Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12583Fiche technique22634 caractères22634
Temps de lecture estimé : 13 mn
22/05/08
Résumé:  Sophie est une soubrette dévouée ... et curieuse.
Critères:  ff fplusag jeunes soubrette massage cunnilingu init -initff
Auteur : Bao      Envoi mini-message

Série : Une soubrette toute dévouée

Chapitre 01
Sophie apprend à satisfaire

Sophie venait d’arriver dans la gare de cette banlieue verte et riche, se dirigeant à petits pas vers la sortie, ses jambes légères gainées dans ses plus beaux bas, sa taille serrée dans son imperméable brun, un chapeau recouvrant ses cheveux roux et ses yeux bleu profond.


C’était la première fois qu’elle revoyait la campagne depuis qu’elle était partie en ville, à quatorze ans, pour être placée dans la maison de Madame la Baronne. C’était une des meilleures familles du lieu, menant grand train dans leur hôtel, avec une importante domesticité, mais une discipline de fer, surtout pour les jeunes bonnes comme elle. Car Madame la Baronne sélectionnait elle-même ses pupilles et s’assurait à la fois de la qualité de leur formation et du sérieux de leur morale. Selon elle, il fallait les deux pour avoir une domestique compétente et fiable.


Sophie avait donc appris soigneusement son métier, d’abord faisant les lits, les planchers et astiquant les cuivres, grimpant peu à peu jusqu’à devenir la bonne attitrée de Madame la Baronne, chargée de son service exclusif.


À l’office, malgré la sévérité de la maison, elle avait quand même découvert les manières lestes de la ville et les mœurs relâchées de la domesticité. Une classe sociale à part, faite d’hommes et de femmes jeunes sur qui certains airs de la haute avaient déteint, mais qui vivaient le plus souvent dans une instabilité de Bohémiens.


Mais après quatre ans, Madame la Baronne était décédée subitement d’un infarctus. Il apparut vite que son fils et sa belle-fille, à qui revenaient l’hôtel familial, n’avaient nul besoin des services de Sophie. Mais Monsieur le Baron la recommanda à un de ses amis, le Capitaine, dont la femme cherchait justement une jeune domestique bien formée pour son service et sa compagnie.



-oOo-



Et la voilà quelques jours plus tard, avec son baluchon, sur le quai de l’omnibus à attendre qu’on la conduise vers sa nouvelle maison. Elle voit s’avancer vers elle un homme habillé en chauffeur, guêtres noires et casquette, la quarantaine solide, le visage carré et hâlé, aux traits forts. Il la regarde de haut en bas en ayant l’air de ne pas penser grand-chose en s’approchant d’elle.



Et sans même attendre son balbutiement de réponse, il se saisit de son sac et lui montre de la main une Hispano-Suiza traction avant noire, dont il ouvre le coffre, avant de grogner :



Sophie ne se le fait pas dire, serre son sac de tapisserie sur ses genoux et n’ose même pas appuyer son dos sur le siège.


Sa nouvelle maison est une belle villa dans un vaste jardin, au train de vie bien plus confortable et détendu que l’ancien austère hôtel particulier dans lequel vivait Sophie. Le personnel, bien que plus réduit, est plus que suffisant pour servir le Capitaine et sa femme.


Il y a le chauffeur, André, qui fait aussi l’homme à tout faire et supervise le domaine ; un majordome, M. Pierre, qui règne quant à lui sur l’intérieur de la maison et qui sert de valet au Capitaine ; une cuisinière taciturne, la vieille Marie, qui était déjà au service des parents du Capitaine ; une autre bonne, Suzy, la préférée de Sophie, une solide fille à la voix forte et aux manières sans ambages.


Sophie réalise après quelques jours que son travail est facile. Le Capitaine et Madame ne sont pas des maîtres trop exigeants. Madame est très gentille avec elle, la traitant plus comme une jeune amie que comme une domestique, ce qui achève de la détendre et l’attache rapidement à Madame Arlette. Celle-ci est nettement plus jeune que le Capitaine et Suzy n’a pas manqué de lui expliquer qu’il s’agit de sa seconde femme, et qu’il ne l’a pas exactement rencontrée au bal des Petits Lits Blancs.


Comme ils ne sont pas tout à fait du même monde, ils vivent dans un relatif isolement des amis du Capitaine. Mais ils reçoivent quand même et sortent pas mal dans le demi-monde. Seulement, quand le capitaine va visiter ses amis et parents à particule, comme par exemple le fils de Madame la Baronne dont il est un des amis d’enfance, Madame Arlette n’accompagne pas.


Et qu’elle ait été danseuse, vendeuse de gants ou bonne amie, Madame Arlette reste une femme stylée et très féminine, aux cheveux blonds fins et au corps de garçonne adolescente.


Au contraire de l’autre bonne Suzy, Sophie connaît les manières du monde, comment habiller, coiffer, nettoyer les précieuses tenues de Madame Arlette et même nombre de soins de beauté. Elle sait même masser, une nouveauté médicale que Madame la Baronne lui avait fait apprendre pour soigner ses rhumatismes et Madame Arlette est ravie de pouvoir également profiter de ses dons. Ainsi, du thé matinal jusqu’au brossage des cheveux avant le coucher, Sophie passe la majeure partie de son temps dans les appartements de Madame Arlette et à l’office. Ses premières semaines se passent donc dans le calme et la satisfaction.


Elle s’entend bien avec Suzy, dont la voix forte, les remarques lestes et les manières de paysanne lui rappellent la ferme de son enfance. La cuisinière ne dit jamais grand-chose, s’affaire devant ses fourneaux et se retire tôt. André le chauffeur ne se mélange pas non plus. Il se contente de venir avaler ses repas, de lire son journal en silence ou de boire une goutte auprès du feu. Quant au majordome, il ne lui fait pas bonne impression, c’est un petit homme déjà âgé, et qui, s’il semble affairé en permanence, semble pourtant ne pas faire grand-chose.


Depuis dix jours, le Capitaine est parti rendre visite à sa famille et, à la villa, l’ambiance est encore plus détendue qu’à l’habitude. Madame Arlette dort tard et sort beaucoup. Quand elle se réveille de sa sieste, en milieu d’après-midi, Sophie lui apporte une collation et l’aide à sa toilette. Madame Arlette aime aussi de plus en plus que Sophie la masse tous les jours. Elle dit que cela la régénère avant ses soirées.


La veille a été l’occasion d’un moment pénible. Madame Arlette, qui s’est départie exceptionnellement de son calme et de son dédain des choses domestiques, a renvoyé le majordome. Sophie étant en commissions, elle était sortie de sa chambre pour chercher quelque chose dans le bureau du Capitaine, et elle y avait surpris le majordome, confortablement endormi dans un fauteuil, une carafe de cognac ouverte devant lui, un cigare fumant dans le cendrier. Un bref coup de fil au Capitaine pour faire approuver sa décision avait suffi. Le soir même, le majordome partait avec ses valises sous le bras. Madame Arlette était ensuite sortie très tard et Sophie avait attendu jusqu’à quatre heures du matin pour l’aider à se déshabiller.


Mais aujourd’hui est plus paisible. À l’office, la disparition du majordome n’a provoqué aucun chagrin parmi la domesticité et un nouveau doit déjà arriver dès la semaine prochaine. La matinée s’est déroulée calmement et, à quatorze heures, Madame Arlette sonne pour son massage. Sophie se dépêche vers sa chambre, où l’attend Madame, vêtue d’un peignoir en soie et allongée sur sa méridienne, l’air nerveux.



Elle vient de retrouver dans ses effets une bouteille d’huile parfumée que le médecin de Madame la Baronne avait recommandé pour ses massages et qu’elle avait emportée avec elle.



Madame Arlette semble immédiatement réjouie à cette nouvelle idée.



Elle passe un nez appréciateur sur le goulot et sourit.



Et Madame, rassérénée, se retourne paresseusement sur sa méridienne pour s’allonger confortablement sur de gros coussins, recouverte de son fin peignoir transparent.



La voix ennuyée de Madame Arlette sort du coussin :



Madame Arlette garde le silence un instant à l’idée de se déshabiller ainsi, mais que diable ! Sophie la voit déjà chaque jour à toutes les étapes de sa toilette et dans toute son intimité. Si elle lui brosse les cheveux et lui agrafe sa robe, elle peut bien mettre ses mains sur son dos… Et cela fait dix jours maintenant que le Capitaine est parti et que personne ne l’a touchée, sauf les mains de Sophie sur ses épaules, l’apaisant légèrement. Pourquoi se priver de cette détente pour une question de peignoir ?



Sophie dégage donc délicatement les bras de Madame Arlette de son peignoir et le fait glisser sur ses épaules vers le bas. Madame Arlette ne porte rien en-dessous. Sophie est un peu intimidée, elle a déjà vu Madame Arlette nue et son corps fin et blanc à plusieurs reprises. Il n’y a pas de vie privée qui tienne face à un domestique, mais c’est la première fois qu’elle fait glisser ses mains le long de la courbure de sa nuque et de ses vertèbres, aidée par le glissement doux de la soie en une caresse qui fait atterrir le morceau d’étoffe au creux des reins de Madame Arlette.


Et, ayant versé sur ses mains de l’huile de senteur, Sophie commence à masser Madame Arlette. Elle commence par le haut des épaules, le cou et fait lentement son chemin vers ses vertèbres, ne bougeant que lorsque chaque nœud a été dénoué, aplani et que la peau est détendue et se donne sous ses mains. Aidée par l’onctuosité de l’huile, elle fait des gestes plus amples qu’à l’habitude, quoique sa pression soit suffisamment forte pour pétrir en profondeur le dos de Madame Arlette.


Et cette dernière apprécie énormément cette nouvelle expérience. Cette pression, parcourant son dos dans un mouvement lisse et souple, lui fait fermer les yeux. Son attention se concentre uniquement sur le prochain endroit où vont se poser les mains de Sophie et cette sensation, cette impatience, sont très agréables. À plusieurs reprises, elle enjoint Sophie de ne pas arrêter et repart dans sa rêverie sensuelle.


Après quelques minutes d’échauffement où elle reste concentrée, Sophie aussi se prend peu à peu au jeu. Ses paumes glissent si facilement et le corps de Madame Arlette est si doux, à peine soulevé par le rythme de sa respiration, que Sophie perd son appréhension et commence ainsi à véritablement parcourir ce corps qui est allongé sous elle.


Elle se laisse emporter par le rythme de ses caresses et ses mouvements deviennent de plus en plus amples. Si amples même qu’ils l’emmènent de plus en plus bas, suivant sans scrupule toute cette courbe, les paumes de ses mains atterrissant lourdement quand elles arrivent dans le creux et, incapables de s’arrêter, repartant ensuite légèrement dans l’autre sens, effleurant la cambrure de son arrière-train. Le peignoir a glissé encore plus bas, mais ni Madame ni Sophie ne l’ont remarqué.


Cette dernière caresse est électrique pour Madame Arlette, qui sent désormais ses fesses brûler de l’envie d’être elles aussi caressées comme l’ont été ses épaules et son dos. Elle murmure un « Encore, Sophie » qui rassure sa bonne et l’encourage à passer ses mains sur les hanches et à repartir à la découverte des rondeurs de Madame Arlette. Et Sophie leur prodigue le même soin qu’à son dos, de longs passages lents et légers pour les habituer à sa touche, une pression de plus en plus forte pour stimuler la zone dans son entier et enfin un pétrissage amoureux des chairs afin de les faire exhaler toute leur volupté.


Sophie est toute à son ouvrage et Madame Arlette sent une chaleur se répandre dans son corps, partant de l’arrière de son corps pour irradier vers son bas-ventre et commençant à venir tarauder le bout de ses seins qui reposent à cru sur le velours des coussins dont le frottement commence à singulièrement la stimuler.


Elle décide donc qu’il est injuste que l’arrière de son corps reçoive autant d’attention et que l’avant en soit privé. Sophie pétrit son derrière de ses mains fortes et repart sur tout son dos d’une longue caresse qui l’électrise plus qu’elle ne la détend. Elle se résout donc à dire, d’un murmure impérieux :



Simultanément, elle se retourne, emportant d’une main le tissu de son peignoir qu’elle laisse retomber sur son bas-ventre, mais présentant à Sophie, allongée au bord de sa méridienne, le spectacle de ses seins blancs haut dressés, à la forme pleine et aux tétons sombres et bien raides, légèrement penchés de part et d’autre de sa poitrine. Madame Arlette ferme les yeux en faisant un petit signe du menton qui signifie à Sophie de ne pas perdre de temps.


Et celle-ci, fascinée par cette nudité, commence donc à nouveau à serrer et caresser les épaules de Madame, passant ensuite légèrement à son décolleté, puis à ses côtes, contournant mais n’osant pas encore toucher cette poitrine dont elle ne peut toutefois détourner les yeux. Ses seins à elle sont plus lourds, leurs aréoles à peine visibles.


Sous le coup de cette tendre frustration de sentir ses seins poindre fièrement à l’air et d’avoir ces mains si proches se refuser à les toucher, Madame Arlette est poussée à la fois vers la fureur et la pâmoison. Instinctivement, pour forcer Sophie à s’en emparer, elle se cambre lorsque cette dernière est occupée avec ses pouces à masser la délicate région du buste située juste en-dessous du pli des seins. Avec le mouvement, les pouces de Sophie glissent et se retrouvent mystérieusement sur le sommet des tétons de Madame Arlette. Celle-ci frotte alors ses seins aux pouces de Sophie, qui reste un instant immobile, et cette sensation fait gémir Madame Arlette.


Entendant cette plainte langoureuse, Sophie craint d’avoir blessé sa maîtresse et relève légèrement ses mains, mais la plainte tourne alors en un cri de frustration que Madame Arlette ne peut contenir et Sophie, qui ne veut surtout pas fâcher sa maîtresse, replace alors ses doigts autour des tétons et commence d’un air concentré à les caresser délicatement, testant leur raideur et leur élasticité, ses paumes reposant délicatement sur le gonflement des seins. Madame Arlette garde ses épaules cambrées pour s’offrir encore mieux aux caresses de sa domestique et se rend à peine compte qu’une de ses mains se glisse maintenant sous le bout d’étoffe qui cache sa fente et qu’un de ses doigts commence à s’infiltrer nonchalamment entre ses lèvres, cherchant son bouton.


D’être ainsi stimulée si intensément en trois points à la fois continue d’augmenter son plaisir. Et, toute occupée qu’elle est à lui pétrir la poitrine, Sophie n’a encore rien remarqué. Mais Madame Arlette est devenue complètement prisonnière de ses sens. Toutes ces mains, cela est fort agréable, mais ce qu’elle veut maintenant, c’est de sentir une langue parcourir son corps mince et s’arrêter aux meilleurs endroits.


La main qui n’est pas encore occupée à caresser le bouton s’enroule ainsi autour du cou de Sophie, qu’elle attire vers ses seins en murmurant : « Lèche-les ».


Sophie ne se fait pas prier. Son excitation est presque aussi grande que celle de sa maîtresse, la sensation de ce corps qui s’abandonne sous ses mains et la vue de cette poitrine tremblante de désir devant elle, l’ont juste déchaînée. Elle ouvre ainsi la bouche, laissant passer entre ses lèvres la pointe des tétons de Madame autour desquels sa langue va s’attarder, les léchant doucement d’abord, les agaçant ensuite de petits coups secs d’une langue bien dressée, s’attardant autour de la courbe de sa poitrine reposant sur son torse, s’enhardissant même à les mordiller, sentant aux gémissements de Madame que celle-ci en veut encore plus. Avec sa tête occupée à satisfaire les seins de Madame, ses yeux ne peuvent maintenant manquer de remarquer que cette dernière se caresse fébrilement le pubis et plus bas encore.


D’une curiosité naturelle, Sophie tend le cou pour mieux voir. Une curiosité qui n’échappe pas à Madame Arlette qui, à ce moment proche de la délivrance, pourrait accueillir une langue sur son entrejambe. Elle remet les mains de Sophie sur chacun de ses seins pour que celles-ci reprennent leurs caresses, et se redresse sur sa méridienne pour faire face à Sophie agenouillée, ses jambes de part et d’autre de sa bonne. Sophie a ainsi en face d’elle Madame Arlette, nue, ravagée de plaisir, qui, de ses mains, guide sa bouche vers son triangle, la pressant de sa voix.



Et Sophie se retrouve ainsi la tête pressée contre le triangle de Madame Arlette, sa chatte fine, à peine recouverte de poils. La langue de Sophie commence lentement à découvrir ce nouveau territoire. C’est une sensation similaire à passer sa langue sur ses seins, se dit Sophie, lorsqu’elle sent deux plis s’ouvrir. Sa langue arrive dans une zone chaude et moite plus profonde qu’elle parcourt sur toute sa longueur et elle sent Madame Arlette se raidir et s’ouvrir encore plus avec un gémissement profond.


Un peu étonnée de ses découvertes, Sophie continue néanmoins à lécher cette région humide, encouragée par les râles de Madame Arlette. En remontant sa langue quelque peu, elle sent subitement une espèce de petite montagne triangulaire. Cette caresse pousse encore Madame Arlette un peu plus loin. Celle-ci attrape de ses deux mains la nuque de Sophie, presse ainsi sa bouche sur cette petite montagne en criant « N’arrête pas ! »


Sophie, bloquée, ne peut que remuer sa langue autour de ce bouton, qui gonfle de façon phénoménale, ayant vaguement l’impression de lécher sa maîtresse comme le ferait un chien. Mais Madame Arlette se raidit alors dans un spasme, reste un éclair durant immobile, avant de partir dans un long râle, de lâcher la nuque de Sophie et de retomber languissamment en arrière.


Après dix jours et plus d’abstinence et avec une bouche pareille pour agacer son corps selon ses envies, Madame Arlette vient de connaître un orgasme fulgurant. Plusieurs instants s’écoulent, durant lesquels elle reprend son souffle et évalue la situation. Elle rouvre les yeux et Sophie est encore agenouillée devant elle à la fixer d’une façon étonnée.



Sophie, à nouveau timide et commençant à réaliser, acquiesce. Sa patronne fait courir sa main le long de son bras, prolongeant ainsi leur bref instant d’intimité.



Elle tient le menton de la petite de la main, et son autre main caresse doucement la poitrine de Sophie sous sa robe et son tablier. Ce contact inopiné éveille le contact de ses propres sens et Sophie comprend instinctivement que pour bénéficier elle aussi de ces caresses, il faut être discrète.



Elle se relève instinctivement en lissant son tablier. Elle se met à fermer la bouteille d’huile et à s’affairer dans la chambre, avant de se décider à parler.



Madame Arlette, qui avait gardé son regard porté sur elle, a un sourire et se replonge dans les coussins, l’air très satisfait, et en se recouvrant du peignoir.