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Temps de lecture estimé : 15 mn
08/06/08
Résumé:  Jean continue ses négociations avec Marie-Claude et appelle son copain Bébert.
Critères:  fh fhh copains hotel fsoumise voir intermast fellation cunnilingu fdanus attache yeuxbandés -vengeance -occasion -dominatio
Auteur : Mariechriss      

Série : Marie-Claude, jeune fille au pair

Chapitre 16 / 16
Bébert entre en scène

Chapitre 16



Le supplice, enfin tout dépend des goûts, bref, les tourments de Marie-Claude ont continué toute la matinée avec de petites pauses mais rien à boire, rien à manger alors que Jean, lui, est allé se chercher un copieux petit déjeuner. Marie-Claude a juste eu le droit de lécher ses couverts et le fond de son bol. Et puis, les plaisirs de la chair ont repris le dessus, agrémentés de quelques claques sonores quand l’ardeur de Marie-Claude baissait un peu. Elle a tenu le coup mais tout son corps lui fait mal, notamment ses genoux.



Jean la regarde et cherche à évaluer la part de vrai dans tout cela. Certes, cela fait trois heures qu’il abuse de son corps mais bon, elle est jeune et sportive. Il se dirige vers Marie-Claude et la bascule sur le côté puis à plat ventre, ce qui soulage les genoux de sa victime qui soupire d’aise et le remercie d’une petite voix.


Mais la satisfaction de Marie-Claude est de courte durée car Jean entreprend un nouveau jeu. Doucement, il caresse la plante des pieds de Marie-Claude qui sent de longs frissons la parcourir suivis d’une envie de rire qui éclate d’un seul coup.



Jean s’amuse comme un fou. Voilà une idée qui lui apporte plein de ressources, alors voyons comment il peut améliorer ce petit jeu. Oui voilà, c’est ça. Il s’arrête et Marie-Claude croit l’avoir persuadé, mais il la remet vite dans le droit chemin.



Jean sort de la chambre qu’il referme à double tour. Il faut éviter les curieux, même à cet étage, il peut y en avoir. Il va chercher ses petits chatons qui doivent être en pleine forme maintenant, de la crème chantilly en bombe et un pinceau aux poils longs et souples.


Quand Marie-Claude voit cet attirail et les chatons, elle réalise ce qui l’attend. Elle n’est pas déçue. Après lui avoir rebandé les yeux, Jean la barbouille de crème chantilly en insistant particulièrement sur la plante des pieds, les seins et le sexe béant et ruisselant de Marie-Claude. Avec son caméscope, il filme le corps de Marie-Claude en faisant de gros plans sur son sexe, ses seins et toutes les parties de son corps tartinées de chantilly. Puis il lâche les chatons qui se dirigent, la queue fièrement dressée, vers la belle attachée et qui sent si bon la crème fraîche.


Les petites langues râpeuses se mettent en action, ce qui plonge rapidement Marie-Claude dans des transes orgasmiques. Son corps est parcouru de longs frissons entrecoupés d’éclairs de plaisir qui lui nouent le bas-ventre. L’orgasme est proche mais, comme hier, il se refuse car il manque toujours le dernier petit coup de langue au bon endroit qui la ferait s’écrouler de plaisir. Et puis, le rire la prend aussi quand ses plantes de pied sont sollicitées et cela fait refluer son orgasme pour le remplacer par des spasmes nerveux qui la ravissent.


Elle se sent partir dans un monde à part fait de secousses nerveuses, de tensions, de relâchements. Elle n’est plus qu’une boule d’énergie chargée au maximum et elle ne sait plus où elle est, qui elle est, tout son corps est tendu vers le plaisir qui se refuse en permanence, n’aboutit jamais mais est toujours présent. Elle a perdu la notion du temps, de l’espace et son corps vogue, complètement soumis aux langues râpeuses.


SOUMISE, elle est totalement soumise et Jean filme tout ça, pour lui et ses potes. Cette nana, elle est super, il faut que j’en profite un max, mais je ne peux pas laisser Bébert en dehors de ça. Alors, il pose le caméscope et sort pour téléphoner à son pote.



La voix de Jean est un peu ironique.



Jean étouffe un cri. Se peut-il que ce soit la même que celle qui se trémousse depuis des heures dans cette chambre ?



Bébert ne se fait pas prier et, au fur et à mesure, Jean acquiert la conviction que c’est bien la même. Alors naît en lui une idée amusante et il propose à Bébert de venir le voir à l’hôtel sous un prétexte bidon. Trop content de lâcher son balai une heure, il accepte et va se préparer pour rejoindre son ami. Il a bien senti, dans sa voix, un mystère mais cela ne l’inquiète pas. Jean est son ami et il ne peut pas y avoir de coup fourré dans son invitation, tout au plus du plaisir à prendre.


En arrivant à l’hôtel, il salue la réceptionniste d’un geste rapide et monte au dernier étage, là où Jean lui a donné rendez-vous. Le silence règne à cet étage. Il frappe à la porte et Jean vient lui ouvrir aussitôt.



Jean sourit.



Les deux hommes traversent la suite et vont dans la chambre des plaisirs. Bébert aperçoit une femme de dos, solidement attachée, dans une position bandante à souhait, et autour de laquelle de petits chatons s’affairent pour enlever la crème chantilly qui recouvre une partie de son corps. Le corps de la femme est agité de soubresauts, de spasmes nerveux et elle gémit, halète, vibre. Son corps est parcouru de frissons, de vibrations.



Jean entraîne Bébert dans la pièce et ils font le tour du corps, objet de tant de plaisirs refoulés. Le découvrant de face, Bébert s’immobilise, tétanisé sur place par la surprise. Sa main se porte à sa bouche pour étouffer un cri de surprise et il sent sa queue qui réagit pour lui. Elle devient dure et son jeans le gêne. C’est pas possible, c’est pas elle… Si, bon dieu de bon dieu ! Son regard interroge Jean qui sourit à son ami. Il entraîne Bébert dans la salle de bain et il lui demande :



Les deux compères rigolent et sortent de la salle de bain. Que la fête soit belle !


Marie-Claude est toujours soumise aux caresses des langues félines et ne s’est rendu compte de rien. Les yeux bandés, les sollicitations permanentes de son sexe, de ses pieds, de ses seins sur lesquels un chaton s’est perché, les muscles qui lui font un peu mal, la faim qui la tenaille et la soif aussi, elle n’est plus à même de saisir ce qui se passe en dehors de tout cela. Mais, elle sent que quelqu’un s’approche d’elle et retire un à un les chatons. Une voix, celle de Jean, lui susurre des mots doux à l’oreille pendant que ses mains la caressent doucement pour faire naître en elle de nouvelles sensations.



Avec des gestes lents, il détache Marie-Claude mais lui intime l’ordre de garder son bandeau. Ne l’enlever sous aucun prétexte sinon la punition serait terrible et, pour bien se faire comprendre, il lui prend fermement les deux tétons entre ses doigts mais sans trop les serrer. Marie-Claude frissonne, elle a compris la menace.



Il la prend par la main pour la guider et la fait asseoir devant un plateau qui sent bon. Marie-Claude ne se fait pas prier, et, à tâtons, elle prend un à un les gâteaux, les boissons qui se trouvent devant elle et, un quart d’heure après, elle est repue et désaltérée. Un petit rot conclut ce repas, preuve de sa qualité !



Jean s’exécute et Marie-Claude revient en suivant le mur d’une main.



Mais c’est la main de Bébert qu’elle saisit et il l’entraîne vers la douche pour la laver un peu. Quand Marie-Claude entend l’eau couler, elle a un geste de recul mais Jean la calme aussitôt.



Bébert et Jean sont nus aussi et Marie-Claude est mise sous le jet d’eau dont la température est idéale. Deux mains la savonnent avec adresse et elle sent revenir en elle les prémisses de nouveaux plaisirs, elle s’abandonne à ses mains qui savent si bien l’émouvoir. Ses seins, son sexe, ses fesses, son cul, rien n’est oublié et elle apprécie tout cela après cette matinée si rude et si forte en émotions. Son sexe est mouillé de liqueur féminine, pas de savon. Deux doigts fouillent doucement son intimité et elle se laisse faire. Elle écarte largement ses cuisses et les deux doigts sont remplacés par une langue experte qui parcourt sa fente et son clitoris.



Bébert sourit car c’est lui qui lutine Marie-Claude, pas Jean. Il bande dur comme fer et il a bien envie de se glisser dans la fente de celle qui le fait languir depuis des semaines. Mais, c’est encore trop tôt, alors il se place devant elle et la force à baisser la tête pour qu’elle lui suce la queue. Marie-Claude s’en empare goulûment, elle a faim de sexe, elle veut des coups de queue, elle veut se faire défoncer par une queue, c’est plus fort qu’elle, alors elle se tourne et présente son cul à cette queue qu’elle vient de sucer. Mal lui en prend car une main se pose sur ses cheveux pour les tirer en arrière et la ramener dans sa position de suceuse.



Marie-Claude a repris la queue dans sa bouche mais c’est celle de Jean maintenant. Elle sent bien une différence, mais elle est trop perturbée, excitée, pour vraiment prendre cet élément en compte. Deux mains lui massent les seins et titillent fermement ses tétons. La queue s’enfonce plus profondément dans sa bouche et elle commence à perdre le contrôle de la situation. Elle s’active sur la queue mais Jean qui approchait de l’orgasme se retire et laisse Marie-Claude la bouche grande ouverte. La queue de Bébert s’y glisse à nouveau et elle se remet à la sucer avec ardeur. Le jeu continue une bonne demi-heure et Marie-Claude commence à douter de ses talents de suceuse. Jamais un homme ne lui a résisté comme cela. Jean a compris ses doutes.



Bébert est aux anges, sa Marie-Claude en prend plein la gueule et il en profite au-delà de ses rêves les plus fous.



Jean l’essuie d’un geste large sans précautions particulières et il la tire par la main pour l’allonger sur le lit, en travers. Ses jambes sont écartées fermement et une queue se glisse en elle jusqu’au plus profond de son vagin. Bébert se régale, enfin il goûte ce vagin et lui, il connaît sa capacité à faire jouir une femme dans cette position. Alors, lentement, il pénètre Marie-Claude, lui caresse le fond du vagin et ressort doucement, puis recommence et ainsi de suite en suivant les gémissements de Marie-Claude. Elle se tord de plaisir et, pour amplifier le mouvement, Jean la branle doucement en tournant autour du clitoris sans vraiment le toucher.


Marie-Claude est repartie dans un nuage de plaisir, son corps est parcouru de vibrations douces et violentes, son bas-ventre est en feu et elle cherche à accélérer le mouvement. Chaque fois, Bébert se retire et attend qu’elle se calme et, après, repart dans ses mouvements. Cela dure longtemps jusqu’à ce que les deux amis décident de la faire jouir une bonne fois. Alors Bébert augmente progressivement l’ampleur de ses coups de reins et Jean précise ses caresses sur le clitoris de Marie-Claude.


Le feu de l’excitation monte dans le ventre de Marie-Claude, elle se cambre, elle durcit ses abdominaux mais ce n’est pas elle qui peut maîtriser sa jouissance, alors elle se laisse glisser dans un plaisir gigantesque qui l’envahit des pieds à la tête, qui la prend comme une tornade, un cyclone et la fait exploser d’un coup dans un long cri de plaisir. Elle se cambre comme un arc, la flèche est en elle et ne la quitte pas, ses coups sont de plus en plus violents.



De longs soubresauts agitent son corps et Bébert continue à la besogner. Il est lui aussi pris dans un orgasme qui le foudroie. Son sperme jaillit et inonde le ventre de Marie-Claude qui sent cette liqueur chaude couler en elle au plus profond de son intimité. Elle contracte au maximum son vagin comme pour presser un citron et elle agite son bas-ventre, elle veut lui vider les couilles, le rendre heureux, l’épuiser, se faire pardonner ses écarts de ce matin. Alors elle continue aussi longtemps qu’elle sent la queue de « Jean » en elle. Au bout de quelques instants, le membre diminue de taille pour redevenir le petit oiseau tendre qu’elle aimait caresser avec ses doigts et sa langue dans les moments de tendresse.



Il guide la main de Marie-Claude vers son sexe et Marie-Claude pousse un cri de surprise.



Marie-Claude est interloquée mais, elle doit se rendre à l’évidence, Jean bande comme si rien ne s’était passé, comme si elle n’avait pas été capable de le vider complètement. Marie-Claude se tait, elle est vaincue, une fois de plus, elle qui se croyait la reine des videuses de couilles.


Elle n’est pas surprise quand quelques minutes après, ses jambes sont à nouveau écartées sans ménagement, posées sur les épaules de Jean et qu’une queue en pleine forme la pénètre doucement pour recommencer des va-et-vient lubriques. Elle se laisse aller à la douceur de ce membre et sursaute un coup quand un doigt s’enfonce dans son cul alors qu’un autre la branle doucement puis de plus en plus fermement. Le mélange de ces trois intrusions la soumet à un jeu de sensations nouvelles. Tout cela est amplifié car elle sent couler sur ses seins un liquide froid suivit par des miaulements qu’elle connaît bien.



L’excitation monte dans le corps de Marie-Claude et, malgré elle, elle prend plaisir à ces multiples caresses, elle est prise de tous les côtés et son bas-ventre se durcit de nouveau. Elle ondule sous les coups de queue pour lesquels douceur et violence alternent à un rythme particulièrement adapté. Elle se laisse aller et prend tout le plaisir que Jean lui donne. Elle doit bien se rendre à l’évidence, il est en pleine forme et il va la faire jouir encore une fois.


Elle se cambre, elle durcit ses abdominaux mais elle n’est toujours pas en mesure de se faire jouir, alors elle se laisse glisser dans un plaisir gigantesque qui l’envahit des pieds à la tête. Elle explose d’un seul coup, surprise elle-même par la violence de sa jouissance. Un long cri de plaisir sort de sa gorge et les chatons s’enfuient dans tous les sens, effrayés. Elle se cambre et donne des coups de reins saccadés. De longs soubresauts agitent son corps, Jean et Bébert continuent à la besogner et Jean aussi est pris dans un orgasme qui le foudroie.


Il se retire de son vagin à ce moment-là et un long jet de sperme inonde le ventre et les seins de Marie-Claude. Jean se branle vigoureusement pour faire durer le plaisir et priver Marie-Claude de sa présence. En fait, il s’écarte doucement et Bébert prend sa place. Il a retrouvé une forme honorable et pénètre Marie-Claude sauvagement. Il la prend toute chaude, toute vibrante des assauts de Jean. Marie-Claude pousse un cri de surprise et se cambre comme pour se retirer, se sauver de cette queue démoniaque qu’elle n’arrive pas à faire débander même si elle a constaté un léger fléchissement pendant un court instant. Elle se débat mais deux mains la plaquent et la voix de Jean retentit.



Les deux mains s’emparent de ses jambes et la queue sort de son vagin. Elle est retournée comme une crêpe, mise à genoux sur le lit et ses cuisses sont écartées sans possibilité de résistance. Ses deux bras sont ramenés dans son dos. Bébert les saisit et enfonce sa queue dans le vagin de Marie-Claude. Il la tient fermement et se met à la besogner sans ménagement. Ses coups de queue sont amples et puissants, son bas-ventre tape sur les fesses de Marie-Claude et il sent monter en lui un plaisir puissant qui l’envahit complètement.


Tout son ventre résonne, vibre, durcit sous les coups de reins. Les fesses de Marie-Claude sont dures. Le plaisir s’amplifie brutalement et il jouit dans un râle puissant en tirant sur les bras de Marie-Claude pour la pénétrer le plus profondément possible. Il est planté en elle et il la sent vibrer. Elle n’a pas joui mais tout son corps est repu de plaisir. Cette dernière chevauchée la laisse épuisée, vidée, comme si un rouleau compresseur lui était passé dessus. Elle s’écroule sur le lit. Bébert et Jean se regardent en riant sous cape. Jean se couche contre Marie-Claude pendant que Bébert se rhabille et sort en silence en saluant son ami en levant un pouce. Chapeau pour la séance.


Jean caresse doucement Marie-Claude et tous les deux s’endorment repus, comblés, les nerfs apaisés et le cœur content.



FIN DE LA SÉRIE





Eh oui, même les meilleures choses ont une fin ! Ce chapitre sera donc le dernier du moins en ce qui me concerne. L’épilogue de cette histoire est… ce que vous voulez qu’il soit.


Marie-Claude peut continuer ses aventures avec Jean avant de souhaiter à sa manière, l’anniversaire de Kamel, qui, après tout, l’a bien mérité !


Et après, ben elle va retrouver son Bébert et le faire bosser à sa façon mais sans savoir qu’elle a joui comme une folle de ses œuvres. Aura-t-il le courage de lui dire la vérité ou, au contraire, attendra-t-il patiemment que Marie-Claude lui accorde ses faveurs ?


À vous de décider.


Bonne continuation à vous tous et si vous avez aimé cette histoire, dites-le-moi. Quant à moi, je me retire sur mes terres pour m’occuper de ma dulcinée.