n° 12640 | Fiche technique | 26555 caractères | 26555Temps de lecture estimé : 16 mn | 15/06/08 |
Résumé: Ma femme s'est laissée piéger par deux jeunes athlètes de l'âge de notre fille, à l'occasion d'un déplacement sportif. Mais elle a su en profiter un maximum. | ||||
Critères: fhh fplusag sport hotel fellation cunnilingu anulingus double sandwich fsodo | ||||
Auteur : Honey_lover Envoi mini-message |
Un soir, alors que nous venions de faire l’amour, mon épouse m’a avoué une histoire qui, tout en me contrariant, m’a passablement excité. Aussi je me décide à vous la raconter à mon tour, avec son accord bien entendu.
Alyson est une sportive accomplie. Elle excelle dans de nombreux sports mais c’est en course à pied qu’elle fait des merveilles. Il y a quelques mois, elle avait dû partir en déplacement, pour représenter notre territoire avec un groupe d’autres athlètes, sans que les conjoints ne puissent bien entendu faire partie du voyage.
Nous habitons dans un territoire français d’Outre-Mer et le moindre déplacement, pour se frotter aux autres sportifs de la région du Pacifique, nous oblige à prendre l’avion, ce qui signifie un éloignement de plusieurs milliers de kilomètres d’avec les proches. C’est dans ce contexte qu’Alyson s’est retrouvée pendant plusieurs jours dans un pays étranger, dont la langue ne lui était pas particulièrement familière.
Deux jeunes, Melvin et Jason, faisaient partie du voyage. Mon épouse m’avait déjà parlé d’eux car, bien que beaucoup plus jeunes qu’elle, ils ne manquaient jamais une occasion de la draguer, se permettant même des frôlements discrets mais loin d’être innocents lorsqu’ils lui faisaient la traditionnelle bise. Ma femme s’amusait beaucoup de cette situation mais je sentais bien qu’elle était malgré tout flattée de se faire draguer par d’aussi jeunes garçons, d’autant que lorsqu’elle était là, aucune fille ne semblait avoir le moindre intérêt à leurs yeux.
N’étant pas particulièrement jaloux, je ne voyais aucun inconvénient à ce qu’elle laisse perdurer cette situation, laquelle nous servait même de temps à autre lors de nos jeux amoureux, fantasmant sur des privautés que ces jeunes pourraient se permettre à son égard. Bref, au bout de trois ou quatre jours, Alyson accepta de prendre un verre dans la chambre des garçons, sachant pertinemment qu’ils allaient essayer de la tripoter, voire plus si affinités, mais elle se sentait suffisamment forte pour résister à leurs éventuelles tentatives. Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est que la solitude commençant à lui peser, elle n’était donc pas si forte que ça et surtout moins méfiante qu’à l’accoutumée.
Sans s’en rendre compte, elle qui est pompette après un simple panaché un peu trop corsé, Alyson, prise par la discussion et les éclats de rire, ingurgita rapidement trois ou peut-être quatre cannettes de bière. Elle ne s’en rendit compte que lorsqu’elle voulut aller aux toilettes, frappée d’une incapacité temporaire à se lever. Les deux garçons s’étaient presque insensiblement rapprochés d’elle, la serrant de plus en plus près dans le seul canapé du petit studio.
L’atmosphère commençait à s’alourdir dans la pièce mais Alyson se sentait incapable de regagner sa chambre. Ses paupières et ses jambes de plus en plus lourdes l’incitaient à s’installer confortablement pour récupérer et, c’est ainsi qu’elle sombra peu à peu dans un sommeil réparateur. Elle sortit doucement de sa torpeur en sentant des lèvres parcourir les siennes et une langue tentant de s’insinuer dans sa bouche. Instinctivement elle ouvrit la bouche. La langue s’engouffra aussitôt dans l’ouverture pour aller se lover contre la sienne. Elle ouvrit les yeux, c’était Melvin qui lui dévorait la bouche avec passion.
En même temps, elle sentit sur sa peau nue, une bouche courir sur son ventre. Là encore, instinctivement, elle tendit sa main vers son ventre pour découvrir qu’elle n’avait plus sa jupe et que seul son minuscule slip brésilien protégeait encore son sexe. Les sensations étaient déjà fortes. Jason - car c’était sa bouche qui lui léchait le ventre et les cuisses - savait y faire malgré son jeune âge et son corps commanda l’ouverture de ses cuisses. En un éclair, elle analysa la situation et se rendit compte que les garçons étaient dans un état d’excitation avancée, elle aussi d’ailleurs car les caresses devaient déjà durer depuis un bon moment.
Son absence de réaction avait dû être perçue comme un accord dans l’esprit embrumé des jeunes. Un refus maintenant les ferait peut-être devenir nerveux et elle n’avait pas du tout envie d’être prise de force voire violée. Elle prit le parti de participer activement en en tirant un maximum de plaisir. Il serait toujours temps de m’expliquer comme elle le fait en ce moment.
Dès que sa décision fut prise, elle repoussa tendrement Melvin toujours soudé à sa bouche, le forçant à se lever. Son bassin apparut devant ses yeux, il était déjà nu. Le sexe dressé comme un i, le gland frappant au-dessus de son nombril, ce qui lui fit penser qu’il était monté comme un âne, ce petit salopard. Le sexe énorme était circoncis, ce qui rendait son gland encore plus gros. Un léger filet de mouille coulait sur le frein, le long de la hampe.
Elle passa sa main sous ses reins et d’un geste, fit glisser son string pour offrir sa chatte à la bouche de Jason. Ce dernier plongea immédiatement son nez entre les lèvres qu’il ouvrit de ses doigts, humant à pleins poumons les odeurs intimes de ma femme. Il dit à l’intention de son compère :
Sur ces mots, elle empauma la grosse tige dressée devant ses yeux et, la langue en avant, commença à la lécher, d’abord sous les couilles velues en remontant sur la hampe en direction du frein, puis, telle un serpent, tout autour du gland crachant déjà sa pré-semence. En avalant le liquide qui s’écoulait en abondance du méat, mon épouse ne put s’empêcher de comparer avec le goût du mien, se disant : Je suis vraiment une salope en train de sucer un jeunot pendant qu’un autre me farfouille la chatte avec sa langue, mais il a vraiment bon goût celui-là. J’ai envie qu’il me gicle dans la bouche pour pouvoir goûter à son sperme.
Sans plus attendre elle dit à Melvin :
Pendant ce temps, Jason avait relevé les jambes de ma femme en la positionnant un peu de travers sur le canapé, la forçant à poser ses genoux sur sa poitrine, grâce à son étonnante souplesse. Dans cette position, elle se savait complètement indécente, la chatte ouverte à l’extrême, son anus bien visible mais il fallait bien ça pour exciter de jeunes loups comme Jason et Melvin. Ce dernier n’y tenant plus devant ce spectacle, bavait littéralement. Il enfila deux puis trois doigts dans le trou ouvert d’où, là aussi, s’écoulait une mouille dont l’odeur l’enivrait au plus haut point.
Alyson accusa l’intrusion par un aaaaaahhhhh significatif. Ça y était. Elle avait permis à quelqu’un d’autre que moi, de pénétrer sa chatte, jusqu’alors réservée exclusivement à mon usage personnel. Cette idée la fit jouir sur le champ. Elle laissa échapper un râle significatif qui fit dire à Jason :
Alyson ne répliqua pas, les jambes tétanisées par sa première jouissance de la soirée. Melvin dont la queue était enfoncée dans sa gorge, se raidit en sentant ses dents se refermer sous l’effet de la jouissance mais heureusement, Alyson gardait malgré tout le contrôle. Dès la fin de l’orage, elle reprit sa fellation, se concentrant sur le gland et le frein avec sa langue, car après avoir joui, elle avait envie de sentir du sperme envahir sa bouche pour l’avaler ensuite. Ses doigts coulissaient en cadence sur la hampe et, rapidement, Melvin lui souffla :
Melvin, les yeux fermés, essayait de se concentrer sur d’autres pensées que le sexe. Peut-être des opérations complexes ou des exercices à faire à l’entraînement pour faire tomber la tension. Enfin, il parut se détendre un peu, mais Alyson qui sentait la jouissance lui échapper, redoubla d’ardeur.
À peine avait-elle prononcé cette phrase, que Melvin explosa littéralement, vidant ses couilles de la tension insoutenable qui le clouait sur place. Des jets puissants de semence envahirent instantanément la bouche d’Alyson, préparée au pire. Dès le premier spasme, ma femme avait enfoncé profondément dans sa bouche la tige turgescente afin que le premier jet atterrisse directement tout au fond de sa gorge et qu’elle n’ait qu’à déglutir pour l’avaler. Le deuxième et le troisième reçurent le même sort.
Ce n’est qu’à la quatrième salve qu’elle fit glisser le gland sur sa langue pour recueillir le précieux liquide avant de le goûter tranquillement en laissant le reste de la jouissance lui envahir la bouche. Lorsque la queue cessa ses soubresauts, elle leva les yeux vers sa victime toute penaude de n’avoir pas pu résister aux assauts de sa bouche. Elle lui tendit sa bouche et, lorsqu’il enfourcha sa langue dans la sienne, lui fit partager le goût de sa semence dans un baiser profond et torride. Le jeune ne se déroba pas et accepta l’échange de sperme, sans doute pour se faire pardonner ou peut-être plus simplement parce qu’il y avait déjà goûté et qu’il aimait ça.
Alyson, unie par la bouche avec Melvin, sentit que Jason venait de poser son gland à l’entrée de sa vulve. Il se caressait doucement en faisant glisser son gland entre les lèvres de sa chatte. Elle l’arrêta dans son entreprise en demandant une pause pour pouvoir se soulager la vessie car sinon, elle allait se faire dessus.
Conciliants, les garçons la laissèrent se dégager et disparaître dans la salle de bain. Elle ferma la porte derrière elle et tout en urinant, fit le point sur ce qui venait de se passer. Il était encore temps d’arrêter. Certes elle avait sucé Melvin, l’avait laissé jouir dans sa bouche… Certes Jason l’avait fait jouir avec sa bouche, lui fourrant plusieurs doigts dans la chatte… Mais pour l’instant, aucune autre queue que la mienne n’avait investi sa petite chatte.
Elle terminait de vider sa vessie et il fallait qu’elle prenne une décision rapidement. Que faire ? Se rhabiller et fuir comme une voleuse afin de sauver ce qui pouvait encore l’être ou rester et continuer ce qui avait été commencé ? Le souvenir de cette queue posée à l’entrée de son vagin raviva l’envie de se faire mettre. Elle en avait déjà trop fait. Il n’était plus temps de reculer et l’envie de sentir une bonne queue lui ouvrir le ventre était trop forte.
Elle débloqua la serrure et rejoignit les deux compères qui s’astiquaient lentement pour se maintenir en forme. Elle reprit sa position, écartant ses jambes d’elle-même en les tirant vers sa poitrine et attendit. Jason s’approcha et posa son gland à nouveau devant l’entrée de sa chatte. Il leva ses yeux vers elle puis, devant son sourire, le fit glisser entre les lèvres remontant jusqu’au clitoris dardé hors de son fourreau. Melvin, installé à genoux à côté d’Alyson, se contentait de lui caresser les seins, descendant jusqu’à son bas-ventre, jusqu’à effleurer le gland turgescent de son copain.
Alyson fit sentir son impatience d’être prise en bougeant son bassin et l’entrée de son vagin par des contractions dont les femmes ont le secret, ce qui libéra immédiatement un filet de mouille qui s’écoula vers son anus. Jason, la queue à la main, fixait l’entrée intensément. Quand il vit les contractions à l’entrée et le filet s’échapper, il souffla :
Puis sans attendre plus longtemps, il posa son gland devant l’entrée et, d’une poussée rectiligne, s’enfonça doucement, appréciant chaque centimètre de progression dans le vagin accueillant.
Jason regardait son chibre s’enfoncer dans la chatte de ma femme. Il jubilait de la tenir enfin au bout de sa queue, de l’avoir épinglée comme un papillon sur ce canapé d’hôtel. Il se pencha sur elle et chercha sa bouche pour que la possession soit totale. Alyson ne refusa pas la langue qui cherchait à envahir sa bouche. Elle l’accueillit et la suça comme s’il s’agissait d’une petite bite, enroula sa langue autour d’elle pour l’affoler de ses caresses. À coup sûr ces deux jeunes se souviendraient longtemps de la nuit passée avec ma femme. Eux qui culbutaient plus souvent des jeunettes inexpérimentées, là, ils étaient tombés sur une maîtresse amante, passionnée et avide de sexe, à la hauteur de leurs espérances les plus folles.
Pris par le plaisir, Jason commença à s’emballer, ses coups de reins devinrent plus profonds, plus forts, plus bestiaux aussi. Alyson, à chaque coup de boutoir, laissait échapper une plainte sourde et profonde, témoignant de son plaisir d’être secouée sans ménagement. Elle passa ses jambes autour de la taille de son jeune amant pour l’emprisonner en crochetant ses pieds derrière lui, le forçant à la prendre plus profondément.
Les yeux dans les yeux, Alyson et Jason, se regardaient, décryptant dans le regard de l’autre, le plaisir qui montait inexorablement. Jason avait du mal à garder ses yeux ouverts. De temps en temps, ses prunelles basculaient en arrière, comme au moment de l’orgasme. Son souffle de plus en plus court, s’accélérait en même temps que les mouvements de sa bite dans l’antre du plaisir. Alyson, quant à elle, respirait à pleins poumons, aspirant un maximum d’air à chaque bouffée, inondant ses poumons d’oxygène, prête à laisser exploser sa jouissance qu’elle voulait calquer sur son jeune étalon.
D’un seul coup, il se raidit une première fois, les yeux complètement révulsés, dans le néant, plantant son vit au plus profond de sa chatte, pour expulser sa première salve de sperme. Cette vision fit partir Alyson à son tour. Elle se recroquevilla sur elle-même, traversée par un torrent de plaisir, ayant pris sa source dans sa chatte pour se diffuser partout dans son corps, de ses reins à ses seins en passant par sa colonne vertébrale en direction du cerveau. Elle serra son amant de ses jambes et de ses bras tandis qu’il avait repris un lent va-et-vient dans ses chairs, finissant de jouir en maintenant ses sensations d’infime douceur de ce vagin maintenant inondé de sa semence.
Ils restèrent un moment accouplés comme deux bêtes, emboîtés l’un dans l’autre, sans bouger, savourant pour l’un la douceur de l’écrin qui l’accueillait et pour l’autre, le membre encore dur, qui lui remplissait agréablement le ventre. Melvin avait assisté à l’accouplement en restant à sa place initiale. Sa queue avait repris de la vigueur et se tenait à l’horizontale à hauteur du visage des deux amants.
Jason se redressa et, tout naturellement, entoura de ses doigts la hampe, entamant un lent mais savant va-et-vient. Sa queue toujours enfoncée dans le ventre d’Alyson, il posa ses lèvres en corolle autour du gland puis le flatta avec sa langue. C’était la première fois qu’Alyson voyait un homme en sucer un autre. Une décharge électrique la secoua des pieds à la tête et immédiatement, elle sentit l’excitation la reprendre, les pointes de ses seins se durcirent tandis qu’un spasme de plaisir lui serrait la chatte sur le membre encore en elle.
Jason suça son copain quelques secondes encore puis, se leva en lui disant :
Melvin ne se le fit pas répéter deux fois. En deux secondes, il était entre les jambes d’Alyson. Son chibre avait totalement repris de sa vigueur. Il était énorme, long et piaffait d’impatience. Alyson tendit sa main pour le prendre entre ses doigts puis, le dirigea entre les lèvres ouvertes, l’attirant tout de suite entre les chairs débordantes de secrétions mêlant sperme et sa propre jouissance.
L’heure passait. Il devait être deux ou trois heures du matin car cela faisait bien deux ou trois heures qu’ils étaient en train de forniquer grave. Alyson sentait le sperme de Jason qui lui coulait entre les fesses. Cela n’avait pas l’air de déranger les garçons qui gardaient une trique d’enfer.
D’un coup de reins, Melvin s’enfonça jusqu’à la garde. Grâce à l’abondance de sperme et de mouille et la précédente pénétration, l’imposant chibre se fraya un chemin, épousant les chairs intimes de ma femme. Elle sentit pendant la progression ses chairs s’écarter, son ventre s’ouvrir sous la poussée. Elle se dit en elle-même : Qu’il est gros, il m’ouvre le ventre. J’espère qu’ils ne vont pas vouloir me sodomiser car là, je vais le sentir passer celui-là.
On n’en était pas encore là et pour l’instant, Melvin, savourait à son tour la douceur du vagin de ma chère épouse. Sans lui laisser le temps de s’habituer à son calibre, il se mit en mouvement, ressortant presque entièrement du trou qu’il laissait béant en le quittant. Alyson sentait un vide entre ses cuisses à chaque fois qu’il sortait de sa chatte.
D’instinct, elle croisa ses jambes dans son dos, pour le garder en elle et sentir constamment son imposante présence. Cette grosse queue lui faisait un bien fou. Des vagues de chaleur irradiaient en permanence son ventre, se répandant dans le creux de ses reins pour atteindre sa poitrine et son cerveau. Elle s’entendait crier qu’il lui faisait du bien, de ne pas arrêter, de la bourrer à grands coups de reins pour la faire jouir par tous les pores de sa peau.
Melvin, tel un métronome, trop content de prendre sa revanche, la tenait solidement par les hanches, s’enfonçant sans ménagement à chaque poussée, s’acharnant à la faire crier encore plus fort son plaisir. Alyson avait déjà joui deux fois sous les coups de boutoir, elle était complètement abasourdie, saoulée de plaisir, lorsque enfin, il se décida à la remplir de son foutre. Dans un dernier coup de reins, il s’enfonça bien au fond comme s’il voulait la crucifier aux coussins du canapé et, laissa échapper un râle de jouissance.
Ils restèrent, eux aussi, un bon moment solidement ancrés l’un à l’autre quand tout à coup, Melvin, la tenant fermement contre lui, la fit basculer pour échanger leur place. Alyson savait très bien ce que les deux garçons avaient en tête. Elle n’avait jamais pratiqué de double pénétration mais l’expérience la tentait. Aussi se laissa-t-elle faire, feignant malgré tout d’avoir peur de ce qui se préparait.
Fort de son consentement, les garçons décidèrent de la porter jusqu’à l’un des lits afin de mieux s’en occuper. Alyson fut alors portée par Melvin, toujours bien emmanché entre ses cuisses, jusqu’au lit où il se laissa tomber sur le dos, présentant le fessier à son copain Jason. Ce dernier s’installa entre les jambes de son compère et commença à préparer Alyson en lui écartant les fesses à deux mains pour admirer sa raie et son anneau. Alyson se laissa faire, tendant un peu plus son fessier au regard inquisiteur, le membre de son amant toujours fiché en elle.
Curieusement celui-ci ne débandait pas ou du moins à peine car sa grosseur même au repos valait celle d’une queue normale. Elle sentit la langue de Jason parcourir et lécher ses fesses puis descendre vers sa raie pour la parcourir jusqu’à son œillet, pour s’y installer en l’ouvrant petit à petit. Melvin se remit doucement en mouvement, elle sentit sa queue reprendre peu à peu de la consistance dans son ventre, ce qui lui expédia une forte impulsion dans le creux de ses reins. L’envie de se faire prendre revenait, elle avait pourtant déjà joui quatre ou cinq fois.
Elle aussi remua lentement ses fesses, s’empalant sur le vit maintenant en pleine forme. Jason quant à lui, les deux mains sur ses fesses, lui ouvrait l’anneau et faisait coulisser aussi loin que possible, sa langue dans l’étroit conduit. La sensation était agréable mais elle avait envie de se sentir remplie par là aussi. Elle se mit à genoux, toujours empalé sur le vit de Melvin mais le cul dégagé pour permettre à Jason de se positionner derrière elle.
Sans broncher, elle le sentit poser son gland sur sa rosette, puis pousser lentement sur son anus. D’elle-même, elle poussa à son tour pour faciliter le passage du gland. Elle sentait sa petite porte s’ouvrir sous la pression et, d’un seul coup, la tête s’engouffra dans son conduit. Jason était maintenant dans ses sphincters, une dernière poussée pour passer ce dernier rempart et elle serait enculée jusqu’aux couilles.
Là encore, elle s’empala d’elle-même, reculant d’un seul coup pour sentir ses sphincters céder. La sensation était forte, la douleur s’estompait rapidement pour faire place au bonheur de se sentir remplie en même temps par-devant et par-derrière. Elle avait envie de déféquer mais en réalité c’était ce gros mandrin, figé entre ses fesses qui lui rappelait ces sensations. Elle leur dit :
Il ne leur en fallait pas plus pour que les deux compères se déchaînent dans les orifices. Leurs queues se frottaient l’une contre l’autre à travers la fine paroi. Alyson sentait monter en elle un nouvel orgasme, plus fort, plus profond. Elle se mit à les insulter, leur ordonnant entre deux cris de bête blessée, de la faire jouir :
Les deux garçons tenaient fermement Alyson par les hanches, leurs doigts s’imbriquant entre eux pour parfaire leur union sacrée. Ils la besognaient en parfaite harmonie, synchronisant leurs pénétrations comme s’ils avaient fait ça toute leur vie. Alyson sentait Jason lui perforer le cul en la poussant sur le vit de son compère et vice-versa. Rapidement, Alyson perdit pieds, ses magnifiques yeux verts avaient disparu, retournés dans ses orbites, frappés par la petite mort.
Elle débitait une suite de mots incompréhensibles mêlant plaisir, chaleur, joie et mort. Enfin, elle se laissa retomber sur la poitrine de Melvin, terrassée une énième fois par la jouissance. Les deux garçons, sans se préoccuper de la jouissance de leur amante, continuèrent sur le même rythme, pour jouir presque en même temps, l’un entre les fesses de ma femme, l’autre pour la deuxième fois dans sa chatte.
Après cette débauche de sexe, les trois comparses étaient complètement vidés. Ils restèrent un moment accouplés, Alyson en sandwich entre ses deux jeunes amants, et s’endormirent dans cette position.
Au petit matin, lorsqu’elle ouvrit les yeux, ses deux amants dormaient paisiblement à ses côtés. Elle en profita pour s’éclipser rapidement et regagner le plus discrètement possible sa propre chambre.