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n° 12637Fiche technique14542 caractères14542
Temps de lecture estimé : 9 mn
13/06/08
Résumé:  Après une soirée entre amis, dérapage contrôlé avec une créature pleine de sensualité... et quand même bien membrée.
Critères:  inconnu grossexe trans intermast fellation nopéné -transsex
Auteur : Chopito      Envoi mini-message
Copain copine...

De sortie avec un groupe que je ne connais pas trop ou disons plutôt pas depuis longtemps, nous faisons le tour des bouchons lyonnais pour trouver l’endroit idéal pour manger et bavarder tranquillement.


Il y a deux copines assez libérées, deux hommes, artistes dans l’âme et larges d’esprit et… une superbe créature que mon regard ne peut s’empêcher d’accrocher à la moindre occasion, ce qui fait sourire les deux copines. C’est une femme dans la trentaine ou à peine plus, d’une grande assurance, au regard perçant et au caractère trempé, mais d’une sensualité enveloppante, de celles qui vous hypnotisent et vous poussent à des pensées érotiques. De plus, d’une grande beauté féline. Son teint mat doit y être pour quelque chose, comme sa voix légèrement grave et envoûtante. Elle doit avoir des ancêtres d’origine antillaise ou africaine. Mes questions devront trouver des réponses avant la fin de cette soirée et je m’y emploierai !


En observant mon empressement à approcher Liliane, la belle créature, les deux copines n’arrêtent pas de pouffer de rire en douce, comportement qui me parait quand même étrange. En effet, quoi de plus naturel que d’être attiré par une belle femme, surtout avec la discrétion et la retenue dont je fais preuve ?


En nous asseyant autour d’une table, une des deux copines me glisse à l’oreille :



Cela excite ma curiosité au plus haut point, et je m’imagine plein de trucs, du genre : elle doit être lesbienne ou sado-maso, ou folle de sexe. Tant mieux, au moins elle n’est pas banale. Au cours du repas, je m’aperçois joyeusement que je ne lui suis pas indifférent, elle semble même curieuse de mon personnage. J’en profite pour lui envoyer quelques compliments sur sa beauté et sur son charme naturel, ce qui rend hilares les deux copines et j’avoue que cela m’énerve un peu. Liliane le ressent et se penche vers moi pour me glisser :



Je suis de plus en plus intrigué, et un peu perdu. Son sourire ravageur me désarme passablement, et je vois dans ses yeux une lueur de malice et d’envie mélangées… Elle me plait ! Je me risque donc :



Au cours de la soirée, sa féminité charmante continue à me séduire, si bien qu’elle me fait comprendre à demi-mot que je lui plais également. Je suis aux anges. La conversation tourne peu à peu vers le sexe et elle me demande si je n’ai pas de tabou particulier. Bref, si je suis libéré des culpabilités trop courantes. Hou là là ! pensé-je, la fin de soirée risque d’être chaude !


Mon excitation grandissante n’échappe pas aux deux copines qui, s’étant levées, m’appellent du bout de la salle, prétextant une demande de renseignements. Je les rejoins ; elles se pressent contre moi en riant à demi et me susurrent :



Ma tête, à cette minute, devait ressembler à celle du gars qui a ramassé une balle en plein cœur.



Par cet artifice, je réussis à masquer ma déroute intérieure et à enchaîner sur de la rigolade bon enfant mais, dans ma tête, c’est un peu Waterloo… en pire. Cependant la sensuelle Liliane me charme toujours autant, et plus je l’observe plus elle me plait et plus mes pensées sont confuses. Comment un si charmant sourire, une poitrine si parfaite et une démarche si gracieuse pourraient appartenir à un mec ? Impossible ! À mes yeux, pas de doute, Liliane est bien une femme. Son âme est une femme, son charme est féminin et elle me séduit au maximum.


Pendant les conversations croisées, je reste silencieux, et m’imagine plein de trucs, du genre : elle a été opérée pour devenir une femme. Mais a-t-elle toujours un sexe masculin ? Cela me parait impossible, surréaliste. Cela serait d’un contraste fou : une si belle femme avec un sexe d’homme. Dingue, non ?


L’heure tardive nous pousse à partir, et nous déambulons dans les rues de Lyon en copains chahuteurs. Les deux copines commencent à se bécoter, en gloussant à l’idée de finir dans le même plumard. Elles transpirent le désir et nous excitent en même temps. Les deux copains artistes commencent à vouloir s’éclipser. Bye bye ! Bonsoir ! Et Liliane et moi, nous nous retrouvons seuls dans les petites rues de la vieille ville. J’enchaîne :



Vivre un moment pareil, c’est un peu comme se réveiller d’un coma. On ne sait plus vraiment où on habite. Et cela tombe bien, car je l’entends dire :



Ayant un goût prononcé pour les jolies femmes et les aventures originales, j’accepte sans hésiter. Après tout, je ne risque rien. Dix minutes plus tard, nous montons dans son appartement résidentiel qui sent bon le grand luxe, avec un intérieur d’un goût d’artiste comme seule les femmes savent les arranger.


Sans quitter son manteau, elle se retourne vers moi, sûre de son charme, et me dévisage intensément de ses yeux profonds. Elle avance doucement… et moi, je fonds comme une plaquette de beurre au soleil. Mes lèvres viennent chercher les siennes. Un long baiser profond s’ensuit et dans ma tête une pensée surgit : Je suis en train d’embrasser un homme, c’est incroyable !



Le genre d’attitude qui me fait des frissons partout.



Moi, je ne peux plus rien dire car j’ai un trac « balèze » ; j’ignore comment les choses vont se dérouler. Comment est-elle sous sa jupe ? A-t-elle un énorme sexe d’homme ? S’est-elle faite opérer ? Je vais plonger dans le bizarre, une grande première !


Elle disparaît cinq minutes en me laissant devant un verre de whisky qui me redonne des couleurs puis elle revient dans un peignoir sombre qui lui donne un air encore plus mystérieux. Sa poitrine superbe se laisse regarder à demi. Quel canon ! Me prenant par la main, elle m’attire dans une pièce romaine superbe ou trône une grande baignoire centrale à deux places, surplombée d’une douche à pommeau doré. Superbe effet ! Elle commence à me déshabiller doucement, avec application. Je sens mes mains qui tremblent de désir et… d’appréhension. La grande aventure, je vous dis ! En faisant glisser son peignoir sur ses épaules je découvre un corps superbe, un peu musclé mais très fin, avec une taille mince et des reins de princesse, des fesses que je devine très fermes sous un slip rouge vif. Et là, je fais glisser ce tissu soyeux en embrassant ses seins parfaits, libérant… un sexe en début d’érection, assez long, mais pas encore dressé ; je vous assure que cela me fait drôle ! Vraiment drôle !


Me prenant le visage à deux mains pour déchiffrer ma réaction, elle me dit :



Et elle éclate de rire de bon cœur. Un barrage vient de céder, moi je suis plus à l’aise et elle est rassurée par ma réaction d’acceptation. Devant des potes j’aurais l’air fin ! Il y a des situations où l’on a vraiment besoin d’être sûr que personne ne regarde, ni ne sache quoi que ce soit. Le mot intimité prend alors tout son sens, et j’y pense tout à coup :



Mon visage et mes lèvres parcourent ses épaules et son cou, descendent sur ses seins bien ronds. Elle ne rit plus, elle savoure l’instant en sachant que nous allons faire l’amour. Et moi, j’ignore comment cela va se poursuivre. Je me laisse aller à mes envies qui deviennent pressantes. Je glisse mon regard sur son bas-ventre où s’érige un sexe surdimensionné, de couleur mate, faisant ressortir un gland luisant et rose de plaisir. Elle bande aussi fort que moi.


Sa main souple s’aventure sur ma verge tendue et en apprécie les contours, en détaille les reliefs de ses doigts fins, me faisant tressaillir au gré de ses caresses. Elle enveloppe mes testicules en les faisant rouler tout en douceur. Elle aime le sexe masculin, sans aucun doute. Et moi, j’aime la féminité et tout ce qui va avec. Et voir ce corps voluptueux et plein de charme avec cette bite fière et droite qui demande son complément me plonge dans un abîme, un mélange de confusion et d’excitation. Hypnotisme du paradoxe et croisement de genres qui réunit dans une seule personne les antipodes de l’humain ! Je suis dans les mains d’un androgyne.


Je suis habitué, avec une partenaire, à caresser la toison délicate d’un entrejambe discret pour aller chercher la fente humide et glissante des lèvres entrouvertes, pour finir par pénétrer un doigt curieux dans cet écrin de chaleur moite, en provoquant un soupir de plaisir qui appelle la pénétration du sexe tendu. Et là… quand mes mains palpent ces fesses sculpturales et poursuivent vers l’entrejambe offert, elles rencontrent cet organe rigide qui coulisse sous les doigts. Je m’accroupis pour approcher mon visage de ce pieu superbe et j’ai alors, en levant le regard, la vue de ce gros sexe masculin sur fond de seins parfaits et d’un charmant sourire. Hallucinant !


Mes mains se posent sur les hanches fermes de la belle, et ma langue viens palper le frein tendu de son gland érigé. J’hésite quand même, et j’engloutis goulûment le bout de ce sexe lisse et chaud. J’entends soupirer Liliane. Elle m’encourage à continuer pour plus de plaisir et je suce ce gland rose et doux comme un bonbon salé. Ma main droite remonte entre ses fesses dures et fermes, venant masser lentement son anus enserré. J’avale au maximum sa verge cambrée et seul le fond de ma gorge vient arrêter ma passion vorace. Mais un haut-le-cœur me rappelle à l’ordre.



Elle se penche à son tour vers mon sexe bandé. Sa main l’enserre fermement et glisse la fine peau le long de ma hampe tendue, libérant tout à fait mon gland rose et joufflu. Elle n’en fait qu’une bouchée, aspirant à l’excès mon membre tout entier. Il doit aller jusqu’au fond de sa gorge. Elle coulisse ses lèvres sur toute la longueur, me mettant en état de conscience affaiblie. Je ne sens plus que sa bouche gloutonne et brûlante.


– Tu veux goûter ton sperme ? me lance-t-elle tout à coup.

– Fais-moi tout ce que tu veux !


Tout à fait rassurée par mon assentiment, elle avale ma bite encore plus goulûment, en des va-et-vient endiablés dans sa bouche de feu. Elle aspire en pompant, en pivotant la tête, et mes mains sur son crâne suivent la cadence. Je ne peux plus me retenir et le lui fais comprendre en gémissant plus fort. Elle poursuit comme si de rien n’était. Je me vide dans sa bouche dans un spasme éclatant ; d’autres suivent, moins forts mais de longue durée. Elle pompe mon gland en grande aspiration, sensation merveilleuse. Mon sperme est dans sa bouche, elle a tout conservé. Elle se relève malicieuse, prend ma tête à deux mains et me roule une pelle au goût salée et acre. Le baiser se prolonge pendant que ma main enserre son sexe toujours bandé. Nous avalons tout dans un baiser brûlant.


Elle se recule maintenant au milieu de la pièce. Je peux contempler ainsi l’ensemble de son corps, déesse surréaliste au sexe énorme et sombre. Elle s’assoit sur le rebord de la baignoire, se penche en arrière, une main en appui, et se branle de l’autre lentement, donnant à son sexe encore plus de longueur. Me fixant sans faiblir de ses yeux suppliants, elle cherche le plaisir à travers mon regard. Je vois ses yeux se fondre dans la jouissance trouvée. Son souffle s’est arrêté et sa main ralentit. Un jet blanc à jailli, puis deux autres en saccades. Quel plaisir elle a pris avec son sexe d’homme !


Son regard satisfait et complice me remplit d’aise ; elle vient se blottir contre moi en susurrant :



Notre monde est rempli d’aventures et de découvertes… même jusqu’entre les cuisses d’une jolie femme !