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Temps de lecture estimé : 9 mn
03/06/08
Résumé:  Une visite inattendue chez le gynécologue...
Critères:  fh médical fsoumise voir fist fdanus fsodo lavement fouetfesse
Auteur : La Curieuse      
L'étrange docteur M'Abuse

Encore en retard ! C’est mon gros problème, je suis toujours en retard… Je ne cherche même plus d’excuses et j’appelle rapidement le médecin pour déplacer mon rendez-vous. Pour une fois que j’étais motivée pour y aller, valait mieux en profiter. Gentiment, vu l’horaire, la secrétaire me repositionne en fin de journée, avant la fermeture. Pas grave.


Prenant les choses du bon côté, je profite de l’occasion et rentre me détendre sous une douche bien chaude. Je décide de sortir après ma visite… J’enfile une petite robe noire, des bas et mes mules à talons. Un regard vers la glace de l’entrée et je me trouve irrésistible. Mmmm… à croquer !


Bon, je dois tout de même m’acquitter de cette visite chez ma gynéco. Lorsque j’arrive, à l’heure cette fois-ci, la secrétaire m’avertit que Mme Lalande est absente mais que son remplaçant est très apprécié. Son remplaçant ! Je n’aime pas trop cela, mais bon, je n’ai pas le choix. Je m’installe dans la salle d’attente.


Trente minutes plus tard, je suis encore là et je commence à m’impatienter. Je me dirige vers le secrétariat afin d’avoir des nouvelles lorsque je m’aperçois que la réceptionniste est partie. Je me retrouve seule dans le cabinet et l’idée de partir aussi me tarabuste. Je tourne en rond dans la salle d’attente : partir ou non ?



Nous échangeons une solide poignée de main pendant que nous parlons et je m’installe en face de son bureau pendant qu’il ouvre mon dossier.



Et débute pour moi un interrogatoire des plus insolites. En effet, après les questions d’usage sur mes antécédents personnels et familiaux, le docteur Morvan s’enquiert de ma vie sexuelle. Je me surprends à répondre malgré l’impudence des questions. En fait, cela m’émoustille de parler de mon intimité et, au fil de la conversation, j’évoque ma bisexualité, mes aventures, mes fantaisies…


Je le vois se lever de son bureau et s’approcher de moi. Un frisson me parcourt l’échine et, lorsqu’il se penche vers moi et prend ma main, je crois un instant que… Mais non, il m’accompagne seulement vers la table d’examen. Je quitte ma robe et m’installe sur la table. Il me tourne le dos, préparant ses instruments. Je suis nue, les jambes gainées de bas et les seins libres de toutes entraves. Je m’assois tranquillement sur la table, les jambes pendantes et les mains cachant sommairement ma poitrine.


Il est mignon, mon nouveau toubib ! Grand et large d’épaules, il a les cheveux bruns et broussailleux, un peu longs, comme j’aime. Un petit cul rond et ferme surplombe des jambes musclées et longues aussi. Je soupire en me disant qu’un tel homme ne s’arrêterait sûrement pas sur moi… Pff… Enfin, il se tourne vers moi, son regard perçant vrillé au mien. Je ressens un choc au creux du ventre mais décide de l’ignorer…



Son stéthoscope froid court sur ma poitrine : il ne va pas être déçu car mon cœur bat la chamade. Inspiration, expiration. Tout semble normal. Il me fait asseoir sur la table et passe derrière moi. À nouveau le froid du stétho. Je le sens qui rampe dans mon dos. Je respire bouche ouverte comme requis… C’est ma tension qui l’intéresse maintenant.



Encore normal ! J’en suis désespérante. Le voilà qui explore chaque centimètre carré de mon corps, qui tâte membres et articulations… Je sens ses mains sur ma poitrine : la palpation. Jamais très agréable. Pour lui, je suppose que c’est la chasse aux nodules et autres kystes. Il appuie, tâte, soupèse mes glandes. Je ferme les yeux. J’ai chaud.


Son toucher a changé, plus léger, aérien. Ses paumes s’aplatissent sur mes seins, il décrit des circonvolutions qui m’emportent, il se fait doux et j’en frissonne. Je sens ses doigts autour de mes tétines, il les étire fermement. Je me mords la lèvre pour ne pas gémir. Ce n’est plus le traditionnel examen que je connais : celui-ci me chamboule mais je laisse faire, trop heureuse de la tournure que prend ma visite médicale !


Il me fait allonger sur la table et place mes pieds dans les étriers. Je resserre les jambes mais d’autorité, il les écarte. Il s’assied face à mon sexe. Je ferme les yeux dans un soupir. Je sens ses doigts voleter autour de mes nymphes, il masse, il triture, il tiraille, il m’écarte et je soupire de plus belle. Il glisse une main vers mon bouton humide, et me frappe durement la fente : je sursaute. Il sourit.


Le bruissement du papier qu’on déchire, ses doigts qui s’insinuent et le froid spéculum qui m’ouvre largement… Je suis excitée d’être exposée ainsi et il le sent, il le sait. Ses mains ne pèsent plus sur moi, juste son regard qui me couve. J’empaume mes seins et me caresse, l’une de mes mains glisse vers mon capuchon et tourne autour, je me sens gonflée, humide, et je tressaille. Je me branle fort sous ses yeux et j’aime ça !


Qu’il me regarde, qu’il se repaisse de mon jus qui coule, de mes gémissements, du plaisir qui monte. C’est bon, je sens les spasmes m’envahir, je ne peux pas fermer les jambes avec cet instrument fiché dans mes plis… Je vais venir… Là… Telle quelle, le con béant, me branlant comme une garce, comme une salope prête à tout pour jouir.


Mais non, il retire le spéculum et ce sont ses doigts que je sens me pénétrer. D’abord un puis deux, je ne compte plus, je le sens grossir en moi, c’est sa main toute entière qui me fait soudain crier ! Il s’installe en moi et entame un doux va-et-vient. Je suis remplie, débordante, il me pilonne consciencieusement, j’adore ça et je m’ouvre encore plus… je suis à lui. Je gémis et crie, je perds le souffle, je me tends toute entière vers la jouissance offerte !


Encore, encore ! Sa main me fouille et je défaille, je gronde et il revient plus fort… Que c’est bon ! Je n’en peux plus et je crie, je crie tant que ma voix déraille… Il se retire et je lui pisse mon jus… Il revient, me reprend, enfonçant à nouveau sa main… Je l’accueille et il me tue… Je me liquéfie… Je m’accroche à lui, pantelante, haletante, dépendante des plaisirs qu’il m’offre… Là, là… Il me quitte, me caresse tendrement et m’apaise. Je reprends mon souffle, écartelée, échauffée, toujours ouverte, offerte et béante…


Doucement, il me reprend. Il effleure mon clitoris et je me sens à nouveau emportée. Ses caresses sont de plus en plus appuyées, de plus en plus saccadées… Je me resserre autour d’un doigt égaré dans mon con et je fonds sous le pouce cajoleur. Il tournoie, me fait reluire, va-et-vient… Et je mouille, je perle, j’ai chaud… Est-ce sa langue qui me cherche, qui s’insinue en mon sillon ? Oh oui… Mangez-moi, glissez-vous dans mes plis, dans mon creux, insinuez-vous et possédez-moi !


Je suis étourdie, tous ces stimuli me rendent folle, je meurs encore et je cherche mon souffle, je m’arque sous lui, offrant sans pudeur une vue imprenable sur ma rosette. Son doigt luisant vient s’y accoler avec précaution, il en teste l’élasticité. L’oeillet se déplisse, se laisse écarter et envahir… Un doigt jaloux vient rejoindre le premier et je l’accueille aussitôt. Il va-et-vient, je me sens soûle, je me sens partir…


Et je n’ai rien vu… Entre ses doigts, il glisse une canule froide et je sursaute, je m’agite mais elle est fichée en moi et il la maintient. Elle est reliée à un long tuyau qui se termine dans une poche suspendue à une potence. Rapidement, il tourne un petit robinet et un flot frais se déverse dans mes entrailles. Je me remplis inexorablement et me serre le plus possible pour garder ce qu’il m’inflige. J’ai l’impression que cela ne s’arrêtera jamais, il en vient encore et j’ai peur de ne rien garder.


J’ai froid en dedans, je me sens ballonnée mais envahie de sensations terribles. Et j’ai chaud à présent, je frissonne et je perle, je me tords. Il ôte la canule et la remplace très vite par un plug que je devine énorme. Il me laisse ainsi de longues minutes, écartée et indécente, il me caresse les seins, prend mes tétines en bouche, exacerbant le désir en dessinant des arabesques sur mon ventre… Je coule très fort…


Je demande à aller aux toilettes, je ne veux pas me répandre devant lui. Je suis honteuse et si troublée à la fois, je n’ose plus le regarder. C’est la première fois qu’un autre m’administre un lavement ! Habituellement, je savoure mon opprobre seule, pas d’autres regards, seule pour une première libération, seule pour le second round, seule à vérifier que la seconde eau est claire… Il me fait descendre de la table, je tremble. Il me relève la tête et me force à le regarder :



Il sourit, mais dans ses yeux, je lis la détermination. Je proteste, mais rien n’y fait. J’ai encore plus chaud et le front rouge, le ventre distendu. Je ne tiens plus, cela devient insupportable. Il me fait accroupir sur un bassin et se met à jouer avec le plug, le faisant aller et venir sans jamais l’enlever, très vite… Délicieusement inconfortable… Il me tient adossé à lui, fermement, et joue malicieusement de son plug.


Je trépigne, gémissant de plus en plus fort. Il m’a donné un fort plaisir coupable et il m’a libéré. Et, violemment, je me suis vidée, lâchée, j’ai tout expulsé, je m’accroche à lui, à la table, je me mords pour ne pas hurler plus fort, mes entrailles sont en feu et je déborde ! Je chancelle, il me soutient. Tout se calme. Il me lave, m’éponge et m’allonge de nouveau. Je reprends ma respiration, je suis hébétée par la force du raz-de-marée qui vient de déferler sur moi.


Il chuchote doucement à mon oreille, me dit que ce n’est pas grave, que maintenant je suis toute propre. C’est bien. Il embrasse mon cou, mes épaules. Son souffle est chaud et je le sens bouleversé aussi. J’ai fermé les yeux et me laisse bercer par sa voix mélodieuse. Il m’apaise… Ses bras m’entourent et je m’y accroche telle une noyée, enfin rassurée…


Il me fait tourner sur la table, étendue mollement, le fessier rebondi. Il m’enduit le petit trou de ma mouille et le flatte pernicieusement, je me laisse faire… Le beau docteur a fait de moi sa chose, sa marionnette. Je me rends avec délectation…


Qu’il me prenne, mais qu’il me prenne donc ! Mon corps crie, mon cul est en demande ! Qu’il me remplisse à nouveau, mais de lui cette fois… Je sens son gland qui pousse contre l’œil unique entre mes fesses, je vais à sa rencontre et lance mes hanches vers lui. J’ai faim, je le veux… Il me fait patienter, retardant l’intromission de son chibre. Je l’aide : à deux mains, je m’ouvre et me présente, gourmande.


J’ai les reins creusés et, le plus lentement qu’il peut, il me pourfend, m’écartèle… Il me baise, baise le cul en régulière cadence, de longs allers, de très longs retours. Chaque fois, il manque de me quitter. Toujours il revient en moi et, de plus en plus, il grandit et durcit en mon fondement. Je me resserre autour de son membre, je le suce, je l’aspire de mon anneau, je masse sa tige lentement. Oui, je le baise aussi car je veux tout extirper de lui : le moindre plaisir, le moindre grognement satisfait, le moindre jus.


Il s’accroche à mes hanches et je me jette contre lui, fouettée par ses couilles pleines qui viennent s’écraser contre ma chatte. Il griffe, je me déchaîne sur sa bite. Je deviens folle, je crie et j’en perds la voix, je défaille. Ses coups de boutoir me brisent, encore, encore, et toujours, je viens à lui. Il redouble de puissance et je rampe. Je veux lui échapper, juste un instant, reprendre mon souffle.


Mais non, impitoyable, il me fend, me pilonne, me troue odieusement, délicieusement… Je suis perdue dans la tourmente, rattrapée par ce plaisir si fort qui me surprend et l’orgasme dévastateur qui me laisse muette et en nage, perdue. Il s’est tendu comme une corde, je l’ai senti grossir encore avant l’assaut final, et il s’est répandu sur mon dos, d’un épais trait de laitance, dans un râle, il m’a souillée de son jus et j’ai aimé cette brûlure-là…


Nous sommes épuisés, repus. Je m’affale sur la table, comblée. Il m’enlace et je me repose entre ses bras puissants. Presque timidement. Je me raccroche à lui, éperdue de reconnaissance, heureuse.


Et pourtant, je repars chancelante et groggy. Tellement plus… Tellement… Des souvenirs plein la tête et des troubles sensations.


Avec un nouveau rendez-vous…