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n° 12621Fiche technique27540 caractères27540
Temps de lecture estimé : 17 mn
04/06/08
Résumé:  On ne se méfie pas assez d'une greffière tatouée aux seins menus, dans l'émotion d'un interrogatoire.
Critères:  fh fbi frousses inconnu grosseins vengeance cunnilingu anulingus préservati pénétratio piquepince humour -humour -fbi
Auteur : Olaf      Envoi mini-message
Injustice

« Bigre, elle a de sacrés nichons, madame le juge » Voilà exactement la phrase qui me traverse l’esprit lorsque je la vois entrer dans le bureau où elle me faisait attendre depuis dix bonnes minutes. C’est étrange, car je déteste cette expression et je ne l’emploie jamais. Cela dit, je n’aime pas beaucoup les juges non plus. D’où peut-être cette association d’idées inhabituelle.


Après, ça devient un peu moins amusant. Même sans dévoiler les secrets de l’enquête, qui est encore en cours, je peux dire qu’elle m’a convoqué suite à une plainte d’un collègue malfaisant. Une plainte complètement infondée, bien entendu. Encore faut-il l’en convaincre. Je reconnais à sa décharge que ses questions sont poliment posées, et qu’elles dénotent une excellente connaissance du dossier. Donc une compétence qui pourrait me poser des problèmes, si d’aventure elle met son nez trop profondément dans mes comptes. Sans être malhonnête, je suis assez pudique en affaires.


Après une demi-heure d’interrogatoire, elle s’absente. J’en profite pour me rincer l’œil au moment où elle passe à côté de moi, et admire ses seins volumineux qui balancent formidablement sous mes yeux. Ce qui n’échappe pas à la jeune greffière, une petite rousse aux cheveux courts et à l’épaule droite ornée d’un tatouage.



La juge revient avant que je puisse entendre la réponse de la greffière. Elle reprend un interrogatoire serré, qui permet bel et bien d’amener la conversation du côté de ma vie privée. Je me défends comme je peux, et me retiens de regarder plus bas que la ligne de ses yeux, mais je sens que je perds la donne. Heureusement pour moi, elle me congédie sans avoir pris de décision trop lourde de conséquences. Ce n’est toutefois que partie remise, le répit pourrait être de courte durée. Je jette un coup d’œil désespéré à la greffière en sortant. Elle garde le nez plongé dans ses dossiers. Dieu que je me sens seul en quittant le Palais de Justice.


Je me dis qu’il vaut mieux que je file chez moi, contrôler le contenu de mon ordinateur. On ne sait jamais, il y a peut-être un recoin où j’ai laissé traîner quelque chose de douteux. Les gouines ont sûrement peu de compréhension pour la sensibilité artistique d’un quadra hétéro, très séparé de sa femme.


Mon portable sonne avant même que j’arrive chez moi. C’est la belle en question.



Comme elle y va, la flamboyante ! Le col de ma chemise commence à me serrer un peu à cette éventualité. Pas de doute, je suis fait comme un rat.



Il ne lui faut pas plus de huit minutes pour arriver en bas de chez moi au guidon d’un chopper Yamaha. Elle se gare juste à côté de l’entrée, enlève son casque à la hâte et monte l’escalier en courant. J’ouvre avant qu’elle sonne pour lui montrer ma bonne volonté. Elle se jette presque contre moi, et m’embrasse fougueusement dans le cou.



Et la voilà repartie pour un tour de baisers humides, accompagnés de caresses sur mon torse, effleurant comme par inadvertance mes tétons déjà prodigieusement énervés. En une poignée de secondes, ce petit volcan met le feu en moi, ma queue se tend dans mon pantalon, j’ai envie de la saisir aux hanches, de la culbuter sur le tapis du salon et de m’enfoncer en elle d’un coup. Pour commencer. Est-ce un reste de bonne éducation, ou une inhibition due aux fonctions qu’elle exerce au Palais de Justice, je n’en fais pourtant rien et reste complètement passif sous ses câlins.



Elle lance son blouson sur une chaise et entre d’un pas assuré dans la pièce à côté. Après une courte pause face à la table de travail où trône l’objet de sa convoitise, elle s’approche, passe lentement ses mains sur l’écran, les glisse sur le clavier, descend presque sensuellement jusqu’à la console. Juste avant de presser le bouton d’allumage, elle tourne un visage radieux vers moi.



Je m’approche, intimidé. Elle s’empare de ma main, la pose sur son sein gauche et la presse contre elle. À l’instant même, la petite musique d’ouverture de Windows sort des haut-parleurs latéraux. Elle frissonne. À vrai dire, je ne suis pas sûr de ce qui lui fait le plus d’effet.



Elle malaxe son sein en pétrissant ma main entre les siennes, sans pour autant cesser de suivre le chargement des logiciels du coin de l’œil. Ma queue se tend encore plus et la bosse qu’elle forme vient maintenant toucher sa cuisse. Elle semble apprécier, et frotte légèrement sa jambe contre mon sexe. J’ai une violente envie de plonger ma main sous son pull et de la peloter en toute liberté. Mais j’ai cru senti un piercing à travers son téton et je suis paralysé à l’idée de lui faire mal. C’est la première fois que je suis confronté à ce genre de bijou. Je me contente donc de glisser mes doigts sous le sein, de parcourir le sillon qui le sépare de son jumeau, puis de me faufiler sous ses aisselles. Elle ferme les yeux de contentement, si on continue de la sorte, elle va se mettre à ronronner.


Il reste encore trente secondes avant qu’elle puisse commencer à accéder à mes dossiers informatiques. Je suis sûr qu’elle le sait. Cette nana doit avoir un sixième sens pour les sons, les vibrations et les variations de lumière de n’importe quel ordinateur. Elle a frémi au plus profond de son corps dès qu’elle a pressé sur le bouton de mise en marche, et s’ouvre maintenant au même rythme que la bécane. Son souffle s’accélère, sans que ma main baladeuse y soit pour beaucoup. Je suis d’ailleurs complètement inhibé par son attitude déroutante. J’ai envie d’elle, mais je ne sais pas par quel côté l’aborder.



Plus que quinze secondes avant la fin de l’ouverture, mon ordinateur n’est pas tout récent. Elle en profite pour se retourner face à moi et enlève vivement son pull, m’offrant la vue de ses seins nus, percés de part en part. À peine ai-je le temps d’admirer ses pointes presque transparentes qu’elle me tourne le dos et pose sa main sur la souris.



Je craque. Sevré de plaisirs intimes depuis trop longtemps, je suis assailli chez moi par une superbe rousse qui se met à moitié à poil juste avant de fouiller l’intimité de mon ordinateur, mais je suis incapable de la moindre ouverture. Paralysé, énamouré, je reste planté là, à me contenter de bécoter son tatouage comme un lycéen inexpérimenté. Je ne me reconnais plus.



Elle ne prend même pas le temps de s’asseoir. Avec une incroyable dextérité, elle ouvre plusieurs registres, met à nu un grand nombre de dossiers, et survole des listes de documents que je ne savais même pas exister dans les tréfonds du monstre informatique.


Soudain, elle fait une pause, puis tressaille, comme si elle souvenait de quelque chose de très important à faire. Délaissant sa découverte de mes dossiers informatiques, elle me fait à nouveau face, prend ma main entre les siennes et passe la pointe de mon index tout autour de son mamelon gauche percé d’une fine boucle de métal. Puis elle me montre comment l’exciter en jouant avec le bijou coloré. Ses seins sont menus, certes, mais parfaitement en harmonie avec le reste de son corps. Ils sont fermes, chauds, et par-dessus tout, ornés de somptueux mamelons pâles, larges et charnus. Je m’attendais à découvrir un tout petit téton rigide, et c’est une volumineuse corolle qui s’offre à mes caresses. Je suis troublé à l’idée de ce qu’elle a dû ressentir en se faisant percer une partie aussi sensible de son corps. J’ose à peine la toucher.



Je ne résiste pas à l’envie de poser mes lèvres sur ses seins. Elle pousse un petit gémissement de surprise et de plaisir au moment où je frotte le bout de ma langue sur le métal, puis dessine des cercles sur ses mamelons qui se plissent immédiatement. Elle prend ma tête entre ses mains et me serre contre elle.



Malheureusement, à peine ai-je eu le temps de percevoir les premières vagues de désir dans mon ventre et de sentir un peu de chaleur irradier de sa peau qu’elle se dégage pour retourner reluquer mon ordinateur comme si de rien n’était. Le dessin de son dos et de la naissance de ses hanches qu’elle offre à nouveau à ma contemplation me donne des ailes. D’un geste sans équivoque, je me serre contre elle en plaquant mes mains sur son ventre. Elle me laisse faire. Elle va même jusqu’à écarter les jambes. Un semblant d’intérêt ? Peu importe, je profite pour glisser une main entre ses cuisses, et caresser son entrejambe. De l’autre, je commence à décrocher sa ceinture. Je n’en peux plus, je ne vais pas me contenter de rester ainsi derrière elle à la frôler pendant des heures.


Tout en manipulant la souris de l’ordinateur de la main droite, elle tend sa gauche en direction de mon bas-ventre et vient masser la bosse qui ne dégonfle plus depuis qu’elle a posé ses lèvres sur mon cou. La voilà enfin, l’ouverture tant attendue.



Immédiatement, sa peau devient chaude, ses muscles se tendent, elle cambre son dos, comme pour répondre à mon envie d’elle. Je fais glisser son jeans à la hâte le long de ses cuisses musclées, puis me libère de mon froc en tremblant d’impatience. Obnubilé par la bonne aubaine et la vision du cul somptueux qu’elle me tend dans la plus totale impudeur, je prends mon engin en main et monte à l’abordage. La fine protection de son string n’est pas de taille à me retenir, je l’écarte d’un doigt mal assuré et lance enfin mon bassin à la conquête de sa féminité. Juste avant que j’arrive à écarter sa vulve étroite, elle esquive l’assaut d’un mouvement des fesses, et me remets en place d’une voix monocorde, visiblement décidée à ne pas se laisser complètement déconcentrer par mes manipulations débridées.



Il est encore enroulé autour de ses pieds. Je profite du répit que m’impose la fouille de ses poches pour dessiner un long chemin de baisers du creux de ses reins jusqu’au plus profond de ses fesses. Je trouve le sésame à l’aveugle. Tout en sortant le latex de son emballage, je darde ma langue contre sa rosette, le long de son périnée, jusqu’à l’entrée de sa fente déjà trempée de sucs capiteux. Incroyable ce qu’un ordinateur peut faire d’effet à une fille comme elle. Sans cesser de fixer l’écran et de frotter la pulpe de son index sur la roulette de la souris, elle écarte maintenant largement les jambes. J’avance ma bouche et prends possession de sa chatte tout en déroulant la capote sur ma tige.


Elle avait dit aimer sentir la juge se ventouser contre elle, elle va être servie. Un peu agacé de n’être pas encore arrivé à l’arracher à la contemplation de mon ordinateur, je m’applique à la lécher consciencieusement, allant et venant tantôt fermement, tantôt légèrement le long de ses lèvres gonflées de désir. Puis je glisse l’extrémité de ma langue dans son fruit juteux, escalade l’étroit conduit de chair aussi loin que possible, titillant chaque aspérité qui se tend sous mes attouchements.


Enfin, je sens ses hanches s’animer un peu, quelques tressaillements commencent à parcourir son bas-ventre, son souffle s’agite imperceptiblement, un savoureux jus clair coule dans ma bouche. L’alternance des clics droits et gauches sur la souris me semble moins régulière, elle prend visiblement plus de temps pour lire ce qui défile sous ses yeux. J’en profite pour sortir de ma position acrobatique, coincé entre la table de bureau et ses jambes, et me redresse en caressant ses hanches et son dos, tout en laissant ma queue tendue effleurer l’intérieur de ses cuisses. Elle bascule son bassin contre moi, ouverte, prête à m’engloutir au plus profond d’elle. Je la pénètre d’un coup, trop excité pour poursuivre plus longtemps des préliminaires qui semblent de toute façon lui faire moins d’effet que la visite de mes dossiers virtuels.


Est-ce suite au vigoureux traitement que ma bite dilatée lui fait subir, ou à la découverte d’une application inusitée, je n’en sais trop rien, mais il me semble qu’elle me gratifie soudain de contractions intimes plus intenses. Elle masse même carrément ma verge entre les muscles de sa grotte. L’étroitesse du puits qu’elle me laisse fouiller et les spasmes que je sens le long de ma tige me font irrésistiblement approcher du point de non-retour. Si je ne réagis pas, elle va me vider par la seule force de sa musculature génitale. J’enrage d’être ainsi son jouet sexuel, juste bon à exciter les parties de son corps qu’elle ne peut caresser tant que ses mains sont occupées sur le clavier et la souris.


Je tente une diversion en posant mes doigts sur ses seins. Délicatement, je m’empare des anneaux qui les transpercent, et les fais glisser dans les trous. Doucement d’abord, puis de plus en plus rapidement, comme elle me l’a montré. Ses tétons sont dressés, gorgés de sang. Ils répondent avec enthousiasme à la stimulation que je leur offre. Pourtant la belle ne semble pas plus excitée pour autant. Elle continue à manipuler mon PC avec constance et application.


Elle me rend dingue, cette nana, je me sens comme un progiciel malvenu dans un système bien ordonné, un mouchard qu’elle s’amuse à faire décharger en attendant que le bon dossier s’ouvre, celui qui va la faire vraiment mouiller. La colère me donne la force de me retenir et de lui résister. D’un coup, je stoppe toute caresse et la prive de la chaleur de mes mains, ma pointe immobilisée à l’orée de sa chatte. J’ai une folle envie de replonger en elle et de laisser exploser à couilles que veux-tu l’incendie qui embrase mon ventre, mais je suis trop fier pour céder. Le sortilège de son massage vaginal n’est plus efficace, il faudra qu’elle sorte de sa torpeur informatique si elle veut me consommer. Je serai inébranlable…


Un bref instant, nous restons en équilibre, immobiles, comme si elle hésitait entre la reprise de l’inéluctable montée de ma jouissance et l’arrêt de nos jeux érotiques au profit d’une récréation informatique plus stimulante. Comme s’il lui était difficile de choisir entre pénétrer dans mon ordinateur et lui faire cracher ce que recèle son intimité, ou me prendre en elle et me laisser m’épancher au fond de son ventre.


Une éternité plus tard, elle se décide enfin à s’offrir à moi. D’un geste vif, elle lève ses mains du clavier, s’empare de ses bijoux mammaires et commence à étirer ses pointes sans ménagement, jusqu’à ce qu’un long gémissement lui échappe. Douleur ou plaisir, je la connais trop mal pour distinguer. Cédant à l’envie qui devait malgré tout la tarauder depuis mon premier assaut, elle s’appuie sur le bureau et vient s’empaler sur mon membre douloureusement prêt pour une ultime chevauchée. Je me serre contre son dos et la caresse partout où je peux m’emparer d’elle. Ses seins se dressent, impatients de subir de nouvelles tortures. Je les empaume et leur fais subir les derniers outrages.


Un agréable orage déferle alors dans le ventre de la belle. J’essaie tant bien que mal de suivre le rythme endiablé de son bassin et accompagne avec fougue chacun de ses mouvements. Il n’en faut pas beaucoup plus pour qu’elle se mette à jouir bruyamment, m’excitant au plus haut point par la description en ligne de tout ce que ma queue lui fait vivre. Les feulements rauques dont elle me gratifie et surtout les violentes contractions de plaisir qui parcourent son intimité me donnent le coup de grâce. Je me vide longuement en elle, le nez enfoui dans sa nuque, respirant à pleins poumons les multiples senteurs que son corps excité exhale.


Je prends un pied d’enfer, étranglé au fond de sa chatte étroite. Chaque pulsation de ma queue provoque une nouvelle secousse en elle. Elle m’encourage à ne rien retenir, à lui donner encore plus de ce plaisir partagé, à m’enfoncer plus profondément en elle. Je crois qu’elle ferme même les yeux un bref instant, et cesse de regarder l’écran.


Nous restons ainsi arrimés de longues minutes, jouissant de la violence de notre échange jusqu’à la dernière goutte. J’en profite pour déposer quelques baisers sur sa nuque. Elle m’encourage à continuer par de longs gémissements. Je suis aux paradis.


Jusqu’à ce que d’un coup elle m’échappe à nouveau. Sans voir son visage, je sens que son regard est à nouveau accroché par quelques détails de l’écran. Application obsolète, elle va m’effacer de la place de travail si je n’y prends pas garde. Redevenu mou, je ne suis rien à côté du disque dur qu’elle vient de violer. Ses fantasmes se nourrissent d’émoticônes, pas de caresses enfiévrées.


Erreur fatale, redémarrez l’ordinateur. Ou laissez tout tomber, car paradoxalement, elle semble en réalité perdre tout intérêt pour mon ordinateur. Son voyeurisme informatique serait-il malgré tout assouvi, aurai-je vraiment réussi à la combler autant que ma bécane ? Sans m’en dire plus, elle se dégage de mon emprise, réunit ses habits à la hâte et va s’habiller à la salle de bain. J’aurais volontiers goûté de ses charmes à la dérobée, mais elle n’est pas du genre à m’en faire cadeau. C’est le spasme qu’elle recherche, pas ce qui est autour.


Au moment de s’en aller, elle vient tout de même déposer un baiser sur mon cou, dans un abandon presque félin. C’est la dernière sensation que j’aurai d’elle. Sans se retourner, elle enfile son blouson et quitte mon appartement, laissant mon ordinateur ouvert sur une série de dossiers inconnus. Un vrai chantier.


Je m’approche, et découvre le brouillon d’une convention de divorce que j’avais rédigée il y a fort longtemps, alors que j’espérais encore arriver à une séparation à l’amiable avec mon ex. Un truc débile, mâtiné de remords, où je lui laissais pratiquement tout ce que nous avions mis de côté. Avec en annexe une liste de ce que nous avions soigneusement caché au fisc depuis notre mariage. Mais comme elle avait refusé jusqu’à ce jour le divorce apaisé que je lui proposais, je n’avais pas eu besoin de faire trop d’efforts financiers à son égard. L’âge d’or pourrait toucher à sa fin…


En bas de page, je découvre une petite note rédigée par ma visiteuse : « Ta femme avait raison, tu es incorrigiblement naïf, agréablement romantique et délicieusement bien monté. Avec ce que j’ai trouvé dans ton PC, la procédure de divorce qu’elle vient d’ouvrir contre toi va être simplifiée, et elle va pouvoir t’arracher un max. Elle ne t’avait jamais parlé de sa copine juge ? Ni de ses escapades avec le collègue qui a porté plainte contre toi ? Avec ce que ça va me rapporter, je vais enfin pouvoir m’offrir le perçage dont je rêve depuis longtemps. Si tu n’es pas trop rancunier, je t’invite à le découvrir. Je t’en offrirai la primeur, juré ! Je suis sûre que tu ne seras pas déçu de l’endroit ! On reprend langue dès qu’il sera cicatrisé… »