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n° 12670Fiche technique26932 caractères26932
Temps de lecture estimé : 16 mn
22/06/08
Résumé:  En vacances avec un ami, nous cherchions chaque soir de la compagnie. Ensuite, nous avons appris à faire sans.
Critères:  hh 2couples fbi hbi jeunes inconnu copains nympho fépilée vacances intermast facial fellation 69 pénétratio sandwich hdanus hsodo init -inithh -occasion -groupes
Auteur : B32000      
Vacances torrides et première homo

J’avais arrêté l’école et travaillais depuis déjà plus de deux ans, mais ce fut le premier été où je pus prendre de vraies vacances. Je partis avec un ami, Benoît, depuis la dernière semaine de juillet jusqu’à la deuxième semaine d’août. Nous n’avions pas beaucoup d’argent à investir dans ces vacances (d’autant que Benoît vivait encore chez ses parents) ; notre première semaine de vacances était donc dédiée au camping. Pour les deux autres semaines, nous disposions d’un appartement gracieusement prêté par une tante de Benoît.


Le camping et l’appartement se situaient tous deux dans la même petite ville de la côte basque. Enfin, petite, hors saison, mais pendant l’été, elle se transformait en une gigantesque station balnéaire. L’emplacement de camping qui nous avait été alloué ne nous plut pas. Il était en effet loin de l’entrée, de la piscine. Mais n’étant pas décisionnaires de ce point, nous ne pûmes que l’accepter.


Nous partagions une tente pour quatre personnes. Non pas que nous ayons prévu d’y faire venir des filles (le but de nos vacances était certes de nous envoyer en l’air, mais dans une tente, à quatre, cela nous paraissait un brin excessif et dégoûtant). Pour nous situer physiquement, nous étions une version brune (Benoît) et une version blonde (moi) du jeune homme de 25 ans, de taille moyenne, plutôt mince (certains diraient chétif), mais suffisamment séduisant pour être certain de ramener une fille à chaque soirée (même si la dite fille était souvent passablement enivrée et semblait même parfois regretter son geste le lendemain).


Bref, cette première semaine en camping se passa plutôt bien. Nous rencontrâmes tous deux quelques filles. Nous ne les ramenâmes jamais à la tente. J’en pris une dans les toilettes du camping, une autre dans les douches au beau milieu de la nuit. La dernière, ce fut lors d’un bain de minuit en mer. Les trois furent de bonnes expériences, mais rien de bien original. Du point de vue sexuel, les deux semaines qui suivirent furent bien plus enrichissantes.


L’appartement dont nous disposions était magnifique. Nous avions chacun une chambre, le salon faisait au moins la surface de mon studio et donnait sur un balcon avec vue directe sur la mer. De plus, l’immeuble était situé à moins de cinquante mètres de la plage (nous n’avions qu’une rue à traverser). Le paradis.


Les deux premiers soirs, nous eûmes chacun droit à la compagnie d’une charmante demoiselle. Chacun dans notre chambre, nous cherchions à la faire gémir aussi fort que possible, afin que l’autre en profite aussi. Le troisième soir nous surprit plus.


Nous avions découvert une boîte "open bar". L’entrée coûtait 30 euros pour les hommes, et 15 pour les femmes, et nous avions l’assurance : 1) de pouvoir nous soûler, et 2) de trouver des filles soûles, et donc moins farouches…


Comme chaque fois dans ce genre de lieu, nous nous séparions une demi-heure, puis nous nous retrouvions au bar. Nous avions chacun pour mission de ramener une ou deux filles (ce qui permettait à l’autre d’échouer). Ce soir-là, malgré l’alcool et le monde, je ne réussis pas. Je me présentai donc seul au bar, un peu abattu (mais pas perdant, la soirée était loin d’être finie). Benoît rappliqua avec dix bonnes minutes de retard, mais une fille à chaque bras. Ma mâchoire faillit toucher le sol en les voyant.


La première, qui semblait la plus stable sur ses jambes, était blonde, m’arrivait au montant. Elle était plutôt mince, ce qui ne l’empêchait pas d’avoir des formes particulièrement généreuses. Je misais un bon C pour son bonnet de soutien-gorge. Délicatement maquillée, sa tenue était pourtant très claire quant à ses intentions : minijupe qui laissait entrevoir les fesses à chaque mouvement et soutien-gorge de maillot de bain. Ses yeux étaient vitreux, mais ils perçurent immédiatement le désir qu’elle m’inspirait.


La deuxième, un peu plus grande, d’origine algérienne, appris-je plus tard, semblait nettement plus atteinte par l’alcool. Un visage gracieux, des cheveux longs et bruns, des yeux noirs profonds. Mais de petits seins et quasiment pas de cul. Une tenue plus sobre aussi : un débardeur et un pantacourt.


Benoît me cria pour se faire entendre :



Nous restâmes une heure de plus dans le bar. À contrecœur, Benoît m’abandonna Charlotte, car il remarqua qu’elle semblait plus attirée par moi. Cela ne l’empêcha pas de lui mettre plusieurs mains aux fesses, dont plus d’une passa sous la jupe. Vers une heure du matin, nous les invitâmes à l’appartement. Elles ne se firent pas prier.


Une fois arrivés, ils tombèrent tous les trois sur le canapé. Je me chargeai de servir les verres. Deux whisky-coca (moi et Benoît), un gin-fizz (Charlotte) et "juste un coca" (Djouher) que j’arrosai d’un peu de whisky tout de même, sous l’œil amusé de Charlotte. Une fois les verres servis et en main, Djouher se leva et se dirigea vers le balcon.



Je me sentis obligé de la suivre, histoire qu’elle ne se rompe pas le cou en tombant. Les doigts de Benoît commencèrent à parcourir gentiment le corps de Charlotte. Comprenant que nous venions d’échanger nos filles (contre mon gré), je m’approchai derrière Djouher et l’enlaçai. Ma main gauche caressa doucement son sein, tandis que la droite, glissée sous son débardeur, descendait doucement de son ventre vers son pubis. Avant que mes doigts ne passent sous son pantacourt, je la sentis prête à passer dans ma chambre. Quant à elle, elle avait forcément senti mon érection qui s’était durcie contre ses fesses.


Nous nous retournâmes, et je fus personnellement particulièrement surpris de ce que je vis : Charlotte était assise à califourchon sur Benoît. Sa minijupe reposait à quelques mètres d’eux. Elle ne portait plus que son soutien-gorge et un string qui n’empêchait pas le bermuda de Benoît d’être visiblement trempé de mouille. Je fus particulièrement étonné qu’ils en arrivent si loin devant nous, mais la réaction de Djouher me surprit encore plus :



Elle se rua sur eux, décolla Charlotte de Benoît, la bascula sur le côté et prit sur elle la position que Charlotte avait quelques secondes plus tôt sur mon ami. Elles commencèrent alors à s’embrasser. Pas de petits smacks, non, mais de vraies pelles, avec les langues bien visibles. Je regardai Benoît. Son érection était aussi visible que la mienne. Il me rendit mon regard et hocha la tête comme pour dire oui. Je hochai la tête aussi. Nous venions de nous mettre d’accord : on allait se faire ses deux petites salopes ensemble.


Il s’agissait pour nous deux d’une expérience nouvelle, mais ô combien excitante. Nous les regardâmes un peu. Elles se mirent totalement nues. Elles étaient toutes les deux intégralement épilées. Charlotte s’allongea sur le canapé, et Djouher s’allongea sur elle en 69. Les langues et les doigts fouillaient les deux sexes. Je me plaçai derrière Djouher, avec une belle vue sur sa croupe. Charlotte écarta ses fesses pour me permettre de mieux voir.


Leurs gémissements emplissaient la pièce. Benoît se mit de l’autre côté du 69 et offrit son sexe à Djouher. Elle continua de caresser la chatte de Charlotte, mais sa bouche se concentra sur la bite que lui présentait mon ami. C’était la première fois que je le voyais nu. Enfin, je l’avais déjà vu en caleçon, mais jamais je n’avais eu la chance de voir sa queue, et jamais je n’aurais imaginé la voir en érection dans la bouche d’une fille. À son regard, je compris que Djouher suçait vraiment bien. Je ne voulais pas rester en retrait.


Je me déshabillai à mon tour, et j’avançais mon sexe en érection vers le visage de Charlotte, toujours occupée à m’exposer la magnifique raie de Djouher, le visage perdu dans son sexe. Je lui donnai deux petits coups avec ma queue sur le front, afin qu’elle me remarque. Elle sourit, attrapa mon sexe à pleine main, donna deux coups de langue dessus, rapides, mais experts, et plongea ma queue, sans que je m’y attende, dans la chatte de Djouher.


Sur le moment, je ne pensais même pas au fait que nous n’avions pas mis de préservatif. Je profitais juste de ce vagin humide, chaud, serré autour de ma bite. Charlotte n’avait planté que la moitié de mon sexe, mais je continuais le mouvement, m’insérant totalement en elle, et m’arrêtant une fois au fond. Djouher lâcha Benoît et poussa un profond gémissement. Alors, tout comme son amie m’avait fait pénétrer en elle, elle fit pénétrer Benoît en son amie. Nous nous activâmes ensemble en elles. La langue de Charlotte courait sur mes testicules. La position de Djouher me donna envie de changer d’orifice. Je me retirai donc de sa chatte, et plaçai rapidement ma bite devant l’entrée de son anus. Je ne sais si ce fut Charlotte, qui me voyait faire, ou Djouher, qui me sentait faire, mais une des deux filles soupira :



Je commençai alors cette pénétration. En douceur, comme il m’avait été demandé. Djouher ne bougeait plus, elle me laissait faire. Charlotte, toujours sous le coup des assauts de Benoît, glissa un doigt dans la chatte de son amie. Malgré la demande de douceur qui avait été faite, je vis mon sexe disparaître rapidement et régulièrement en Djouher. Sans être un garage à bites, son anus devait avoir l’habitude d’accueillir ses amants. Benoît comprit alors ce que je faisais :



Nous n’étions pas habitués à entendre une de nos partenaires parler si crûment, mais ni Benoît ni moi ne fumes dérangés par ces propos. Il se retira de Charlotte qui sembla mécontente, et je me retirai de Djouher. Il s’assit sur le canapé, Djouher s’installa sur lui, le glissant en elle, et je me plaçai derrière elle. La vue de sa chatte pénétrée par mon ami m’excita un cran de plus (si c’était encore possible), et ce fut brusquement, sans douceur cette fois-ci, que je pénétrai son anus.


La sensation était incroyable. À travers la fine paroi de peau qui séparait son vagin de son anus, je sentais la bite de Benoît frotter contre la mienne. Même si je ne bougeais pas, ses va-et-vient me provoquaient des spasmes. En moins d’une minute, je pense (ma notion du temps, à ce moment-là, était très évasive), je jouis. Ma bite se contracta trois fois, lançant trois jets de sperme dans le cul de Djouher. Je suis certain que Benoît ressentit les crispations de mon sexe, car il jouit une poignée de secondes après moi, et je ressentis clairement les crispations de la sienne.


Djouher parut déçue, presque en colère :



Djouher éclata de rire, suivie par Charlotte, que j’avais complètement oubliée.



Benoît et moi tiquâmes : nous n’avions pas l’habitude de tirer deux coups à la suite. Djouher s’écarta, du sperme lui coulant entre les fesses et entre les cuisses.



Charlotte s’agenouilla devant Benoît et se mit au travail. Elle le pompa vigoureusement. Son érection ne remontait pas, mais on voyait clairement qu’elle s’y prenait très bien néanmoins. Étrangement, ce spectacle m’excitait, presque autant que si c’était moi qui me faisais sucer. Une ou deux minutes plus tard, Djouher revint. Elle s’agenouilla devant moi et, sans même essuyer mon sexe qui sortait pourtant de son cul, elle m’avala. Tout comme Charlotte, elle prit son rôle très au sérieux, enchaînant léchage du gland, gorge profonde, branlette rapide. Rapidement, je fus à nouveau bien raide. Je m’aperçus alors que Benoît m’avait devancé. Il était assis sur le canapé, et elle à califourchon sur lui, mais le dos tourné vers lui.



Je constatai effectivement, que cette fois, il s’occupait de la partie sodomie. Je m’avançai vers elle, et dans une position digne d’un film porno, je rentrai dans sa chatte. Encore une fois, cette délicieuse sensation me parcourut. J’étais moins serré que dans Djouher, mais la chaleur et l’humidité du vagin de Charlotte, combinées aux frottements de la bite de Benoît que je sentais autant qu’avant, me firent prendre un pied d’enfer. Nous fûmes cette fois-ci plus performants. Et nous tapâmes au moins un quart d’heure en elle avant que Benoît ne s’exclame :



J’obtempérai à contrecœur, n’étant pas encore au bord de l’orgasme (pas loin, mais pas au bord). Charlotte et son amie se jetèrent sur la bite de Benoît, toutes les deux la croupe tendue. Je choisis la plus proche (Charlotte), et la sodomisai. Pendant ce temps, Charlotte avait le gland de Benoît en bouche et Djouher le branlait. Je le vis se crisper, Charlotte ayant un léger mouvement de recul tandis qu’il éjaculait dans sa bouche. Elle n’avala rien, mais une fois qu’il eut fini de jouir, elle entrouvrit la bouche et laissa le sperme s’échapper le long de sa bite.


Djouher s’empressa de le lécher et de l’avaler. Quand elle eut fini, elle approcha son visage des fesses de son amie en me disant :



Cela suffit à déclencher mon orgasme. Je me retirai d’un coup, et sans lui laisser le temps de réfléchir, j’enfonçai ma bite dans la bouche de Djouher, en la tenant par les cheveux. Ce genre de comportement n’est pas habituel chez moi, mais j’étais véritablement en transe. Je rentrai entièrement dans sa bouche ; son nez touchait mon ventre. Et je jouis. Une nouvelle explosion. Elle ne broncha pas, et avala tout.


Une fois fini, je m’assis à côté de Benoît, épuisé. Sans un mot, les deux filles allèrent dans la salle de bain, se lavèrent rapidement, nous saluèrent et partirent. Nous n’échangeâmes même pas nos numéros de téléphone. Une fois qu’elles eurent claqué la porte, Benoît s’exclama :



Nous étions tous les deux nus, côte à côte, en sueur, nos cuisses se touchant presque et nos sexes encore à moitié dressés.



Un silence.



Le lendemain matin, lorsque nous nous réveillâmes… Enfin, vers quinze heures, lorsque nous nous réveillâmes, nous ne reparlâmes pas de la soirée de folie que nous avions vécue. Je voyais dans les yeux de Benoît qu’il était encore d’une certaine manière dans le cul de Charlotte. Ou dans la chatte de Djouher.


Benoît se prépara un petit-déjeuner, pendant que j’allais prendre une douche. Ni lui ni moi n’avions enfilé de sous-vêtement. Notre nudité ne nous gênait plus. Je me glissai sous la douche et commençai à me relaxer. Mes idées vagabondèrent sur la soirée de la veille, et mon sexe commença à se dresser. Je le croyais pas. J’avais en ce moment un rythme sexuel explosif, et j’allais devoir me branler ! J’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir.



La cabine de douche était fermée par une porte de verre totalement transparente. La buée n’ayant pas encore eu le temps de se déposer totalement, Benoît vit parfaitement à travers que mon sexe disait bonjour au soleil. Et moi, de même, je constatai que Benoît n’était probablement pas là pour se soulager d’une envie d’uriner, mais plus probablement d’une envie de jouir. Si notre nudité, dans l’absolu, ne nous gênait plus ; cet instant fut particulièrement embarrassant pour nous deux.



Pendant ce bref échange, sans même m’en rendre vraiment compte, mon regard était resté fixé sur la bite de Benoît. Comme la mienne, elle n’était pas énorme, un peu plus grosse peut-être, mais de peu. Je la trouvais belle. Droite. Sans veine énorme pour la déformer. Le gland naturellement décalotté, sans pour autant être circoncis. Je ne m’étais jamais arrêté ainsi sur une bite. Je n’en avais jamais vu une en vrai non plus… Je relevai la tête vers le visage de Benoît, et constatai qu’il était focalisé sur ma bite.


« Il se passe quoi, là », pensai-je.


Il releva la tête à son tour et remarqua que je l’avais surpris.



Cette proposition était ridicule. Déjà il n’accepterait pas, et s’il acceptait, compte tenu de la tension sexuelle qui régnait entre nous, je ne pensais pas qu’on en resterait là. Peut-être même avais-je envie qu’on aille plus loin.



Putain ! Encore plus clairement que moi, il voulait qu’il se passe un truc ! S’il voulait juste qu’on se branle côte à côte, il n’y avait pas besoin de se doucher… Si on se douchait, cela signifiait qu’on allait probablement se…


Je stoppai là mes pensées. Je me douchai très vite, sortis de la cabine et allai l’attendre sur le canapé. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Je n’avais jamais été attiré (consciemment) par les hommes. Et voilà qu’une partouze avec deux nanas me donnait des envies.


Une poignée de minutes d’attente plus tard, il revint. Tout comme moi, sa bite était toujours dressée. Tout comme moi, il semblait déstabilisé. Il s’assit à côté de moi.



Le tout pour le tout. Ça passait, ou ça cassait.



Merde. La question qui tuait. J’étais persuadé qu’il voulait, mais qu’il essayait de se rassurer. Je décidai alors de tenter l’ultime coup.



Ce doute qu’il avait me montrait clairement qu’il n’était pas homophobe, juste terrifié à l’idée de ne pas être la personne qu’il croyait depuis 25 ans.



Je savais parfaitement, et lui aussi, qu’on ne se contenterait pas de la branlette, mais cela le rassurait. Et je commençais à en avoir vraiment très envie.



Ce dernier ridicule argument eut raison de lui.



Je posai ma main sur son sexe. Comme je m’y attendais, sa bite était dure et douce à la fois. Presque tremblante. Lorsque je fermai ma main, il eut un petit sursaut. Je n’arrêtai pas mon geste pour autant, et commençai de très très lents va-et-vient avec la main. Rapidement, je vis apparaître ce petit liquide translucide au bout de son sexe, que j’appelais poétiquement "la rosée du matin".


Tout en continuant de le masturber doucement, j’étalai ce liquide avec mon pouce sur son gland. Il commença à soupirer doucement. Je savais que je le tenais. Sans prendre la peine de lui demander, je me penchai alors et gobai son gland d’un coup. Il ne réagit pas, me laissant faire. Ce qui, pour moi, compte tenu du moment, équivalait à : « Vas-y, suce-moi, pompe-moi ». Je commençai alors à le sucer, plus vite que je le branlais, en essayant de lui faire tout ce que j’avais moi-même aimé.


Je réussis à rentrer tout son sexe dans ma bouche, lui tirant alors un petit cri. Je m’installai un peu mieux à mon aise, m’allongeant presque sur le canapé. En toute honnêteté, je pensais que nous en resterions à cette pipe que je lui faisais. Mais lorsque je sentis ses doigts se glisser entre mes fesses, chercher mon trou, je compris que, quitte à se faire un mec, Benoît voulait aller jusqu’au bout.


Je sentis son doigt me pénétrer doucement, une phalange après l’autre. Cela me fit un peu mal, ce qui ne me laissait rien présager de bon pour la sodomie. Je le laissais néanmoins faire. Il me mit alors un deuxième doigt, qu’il rentra doucement aussi. Quand il s’apprêta à mettre le troisième, j’arrêtai de le sucer, et dis :



Il hocha la tête. Je me mis à quatre pattes sur le canapé, et il se mit à essayer de forcer mon passage. La seule lubrification était la salive que j’avais laissée sur sa bite. La pénétration fut un enfer. J’avais l’impression de me prendre une rame de métro. Malgré ma douleur, je ressentais une chose étrange : le plaisir de faire jouir. Il sentait ma douleur, et pour cette raison, n’allait pas trop vite, mais il prenait un tel plaisir qu’il ne pouvait s’arrêter, et que je ne pouvais même pas envisager de lui demander d’arrêter.


Il réussit, après un bon quart d’heure, à entrer totalement en moi. J’espérais que la douleur s’arrêterait, mais non. Il commença ses allers-retours, et je souffrais toujours. Mais ses allers-retours me procuraient tout de même du plaisir, tout comme sentir sa bite frotter la mienne, la nuit précédente, avait déclenché mon premier orgasme. Sa bite frottait en moi, et j’aimais ça. Ses gestes furent soudain plus hachés, plus saccadés. Ses mouvements moins amples.



Je le sentis hésitant.



Il ne répondit pas, mais je sentis tous ses muscles s’arrêter de fonctionner. Je serrai un grand coup les fesses, lui provoquant un spasme qui faillit le faire jouir.



Sans un mot, je me retournai. Sa bite sentait mon cul, ma merde, mais cela ne me refroidit pas. Au contraire. Ce sentiment d’être possédé, de lui appartenir, m’excitait d’autant plus. J’engloutis entièrement sa bite, et me mis à l’œuvre. En moins de trente secondes, je sentis son sexe se tendre, à plusieurs reprises, en même temps que les jets de son sperme m’inondaient la bouche. J’essayai d’avaler, mais la plus grande partie coula de ma bouche. Je gardai néanmoins sa bite un moment dans sa bouche, le temps qu’il débande doucement.


Après quelques instants, il me repoussa, et me dit :



Et moi qui croyais qu’il allait se sentir trop mal, ne plus jamais vouloir en parler… Il se jeta sur ma bite. Après quelques instants de fellation, il m’offrit son cul. Comme pour moi, je ressentis sa douleur, mais le plaisir était trop intense. Je n’arrêtais pas de penser : « Putain, je m’offre le cul de Benoît ! Je m’offre le cul de mon meilleur pote ! Il m’a joui dans la bouche ! Moi, je vais sûrement lui jouir dans le cul ! » Et c’est ce que je fis. Après quelques courts instants, je ne pus me retenir et j’éjaculai en lui. Une fois que les esprits se furent refroidis, il me dit :



Il rit à son tour, et retourna se doucher. J’attendis qu’il finisse et j’y allai à mon tour.


Durant ces vacances, nous ne ramenâmes pas d’autres filles à l’appartement. Chaque fois que nous avions des envies (deux ou trois fois par jour), nous gérions cela ensemble. Nous ne recroisâmes pas Charlotte et Djouher, mais ces vacances restèrent les meilleures de ma vie.