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Temps de lecture estimé : 7 mn
06/06/08
Résumé:  De belles rencontres au soleil.
Critères:  hh vacances piscine voir exhib intermast fellation
Auteur : Alban2  (Homme 30 ans)      
Vacances au soleil

Il y avait déjà pas mal de temps que personne ne s’occupait de moi. J’avais pourtant demandé une boisson sucrée au type qui s’occupait des rafraîchissement depuis au moins un bon quart d’heure. Mais, pour le moment, je ne voyais rien venir. Il fallait donc que j’aille moi-même chercher de quoi apaiser le fond de ma gorge qui devait être au moins aussi sec que le désert du Sahara.


Ni une ni deux, je me levai de mon lit en plastique sur lequel reposait ma serviette bleue et blanche. Autour de la piscine de l’hôtel de luxe où je séjournais, toujours aussi peu de monde, un couple dans la quarantaine, trois potes qui passaient leur temps à vider des bouteilles de rosé, deux amies dans la trentaine assez jolies, et toujours rien à draguer à l’horizon.


Il faut dire que le soleil marocain du mois de juin est cruel en pleine journée et vous mord la peau à une vitesse record. D’où l’absence de touristes autour de la piscine qui devaient certainement préférer passer le milieu de l’après midi à l’abri de températures trop élevées et profiter de la fraîcheur climatisée de leur chambre.


Mais ces réflexions ne calmaient pas ma soif. Je me dirigeai donc vers le bar situé à l’intérieur de cet hôtel où je séjournais en célibataire pour des vacances bien méritées après des semaines harassantes de boulot. Sur certains sites Internet, j’avais lu pas mal de commentaires indiquant que cet hôtel attirait beaucoup les gays européens, ce qui avait grandement motivé mon choix.


Sans me considérer franchement comme homosexuel, j’avais eu quelques expériences furtives avec des mecs depuis que je m’étais séparé de ma petite amie, et j’y avais pris beaucoup de plaisir. Mais partir à la chasse à Paris, où la peur d’être découvert me bloquait, m’avait conduit à choisir un pays loin de mes connaissances pour pouvoir continuer à découvrir le sexe entre hommes en toute liberté.


L’envie d’étancher ma soif et ma libido me conduisirent à m’asseoir au bar près d’un type d’une vingtaine d’années qui sirotait tranquillement un coca glacé. Je commandai une eau pétillante et sentis une sensation délicieuse parcourir mon gosier. Une fois soulagé, je vis que le jeune homme, d’allure svelte et tout à fait dans mes goûts, me regardait avec un regard un peu rieur et moqueur qui montrait combien mes intentions étaient transparentes.


Un peu troublé et, il faut l’avouer, un peu peureux, je plantai mes yeux dans mon eau à bulles. Il se leva finalement et je crus sentir une légère caresse sur mon dos lorsqu’il passa derrière moi.


Je le suivis du regard et vis qu’il se dirigeait vers l’escalier qui descendait vers les douches. J’en étais encore à me demander s’il avait fait exprès de me toucher lorsqu’il se retourna fugitivement, comme pour m’inviter à le suivre. Puis il disparut dans l’escalier.


Mon cœur battait la chamade, j’ai toujours été d’une timidité maladive, mais l’occasion était trop belle pour être ratée. Je pris donc moi aussi l’escalier et me retrouvai dans les vestiaires réservés aux hommes. Là, deux Marocains d’une trentaine d’années finissaient de se dévêtir en discutant l’air de rien. Ils ne remarquèrent même pas ma présence et, une fois nus, allèrent tranquillement vers les douches.


L’inconnu du bar avait bizarrement disparu. Il ne pouvait être que dans la salle de douche commune qu’il était impossible d’inspecter sans y entrer. Je pris donc ma clé de vestiaire, enlevai mon slip de bain, et ouvris la porte de la salle de douche d’où s’évacua beaucoup de buée.


Je tombai nez à nez avec les deux Marocains qui se passaient tranquillement du savon sur le corps. Je ne pus m’empêcher de jeter un coup d’œil rapide sur leurs sexes. Je trouvai l’un d’eux très beau, membre épais surmonté d’un gland marron clair décalotté, qui devait être très gros en érection. Je me mis sous un pommeau de douche, l’eau se mit à dégouliner sur moi. De temps à autre, je regardais la queue du type qui me fascinait et me faisait un peu saliver. Il la lavait devant moi sans complexe, et je dus me retourner pour cacher ma bite qui commençait à grossir.


Lorsque je me retournai, une fois calmé, les deux types avaient disparu. Il restait quelqu’un dans la salle de douche, mais je ne pouvais apercevoir sa silhouette qu’à contre-jour. C’était nécessairement le jeune homme croisé à l’étage mais je n’en étais pas sûr.


Je continuai de faire sembler de me laver tout en fixant mon attention sur ce type qui, depuis que les deux Marocains étaient partis, faisait mousser beaucoup de savon sur son torse. Il fit glisser ensuite le savon vers son sexe et ne se préoccupa que de lui.


En très peu de temps, je vis sa bite s’allonger puis raidir pour atteindre un seuil qui avait l’air maximal. Ébahi par ce spectacle, je sentis moi aussi ma bite durcir et se tendre. Un peu tremblant, je fis quelques va-et-vient avec ma queue pour montrer que j’étais néanmoins prêt à le suivre où il irait.


Il se rapprocha alors et sans rien dire, prit mon sexe avec sa main et le branla doucement. Je pouvais voir de près que sa queue était très belle, épaisse ; le gland avait l’air d’un fruit mûr prêt à éclater.


Ma main saisit alors sa bite et je pus sentir sous mes doigts le membre de chair dur comme du bois. Sans rien dire, on se branla mutuellement pendant quelques secondes. J’avais envie de le faire jouir très fort et me demandai si le sucer était ou non convenable.

Comme s’il avait intercepté ma pensée, il mit sa main sur mon épaule pour m’indiquer que je pouvais m’agenouiller. Je m’abaissai alors, puis me retrouvai devant cette bite dont le gland était recouvert d’un liquide poisseux et transparent.


Je mis quelques secondes avant de me décider à le sucer, les choses jusqu’ici n’avaient jamais été aussi rapides pour moi. Et puis j’aimais la vision de ce beau gland à la ligne fine qui se présentait à moi comme un petit animal aveugle. Avec l’aide de ma main, il se recouvrait alternativement de son prépuce et son odeur mélangée de savon et de liquide spermatique me picorait délicieusement les narines. Finalement, j’ouvris la bouche et commençai à téter ce gland avec douceur.


Je n’avais pas beaucoup d’expérience en matière de fellation, mais à chaque fois j’avais eu l’impression délicieuse de goûter à quelque chose d’interdit et de profondément excitant. Je sentais que toutes les pensées du type que je suçais étaient concentrées sur ce que j’étais en train de faire et je comprenais que c’était réussi quand son attention ne se dispersait pas ailleurs.


Là, je faisais attention à faire coulisser le plus possible son gland entre mes lèvres et j’arrêtais de temps en temps pour faire passer ma langue sur le pourtour du gland en essayant de couvrir un maximum de surface. Le beau gosse adorait visiblement ce que je faisais puisqu’il fermait les yeux et que ses mains s’étaient portées sur ma tête pour que je ne lâche pas prise. Puis il se mit à remuer son bassin pour faire des va-et-vient avec sa bite dans ma bouche.


Comme je n’aimais pas beaucoup ça, je décidai de retirer son sexe de ma bouche et commençai à le branler avec frénésie. Toujours agenouillé devant lui, je gardai sa bite à proximité de mes lèvres et donnai des coups de léchettes de temps en temps.


Je sentais que la tension avait grimpé d’un cran et, pour accompagner la montée en puissance, j’enfournai sa bite de temps à autre dans ma bouche en donnant de brefs et rapides va-et-vient. Soudain, je sentis des secousses agiter sa bite. N’ayant aucune envie de prendre son sperme sur le visage, je détournai sa bite vers au-dessus de mon épaule, tout en continuant à la branler.


Je sentis qu’une pensée diabolique prenait possession de tout son être. Il éjacula avec force, la quantité de sperme qui s’échappa de sa bite m’impressionna. La jouissance dura de longues secondes, j’avais l’impression qu’il se vidait complètement. Je vis la quantité de liquide blanchâtre et visqueuse diminuer progressivement et, au fur à mesure, le rythme de la masturbation que je lui faisais s’adoucissait également.


Je continuai à malaxer doucement le membre qui tendait à ramollir un peu. Pour moi, cependant, l’excitation était encore là, et la vision de ce gland maintenant totalement poisseux me faisait encore envie. Je savais qu’il y avait un danger mais je ne pus m’empêcher de le sucer encore une fois. C’était la première fois que je goûtais le sperme d’un autre et, même si ce n’était pas follement délicieux, je trouvais ça particulièrement excitant. Il me fit comprendre que c’était mon tour, et m’invita à me lever.


Sans une parole, il couvrit mon cou de baisers et commença à me masturber intensément. Son autre main s’aventura dans la raie de mes fesses, à la recherche de mon anus. J’éjaculai très rapidement et je sentis que ma bite avait projeté très loin mon sperme. Une fois la jouissance passée, je me sentis un peu honteux, ne sachant que faire. Je me mis sous une douche, puis me passai du savon pour me laver. Il fit de même et me demanda si ça allait. C’était la première fois que j’entendais le son de sa voix. Je lui fis oui de la tête, on se lava, et sortit rapidement de la salle de douche.


Dans les vestiaires toujours déserts, on commença à discuter, j’avais un peu envie de fuir et de me recueillir. Dans le fond, je n’aimais pas beaucoup ce type de consommation sexuelle, même si j’avais énormément besoin de satisfaire ma libido. Il s’appelait Thomas, était en vacances comme moi. Il m’invita à prendre un verre près de la piscine pour faire plus ample connaissance. Je lui répondis OK, mais plutôt par politesse et pour ne pas tout gâcher. Lorsque j’arrivai près de mon transat, la boisson fraîche que j’avais commandé une demi-heure plus tôt était enfin arrivée.