fond de mon cul, ma respiration s’accélère et, me sentant dans un état second, Fabrice commence à me toucher le sexe et me branler légèrement.


Je suis au septième ciel, un superbe cubain monté comme un étalon m’encule fermement pendant que mon homme me branle. La position fait visiblement mal au dos de mon étalon, il se retire alors de mon cul et s’assied sur le canapé. Il m’invite à m’asseoir sur lui. Je me place face à lui et m’empale lentement sur sa tige. Je m’empresse alors de monter et descendre à un rythme assez soutenu sur son mandrin, tout en caressant son torse.


Mais cette fois, c’est moi qui fatigue un peu ! Ernesto le ressent et me demande de m’allonger sur le dos. Il vient se placer entre mes jambes, en place une sur son épaule, relève légèrement mes fesses et me pénètre à nouveau, plus sèchement cette fois.


Il accélère le rythme de ses mouvements. Il ressort presque entièrement son sexe de mon cul pour s’y réintroduire d’un coup sec… Pendant ce temps, Fabrice me présente sa queue, que je m’empresse de sucer avidement.


Puis au bout de quelques minutes, Ernesto semble sur le point d’exploser. Fabrice se recule, Ernesto se retire de mon cul, enlève son préservatif et donne sa queue à sucer. Voyant ma déception de ne plus avoir un membre dans mes entrailles, Fabrice prend la place de mon amant cubain et m’encule à son tour.


Quelques secondes avant qu’il jouisse, je demande à Ernesto de m’éjaculer sur le torse. En effet, seul mon homme a le droit de m’offrir le fruit de son plaisir. Ce sont de longues giclées de sperme chaud qui viennent s’écraser sur mon torse et mon ventre… Une quantité impressionnante que j’étale de ma main sur tout mon buste.


De grosses gouttes de sueur perlent sur le front d’Ernesto, il m’adresse un petit sourire, la queue toujours à la main.


Puis c’est au tour de Fabrice de se retirer de mon cul et de m’offrir sa queue à sucer. Quelques secondes suffisent pour qu’il m’inonde la bouche de son sperme chaud et sucré. Comme à chaque fois que je le suce, j’avale avec gourmandise tout le liquide. Ce voyage restera inoubliable pour moi à tous points de vue et j’espère retourner à Cuba un jour, dans le même hôtel ! Qui sait ? Peut-être qu’Ernesto sera encore là.