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Temps de lecture estimé : 10 mn
04/06/08
Résumé:  Coup de foudre à la fac pour un joueur de Rugby. Rencontre, séduction, première fois...
Critères:  fh jeunes amour fdomine fellation attache init
Auteur : Petite Brune Piquante      

Série : Amour, sexe et autres contrariétés avec un rugbyman

Chapitre 01
Amour, sexe et autres contrariétés avec un rugbyman

Récit purement fictif ! Toute ressemblance avec un Rugbyman existant ou ayant existé… Je nierai tout en bloc, même sous la torture ! Sauf la sienne…




Amour, sexe et autres petites contrariétés avec un joueur de Rugby !




Ça fait deux ans qu’Isa et moi sommes à la Fac de droit. Aujourd’hui, on suit un cours de droit constitutionnel en travaux dirigés. Ce n’est pas ma matière favorite et je me prépare à vivre un moment peu passionnant. Le chargé de TD nous donne le programme de l’heure qui va suivre : l’un d’entre nous va présenter le premier exposé…


Je dessine tranquillement sur une feuille en attendant la suite, l’esprit un peu ailleurs. C’est mon avant-dernière heure de cours avant les vacances de Noël. L’étudiant désigné s’installe face à la classe et prend la parole. Sa voix est grave, calme et posée. Il semble très à l’aise et maîtrise parfaitement son sujet. Il capte toute mon attention. Je relève la tête de ma feuille et le regarde, intensément. Mes yeux sont rivés aux siens.


Cet étudiant est incroyable, on dirait qu’il a fait ça toute sa vie. À sa place, je serai intimidée, surtout avec le sujet qu’il a choisi ! Il est très grand, châtain clair, des yeux bleus, un visage carré, une bouche sensuelle. Il n’a pas un physique de jeune premier mais il est diablement intéressant. Il m’attire de façon irrépressible… Est-ce donc cela qu’on appelle le coup de foudre ? Cette évidence face à l’autre qui vous surprend au moment où vous y attendez le moins ? Je me tourne vers mon amie pour lui demander :



Isa ne semble pas du tout bouleversée alors que j’ai l’impression que ma vie ne sera plus jamais la même maintenant que mon regard s’est posé sur lui.







Le lendemain matin, on a un autre cours en amphi et j’ai bien l’intention d’en savoir un peu plus sur ce jeune homme. Je me suis habillée très sexy car j’ai envie, à mon tour, de retenir son attention. Pendant la pause, je m’avance droit vers lui et je l’aborde :



Son visage s’éclaire d’un large sourire qui le rend vraiment très sexy. Il a l’air surpris de ma démarche et flatté par le compliment. Je n’avais pas réalisé qu’il était aussi grand, il doit bien mesurer dans les deux mètres. C’est certainement un atout pour un joueur de Rugby. M’est avis que dans la mêlée, il a un sacré avantage sur les autres concurrents. J’ai toujours aimé les hommes plus grands que moi, mais là, je suis servie, il doit me dépasser d’environ quarante centimètres.



Je m’apprête à regagner ma place dans l’amphi quand il me retient par le bras :



J’ai l’impression qu’une décharge électrique vient de me traverser le corps, j’ai le cœur qui bat à tout rompre…



Et de me sortir un sourire ironique et goguenard à me damner… Je fonds littéralement sur place.



Je me laisse choir sur mon siège, à côté de ma meilleure amie, et je lui relate notre échange à voix basse. Elle rit et me dit qu’elle ne nous voit vraiment pas ensemble. Je ne l’écoute pas, je suis encore bercée par les paroles de Denis, entièrement sous son charme. On verra bien après les vacances.







De retour en janvier, on multiplie les occasions de se parler, on s’apprivoise doucement. J’ai passé les vacances à m’éclater avec mes copines et j’ai flirté avec d’autres hommes. J’ai vingt ans et je sors d’une relation qui avait duré quatre ans, un premier amour. J’ai envie de croquer la vie à pleines dents et de tester mon pouvoir de séduction sur les hommes sans me fixer sur un en particulier car je veux vivre de nouvelles expériences et découvrir les joies du plaisir charnel.


Denis me plaît de plus en plus. J’aime parler avec lui, il a beaucoup d’esprit, il est drôle, fin, et il me drague d’une façon très subtile. On joue au chat et à la souris et j’aime ça. Je n’ai pas envie de succomber tout de suite car je pressens qu’une fois que j’aurai cédé à ses avances, je ne pourrai plus contrôler mes sentiments. Jamais je n’ai ressenti une telle attirance pour un garçon. Ça m’effraie même un peu.


Il finit par prendre les choses en mains et organise une soirée chez lui avec plusieurs de mes amies dont Isa et Aurélie. Il a bien informé tout le monde que le but de la soirée était de tenter un rapprochement entre nous deux et Isa me l’a rapporté. Je me rends au rendez-vous en connaissance de cause et j’ai moi aussi décidé qu’il était temps que nous arrêtions de jouer et passions à la vitesse supérieure.


Avant la soirée, j’ai repassé le film dans ma tête. Est-ce que j’allais faire le premier pas pour l’embrasser ? Comment m’y prendre vu la différence de taille ? Debout, cela me semble un peu compliqué, je m’imagine mal sauter sur place devant lui… Je suis un peu angoissée et en même temps, j’ai hâte de me retrouver dans ses bras puissants (eh oui, je sais que ça fait cliché mais c’est tellement ça).


La soirée se passe dans la bonne humeur même si je me fais un peu chahuter parce que je suis la seule à ne pas boire d’alcool. Denis s’est assis à côté de moi à table et, peu à peu, nos corps se sont rapprochés. Sa main s’est posée sur ma cuisse et j’y ai glissé la mienne. Nos doigts se lient, se caressent, s’apprivoisent discrètement mais personne n’est dupe, notre attirance mutuelle est palpable.


La soirée me semble durer des heures alors que je n’ai qu’une envie, me retrouver seule avec lui. Enfin, c’est le moment du départ. Tout le monde prend congé et je dis à Isa de m’attendre une minute en bas de l’immeuble. Denis tient toujours ma main dans la sienne, il se retourne vers moi et me prend dans ses bras. Je monte sur le banc et je me retrouve à peine plus grande que lui.


Son visage plonge vers le mien et il m’embrasse avec douceur. La pièce tourne tout autour de moi, je ne pense plus à rien d’autre qu’au bonheur qui me submerge. Sa langue s’insinue dans ma bouche et joue avec la mienne. Je passe une main dans ses cheveux et tire sa tête en arrière pour embrasser son cou, le lobe de son oreille, ses lèvres. Mon autre main s’aventure sous sa chemise pour toucher sa peau, son dos. Il me presse plus fort contre lui puis me repousse doucement :



Il m’a presque mise dehors alors que je n’avais qu’une envie : qu’il me demande de rester toute la nuit. Je rentre à la cité U, un sourire béat aux lèvres. Le sommeil ne vient pas. Je repense à notre courte étreinte et ma main glisse doucement le long de mon corps pour caresser mon sexe. Je m’imagine en train de faire l’amour avec lui, j’en ai tellement envie.







Le lendemain, il propose de me raccompagner à ma chambre après les cours. Dès que nous sommes seuls, nous nous asseyons sur le lit pour nous embrasser. J’ai tellement envie de lui que je ressens comme des décharges électriques dans le bas-ventre, je me sens terriblement excitée. J’ai envie de le séduire, de le rendre fou de désir, je sors le grand jeu pour le faire succomber. Je l’allonge sur mon lit et je m’installe à califourchon sur lui. Je croise ses mains au-dessus de sa tête et je les maintiens comme attachées.


Mon autre main déboutonne sa chemise. Nous ne nous parlons plus mais nos corps parlent pour nous. Je baise ses lèvres, il fait mine de se relever mais je le plaque fermement sur le lit. Ma bouche trace des traits sinueux dans son cou. Mes cuisses se serrent plus fort contre son bassin, je me frotte contre lui. Tout en continuant de maintenir ses mains, je lèche tout doucement sa pomme d’Adam, de façon très sensuelle.


J’aimerais qu’il imagine que je fais la même chose à une autre partie de son anatomie. Je descends lentement sur son torse que je couvre de baisers, ma langue s’amuse avec la pointe de ses pectoraux musclés. Il est très poilu mais ça me plaît. Il possède tous les codes de la virilité chez un homme : barbe drue, voix grave, grande taille, mains puissantes, avant-bras musclés et ce que je devine de son sexe à travers son jean me laisse penser que, chez lui, tout doit être proportionnel à sa grande taille…


Ma langue descend doucement vers son nombril que je lèche un court instant. Mes deux mains s’activent sur la boucle de sa ceinture et je dégrafe son pantalon en le regardant droit dans les yeux, de façon provocante. Il pose ses doigts dans mes cheveux mais je me redresse d’un coup pour les replacer derrière sa tête en le maintenant de nouveau fermement. Je saisis son menton et rejette à nouveau sa tête en arrière en serrant un peu son cou. Je lui susurre à l’oreille :



Il soupire bruyamment et se mord la lèvre inférieure. Je devine qu’il est lui aussi excité par la situation. J’enlève ses chaussures, ses chaussettes, son pantalon et je m’accroupis entre ses jambes que j’ai écartées sur le lit. Je suis toujours habillée d’un jean moulant et d’un chemisier de soie noire qui laisse voir la naissance de mes seins et la dentelle noire de mon soutien-gorge.


Je donne de petits coups de langue à l’intérieur de ses cuisses, elles aussi très musclées, je prends tout mon temps. Je découvre son corps qui est magnifique, on dirait la statue d’un gladiateur romain. Je ne me lasse pas de le regarder, de le toucher, de l’embrasser. L’odeur de sa peau poivrée me fait complètement décoller mais je tiens à garder mes esprits le plus longtemps possible afin de le faire chavirer.


Je le veux. J’ai envie de le posséder totalement. Prendre le pouvoir sur son esprit, son cœur, son sexe. À ce moment-là, il me semble que je n’ai jamais rien voulu d’autre dans toute ma courte vie… Ma langue se rapproche de plus en plus de la lisière de son boxer-short moulant. Je pose ma joue contre son érection qui semble énorme à travers le tissu en coton.


Je frotte ma joue de plus en plus fort et d’un coup, je baisse son caleçon à mi-cuisse, pas plus bas. Sa queue se dresse fièrement comme pour me défier. Oh mon dieu ! Ça fait une chose de plus qui m’impressionne chez lui. Je suis un peu désarçonnée. J’ai dû m’exclamer à voix haute car quand je le regarde, il arbore son fameux sourire ironique et goguenard qui m’a fait tant craquer le jour où je suis passée à l’abordage dans l’amphi.


Je me saisis de l’objet de toutes mes convoitises et le caresse. Mes doigts s’enroulent autour de son pénis et en font à peine le tour. Je le branle doucement en le regardant droit dans les yeux, je sens son désir dans sa queue, son regard, son souffle, et ça m’excite encore plus. Je me penche en avant pour lécher son gland comme si c’était la meilleure ice-cream que j’aie jamais consommée de toute ma vie.


Je ressens une chaleur intense qui envahit mon bas-ventre une nouvelle fois. Tout en le léchant de plus en plus goulûment, j’essaie d’imaginer le plaisir que je pourrais ressentir si je venais m’empaler sur son sexe. Ce que ça me ferait de le sentir entrer profondément en moi. Il commence à s’agiter, son bassin prend un rythme qu’il veut m’imposer et je me laisse désormais guider pour lui donner le plus de plaisir possible.


Je sens sa queue au fond de ma gorge, je fais un mouvement de va-et-vient de plus en plus rapide, mes lèvres se serrent plus fort contre son sexe pour accroître son plaisir. J’aime ce que je fais, j’aime le pouvoir que ça me donne sur lui. J’ai envie de le faire jouir dans ma bouche, qu’il explose en moi, qu’il manifeste bruyamment son excitation. Il finit par saisir mes cheveux en me disant de faire attention, qu’il ne va pas tarder à venir.


Mais je le suce de plus belle, je redouble d’ardeur car j’ai envie de sentir sa jouissance. Sa respiration s’accélère, tout son corps est tendu et dans un ultime sursaut, son sperme jaillit par saccades dans ma gorge. Le premier jet est tellement puissant que j’en avale un peu, ce qui n’était pas dans mes intentions. C’est bon, je me régale de sentir qu’il prend son pied et que c’est uniquement grâce à moi. Je lèche la dernière goutte et je me redresse pour lui donner un baiser, la bouche close.


Je me lève pour me délester de sa semence dans l’évier et me laver les dents. Je suis heureuse, je suis amoureuse, la vie est merveilleuse. Cet homme est le mien, je le sais, je le veux, pour la vie. Je reviens m’allonger contre lui, je me blottis dans ses bras et je ferme les yeux… Rien de ce qui pourra se passer ensuite n’effacera ce moment de pur bonheur, d’harmonie totale et d’amour passionné.


La suite… On verra… Dans un vestiaire de Rugby après l’entraînement, ça serait pas mal, non ?