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n° 12632Fiche technique24718 caractères24718
Temps de lecture estimé : 15 mn
10/06/08
Résumé:  Un scénario écrit à deux. Chaque changement de personnage correspond à un échange par mail et chaque réponse est une occasion d'entraîner l'autre dans son univers, d'exprimer avec ses mots son regard sur la scène.
Critères:  fhhh inconnu parking fsoumise
Auteur : Carole M            Envoi mini-message
Chantage : Jour 1

Ce scénario écrit à deux est une initiative d’un lecteur comme vous. Chaque changement de personnage correspond à un échange par mail et chaque réponse est une occasion d’entraîner l’autre dans son univers, d’exprimer avec ses mots son regard sur la scène. Nous avons pris beaucoup de plaisir à l’écrire et nous espérons que vous en prendrez autant à le lire. Bonne lecture…






LUI :



Depuis combien de temps cette arriviste me pourrit-elle la vie ? Elle est arrivée de Lyon sans crier gare et elle a pris la direction de l’Agence, un poste qui n’aurait jamais dû m’échapper. Carole est moins expérimentée que moi, moins compétente (en tout cas je le pense). Elle cristallise toutes mes frustrations et rancœurs professionnelles, au point de perturber ma vie privée. Je suis devenu imbuvable avec tout le monde et mon amie vient de me larguer.


Je ne sors plus que pour aller et revenir du boulot et je me referme sur moi-même de jour en jour. Carine me manque ou tout au moins, nos parties de jambes en l’air me manquent. Je compense mon état de manque comme je peux, en passant mes soirées et mes nuits à surfer sur des sites pornos, mais sans parvenir à rassasier mon envie d’une vraie femme, en chair et en os, d’une gourmande disponible et ouverte à tout.


Un soir, mes tergiversations sur la toile m’ont amené par hasard sur un site lyonnais de libertinage. J’ai fait le voyeur sur la webcam du club, maté sans conviction quelques photos, échangé sur le forum deux ou trois liens vers des sites intéressants et alors que je pensais à me déconnecter, une photo a attiré mon attention. On ne distinguait pas très bien la femme dont le visage était volontairement flouté, mais c’était visiblement une sacrée salope et elle avait de troublants points de ressemblance avec Carole.


Ce rapprochement dans mon esprit était peut-être dû à la ville du site ou à l’idée, non déplaisante, d’imaginer ma nouvelle directrice soumise à plusieurs hommes. Quoi qu’il en soit j’ai profité de la présence du Webmaster sur le tchat pour essayer d’en savoir plus sur cette femme. Ma question l’a rendu intarissable. J’ai appris qu’il s’agissait bien d’une Lyonnaise d’une grande beauté, qui dégageait un puissant érotisme. Il me l’a décrite comme une vicieuse extrême et ce bougre commençait à m’intéresser. Il me fallait une femme soumise à mes envies et celle-ci semblait faire l’affaire. J’ai alimenté le débat dans le but de décrocher son numéro de téléphone, mais en vain. Il n’y avait qu’un reportage photo piraté lors d’une soirée d’adieu. Quel loser ! Tant pis ! Je me contenterais de feuilleter ce diaporama en m’astiquant le manche, passablement émoustillé par l’opportunité que j’avais entrevue… C’était moi le loser en fait !


J’ai téléchargé le diaporama avec le moral en berne. Il me fallait du réel et une série de photos ne nourrirait pas mon avidité de sexe. Les premières photos montraient effectivement une femme d’une grande classe, masquée certes, mais qu’on devinait très belle. Elle avait la peau blanchâtre, la silhouette fine et élancée, les seins massifs et rebondis. Je fantasmais dur. Le classement chronologique montrait une montée progressive de la soumission et de l’érotisme. De son arrivée, dans une tenue déjà sulfureuse, à son effeuillage complet, la femme restait masquée. Son visage ne se dévoilait que lorsqu’elle devait se démasquer pour sucer un des protagonistes. La photo était lointaine et de 3/4 arrière, mais on distinguait sa chevelure ainsi qu’une faible partie de son visage. Sa ressemblance avec Carole était de plus en plus troublante. J’ai continué à rapidement feuilleter le diaporama et là j’ai cru vivre un rêve éveillé. Il n’y avait plus de doute possible, c’était bien Carole, ma nouvelle directrice. J’ai arrêté net de me masturber et je suis resté pétrifié devant sa photo, bouche bée. Je suis peut-être resté trente secondes sans bouger, sans rien faire, et là il se produisit une chose exceptionnelle : j’étais en train d’éjaculer sur mon clavier et mon écran sans aucune stimulation physique.


Je ne réfléchissais plus. D’instinct, j’ai enregistré le diaporama et je l’ai envoyé sur ma boite pro. J’ai essuyé l’écran et mon clavier, je me suis couché et je me suis endormi quasi instantanément, libéré des tensions de ces dernières semaines.

J’allais joindre l’utile à l’agréable, je me sentais le maître du monde, je sentais pour la première fois que je la dominais et Dieu que c’était bon…


Le lendemain je n’ai rien fait au boulot. Ce reportage affolait mes sens et je n’ai pas débandé de la journée. Je suis resté assis à attendre d’être seul pour la mater discrètement. J’adore cette photo où on la voit nue en levrette, les seins tombants, avec son visage maculé de sperme et qui fixe l’objectif.




ELLE :



Cela ne pouvait plus durer. Depuis mon arrivée Loïc était d’un piètre soutien alors que j’avais besoin de lui pour prendre en main l’agence. Pour combler le tout voilà maintenant qu’il me narguait en me regardant bosser toute la journée pendant qu’il gobait les mouches. On me l’avait pourtant vendu comme un excellent collaborateur, sur lequel je pouvais m’appuyer. Il était temps qu’on ait une sérieuse discussion.


Je suis entrée dans son bureau avec la ferme intention de mettre les points sur les "i", et j’ai trouvé ce salaud en train de mater des photos de cul sous mon nez alors que je pouvais le surprendre à tout moment. Je ne parle pas d’une simple midinette qui pose pour Playboy, on en était même très loin. L’écran partiellement masqué par l’épaule de Loïc affichait une scène vraiment obscène, avec une salope qui se faisait copieusement baiser, bien en premier plan et plusieurs mecs qui se masturbaient en attendant leur tour au second plan.


Je me suis approchée pour lui passer le savon de sa carrière et, arrivée à sa hauteur, j’ai été stoppée net. La salope qu’il matait en train de se faire copieusement baiser… c’était moi, bien en gros plan.


J’ai dû rester figée une bonne minute avant de reprendre mes esprits, d’éteindre son ordinateur et de lui demander de me suivre dans mon bureau. Pendant l’entretien Loïc m’a enfin donné un aperçu de ses talents cachés, à mes dépens. Le salaud était un brillant et redoutable négociateur. J’ai bien entendu immédiatement demandé sa totale discrétion sur ce qu’il pouvait savoir de ma vie privée et à ma grande surprise il me l’a accordée sans difficulté.


Loïc était intimement convaincu qu’on allait trouver un accord. J’avais besoin de sa discrétion et d’un collaborateur efficace alors qu’il avait besoin d’une « bonne salope bien soumise ». Il avait besoin d’évacuer ses frustrations et d’oublier ses récents déboires sentimentaux. Pour lui l’accord parfait coulait de source : il savait être discret et efficace et j’étais de toute évidence une bonne salope bien soumise.


J’ai finalement accepté tacitement l’accord en ne refusant pas son rendez-vous pour le soir même, chez lui, dans la tenue que je portais pour ma sauterie. Même aujourd’hui je suis incapable de dire ce qui m’a poussé à accepter, les raisons se mélangeaient les unes aux autres, mais les perspectives d’une expérience de réelle soumission sexuelle ont fortement pesé dans la balance.




LUI :



Carole arriva chez moi à l’heure convenue et dans la tenue exigée. Sous un long manteau noir se cachait une guêpière noire et blanche, des bas et un petit string assorti. Je fantasmais depuis 24H à l’idée de la voir arriver chez moi dans cette tenue, j’avais imaginé plein de choses à faire pour mon plaisir personnel mais je tenais d’abord à la voir se faire humilier.

Le rez-de-chaussée commercial de mon immeuble était en travaux et la grande vitrine avait laissé sa place à un gros grillage anti-effraction. J’avais décidé d’y exposer Carole dans sa tenue, à la vue des passants nocturnes.

Elle se prêta au jeu sans grande difficulté et on voyait que les photos lyonnaises ne reflétaient pas à tort l’image d’une belle vicieuse. Ce n’était pas un montage photo, oh non ! Carole semblait prendre son pied à se faire mater en vitrine.

Les passants commençaient à s’agglutiner contre la grille, alléchés par cette exhibition charnelle. Carole, masquée, se tenait à deux mètres de la grille. Elle se caressait comme si elle commençait un strip-tease pour son amant… sauf que là ils étaient une dizaine à être collés contre la grille. On aurait dit un match de boxe, les hommes la haranguaient "vas-y", "t’es bonne"… Puis un des gars a compris le jeu de la soumission.



Carole entendit mon approbation dans le brouhaha de l’attroupement et s’approcha devant les hommes qui tendirent leurs mains à travers la grille. Des bites commençaient aussi à passer à travers les mailles de la grille pendant que d’autres se masturbaient.

Sous mes yeux ébahis, je vis Carole s’approcher encore et caresser de la main les queues qui dépassaient. Elle se déplaçait le long de la grille pour flatter les queues de la main tandis qu’elle se faisait copieusement peloter. Carole a bien dû faire ainsi quatre allers-retours avant de s’agenouiller au centre de l’attroupement. Sur le coup je n’ai pas osé y croire mais c’était bien dans l’idée de sucer un des inconnus. Elle a commencé sa fellation et ses mains sont parties à la recherche de deux queues à masturber. La foule était hystérique, je ne maîtrisais plus rien.

Je l’ai vue engloutir bite après bite, fellation après fellation, répondre aux appels lorsqu’on lui demandait de s’approcher pour jouir sur elle. Elle se faisait juter dessus, de partout et elle continuait méthodiquement à satisfaire les queues qui se présentaient. Il y avait même des couples qui s’arrêtaient et une femme qui se laissait franchement peloter par son amant. Je matais tout cela discrètement de l’arrière-boutique, quand j’aperçus une lumière bleutée qui me fit bondir vers Carole pour l’attirer vers l’arrière-boutique. Lorsque nous avons quitté la salle, la foule s’agitait toujours contre la grille…

La police avait dû être prévenue d’un attroupement et était en train de faire une descente. Devant l’ascenseur, Carole tremblait. Je ne saurais dire si c’était de peur, de désir ou de froid…




ELLE :



Je n’en revenais pas. Loïc m’avait immédiatement offerte en pâture à des inconnus. Certes il y avait un solide grillage entre nous, mais avec une telle entrée en matière je n’osais pas imaginer ce qu’allaient être les jours et les semaines à venir. Je sentais monter en moi un mélange d’appréhension et d’excitation, sans être capable de repérer ce qui me faisait trembler ainsi : l’adrénaline ou l’excitation.


Le sperme encore chaud coulait sur mon visage et dégoulinait sur mes seins. Loïc semblait être aux anges. Son regard et son sourire en disaient long sur sa satisfaction. Jamais je ne m’étais offerte à un tel vicieux, je n’avais déjà plus aucun doute sur ce point. Sans dire un seul mot, Loïc ramassa de ses doigts quelques coulées de sperme pour les mettre dans ma bouche.


Il me fixait droit dans les yeux. Son regard franc transperçait le mien pendant que je suçais ses doigts et que je déglutissais le sperme. Il fit durer ce jeu jusqu’à ce que l’ascenseur arrive à son étage et que la porte s’ouvre. Pendant toute la montée, Loïc a nonchalamment ramassé le sperme qui me recouvrait, pour le mettre dans ma bouche. Il ne m’a lâché du regard qu’une fois arrivés à son étage.



Cinq minutes plus tard j’étais de nouveau devant Loïc, nue dans ma guêpière noire et blanche, avec mes bas et mon masque. Au string près nous étions revenus à la case départ…




LUI :



Savoir que cette femme allait être mienne pour les heures, les jours et les semaines à venir, m’excitait au plus haut point. Quel show elle avait fait en bas ! Elle avait plus que comblé mes espérances, elle était allée au-delà de ce que je pensais, sans que je le lui demande et du premier coup. Cela promettait pour la suite des évènements. Quelle vicieuse ! Ou bien n’était-ce que de la peur de se griller professionnellement ? Vicieuse ou arriviste, dans les deux cas c’était de toute évidence une salope comme je les aime.


Je m’étais affalé dans mon canapé avec un verre de single malt pour reprendre mes esprits. Il ne me fallait pas perdre pied ou plutôt il fallait être vif pour profiter de la situation et prendre pleinement son pied. Une occasion comme celle-là ne se présente qu’une fois dans une vie. Vautré sur mon canapé je repassais la vidéo de ses exploits, filmés avec le caméscope que j’avais installé dans le magasin avant son arrivée.


Lorsque Carole se représenta devant moi je ne pus qu’admirer sa beauté. Tout se mélangeait dans ma tête. Je craquais pour son physique et je la désirais fortement tout en la haïssant pour m’avoir professionnellement supplanté. Elle se tenait silencieuse et dégageait toujours cette classe naturelle, même si à mes yeux elle n’était plus qu’une bonne salope.


À sa grande surprise j’ai commencé par lui offrir un collier de bonbons, comme ceux qu’adorent les gamins. Il restait neuf bonbons blancs, un vert et un rose. Je lui ai expliqué qu’elle allait devoir garder ce collier autour du cou jusqu’à ne plus avoir de bonbons dessus. Je lui demanderais de faire des choses et à chaque action validée elle aurait le droit de croquer un bonbon blanc. Elle aurait le droit de refuser une fois, grâce au bonbon rose et je pourrais lui imposer une fois, grâce au bonbon vert. Elle devrait le porter jour et nuit, au travail comme dans la rue, chez elle comme chez moi.





ELLE :



Avec un autre amant et dans d’autres circonstances, j’aurais immédiatement croqué le bonbon rose en le regardant droit dans les yeux mais avec Loïc la provocation était inutile voire déraisonnable. Il était plus sage de gagner tranquillement le premier bonbon blanc avec cette épreuve facile. Me voir sucer des inconnus dans le magasin désaffecté avait dû fortement influencer Loïc pour cette première demande et ce n’était pas pour me déplaire.


Je ne sais pas si c’est une pratique courante chez les couples, mais personnellement j’ai toujours aimé agrémenter un film en prodiguant à mon partenaire de longs préliminaires improvisés. J’attends qu’il s’installe dans le canapé du salon et je me blottis en chien de fusil au-dessus de lui pour placer son sexe à la portée de ma bouche. Je peux ainsi regarder la télé et jouer avec son sexe, le faire glisser entre mes lèvres, le lécher, le suçoter. C’est d’ailleurs ces petits moments privilégiés, hérités de mon adolescence, qui ont développé chez moi un goût prononcé pour les fellations. J’aime profiter des petits moments de détente à deux pour caresser mon amant et faire glisser sur ma langue son sexe doux et chaud. Je ne cherche pas à le faire jouir mais juste à le tenir proche du point de non-retour pendant de très longues minutes. J’ai acquis dans le domaine une très longue expérience avec mes premiers amants, principalement pendant nos heures de télévision. Elles ont fait de moi une redoutable suceuse qui sait maintenir son partenaire à la limite de l’orgasme ou le faire jouir quasiment sur commande. Une capacité qui m’a ensuite été très utile pour mener à bien des fellations dans des endroits complètement fous ou dans des circonstances vraiment inconvenantes.


J’ai pris la télécommande et remis à zéro l’enregistrement pour que Loïc puisse me revoir en train de sucer avidement les queues qui s’offraient à moi, pendant que je m’occuperais exclusivement de lui. C’était aussi ma manière de lui montrer que j’acceptais son enregistrement et que j’avais confiance en son accord de discrétion vis-à-vis de mes connaissances professionnelles ou privées.


La caméra avait été placée au fond du magasin et on me voyait de dos, la devanture du magasin face à moi. Le salaud avait tout organisé avant mon arrivée.


J’ai pris le temps de regarder les premières secondes de l’enregistrement, lorsque je fis tomber mon manteau à mes pieds avant de caresser mes seins face à la devanture du magasin. Je n’ai pas regardé la suite. J’ai tourné le dos à la télévision et me suis installée à genoux entre les jambes de Loïc. Il m’a regardée déposer ma montre à sa droite pour suivre le décompte des minutes et m’a laissée dégrafer lentement son pantalon pendant qu’il sirotait tranquillement son whisky.


J’ai pris tout mon temps pour sortir sa queue qui me semblait déjà familière et qui allait être au centre de mes tribulations érotiques pour les semaines à venir. Elle était là… juste sous mes yeux, fière et appétissante. Je ne sais pas si Loïc a décelé la petite étincelle dans mes yeux lorsque j’ai posé mon regard sur son sexe, mais sa queue m’a tout de suite plu et je n’étais pas mécontente d’avoir à subir ses assauts multiples et variés dans un futur proche. Une fois son sexe entièrement dégagé, je l’ai décalotté et j’ai placé ma tête en dessous pour le lécher doucement sur toute sa longueur. J’ai pris tout mon temps pour remonter le long de sa queue, la bouche grande ouverte et la langue entièrement sortie pour bien l’appliquer sur toute la surface de sa hampe.


Je lui ai ensuite montré l’heure exacte pendant que je titillais son gland à petits coups de langue. Je le regardais droit dans les yeux et lorsque la trotteuse est passée sur le zéro j’ai commencé à le sucer à fond, en donnant beaucoup d’amplitude, la langue bien collée contre sa queue pour qu’elle glisse de haut en bas sur sa hampe au gré de mes mouvements. Ma main droite aussi s’activait, elle accompagnait ma bouche et le masturbait à la même cadence. En moins d’une minute j’ai senti sa queue se raidir comme du roc dans ma bouche. Si le défi avait été de le faire jouir dans la minute, je pense que je l’aurais gagné. Il ne me restait plus qu’à baisser le rythme pour le maintenir ainsi pendant les longues minutes qui restaient. Mon rythme est alors devenu beaucoup plus lent, je me contentais d’offrir à sa queue un joli fourreau bien humide et bien chaud. De temps en temps j’ouvrais grand la bouche et je tenais sa queue juste au-dessus de ma langue en le masturbant légèrement, comme pour l’inviter à éjaculer sur ma langue. Je le titillais en prenant soin de bien gérer son point de non-retour. Lorsque Loïc « redescendait », je reprenais de l’amplitude pour l’avaler entièrement et déposer mes lèvres contre ses bourses. Sa queue se tendait alors à nouveau au maximum pour me remplir entièrement la bouche et s’enfoncer un peu plus loin dans ma gorge. Dans cette position, avec le nez collé contre son ventre et son sexe entier dans ma bouche, j’avais du mal à respirer. Mais je savais que je devais attendre avant de pouvoir remonter lentement. Je devais attendre sans bouger pour qu’il n’explose pas dans ma bouche… avant de remonter en l’aspirant à fond pour l’inviter à nouveau à éjaculer.


Je me suis amusée à varier ainsi le rythme pendant le temps demandé, tandis que Loïc était complètement absorbé par ma fellation, les yeux fermés et le corps aussi tendu que sa queue, attendant la délivrance. Lorsqu’on est entrés dans la quinzième minute j’ai sorti Loïc de sa transe pour lui montrer de nouveau l’heure, puis j’ai resserré mes lèvres et j’ai accéléré radicalement le rythme en utilisant toute l’amplitude de sa queue. J’avais eu tout le temps nécessaire pour régler mes mouvements et exploiter bien à fond sa queue. Je suis remontée jusqu’à son gland avant de redescendre bien à fond contre ses couilles. Il n’était plus question de laisser à Loïc une seule seconde de répit et les premières giclées ont frappé mon palais bien avant la fin de la minute fatidique. J’ai alors enserré sa queue et j’ai attendu que Loïc finisse de jouir dans ma bouche avant de le libérer.


Je l’ai ensuite fixé, la bouche encore pleine de son foutre chaud, et j’ai attendu qu’il réagisse, assez fière de moi.




LUI :



Carole suçait divinement bien. Elle avait réussi l’épreuve de la fellation minutée avec brio, j’allais dire haut la main, mais dans le cas présent sa main était plutôt restée en bas. Je la regardais me finir et aspirer les dernières gouttes de ma semence avec une délectation non dissimulée. Elle avait largement mérité son bonbon blanc…


Sa fellation m’avait mis l’eau à la bouche… et ce n’était pas moi qui avais la bouche pleine ! Mon imagination fourmillait. Non seulement Carole semblait se plier à la lettre à mes exigences, mais en plus elle en retirait un plaisir qu’elle avait du mal à dissimuler.


Je me sentais pousser des ailes. J’avais envie de la prendre, de la baiser comme une chienne. J’ai retiré mon jean et mon caleçon, et je l’ai retournée pour qu’elle s’appuie sur la petite table pendant que je me plaçais derrière elle. Pas le temps ni l’envie de la préparer avec quelque préliminaire que ce soit. J’ai glissé ma main entre nous pour placer ma queue à l’entrée de sa chatte et me suis aperçu que de toute manière, Carole n’avait aucunement besoin d’être préparée, c’était une éponge chaude et humide. Je l’ai penchée en avant et je me suis enfoncé en elle jusqu’à la garde. Son sexe chaud était d’une étroitesse étonnante pour une femme de son âge. Il est vrai que Carole était magnifiquement conservée. Pour s’en convaincre, il suffisait de contempler sa croupe musclée qui rebondissait sous mes coups de reins.


J’alternais coups de reins puissants et coups de reins précis, alors que Carole s’accrochait à la petite table pour ne pas s’affaisser à chaque pénétration. Chacun de mes mouvements lui arrachait un soupir plus prononcé et je sentais sa jouissance monter en même temps que la mienne.


Le rythme soutenu, la situation, ses cris, la chaleur de son sexe étaient enivrants. Je sentais la sève monter dans mon tronc et je me suis retiré pour asperger ses fesses, sa raie et son dos. Comme c’était bon de jouir ainsi…