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n° 12592Fiche technique21212 caractères21212
Temps de lecture estimé : 13 mn
26/05/08
Résumé:  J'avais commencé ce récit sur un forum il y a un an et demi, en partenariat avec une amie. J'ai aujourd'hui décidé de le terminer. Qu'elle en soit ici remerciée.
Critères:  f fh jeunes inconnu vacances plage nudisme fmast pénétratio -occasion -plage
Auteur : Poupoule            Envoi mini-message
Clara à la plage

Clara descendait vers la plage tranquillement. Elle n’était pas pressée, car l’heure tardive faisait que les plagistes étaient plutôt sur le départ : elle pensait donc avoir la plage pour elle toute seule, ou presque. D’un rapide regard, elle s’aperçut qu’effectivement il n’y avait plus grand monde. Elle avisa un coin proche de quelques rochers où personne ne pourrait la voir. En effet, en chemin, elle s’était rendu compte qu’elle n’avait pas pris de maillot de bain avec elle… quelle étourdie ! Peu importait, de toute façon elle avait absolument envie de se baigner. Elle fut rapidement arrivée à cet endroit hors des regards indiscrets. La mer était haute, c’était parfait : elle n’aurait pas besoin de marcher trop longtemps pour y arriver.


Après avoir lancé un rapide regard autour d’elle pour être sûre qu’elle était bien tranquille, elle retira son débardeur, puis fit glisser son minishort le long de ses jambes. Elle offrait enfin sa nudité à l’air ambiant : comme c’était agréable ! Depuis dix jours qu’elle était en vacances avec ses parents, elle avait pris l’habitude de ne pas porter de sous-vêtements. Elle se sentait ainsi nettement plus à l’aise.


Elle se dirigea alors en direction de l’eau, avec la ferme intention de faire quelques brasses pour terminer en beauté cette magnifique journée de farniente. Elle pouvait maintenant sentir la caresse de l’eau sur ses pieds et entendre les vagues faire tinter la gourmette accrochée à sa cheville. La température était suffisamment élevée pour rentrer rapidement dans la mer. En quelques secondes, elle avait de l’eau jusqu’aux épaules, et elle se mit donc à nager. La sensation que la brasse procurait à son minou quand elle écartait les jambes pour avancer était vraiment délicieuse. Quelle bonne idée elle avait eu d’oublier son maillot, finalement !


Après avoir nagé un peu sous l’eau, elle reprit la direction du bord et s’allongea, non loin des premières vagues, afin de profiter des derniers rayons du soleil. La petite brise qui soufflait sur cette plage eut pour effet de la faire frissonner, et de faire pointer fièrement ses jeunes seins vers le ciel. La mer lui léchait les pieds. Parfaitement apaisée, elle se laissa alors glisser vers une légère somnolence, les jambes légèrement écartées dans une volonté d’offrande de son intimité à l’astre solaire.


Petit à petit, sans qu’elle s’en aperçoive, l’eau remontait le long de ses jambes. Finalement, elle fut tirée de sa légère torpeur par une vague un peu plus hardie que les autres, qui lui arriva au niveau des fesses et baigna son sexe de la fraîcheur que le soleil lui refusait. Un nouveau frisson parcourut sa colonne vertébrale, mais cette fois elle n’était pas sûre que ce soit dû à la douceur de la brise. Nonchalamment, sa main droite se glissa en direction de son intimité, afin de se procurer le plaisir qui s’imposait petit à petit en elle. Son majeur s’introduisit alors dans sa fente à la recherche de son petit bouton d’amour, ainsi que d’autres internes lui avaient montré au pensionnat de son lycée de bonnes sœurs.


Quel bonheur de se laisser aller ainsi, à l’air libre. Elle pouvait sentir son jus couler le long de ses lèvres, et arriver à la naissance de ses fesses. Son excitation était grandissante. Elle s’arc-bouta en soulevant légèrement ses fesses, afin de permettre aux doigts de sa deuxième main, restée libre jusqu’à présent, de pénétrer encore plus facilement son puits d’amour. Un, puis deux doigts s’engouffrèrent ainsi dans sa caverne. Elle pouvait continuer frénétiquement sa masturbation pour enfin atteindre l’orgasme. Ce fut le cas au bout de quelques secondes tant la tension avait déjà atteint son paroxysme. Elle jouit en lâchant un cri, avant de se laisser tomber au sol, épuisée. Elle sombra alors dans une deuxième torpeur, délivrée…



***




L’après-midi chaude touchait à sa fin. La plage était presque déserte. Mais par précaution Paul se dirigea vers son coin favori, près d’un petit groupe de rochers, où il était sûr d’être à l’abri des regards indiscrets. Il avait quitté ses bottes de motard et remonté son jeans au niveau des mollets afin d’avancer plus facilement dans le sable. Arrivé dans son coin favori, il retira prestement son pantalon et son boxer, et dans un mouvement ample, fit passer sa chemise par le col.


Debout, face à la mer, il s’étira de toutes ses forces, las de cette journée épuisante (il était temps qu’ils réparent cette foutue clim’ !) tout en portant son regard vers l’étendue qui s’offrait à lui. Une légère brise soufflait, lui apportant un peu de fraîcheur. Il se dirigea alors nonchalamment en direction de l’eau. Arrivé au bord, il s’aperçut rapidement qu’elle était plus que bonne, et courut donc à grand fracas avant de plonger dans l’onde…



***




Clara fut tirée de cette langueur par un bruit dans l’eau. Se redressant d’un coup, elle n’eut que le temps d’apercevoir un fessier d’homme sombrer dans une gerbe d’écume. D’un sursaut, son premier réflexe fut de protéger pudiquement sa nudité en se redressant et en ramenant ses jambes à elle. Puis, d’un regard alentour, elle s’assura que personne d’autre n’était dans les parages. Ainsi rassurée, elle s’intéressa à l’homme qui venait de plonger à quelques mètres d’elle. L’avait-il aperçue ? Il était probable que ce n’était pas le cas, car elle se trouvait en léger retrait du chemin qu’il avait dû emprunter pour se rendre du tas d’affaires qu’elle distinguait à une vingtaine de mètres d’elle, jusqu’à l’eau. En outre, un petit rocher l’avait peut-être dissimulée à son regard tant qu’elle était restée allongée.


Quelques instants plus tard, la tête du jeune homme refit surface, et elle put l’observer en train de nager le crawl vers le large, de ce mouvement athlétique qu’ont les hommes quand ils veulent se défouler. Un petit détail ne manqua pas de l’émoustiller : par intermittence, elle pouvait distinguer son fessier rouler dans les vagues provoquées par son crawl. Sa première impression était donc confirmée : il était bien nu !



***




Paul, après avoir crawlé sur quelques mètres en direction du large, se retourna vers le rivage. Quelle ne fut pas sa surprise, en distinguant cette jeune fille, entièrement nue, qu’il n’avait pas aperçue jusqu’à présent ! Passés les premiers instants de stupeur, il se mit à la regarder. Elle le détaillait de la même façon, visiblement davantage intriguée qu’effrayée.


Elle était assise bien droite, légèrement cambrée. Ses longs cheveux bruns tombaient en cascade sur ses épaules. Elle avait croisé ses genoux devant elle et les maintenait avec ses bras, comme si elle désirait cacher sa nudité. Cependant, là d’où il était, il pouvait distinguer son intimité entrouverte, délicatement ourlée d’une légère toison brune, entre ses deux chevilles…


Un sourire se dessina sur les lèvres de Paul…



***




Clara ne savait pas quelle attitude adopter face à la situation alors qu’elle voyait l’homme s’orienter vers le rivage. Manifestement, son intention était de retourner vers ses affaires, il allait donc fatalement passer à côté d’elle. Elle aurait pu se lever et courir vers ses propres vêtements, mais c’était s’exposer entièrement au regard de ce type… et puis elle devait bien s’avouer qu’elle avait une folle envie de le reluquer : au fur et à mesure qu’il s’approchait du bord, le corps révélé par les vagues qui s’offrait à son regard suscitait chez elle un intérêt… certain ! Alors que ses pectoraux ruisselaient d’eau, c’était maintenant au tour de ses abdominaux de sortir de l’onde, et enfin elle put voir son sexe, duquel des gouttes d’eau tombaient pour rejoindre la mer. Il n’était plus qu’à deux ou trois mètres d’elle, et se dirigeait franchement dans sa direction.



***




Il ne savait pas pourquoi, mais il se sentait attiré par cette jeune fille. Enfin si, il savait pourquoi : de traits relativement jeunes, elle avait tout d’une femme désirable, et quelque chose en elle le troublait : sans doute le fait que malgré son jeune âge apparent, elle semblait plus intriguée, voire curieuse, qu’effrayée par son approche, alors que tous les deux offraient l’intégralité de leur corps aux derniers rayons du soleil. Quelque chose en lui le poussait à entamer une conversation avec elle. Toujours souriant, il finit par s’accroupir à côté d’elle, et tout en la dévisageant :



Elle lui répondit d’un hochement de tête, ce qui n’empêcha pas Paul de saisir son regard furtif en direction de son membre. Il fit comme s’il n’avait rien vu, et s’assit à côté d’elle, à même le sable. Pendant quelques minutes, ils n’échangèrent aucune parole, se contentant de fixer l’horizon qui se teintait de rose. Un silence contemplatif s’installait entre eux, uniquement rompu par le bruit de quelques vagues. Puis, alors que le soleil achevait sa course quotidienne et s’apprêtait à disparaître de l’autre côté de la mer, il se décida à entamer la conversation :



Tout en finissant sa phrase, il tourna son visage dans sa direction pour lui adresser un sourire. Elle le dévisagea et le lui rendit.



La confiance s’étant installée entre eux, ils continuèrent de deviser tranquillement, échangeant des paroles ponctuées de temps en temps par quelques rires. Il lui parla un peu de son travail, mais sans vouloir trop rentrer dans les détails, parce ce qu’il s’y emmerdait royalement. Elle lui expliqua qu’elle venait d’avoir les résultats du bac, et que du coup elle avait finalement accepté de partir en vacances avec ses parents pour se faire un break.


Au cours de la discussion, Paul décida de s’allonger sur le côté. Il offrait ainsi son corps dans toute sa nudité à sa voisine, qui en profitait parfois pour le mater. Elle jetait de petits regards en direction de sa verge, mais il fit mine de ne pas s’en apercevoir. Au contraire, il trouvait son petit manège assez amusant, voire touchant. Cette position lui permettait surtout de pouvoir la regarder tout en parlant. Ses jambes étaient toujours pliées vers elle, mais elle s’appuyait en arrière sur ses mains, ce qui dégageait entièrement sa jeune poitrine. Il ne pouvait s’empêcher, quant à lui, de jeter des œillades dans cette direction, mais il faisait bien attention à chaque fois de ne pas se faire repérer. Ses seins sont vraiment magnifiques, songea-t-il. Ils étaient loin d’être imposants, ils étaient même plutôt petits, mais leur forme était tout à fait harmonieuse.



***




Clara se sentait tout à fait détendue. Ce type était loin d’être un gros lourd, et c’était comme si leur nudité avait rompu toute barrière entre eux. D’autres que lui en auraient profité pour faire des blagues vaseuses, ou des sous-entendus douteux. Rien de tout cela avec Paul, elle se sentait en confiance. Cependant, quand il s’était installé sur le côté, l’aspect intime de leur situation lui était revenu à l’esprit. Mais elle n’éprouvait pas de gêne, la situation était tout à fait agréable. Elle ne pouvait cependant s’empêcher de regarder subrepticement le sexe de son interlocuteur. Elle avait l’impression de voir un oiseau lové au fond de son nid, endormi sur deux gros œufs. Quelle belle bite, songea-t-elle.


Puis, après quelques instants, le silence s’installa de nouveau entre eux. Elle jeta un regard à l’horizon :



Il faisait moins chaud tout d’un coup. Elle se mit à frissonner.



***





Elle le dévisageait, sans répondre. Après un moment de doute, il prit ça pour un acquiescement, et se leva pour passer derrière elle. Il s’assit alors dans son dos, écartant les jambes pour lui permettre de se blottir contre son torse. Quelques instants s’écoulèrent, puis elle décida de se reposer contre lui. D’abord hésitant, il finit par l’enlacer dans ses bras, ses mains reposant sur son ventre.


Cette nouvelle position l’excitait, il était bien obligé de se l’avouer. Le bas du dos de Clara frottait contre sa queue, qui commençait à prendre un peu d’ampleur. Merde, j’espère qu’elle ne va pas s’en apercevoir, s’alarma-t-il. Il ne voulait surtout pas qu’elle s’imagine qu’il avait l’intention de profiter de la situation. Non pas qu’il n’y ait pas songé au début, mais une certaine complicité s’était désormais installée entre eux, complicité qu’il avait peur de rompre si elle se rendait compte de son désir.



Elle était en train de faire passer sa main derrière son dos, et… oui, il ne rêvait pas, elle venait de s’emparer de son membre afin de mieux le dégager ! Il était effectivement coincé, ce qui l’empêchait de finir d’émerger, mais là c’était le bouquet ! En quelques secondes, il eut une érection incroyable. Sa queue, d’une dureté hallucinante, pointait fièrement le long de la colonne vertébrale de Clara. Le pire, c’est qu’il ne parvenait pas à contrôler les mouvements par à-coups qui la faisaient sursauter contre la peau du dos de la jeune fille !


Il sentit qu’elle faisait de nouveau insidieusement remonter sa main le long de sa cuisse. Il n’osait plus bouger, à peine s’il respirait. Finalement, la main de Clara se referma sur sa bite et commença un lent mouvement de va-et-vient.



Sa main ne faisait qu’effleurer sa verge, faisant glisser la fine peau le long du membre. Une goutte de rosée perla instantanément au bout de son gland, et se mit à couler tout autour. Bientôt, la main de Clara étala le liquide sur tout son sexe, le lubrifiant ainsi parfaitement. Il ne put s’empêcher de laisser échapper un long gémissement.


Puis, alors qu’elle continuait à le branler, il se décida à lui caresser enfin les seins. Il se rendit compte qu’il en avait envie depuis qu’ils avaient commencé à discuter. Leur pointe était toute durcie : effet de la fraîcheur ou du désir ? Elle laissa également échapper un soupir. Une de ses mains glissa sur son ventre, pour atteindre son pubis. Il s’aperçut que sa toison n’était pas particulièrement fournie alors que ses doigts s’enroulaient autour de ses poils. Puis il continua sa descente, et arriva à la naissance de sa fente. Son bourgeon était déjà sorti de sa corolle, ce qui lui semblait être plutôt un bon signe.


Il commença à le titiller légèrement, tandis que son autre main poursuivait ses caresses sur ses seins. Alors que son majeur glissait vers son antre d’amour, elle se cabra tout d’un coup et lâcha un petit cri, tandis que sa main se contractait sur sa verge. Cette pression eut pour seul effet d’augmenter son désir. Il se frottait désormais du mieux qu’il pouvait contre son dos, tandis que son majeur entrait sans peine dans son vagin. Il s’en dégageait une odeur qui l’excitait davantage encore. Elle-même avait entamé des mouvements de bassin pour se masturber sur son doigt.


C’est alors qu’il porta les mains sur ses hanches et la souleva délicatement. Comprenant ce qu’il voulait faire, elle l’aida avec ses jambes. Sa queue, fièrement dressée vers le ciel, ne bougeait pas d’un iota, raide comme un pieu. Il la fit alors redescendre sur lui. La pénétration se fit sans aucune difficulté tellement ils étaient excités tous les deux. Elle commença à se soulever et à redescendre. Comme elle avait visiblement du mal à trouver ses marques, il l’accompagna avec ses bras, la soutenant au niveau des hanches. Mais après quelques allées et venues, elle fut tout à fait à l’aise, et il put retourner s’occuper de son clitoris. Dès que son index fut de retour sur cette zone sensible, elle se mit de nouveau à gémir.



***




Clara se sentait sur le point de jouir. Elle ouvrit grand les yeux et son regard put profiter de la magie du spectacle qui s’offrait à elle : le ciel et les quelques nuages de chaleur épars se teintaient de toutes les nuances allant du mauve à l’orangé. Elle était au paradis, assurément.


Elle eut alors envie de changer de position pour profiter davantage du panorama. Elle se redressa, jetant un œil en souriant à son amant qui semblait se demander ce qui se passait. Elle avança d’un pas, s’agenouilla, puis se mit à quatre pattes.



L’impudeur de sa position et la crudité de ses paroles, tout en la surprenant elle-même, contribuèrent à faire monter son excitation d’un cran. Elle entendit Paul se lever, puis s’agenouiller derrière elle. Elle sentit la peau de sa main au creux de ses fesses, puis sa bite peser sur son cul.


Les doigts de Paul étaient en train de la fouiller, et elle adorait ça. Finalement, ils trouvèrent ce qu’ils cherchaient, et la bite de Paul suivit rapidement, d’un seul élan. Elle se sentit remplie à nouveau, et la violence du plaisir lui arracha un cri de jouissance. Puis Paul reprit son mouvement de va-et-vient, d’abord très rapidement. Petit à petit, il se calma, et elle s’aperçut qu’il s’était calé sur le rythme des vagues. En même temps, ses mains se tenaient de chaque côté de ses fesses, les écartant autant qu’il était possible. Elle ne put s’empêcher d’imaginer l’excitation de Paul à la vue de son anus offert à son regard. Il lui semblait qu’elle voyait à travers ses yeux. À cette pensée, elle sentit que la vague de son orgasme allait déferler en elle.



***




Paul essayait de se retenir au maximum, mais la vue qui s’offrait à lui n’était pas faite pour l’aider : il tenait dans chacune de ses mains un des globes fessiers de Clara, ce qui mettait complètement en évidence la rondelle plus foncée de son petit trou. À cela s’ajoutait la vision de son membre qui entrait et sortait de la chatte de sa partenaire. Soudain, alors qu’il venait d’aller au plus profond d’elle, il sentit les muscles de son vagin se resserrer autour de sa queue comme si elle voulait le retenir, en même temps qu’un sourd gémissement qui se muait progressivement en un cri de libération surgissait de la bouche de Clara. C’était trop pour lui. Il se retira une dernière fois, pour revenir d’un coup sec se loger au creux de l’intimité de cette superbe fille y déposer sa jouissance. Alors qu’un violent frisson se propageait tout du long de sa colonne vertébrale vers ses aisselles, son anus, et ses couilles, il sentit sa verge se tendre et sa semence fuser dans un jet qui parut durer une éternité.