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n° 12608Fiche technique22053 caractères22053
Temps de lecture estimé : 13 mn
01/06/08
Résumé:  Hélia se réveille dans un champ, sa robe déchirée. Elle rejoint une ferme où elle va rencontrer son bel inconnu bien énigmatique.
Critères:  fh hplusag inconnu bizarre campagne photofilm cunnilingu pénétratio policier -policier -hplusag
Auteur : Nephthis      
Hélia

Hélia



Hélia était couchée dans l’herbe, au pied d’un immense mur de pierres. Elle était allongée sur le côté, la tête reposant sur ses bras, ses longs cheveux noirs étalés sur le haut de son corps formaient une cape et ses longues jambes étaient repliées comme pour protéger son intimité. Ses vêtements déchirés ne cachaient pas grand-chose de son corps et entre les lambeaux de sa robe, il pouvait voir sa peau blanche et laiteuse brillante de l’humidité du petit matin.


Hélia sentait le froid la mordre mais n’avait pas la force de bouger, comme engourdie, elle ouvrit d’abord les yeux. Ses grands yeux verts en amandes, si félins d’habitude, semblaient recouverts d’un voile de brume. Elle leva doucement la tête, prit appui sur un bras et se souleva pour s’asseoir. Ses cheveux qui encadraient maintenant son beau visage ne cachaient plus rien du décolleté béant de sa robe et de la pâleur de ses seins ronds et fermes dont le froid faisait dresser les pointes.


Elle frissonna. Les gouttes de rosée déposées par l’aube sur son corps se mirent à former des tas de petites rivières courant sur sa peau. La jeune fille tenta de se couvrir avec les morceaux de sa robe mais sans succès alors elle remonta ses genoux contre sa poitrine et les enserra de ses bras.


Elle était fatiguée, comme vidée de toute énergie et la tête posée sur ses genoux, elle se mit à pleurer. Ces larmes sur ses joues coulèrent le long de son cou gracile et formèrent comme un serpent ondulant dans la vallée de ses seins pour glisser sur la plaine de son ventre et venir mourir au pied des montagnes formées par les lèvres de son sexe. Ce ruisseau salé s’écoulait au rythme des souvenirs qui lui revenaient en mémoire.


Sa tête lui faisait mal, en passant la main sur sa tempe, elle ressentit une douleur encore plus vive et regardant ses longs doigts fins, elle vit des traces de sang. Hélia se leva et commença à marcher vers la ferme qu’elle voyait au loin. À chacun de ses pas, elle laissait derrière elle un peu de son innocence et sentait la colère l’envahir.


Quand elle arriva dans la cour de la ferme, Hélia fut surprise par le silence et par la bonne odeur de pain chaud qui flottait dans l’air. Qu’allait-elle trouver comme explication à l’état de ses vêtements ? Elle n’eut pas le temps d’y penser d’avantage car elle entendit une porte grincer derrière elle. Elle se retourna et le vit.


Il était grand, avec des membres qu’elle devinait puissants sous sa combinaison de paysan. Son visage buriné par le temps et le soleil, ainsi que sa chevelure épaisse et sombre, en faisait un très bel homme. Il lui tendit la couverture qu’il tenait à la main sans un mot et lui fit signe de le suivre dans la maison.


Il s’effaça pour la laisser entrer la première, ce qui surprit Hélia. Lorsqu’elle franchit la porte, la couverture se prit dans la poignée et glissa vers le sol. Il la saisit et la déposa délicatement sur ses épaules. Elle sentit la chaleur de ses mains sur sa peau gelée et frissonna. Ils pénétrèrent dans une grande pièce. L’homme lui montra le café et le pain encore fumant sur la table et, devant son absence de réaction, tira une chaise et lui fit signe de s’asseoir.


Quand il repoussa la chaise sous ses jambes, Hélia sentit son souffle dans son cou et une vague de désir l’envahit. Qu’est-ce qui lui prenait ? Elle venait de passer une des pires journées de sa vie et la colère ressentie quelques temps plus tôt laissait place à de tout autres sentiments. Elle sentit l’humidité de son désir entre ses jambes, résultat de sa folle envie de faire l’amour avec ce paysan inconnu de vingt ans son aîné.


Son hôte lui servit un café et tandis qu’il coupait de larges tranches de pain, Hélia observait ses immenses mains et ne put s’empêcher de les imaginer explorant son intimité. Elle mangea avec appétit et dévora avec ardeur le fermier des yeux. Impassible, il soutint son regard et la troublante fut la troublée.


Dès qu’elle eut terminé, l’inconnu vint tirer de nouveau sa chaise pour qu’elle quitte la table et, la prenant par le bras, l’entraîna dans un grand couloir jusqu’à la salle de bain. Il fit couler l’eau et pendant que la baignoire se remplissait, sortit serviettes et savon d’un placard puis sortit sans un regard. Il n’avait pas prononcé un mot !


Hélia laissa glisser la couverture et retira les restes de ses vêtements. Elle se laissa glisser dans la baignoire, le contact de la chaleur sur sa peau encore froide la fit frissonner. Elle s’enfonça dans l’eau jusqu’au cou et laissa une sensation de bien-être la caresser. Elle tenta de chasser l’inconnu de ses pensées mais dès qu’elle fermait les yeux, elle voyait ses mains sur la miche de pain et ses seins se raidissaient.


Comme elle aimerait se retrouver pâte entre ses doigts, se laisser pétrir, manier, façonner, modeler puis être mangée de baisers. Le plaisir de ses propres caresses la ramena à la réalité. Elle tenait ses seins à pleines mains, les malmenant, étirant ses mamelons entre ses doigts, les pinçant sans même s’entendre gémir. C’est à ce moment qu’elle sentit sa présence. Elle leva la tête et le vit là au-dessus d’elle complètement nu, son sexe dressé du désir d’elle, attendant sa réaction.


La réaction d’Hélia ne se fit pas attendre : elle s’enfonça au fond de la baignoire en espérant qu’il aurait disparu avant qu’elle ne se noie ! Évidemment, elle avait déjà connu des hommes dans sa vie… enfin plutôt des gamins et elle avait déjà fait l’amour… enfin c’est plutôt eux qui avaient fait l’amour avec elle.


Il fallait qu’elle sorte de l’eau, pourvu qu’il soit parti. Il fallait qu’elle respire, pourvu qu’il soit encore là. Il fallait qu’il disparaisse ou qu’il lui fasse l’amour comme dans ses rêves… Qu’il fasse n’importe quoi mais qu’il fasse quelque chose ! Il fit bien plus encore…


Hélia se sentit soulevée d’un seul coup et se retrouva dans les bras puissants de son inconnu. Elle ouvrit les yeux et se noya dans les siens. Il la regardait et elle eut l’impression qu’il la possédait déjà. Il la posa sur le sol et l’enveloppa dans une immense serviette chaude et moelleuse.



Mon Dieu, cette voix ! Grave, chaude et sensuelle, elle lui fit plus d’effet que n’importe quelle caresse et ses mains sur son ventre, serrant la serviette… Face à elle, il lui releva la tête en la prenant par le menton, attendant une réponse.



Il lui sourit, amusé et commença à essuyer ses épaules. Elle trembla sous ses doigts.



Hélia ne leva pas la tête. Elle ne pouvait pas quitter du regard ce sexe dressé devant elle. Elle avait envie de le prendre dans ses mains, de le caresser, de le sentir, de le goûter… L’humidité entre ses cuisses n’avait plus rien à voir avec l’eau du bain…



Il l’enveloppa de son regard, lui retira la serviette et l’emporta dans ses bras. Elle cala sa tête sur son épaule et passa ses mains autour de son cou. Alors qu’ils entraient dans sa chambre, il lui dit :



Il la déposa au bord du lit avec précaution puis s’agenouilla sur le sol. Il écarta ses cheveux mouillés de son visage et caressa ses joues. Ses mains étaient si douces…



Il ne laissa pas Hélia répondre, il embrassa ses lèvres avec douceur puis sa langue se mit à chercher la sienne et elles dansèrent ensemble pendant un long moment. Il laissait ses mains découvrir son corps frémissant, ses bras d’abord jusqu’au bout de ses doigts. Hélia gémit… Puis passant sur ses hanches, il remonta doucement l’effleurant par moments et appuyant ses gestes à d’autre. Hélia gémit encore…


Quand il prit ses seins à pleines mains, joua avec ses mamelons tendus de désir, Hélia gémit plus fort, elle ondulait sous ses doigts étirant et repliant ses jambes au rythme des caresses. Quand il les embrassa, en joua avec sa langue les mordillant tout en les caressant avec ses cheveux, elle agrippa les draps. Quand il embrassa son ventre, et posa la main sur le haut de sa cuisse, elle se mordit la lèvre et sa tête alla de gauche à droite sans qu’elle ne contrôle rien.


Quand il posa sa langue sur son bouton, le lécha, l’aspira et le fit gonfler de plaisir, Hélia ne respirait plus, elle haletait, ramenant vers elle les draps qu’elle serrait encore plus fort. Quand il passa un doigt sur les lèvres de son sexe, puis un autre et qu’il la pénétra avec, elle se cambra. Quand sa langue et ses doigts la fouillèrent, elle lui demanda de la prendre… maintenant Quand il se plaça entre ses genoux, qu’il passa ses mains sous ses fesses pour la soulever, Hélia l’emprisonna avec ses jambes. Quand il la pénétra juste un peu en l’embrassant, elle bascula son bassin pour le sentir en elle… plus loin et elle crut mourir.


Quand il se mit à aller et venir dans son ventre lentement puis plus vite, qu’il commença à gémir, elle bougea au même rythme, poussant des petits cris. Quand il accéléra encore, la possédant totalement, qu’elle sentit son plaisir s’écouler en elle, Hélia cria sa jouissance. Quand il s’allongea à côté d’elle, posa sa main sur son ventre et regarda ses larmes… Elle l’aima.



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Quand Hélia ouvrit les yeux, la nuit était tombée. Elle avait dormi longtemps, bercée par de doux rêves, des rêves de plaisir… Il lui fallut quelques secondes pour que reviennent les souvenirs de cet instant magique. Elle enfouit son nez dans les draps et l’odeur de leur amour réveilla ses sens. Elle caressa son sein du bout des doigts, puis son ventre et effleura son sexe encore imprégné des fluides de leurs plaisirs. Elle porta ses doigts à ses lèvres, voulant savoir… l’odeur, le goût, mais n’osa pas…


Elle se souvint de ces garçons qui l’avaient priée, suppliée de les prendre dans sa bouche… de ces mots crus qui accompagnaient leurs râles… de ces mains qui maintenaient sa tête pour s’enfoncer plus loin jusqu’à sa gorge… de ces haut-le-cœur, de ce dégoût quand ils tentaient de se répandre en elle…


Mal à l’aise, elle se leva, enfila une chemise d’homme posée sur une chaise et longea le couloir jusqu’à la cuisine. Sur la table, elle trouva un plateau recouvert d’un torchon et un mot qui la fit sourire.


Bon appétit.


Philippe



Quelle importance maintenant de connaître son nom. Ce que voulait Hélia, c’était retourner là où il l’avait emportée ce matin : dans cet autre monde, celui où elle s’était sentie si vivante… Un frisson de désir tressaillit au fond de son ventre, et elle sentit son sexe gonfler de son désir de lui. Elle chassa ces pensées, elle avait faim et dévora le contenu du repas préparé pour elle par… Philippe…



Hélia avait envie d’en savoir plus sur son beau paysan. Elle se mit à observer autour d’elle. La pièce était pleine de meubles de ferme simples et massifs. Elle fut attirée par un immense bahut qui tenait tout un pan de mur. Elle s’approcha, caressa le bois sombre et ressentit une sensation de chaleur. De ses doigts, elle suivit les veinures du noyer qui formaient des courbes inégales et imagina les formes musclées de son amant : là, la rondeur d’une fesse ; là, le creux d’une hanche… La douceur du bois remplaçant celle de la peau. Elle sentait presque la sève s’écouler à l’intérieur de ce morceau d’arbre encore si vivant…


Une vague de désir s’empara d’elle et elle la reçut avec volupté, la laissant pénétrer tout son être. Elle laissa courir sa main jusqu’à la poignée pleine et longue d’un tiroir, fit glisser ses doigts le long avec un plaisir charnel. Elle allait et venait sentant le désir inonder son antre, profitant de chaque seconde de ce plaisir surprenant.


Sans même s’en rendre compte, elle tira la poignée et ouvrit le tiroir. Là, elle vit un amoncellement de photos et ne résista pas à l’envie d’enfouir ses mains au milieu des images sur papier glacé. Ce contact lisse et froid la fit frémir puis les clichés réchauffés par la chaleur de ses mains se firent corps. Plus elle s’enfouissait, plus elle sentait le plaisir grandir en elle. Elle sentit son sexe s’ouvrir et une rivière chaude couler sur ses cuisses.


Surprise de l’intensité de cette sensation, elle resta immobile, les yeux fermés, à savourer cette impression d’être vide et pleine à la fois. Elle ne bougea pas pendant de longues minutes voulant prolonger encore ce troublant voyage.


Hélia ne se souvient pas de ce qui a attiré son attention à ce moment-là, une couleur, une forme… Ce dont elle se souvient, c’est de l’angoisse qu’elle a sentie monter en elle quand elle a regardé les photos…


Hélia avait besoin de s’asseoir. Elle ne voulait pas savoir mais pourtant elle était irrésistiblement appelée par les images qu’elle avait entraperçues. Elle sortit le tiroir de son logement, le posa sur la table et s’installa sur une chaise. Elle plongea les mains au milieu des clichés mais, cette fois, la sensation se fit douleur.


Ces voûtes de pierres, ces murs épais où des anneaux rouillés étaient solidement fixés, cet hôtel glacé au milieu de la pièce recouvert sur les bords des restes de bougies, tout était identique… Ça n’était pas possible, s’il avait été là, elle l’aurait reconnu… Il ne pouvait pas…



Hélia sursauta, elle ne l’avait pas entendu entrer. Elle lâcha la photo qu’elle tenait dans les mains en tremblant et leva les yeux vers lui, la terreur voilait son regard. Il recula d’un pas puis s’approcha de nouveau, voulant caresser son visage, mais elle tourna la tête.



Hélia tremblait toujours, il ne pouvait pas être là, se dit-elle, il ne pourrait pas la regarder avec ces yeux-là si ça avait été le cas, ça n’est qu’une simple coïncidence. Elle voulait tellement en être sûre… Elle tenta de se calmer en respirant profondément.



Il la serra contre lui en essayant de lui cacher l’érection que sa tenue avait provoquée. Il avait terriblement envie d’elle mais avant, il devait régler ce qui pouvait devenir un réel problème.



Il revint de la cuisine, lui tendit un breuvage avec une forte odeur d’alcool et elle le but d’un trait. Rapidement, elle se sentit bien, trop bien mais il était trop tard… Elle le sentit la prendre dans ses bras et l’emporter jusque sur le lit, puis plus rien…


Quand elle se réveilla, la chambre n’était éclairée que par des bougies disséminées partout dans la pièce. Elle le vit, lui tournant le dos, un portable à l’oreille et ne saisit que des bribes de sa conversation :



Hélia se sentait comme flottant sur un nuage et de le regarder, nu devant elle, lui donna une envie folle qu’il la prenne. Elle s’entendit lui dire :



Il la regarda, amusé et de cette voix si douce et si sensuelle, lui répondit :



Joignant le geste à la parole, il s’allongea sur elle et l’embrassa avec douceur. Mais l’envie d’Hélia était si forte que, d’un mouvement des reins, elle le fit basculer et dans le même mouvement, elle se retrouva assise sur son ventre. Elle prit sa bouche avec violence tenant son visage entre ses mains pour l’empêcher d’échapper à son étreinte.


Philippe fut surpris, dérangé par autant de violence et quand il se rendit compte que son désir en était décuplé, il se sentit mal à l’aise. Cette fille était vraiment un démon et il commençait à regretter d’avoir accepté cette mission. Mais quand elle leur avait échappé lors de la descente dans les sous-sols sordides du manoir, son patron n’avait pas trouvé d’autre solution. Il lui avait demandé de tenir ce rôle stupide, persuadé que lui, au moins, ne tomberait pas sous son charme.


Il avait eu du mal hier, quand elle était dans ses bras, à imaginer qu’elle pouvait être l’instigatrice de ces viols organisés. Il ne comprenait pas, non plus, ce désir irrésistible, cette envie d’elle plus forte que sa raison. Il était là, allongé sur le dos, sentant son sexe en érection caressé par le bas de ses reins et il voulait qu’elle le possède…


Il était sûr pourtant qu’elle avait découvert dans le partage de leurs caresses que l’amour pouvait être offert plutôt que volé et qu’elle avait découvert un plaisir nouveau et apaisant. Il l’avait vu dans ses larmes…



Quand elle l’entendit prononcer son nom, elle comprit qu’elle allait devoir vivre de nombreuses années avec seulement les souvenirs de ces caresses et de ces plaisirs passés. Elle connaissait déjà la solitude de la prison…


Le démon redevint ange lorsqu’elle vit toute cette tendresse dans ses yeux. Son enfance bafouée, volée l’avait conduite trop loin, cela devait finir… Elle décida de faire ce qu’elle n’avait jamais pu, elle décida de s’offrir à cet homme, de lui donner son corps et son âme, de partager enfin…


Philippe sentit le corps d’Hélia se détendre et ses mains sur ses joues devenir douces et chaudes. Cette chaleur l’envahit et le transperça, leur étreinte se fit amour. Il ne sentait plus le poids de son corps sur son ventre, il ne sentait plus que le désir de se donner à elle, de se donner l’un à l’autre. Leurs caresses devinrent une danse, leurs mains dessinant les courbes de l’autre comme suivant le rythme d’une musique qu’ils étaient les seuls à entendre. Tantôt valse douceur, tantôt tango passionné, chacun laissant son partenaire lui échapper pour le seul plaisir de le sentir revenir. Les bouches et les mains tour à tour offrandes pour le seul plaisir de l’autre. Et lorsqu’‘ils ne firent plus qu’un, leurs prénoms criés au sommet de l’orgasme furent les seules paroles prononcées.



FIN



Petit message personnel adressé à ces messieurs, pas à ceux dont j’ai l’immense plaisir de lire les textes, eux connaissent suffisamment les femmes pour pouvoir mettre en mots leurs désirs et leurs plaisirs, mais à ceux qui passent par là en visiteurs… cherchant du plaisir, leur plaisir et à certains qui se reconnaîtront sans doute… (Si si, il y en a encore, je vous assure !)


Vous avez bien peu confiance en nous, messieurs, pour imaginer que nous ne sachions pas vous emmener au bout de votre plaisir sans votre aide… et bien peu confiance en vous pour transformer ce moment divin en un plaisir égoïste alors qu’il ne doit être que partage. Nous vous offrons notre bouche en cadeau, n’en faite pas un produit bas de gamme de supermarché. Guidez-nous certes, mais ne nous imposez rien et vous verrez que nous vous emmènerons… bien plus loin que vos rêves, pour votre plaisir… et le nôtre.