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n° 12581Fiche technique39879 caractères39879
Temps de lecture estimé : 23 mn
21/05/08
Résumé:  Ma voisine Marine a besoin d'un coup de main avec son ordinateur...
Critères:  fh jeunes voisins copains profélève grosseins fellation cunnilingu anulingus fsodo coprolalie init
Auteur : Solario  (La curiosité est un vilain défaut)            Envoi mini-message
Marine

Marine…


Blonde, les cheveux au carré. Ses yeux sont marrons, pas ou peu maquillés. Sa bouche fine, de petites dents blanches avec une canine qui chevauche légèrement une incisive. Son sourire est généreux, toujours sincère. Sa peau est pâle, et je suis sûr qu’elle est extrêmement douce. Elle a un petit grain de beauté sur le côté du cou, comme une petite île perdue dans un immense océan blanc. J’irais volontiers explorer le reste de sa géographie pour découvrir et donner un nom à tous les mystères cachés sur le reste de la carte malheureusement trop souvent invisible.


Marine n’est pas très grande, toujours enjouée, une nette ressemblance avec Drew Barrymore. Marine a une très belle paire de seins : lourds, ronds, gros. J’imagine des aréoles foncées et des tétons durs, fièrement dressés. Je m’imagine les prendre dans ma bouche, passer ma langue autour, les mordiller, les tirer légèrement. J’imagine ses gémissements, ses doigts dans mes cheveux me pressant le visage contre ces deux gros seins… Mais calmons-nous et revenons sur terre.


Au début de cette histoire, je ne suis pas explorateur et il y a peu de chances que je plante mon drapeau où que ce soit sur cette terre inconnue. Marine est étudiante, extrêmement brillante, toujours à bosser. Que je sache, elle n’a jamais eu de véritable petit ami, elle ne sort pas, bosse, bûche et bêche du soir au matin. Je l’ai vu grandir, la petite fille du bout de la rue arrivée avec sa mère, il y a une douzaine d’années. Je l’ai bien entendu ignorée, quand on a treize ans, les filles qui en ont huit n’ont pas grand intérêt. Et puis elle est partie chez une tante aux États-Unis d’où elle est revenue bilingue deux ans après. Car elle a un don pour les langues, en plus d’être un petit génie mathématique, une encyclopédie en histoire, un véritable atlas géographique, et de l’or au bout de son archet. J’aurais pu changer dans cette histoire le violon pour la flûte, histoire de faire un mauvais jeu de mots de plus, mais non, collons un peu à la réalité, avec Marine, il n’y a pas besoin d’aller chercher plus loin. Cette fille est à elle toute seule un rêve éveillé.


Nous sommes donc soigneusement passés à côté l’un de l’autre pendant toute la période où lentement elle s’est transformée en femme, puisque j’ai passé mon lycée en pension et que le week-end, comme les autres jours de la semaine, Marine travaille. Je l’ai croisée de nouveau à l’anniversaire d’un copain, sans la reconnaître. Avant de passer à l’attaque, je me renseigne et on m’apprend que c’est Marine, « la petite du bout de la rue ». Et là, je reste les bras ballants, paralysé par ce souvenir. La soirée se termine sans que je tente quoi que ce soit, mais en partant, elle m’aperçoit et me lance un petit geste de la main pour dire au revoir.


Depuis cette soirée, un an s’est écoulé. Je l’ai croisée deux fois, et notre relation s’est considérablement approfondie, puisqu’elle m’a dit « Salut Max, ça va ? » une fois en me croisant à la bibliothèque. Elle avait les bras plein de livres qu’elle empruntait, elle les pressait contre ses seins et c’est la seule fois de ma vie où j’ai voulu être changé en livre. Pourtant, je me suis aussitôt abonné à la bibliothèque où je venais juste rencontrer des amis ce jour-là. Mais Marine n’est pas revenue et j’ai passé de longues après-midi à guetter son arrivée, bloqué sur la même page d’un dictionnaire quelconque. Pour me rassurer, je me disais qu’au moins, elle m’avait reconnu et qu’elle se souvenait de mon nom.


Et puis la semaine dernière, tout a basculé. J’étais dans ma chambre, au téléphone avec un ami. Soudain, double appel. Je le prends. Marine.



Quinze minutes. Douche, rasage, eau de toilette, brossage de dents et recherche simultanée d’une chemise propre, non, plus dur même, une chemise propre ET repassée. Je saute dans mes chaussures, j’attrape deux trois CD et je file. Quand je sonne chez elle, j’ai même une minute d’avance. Elle ouvre. Et moi je manque de défaillir. Elle porte une longue robe en laine noire, qui la moule… parfaitement. À la taille, une large ceinture en cuir avec une grosse boucle argentée et de petites bottines en daim. Sur son nez, de petites lunettes très fines que je ne lui ai jamais vues. Ses cheveux sont négligemment attachés avec deux adorables petites barrettes. Mes os se liquéfient et mon sang abandonne mes veines pour se concentrer en un point précis de mon anatomie. Je bande. Rien qu’à la voir comme ça je bande comme un cheval.



Mince, moi qui croyais que j’allais pouvoir la bluffer facilement sur un terrain qu’elle ignore, me voilà coincé. Il allait falloir jouer serré.



Dans ma chambre, suis-moi. Respire Maxime, respire. On va s’occuper de l’ordi, rien de plus.


Je m’assois à son bureau et en une minute, j’identifie la cause du problème : le BIOS n’est pas configuré pour démarrer sur le CD d’installation de Windows. Ça me prendrait en théorie une autre minute à régler, mais je compte bien faire traîner l’affaire. Je passe cinq minutes silencieuses à modifier des paramètres du BIOS que j’annule juste après avant de sauvegarder et de recommencer. Marine est assise à ma droite, les mains sur les cuisses, silencieuse. Dans le reflet de l’écran, je l’observe. Elle a l’air inquiète. Tant mieux.



J’ai posé la question nonchalamment, dans l’écran, je vois son visage se figer.



J’ai un peu honte de moi de la faire marcher comme ça, mais ma culpabilité ne dure pas. À peine a-t-elle passé la porte que j’en profite pour observer tranquillement sa chambre, cette pièce où elle se déshabille tous les soirs. Peut-être qu’elle dort toute nue. Peut-être qu’elle se touche dans ce lit. Calmons-nous… On respire, voilà. Tout est bien rangé, propre, frais. Mes yeux tombent sur sa commode. J’hésite, puis j’ouvre un tiroir. Je tombe tout de suite sur ses sous-vêtements. Les sous-vêtements de Marine, à portée de ma main. Un rêve. Je prends une culotte noire avec à l’arrière un petit croisillon sexy au-dessus de la raie des fesses. J’enfouis mon visage dedans. Soudain, j’entends Marine qui revient. Je mets la culotte dans ma poche, referme le tiroir et retourne m’asseoir à son bureau. Équipé du tournevis, je fais encore durer le spectacle dix bonnes minutes, avant de refermer le tout, et de régler simplement le BIOS. L’ordinateur démarre !



Impossible qu’elle sache le faire.



Je me lève alors, me demandant si je n’avais pas poussé ma chance trop loin.



Pendant que Windows s’installait, nous bavardâmes, je lui demandais ce qu’elle avait fait depuis la dernière fois où je l’avais vu. Marine était étudiante en science. Elle voulait être astrophysicienne et entamait un long cursus. Je lui parlais de mes études d’informatique, renforçant discrètement mon aura d’expert en la matière à ses yeux. Elle me parlait de ses amies qu’elle voyait peu, certaines étant parties, d’autres « occupées ». Elle en avait vu une poignée la veille au soir.



Surpris, je lui demandais :



Elle rougit. Sauvé par un petit bip de l’ordinateur, je la laissais assise sur son lit, me tournais face à l’écran et tapotais quelques touches pour ne pas qu’elle soit gênée, même si je mourais d’envie d’en savoir plus. Toujours le dos tourné, je repris :



Réalisant ma maladresse, je tentais de rattraper la bourde :



La seconde qui s’écoula dura une heure. Nous nous regardions et je me demandais si j’avais bien entendu et si elle n’était pas en train de me demander d’être le professeur qu’il lui fallait en la matière. Une fois de plus, merci Windows, je fus sauvé par l’ordinateur qui demandait un autre CD.



Elle l’avait dit. Dans un murmure, les yeux baissés et les mains sur les genoux serrant fort sa robe, mais elle venait bien de me demander comment faire une fellation. Le programme des Travaux Dirigés dans la tête, j’essayais d’imaginer une courte introduction théorique.



Elle pleurait maintenant. Ça devenait compliqué.



Je rougissais à mon tour et je bandais de plus en plus. Marine pouffa et j’en profitais pour relâcher la pression et rire avec elle.



Elle venait de me poser la main sur la jambe. SA main, MA jambe. Mon dieu, j’ai cru que ma bite allait percer mon jean.



Lui montrer. Comment sucer. Mais avec plaisir Marine, avec GRAND plaisir.



Elle sourit et hocha la tête, les jambes toujours serrées et les mains sur les genoux. Elle m’écoutait, elle était prête.



Et je sautais le pas. Je me levais, passais ma main derrière sa nuque et portais ses lèvres aux miennes. Je l’embrassais lentement, léchant sa langue, tout en la faisant reculer sur le lit. Elle me rendait mes baisers en me regardant droit dans les yeux, comme pour contrôler si ce qu’elle faisait était bien. Collé contre elle, je glissais entre nous une main vers son sein gauche et me mis à le presser doucement, puis plus fort. À travers la laine, je pinçais doucement son téton dur et je sentis que sa concentration toute scolaire faiblissait. Elle gémissait, ondulait, tétant la pointe de ma langue et prenant mes poignets dans ses mains pour les plaquer contre ses gros seins.



Je ne la laissais pas finir, la faisant passer au-dessus de moi pour pouvoir lui peloter les seins à mon aise. Je ne voulais pas la déshabiller, me demandant toujours si elle ne jouait pas la comédie et si tout ça n’était pas un stratagème pour m’amener dans son lit et m’exciter au maximum. Elle aurait pu se vexer si jamais elle disait la vérité et voulait « juste » que je lui montre comment sucer.

Après un quart d’heure de caresses, elle se recula et se mit à genoux sur le lit.



Je me grattais la tête en me redressant. Qui aurait cru que j’aurais tant de mal à répondre un jour à sa question. Je me dressais sur mes genoux et lui pris la main, la plaquant sur la bosse qui déformait mon pantalon.



Elle se pencha et ouvrit les boutons. Ma bite surgit à travers mon caleçon et Marine ouvrit des yeux ronds comme des soucoupes, ne s’attendant pas à voir le diable sortir de sa boîte de cette façon.



Je me rhabillais rapidement.



Elle rampa à genoux vers moi, ses jolies dents blanches posées sur sa lèvre inférieure comme si elle allait résoudre une équation. Elle hésita, avança sa main de nouveau, me regarda. Je lui souris et elle étouffa un petit gloussement en posant sa main sur mon pantalon pour la seconde fois. Elle commença à me masser la queue en me regardant de temps à autre. Je caressais ses cheveux et lui indiquais muettement qu’elle se débrouillait parfaitement. Enfin, elle ouvrit un bouton, puis deux, en me regardant dans les yeux avec l’amorce d’un sourire lascif aux coins des lèvres. Puis elle posa un baiser sur la pointe de ma queue à travers mon caleçon. Je me reculais, ayant failli jouir sur le coup.



Elle avait mes bourses dans sa main gauche et me branlait maladroitement de la droite. Je posais ma main sur sa tête et l’attirai contre ma queue. Elle avala tout d’un coup.



Et je poussais sa tête contre ma queue qu’elle avala lentement centimètre par centimètre.



Mes yeux venaient de découvrir le spectacle dans la glace posée sur la porte de son armoire. Marine en train de me sucer avec application, ma bite dans sa bouche. En une fraction de seconde, je sentis que j’étais une fois de plus à deux doigts de l’orgasme et me retirais. Étouffant toute question, j’ajoutais aussitôt.



Sainte Marie, mère de Dieu.



Et elle replongea pour continuer sa fellation.



Comme je dirai.



Et elle reprit sa pipe, faisant tourner sa langue autour de mon gland, me léchant sur toute la longueur de la queue, avalant tout ce qu’elle pouvait, pompant, aspirant, caressant de la pointe de sa langue. Et c’était vrai qu’apparemment ça lui plaisait. Je pris sa tête et commençais à imprimer un rythme régulier pour lui indiquer ce que je voulais. Par pure curiosité, j’accélérais graduellement et elle se plia parfaitement à ma demande.



Elle me suçait maintenant frénétiquement. Je lui pris les cheveux, me contractais avant d’exploser dans sa bouche, envoyant trois longs jets de sperme entre ses lèvres. Elle prit mes fesses entre ses mains et plaqua son visage, comme pour tout aspirer, et resta collée à moi une dizaine de secondes, avant que je ne m’effondre sur son lit, abattu.


Quand je relevais la tête, je découvris Marine en train de se lécher les doigts.



Elle haussa les épaules.



Elle réfléchissait.



Et elle posa ma main sur son sein en m’embrassant.



Elle fronça les sourcils en un air de faux reproche puis, après s’être tortillé, elle enleva sa robe. À la fin de l’opération, alors que son collier s’était pris dans la laine, j’avais pu regarder ses deux gros seins se balancer dans leur soutien-gorge à balconnets marron. On aurait dit qu’ils allaient sortir de leur écrin et j’espérais un instant que cela arrive. À ma grande surprise, j’avais pu remarquer un petit bijou qu’elle portait dans le nombril et qui m’excita pour une étrange raison, davantage que de pouvoir enfin la voir presque nue devant moi.



Je l’embrassais et la pelotais du bout des doigts, m’attardant à travers le tissu sur ses tétons, puis prenant un sein dans chaque main et les écrasant l’un contre l’autre. Je faisais ensuite sortir son sein droit et le caressais, tournant autour du téton du bout de l’ongle, m’éloignant, en frottant l’extrémité avec ma paume ouverte sans aller plus loin. Au même moment, je sortais ma langue de la bouche avide de Marine et commençais à l’embrasser dans le cou avant de descendre rapidement vers sa poitrine. Je pris son téton dans ma bouche sans tourner autour, l’aspirais, l’agaçais du bout de la langue, le mordillant légèrement. Marine gémissait de plus en plus fort.



Alors que je laissais ma main gauche et ma bouche s’occuper de son opulente poitrine, je descendais la droite vers sa culotte. De la pointe des ongles, je caressais ses cuisses avant de me rapprocher progressivement de l’ouverture de ses jambes. Marine, de plus en plus excitée, me demanda :



Ce mot dans sa bouche me fit bander instantanément.



Elle bascula la tête en arrière et écarta ses jambes tandis que je positionnais ma tête entre ses cuisses, pétrissant maintenant ses fesses de mes mains. Elle posa ses talons sur le lit et se redressa sur les coudes en me regardant, un demi-sourire sur la bouche et du feu dans les yeux.



Et j’écartais le tissu de sa culotte pour explorer sa fente de la pointe de ma langue, comme pour goûter. Du pouce, je massais les alentours du clitoris, toujours à travers sa culotte, et Marine se mit à trembler légèrement, la chair de poule sur ses cuisses. J’écartais le tissu un peu plus et posais franchement ma langue sur sa chatte. Je commençais à aller et venir verticalement, finissant par un petit coup de langue sur son clito. La respiration de Marine était hachée, saccadée. La sueur collait sa frange sur son front et le rose de ses joues se mariait parfaitement à son regard fiévreux.



Trouvant le moment mal choisi pour lui donner un avis plus précis sur le sujet, je me contentais de continuer avec application de lui brouter la chatte. Je descendais maintenant un peu plus bas, m’approchant de son petit trou. Elle ronronnait de plus belle, murmurant et couinant d’une façon lascive qui contrastait délicieusement avec l’image que j’avais d’elle, studieuse et toujours un peu distante. Aujourd’hui, alors que jamais je n’aurais cru voir ce jour venir, je la tenais au bout de ma langue. Je sentais que nous étions sortis des limites du « cours » qu’elle m’avait demandé, mais l’idée qu’elle insiste pour que je continue. Alors que j’avais enfoncé toute ma langue dans sa petite chatte chaude, elle se cabra soudain et partit dans un orgasme long agité de tremblements irréguliers. Comme foudroyée, elle haletait bruyamment et finit par laisser échapper un son étouffé entre ses dents serrées avant de retomber sur le lit.



Elle s’était redressée et me caressait franchement la queue à travers mon jean tout en m’embrassant.



Je passais dans son dos et pris ses gros seins dans mes mains en l’embrassant dans le cou. Elle se cambra, amenant ses seins à la rencontre de mes mains, auxquelles elle joignit les siennes. Je sentais ses fesses se frotter contre ma queue tendue. Je dégrafais son soutien-gorge et passais mes mains sur ses seins pour le lui enlever. Sentir ses deux gros nichons dans ma main et ma queue sur son cul me procura une sensation de puissance inouïe à laquelle je me promis de réfléchir plus tard. Pour l’heure, je poussais son dos brusquement et de mon autre main, j’attirais ses fesses contre ma queue. Elle tourna sa tête pour me regarder, un sourire lascif sur les lèvres. En enlevant mon pantalon, je voyais ses gros seins se balancer au rythme de ses mouvements.



Je plaquais ma queue contre sa raie.



Elle se cambra.



Elle ondulait maintenant de façon circulaire.



Je me mis derrière elle à genoux et baissais sa culotte sur ses genoux. Ensuite, je recommençais à la lécher.



Je la pistonnais du bout de l’index en regardant son petit trou. C’était trop, il fallait que j’essaye, mais je ne savais pas si elle accepterait. Pour tâter le terrain, je me mis à la lécher à cet endroit. Ça lui plut tout de suite.



Je poussais plus loin en approchant mon doigt et en commençant très doucement à l’introduire dans son cul, tandis que je lui caressais le clitoris de mon autre main. Elle n’émit aucune protestation et j’enfonçais mon majeur entre ses fesses au même moment où mon pouce pénétrait sa chatte. Elle se tendit et gémit.



Je la pistonnais de plus belle, introduisant un second doigt. Elle allait à la rencontre de mes caresses, s’empalant la chatte et le cul sur mes mains.



Je me redressais derrière elle et positionnais mon gland entre ses fesses. Son anus résistait à la poussée et faisait ployer ma queue pourtant tendue à l’extrême.



Elle passa une main entre ses jambes. Je sentis ses doigts effleurer mes bourses tendit qu’elle m’empoignait la bite et me guidait.



Refusant de passer à côté de cette occasion, je tentais de la persuader en y allant par petits à-coups, l’encourageant à se caresser la chatte en même temps, ce qu’elle fit aussitôt. Pendant un moment, j’eus l’impression que nous n’étions plus concentrés sur la même chose. Puis mon gland passa la barrière et le bras de Marine s’arrêta. Elle gémit longuement. Je poussais un peu et l’intensité de gémissement augmenta. Je me reculais puis avançais de nouveau.



Et je commençais à la sodomiser, alternant des mouvements rapides et d’autres plus lents, plus amples. Marine était comme hors d’elle-même, gémissant et ronronnant, haletante, désormais en nage. Elle murmurait comme pour elle-même.



Et je l’enculais avec un plaisir infini, m’enfonçant dans ses reins tandis que je la voyais dans la glace, ses gros seins ballotter, les yeux fermés, concentrée sur cette queue qui lui ramonait les fesses, la main qui courrait sur sa petite chatte. Peu de temps après, je sentis que j’allais venir et me retirais pour éclater sur son cul, envoyant de longues giclées de sperme sur sa peau blanche. Je me laissais tomber sous elle, ma tête juste sous ses seins qui me fouettaient le visage. Je sortis ma langue complètement et me mis à les lécher paresseusement, laissant leur mouvement décider du mien. Une minute après, sa main s’arrêta de caresser sa chatte et elle jouit, le cul en l’air couvert de sperme et la culotte sur les genoux. Sa voix s’étouffait dans les draps que son autre main tenait crispée.



La douche était petite, ce qui m’allait très bien. J’embrassais Marine tandis qu’elle me branlait la queue doucement. Je pris du gel douche dans le creux de ma main et commençais à la laver. Je la tournais et lui étalais du savon sur les seins.