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n° 12606Fiche technique9022 caractères9022
Temps de lecture estimé : 6 mn
01/06/08
Résumé:  Ils s'amusent comme des petits fous...
Critères:  ffh campagne noculotte fellation échange humour
Auteur : Alaink            Envoi mini-message
Mobil-home

C’est le printemps. Maurice a invité quelques amis pour un repas en plein-air dans un camping vallonné où il loue un mobil-home à l’année.

Le repas se termine autour de la table de jardin. La parcelle de Maurice est grande et surtout calme, située à une extrémité du terrain et le chemin qui y mène se termine, quelques mètres plus loin, à la rivière.


Quelques arbres apportent un peu d’ombre, ombre bienvenue car le soleil s’est levé et il commence à faire chaud. Monique a d’ailleurs enlevé son gilet. Son vêtement n’a pas de manches et il est en tissu très léger, très fin mais malgré tout opaque. Et ce n’est que quand elle marche ou bouge qu’un œil attentif peut remarquer au ballottement de ses seins qu’elle ne porte pas de soutien-gorge.


Andrée, l’épouse de Maurice, apporte des cerises et une grande casserole d’eau pour les laver. Chacun plonge ses cerises dans l’eau, ce qui est censé les nettoyer. Par jeu, Monique, dont les doigts sont mouillés, envoie quelques gouttes d’eau à Maurice, assis face à elle. Il plonge à son tour les doigts dans l’eau et les secoue vers Monique. Elle réplique en plongeant sa main dans la casserole et lui envoie tout ce que le creux de sa paume peut contenir.



Et en même temps, il saisit son verre, le plonge dans l’eau et lance le contenu sur Monique ! Elle esquive :



Et elle tend la main vers la casserole pour se venger mais Maurice a été plus rapide qu’elle. Il saisit la casserole par la queue et envoie toute l’eau sur Monique qui ne peut pas esquiver cette fois ! Elle est trempée. Son petit haut bien opaque est devenu à la fois transparent et moulant.



Elle essaie de s’essuyer avec des essuie-tout mais le résultat est encore pire car le tissu lui colle maintenant partout à la peau et ses seins sont bien visibles. Andrée lui propose de venir dans le mobil-home pour se changer. Arrivée sous l’auvent, Monique passe son haut mouillé par-dessus la tête et Andrée lui dit de lui donner la jupe aussi. Elle va dans le salon du mobil-home, ouvre la grande baie et accroche les deux vêtements avec des pinces à une cordelette.



Et elle ajoute qu’elle va profiter qu’elle est là pour faire la vaisselle. Monique lui propose de l’aider si elle peut lui prêter une blouse car pour l’instant, elle est en slip !



Elle enfile de beaux gants de caoutchouc rose et la vaisselle commence sous l’auvent, Monique lave et rince, Andrée essuie et range. Elles entendent à un moment Maurice qui crie qu’ils vont faire un tour au bout de la rivière.


Les deux femmes papotent tout en se livrant à leur tâche domestique quand Maurice pousse la porte de toile de l’auvent.



Tout en parlant, il a entendu un bruit de vaisselle sur sa droite et il voit Monique de dos, devant l’évier.



Il s’approche et lui demande en riant si elle n’a pas trop chaud.



Et tout en disant, il remonte les mains sur les côtés, les passe devant et saisit les seins de Monique à pleines mains.



Et si elle n’a pas arrêté de laver plats et assiettes, Maurice n’a pas arrêté non plus de lui malaxer les seins. Puis il descend les mains et passe le bout des doigts dans le slip.



Et mettant les deux mains, il descend d’un seul coup le slip de Monique et lui caresse tantôt le sexe tantôt les fesses.



Il ne lui en faut pas plus, en effet, pour finir le lavage des quelques assiettes. Ceci fait, elle enlève son tablier, ses gants roses, se dégage de son slip, attrape Maurice aux épaules.



Et ce disant, elle le pousse dans le mobil-home ; il essaie bien de se défendre mollement mais il rit tellement et Monique est si excitée ! Elle le pousse en arrière presque violemment. Il manque de tomber en montant en arrière les deux marches d’entrée, elle continue de le pousser vers la chambre et d’un dernier geste, le fait tomber en arrière sur le lit.


Il a juste les pieds qui pendent… Elle se jette littéralement sur lui, lui arrache presque la chemise plus qu’elle ne la déboutonne, défait la ceinture du pantalon, la fermeture à glissière et d’un geste rageur tire en même temps pantalon et slip. Maurice est nu, allongé sur le dos. Il est agité de soubresauts tellement il rit. Andrée, qui a assisté à la scène rit aussi de bon cœur.


Monique attrape le sexe de Maurice.



Et tout en parlant, elle lui malaxe les couilles, lui tord le pénis.



Monique se calme un peu. Elle joue maintenant avec le sexe de Maurice et commence à le masturber doucement, découvrant et cachant le gland régulièrement. Il commence à bander. Sentant cela sous ses doigts, Monique s’agenouille au pied du lit et met le sexe dans sa bouche. Elle l’enveloppe avec sa langue et le fait encore grossir. Soudain elle arrête, se relève, monte sur le lit et se met à califourchon sur Maurice. Elle est assise sur lui, le regarde avec des yeux brillants et dit à Andrée :



Andrée acquiesce. Monique se relève un peu, recule, et fait pénétrer en elle le phallus de Maurice. Elle reste ainsi un long moment, savourant le plaisir de sentir en elle ce sexe chaud. Elle commence de petites contractions du vagin et sent le sexe réagir.


Andrée regarde et subitement, elle enlève ses vêtements, se met entièrement nue et va s’asseoir sur son homme, le sexe ouvert sur la bouche de Maurice. Elle sent la langue de Maurice qui lui lèche les lèvres. Elle tend les bras, touche les seins de Monique et les caresse. Monique en fait autant. Elles s’excitent mutuellement, se faisant durcir les tétons.


Puis, sans se parler, elles quittent les seins de l’autre, se passent les bras autour du cou, forment un pont au-dessus de Maurice et leurs bouches se trouvent. Timidement d’abord, presque en camarades, puis de plus en plus amoureusement au fur et à mesure que leurs langues se mêlent.


Monique accentue les contractions de son vagin et elle sent que le sexe emprisonné va bientôt exploser. La langue de Maurice titille de plus en plus le clitoris d’Andrée et à quelques secondes d’intervalle, les trois corps, ivres d’amour, laissent échapper qui un petit cri, qui un râle. Leur équilibre dure encore un peu et ils finissent par s’écrouler côte à côte.


Ils ne disent rien. Monique joue machinalement avec le sexe mou de Maurice. Andrée a un bras autour du cou de Monique et lui tient un sein. Ils restent ainsi plusieurs minutes. C’est Andrée qui rompt le silence :