n° 12690 | Fiche technique | 29674 caractères | 29674Temps de lecture estimé : 17 mn | 30/06/08 |
Résumé: Elle n'avait jamais connu qu'un seul homme : son mari. Elle rêvait d'en connaître un autre. Elle rêvait d'en connaître plusieurs. | ||||
Critères: fh fhhh collègues plage intermast fellation cunnilingu pénétratio coprolalie exercice -fhhh -plage | ||||
Auteur : Trash (Trash pour la circonstance) |
DEBUT de la série | Série : Commande Chapitre 01 / 02 | Épisode suivant |
Si je signe ce texte sous le pseudo Trash, c’est bien parce qu’il l’est, "trash". Un genre qui n’est pas spécialement ma tasse de thé, loin s’en faut. Il est "trash" et surtout sans prétention littéraire aucune. Il nécessite de charger, voire surcharger la barque, plutôt que de l’embellir. Presque tous les clichés y sont. Je n’en suis pas plus fier, soyez-en certains, et ce n’est pas ce que j’écris d’habitude. En fait, si j’ai commis ce texte c’est pour répondre à la demande expresse d’une amie. D’où le titre : "Commande". Cette amie nourrit (nourrissait ?) deux fantasmes forts : Connaître enfin un autre homme que son mari et, dans la foulée, faire l’amour avec plusieurs hommes à la fois. Tout un programme. L’histoire (?) s’inscrit sur deux épisodes. Parmi les lecteurs de Revebebe, il doit exister, j’en suis sûr, des amateurs pour ce genre de "bluette". Si je publie ces deux textes, c’est pour eux. Puissent les critiques du site me témoigner quelque indulgence : N’y a-t-il pas plusieurs demeures dans la maison du seigneur ?
C’était à l’occasion d’un séminaire en bord de mer. Un cadeau d’entreprise "comme on aimerait en avoir plus souvent". Le séjour se passait très bien. Activités plus ou moins professionnelles le matin, activités aquatiques et sportives l’après-midi. Développement de l’esprit d’équipe, de l’affirmation personnelle et autres fadaises à la mode. Je n’entre pas dans les détails, ce n’est pas le propos.
Le hasard fit que j’y retrouvais deux collègues de mon ancienne boîte, avec lesquels je m’étais bien entendu. Gérard, un Breton grand et costaud, Michel, un gars râblé et solide. Tous deux de joyeux drilles. À des centaines de kilomètres de chez soi, sans les conjoints, dans un autre décor et un autre quotidien, les relations entre les gens sont différentes, débarrassées de pas mal de convenances.
Parmi les participants il y avait Séverine, la chef du service achats de ma boîte. Une femme que je ne connaissais que très peu avant. Je me serais bien gardé de l’entretenir de gaudriole, de peur de prendre le risque de gâter la suite du séjour. Mais nous avions fini par bavarder et elle m’apprit, par exemple, qu’arrivée à la mi-trentaine elle n’avait jamais connu d’autre homme que son mari, et ne l’avait donc jamais trompé. Je ne savais pas si cela lui manquait, mais je lui avais quand même demandé si elle ne craignait pas de "mourir idiote". Cela la fit rire.
Gérard, mon collègue, avait repéré Séverine depuis le début. Il m’en parla plusieurs fois :
À côté de lui, Michel opina avec conviction. C’est vrai que Séverine avait une sacrée poitrine, presque surdimensionnée, bien ronde, ferme et lourde. De quoi affoler un honnête mâle ou, visiblement, deux. Et c’est vrai qu’elle m’aimait bien. Je me permis de lui en toucher un mot. Elle rit :
Elle se tut un moment, puis me regarda :
Chaque soir nous nous retrouvions autour d’une table. Ce soir-là, ce fut un peu plus arrosé que d’habitude. Gérard et Michel ne manquèrent pas de me reparler à mots couverts de la poitrine de Séverine, assise en face de nous, avec d’autres questions très fines, du genre :
Ils poussèrent le braiment de l’âne. Je me tournai vers Séverine qui les regardait, interloquée.
Séverine nous regarda, d’abord perplexe, puis éclata de rire :
Promis, juré tous les trois, la main sur le cœur, dans une belle envolée. Les autres avaient quitté les lieux et il ne restait plus que nous quatre. Nous nous levâmes et sortîmes en direction de la plage. La nuit était assez claire car la pleine lune se reflétait sur la mer. La plage était déserte. Gérard me redemanda en catimini :
Je suis un filou. Je savais très bien qu’elle ne ferait pas trop d’histoires, pourvu qu’on y mette les formes. Je n’avais pas raconté à Gérard et Michel que l’avant-veille, en entrant dans ma chambre, j’avais trouvé Séverine qui m’attendait, couchée sur mon lit. Surprise totale de ma part.
Je mis quelques secondes à réaliser. Puis, je m’assis au bord du lit, en relevant qu’elle serrait et desserrait imperceptiblement ses cuisses, comme pour flatter sa chatte. Elle devait être excitée à mort. Je lui touchai la poitrine en premier. Ses seins m’avaient également interpellé. Elle eut comme un soupir puis sa respiration s’accéléra. Je me permis alors d’être ignoble. Je décidai de lui infliger le jeu de la statue, délicieux préliminaire. Je lui ordonnai de ne pas bouger, de rester immobile quoique je fasse. Ma main descendit vers son entrejambe, la paume à plat sur le mont de Vénus. Elle tressaillit. Ensuite, mes doigts touchèrent sa chatte à travers le tissu. Je saisis ses lèvres entre le pouce et le majeur et commençai à les rouler l’une contre l’autre en prenant soin de coincer son clitoris. Cette caresse la retourna. Ses mains agrippèrent la couverture du lit. Son souffle devint plus fort encore. Ma main gauche prit la relève, tandis que la droite s’insinua sous l’élastique de son pantalon de training, puis sous l’élastique de son slip. Mes doigts arrivèrent à la toison, descendirent plus bas, vers la fente humide et chaude. Ma main gauche libéra un peu d’espace tout en continuant à malaxer les lèvres. Avec le majeur droit, j’attaquai son clitoris. D’abord doucement, des caresses sur toute la longueur de la fente, puis de plus en plus vite, du bout du doigt, à titiller le bouton. La statue perdit brusquement son impassibilité. Séverine s’arc-bouta soudain et l’orgasme la tétanisa pendant trois bonnes secondes.
Je profitai de ce qu’elle se relâchait pour lui retirer son pantalon et son slip. Elle saisit mon membre comme une folle lorsque j’enlevai les miens. Plus question de poésie ni de raffinements. J’avais la bite dure comme du béton et ne pensai qu’à une chose : la lui mettre. Je lui écartai les cuisses et me couchai sur elle. Ma queue pénétra dans sa chatte comme dans une motte de beurre. Je commençai mon va-et-vient. Elle ne devait pas être loin de l’explosion, tellement elle se serrait contre moi. J’allai en accélérant. Elle souffla, d’une voix étranglée :
Puis :
Ce genre de mots crus me dope. Je ne m’y attendais pas du tout, mais les pris comme pain béni. J’accélérai encore, lui cognant le bas-ventre avec des bruits secs et rapides. Je n’eus plus qu’une idée en tête : lui défoncer la chatte et lui foutre la giclée de sperme bien au fond. Je lui dis de poser ses mains sur mes hanches et d’imprimer son rythme, ce qu’elle fit, en se collant à moi encore plus. Ensuite je lui intimai :
Cela intervint presque aussitôt.
J’en rajoutai une couche pour faire durer le plaisir.
La giclée la fusilla. Elle se crispa d’abord, puis se débattit comme une folle. Enfin, elle se relâcha.
Ça, c’était il y avait deux jours. Le soir suivant, même scénario. Elle était venue me retrouver dans ma chambre, habillée d’un training, sans rien en dessous. Je n’avais eu qu’à passer les mains sous la veste pour m’emparer de ses seins. Elle se colla contre moi, mettant sa langue dans ma bouche, les mains cherchant ma queue. Je quittai les seins pour lui tirer le pantalon du training sur les chevilles puis, doigts ouverts, paume vers le haut, commençai à agacer les lèvres de sa chatte découverte. Ensuite, j’introduisis le majeur dans la fente et lui titillai son clito avec juste le bout du doigt. Elle se tortilla et gémit :
Là encore, l’orgasme arriva rapidement. Debout, accrochée à moi, impitoyablement branlée, elle se mit à tressauter pour finalement se crisper en me coinçant les doigts dans sa chatte et entre les cuisses. Je la basculai sur le lit et, comme la veille, lui mit la queue sans attendre, à la hussarde. Cuisses ouvertes, jambes relevées, elle était trempée. Ce fut un plaisir de la pilonner, tapant mon ventre contre ses cuisses. J’avais compris qu’elle était très sensible à l’oralisation, aux mots crus, et qu’elle y participait volontiers, excitée par ceux du partenaire et par les siens. Je lui murmurai à l’oreille qu’elle était un bon coup et, pour une fille qui n’avait jamais baisé qu’avec son mari, qu’elle baisait mieux que bien.
L’excitation lui arracha un nouvel orgasme qui la convulsa contre moi. Je changeai de position, me mettant en perpendiculaire par rapport à elle, lui emprisonnant une jambe entre les miennes, ma queue toujours en train de limer sa chatte. Mais ainsi, je pouvais en même temps la branler et lui arracher des aveux pendant qu’elle subissait la bite.
Elle répondit, oppressée, le souffle court :
Elle pressa le dos de ma main pendant que je la branlais, appuyant de plus en plus fort. Je sentis que les propos l’excitaient de plus en plus.
J’accélérai la masturbation et le va-et-vient de ma bite :
Ça fut la phrase de trop. Séverine s’arc-bouta et explosa :
C’était donc la veille. Et cela promettait beaucoup pour ce soir. Nous arrivâmes à la plage. Bien que de nuit, nous contournâmes la petite dune pour être bien sûrs d’être à l’abri des regards.
Gérard se lança :
Je rapprochai ma bouche de l’oreille de Séverine et lui murmurai :
Elle ne répondit pas tout de suite, puis :
Les deux, en chœur :
Elle ne bougea pas, se laissa faire. Je lui ouvris le soutien-gorge, en passant mes doigts dans son dos, sous le tee-shirt, puis empoignai le tee-shirt par les côtés pour le lui retirer par-dessus le haut. Elle ne résista pas : ses bras se levèrent pour accompagner le mouvement.
La poitrine apparue, encore couverte par les bonnets.
Diabolique, j’intervins :
Et je fis glisser les bretelles sur ses épaules et la débarrassai du vêtement. Les seins apparurent, blancs, superbes, gonflés, tentants. Toujours derrière Séverine, je passai mes deux mains sous les globes pour les soulever et les mettre bien en évidence sous les regards de Gérard et Michel, hypnotisés par la poitrine arrogante.
Ils s’approchèrent :
Les deux hommes étaient maintenant quasi contre elle. Leurs mains se posèrent sur les seins offerts. Chacun s’empara de l’un d’eux. Les caresses arrivèrent. Séverine ne fit même plus mine de les repousser. Un homme contre elle dans son dos, deux hommes contre son ventre, c’était une expérience qu’elle n’avait jamais connue, avec plein de sensations nouvelles. Les quatre mains de devant ne chômèrent pas : soulevant, englobant, caressant. Les doigts agacèrent les mamelons durcis, les titillant, les pinçant, les roulant. Séverine perdait pied. Les hommes autour d’elle savaient visiblement s’occuper d’une femme que l’excitation commençait à gagner. Avec de plus, les paroles qu’il fallait :
Deux bouches s’emparèrent de ses mamelons, les suçant, les mordillant. Séverine crut qu’elle allait défaillir. Les deux hommes étaient maintenant si près d’elle qu’elle sentit sous leurs shorts leurs membres appuyer contre ses cuisses. Instinctivement, ses mains descendirent pour effleurer les protubérances durcies. Elle n’eut pas l’envie de les retirer, mais au contraire, les flatta, les saisit à travers le tissu.
Séverine les repoussa tous deux brusquement et annonça :
Ni une, ni deux. Les shorts finirent sur le sable.
Séverine hésita l’espace d’une seconde, puis elle prit un membre dans chaque main. Situation extraordinaire, dont elle avait rêvé depuis toujours : deux queues à tenir, à caresser en même temps, sans parler de celle qui poussait contre ses fesses. Des queues dressées, dures. Jamais elle n’aurait espéré pouvoir vivre un tel moment. Les deux têtes se rapprochèrent de ses seins tandis qu’elle commençait à imprimer aux deux pieux un léger mouvement de va-et-vient, les mains coincées entre leurs corps. Dans la fébrilité du moment, elle serra les deux bites encore plus fort, ce qui ne laissa pas les mâles indifférents. Michel s’écarta :
Elle se laissa fléchir, genoux au sol. Les deux queues étaient à hauteur de sa bouche. Elle hésita, puis posa ses lèvres sur la hampe de Michel qui en tressaillit d’aise. Puis sur celle de Gérard, qui lui murmura :
D’une main, il saisit Séverine derrière la tête, de l’autre il guida son gland vers ses lèvres. La bouche de Séverine s’ouvrit et Gérard y enfonça lentement son dard, d’une grosseur de bon aloi. La langue de Séverine entra en action, tournant autour du cylindre de chair. Gérard l’enfonça encore plus. Séverine le prit en main et commença à pomper de la tête, tandis qu’avec l’autre main, elle accélérait le mouvement sur la bite de Michel. Le paradis ! Deux bites, et une troisième, bien bandantes, bien dures, rien que pour elle. Elle eut une pensée pour son mari. S’il savait, s’il voyait ça ! Cela lui donna encore plus de cœur à l’ouvrage : elle se mit à pomper et branler frénétiquement. Michel était au bord de l’apoplexie. Il caressa la joue de Séverine et lui dit :
Avec la bite de Gérard en bouche, elle opina de la tête, les yeux mi-clos. Nous la fîmes alors rouler sur le côté, puis la couchâmes sur le dos. Michel saisit le short et le lui retira. Séverine se laissa faire. Elle avait repris en bouche la bite de Gérard. Celui-ci regardait faire son camarade de bonne fortune. Michel tira lentement le slip vers le bas, découvrant progressivement le mont de Vénus bien bombé, puis la toison de Séverine, puis sa chatte, aux lèvres gonflées. Le slip rejoignit le short.
Michel lui écarta les jambes et vint s’installer entre ses cuisses. De ses doigts, il joua d’abord avec les lèvres et la fente humide.
Il approcha sa tête de la fente et sa langue vint s’ajouter à l’action de ses doigts. Il lécha la fente de bas en haut, en poussant de temps en temps la langue vers l’intérieur. Puis ses doigts écartèrent les lèvres et sa langue prit possession du clitoris. Séverine rua sous la caresse, son bassin s’agita, son ventre fut saisi de contractions, mais la langue poursuivit impitoyablement son travail.
Séverine semblait prise de frénésie et suçait en alternance la queue de Gérard et la mienne. La langue de Michel lui arracha des gémissements. Gérard lui susurra des obscénités à l’oreille :
Ces propos excitèrent encore plus Séverine. Je ne demeurai pas en reste :
Je guettai les contractions du ventre et les mouvements du bassin : ils s’accélérèrent encore. Séverine abandonna les deux bites et commença à gémir :
Michel lui avait bouffé le cul de manière royale. Elle s’arc-bouta et poussa un grand cri lorsque l’orgasme la saisit, puis elle s’agita en tous sens. Mais nous la tenions fermement. Michel releva la tête et approcha son bassin du ventre offert. Il se coucha sur Séverine. Sa queue vint toucher la chatte et s’y enfonça d’une seule poussée régulière, jusqu’à disparaître. Il commença ensuite des mouvements de va-et-vient, lentement d’abord, puis de plus en plus vite. Cuisses largement écartées, Séverine subissait l’assaut en gémissant, ses mains serrant nos bites de plus en plus fort.
J’avais vu Séverine marquer un temps d’arrêt en découvrant la queue de Michel. Une queue de bonne taille, la plus longue de nous trois. C’était celle qu’elle avait saisie en premier. Elle devait maintenant la savourer à sa juste mesure : bien longue, bien dure.
Michel ne se fit pas prier. Son bassin martela à toute vitesse et en force la connasse en feu de Séverine.
Il fallut tenir Séverine à trois lorsque Michel lui lâcha la giclée chaude dans le ventre. Une femelle folle. Elle avait perdu le contrôle d’elle-même. Michel sortit sa queue et la remplaça dans la chatte par deux doigts :
Il se mit à agiter rapidement sa main d’avant en arrière, dans un bruit de clapotis. Séverine se contracta à nouveau, mais Gérard et moi la tenions encore, chacun un bras avec une main, caressant les seins de l’autre. Séverine haleta :
À nouveau, il nous fallut maintenir Séverine pendant son orgasme. Elle avait la figure tordue, les traits défigurés par le plaisir. Michel se tourna vers Gérard :
Gérard s’était déjà installé à genoux entre les cuisses ouvertes et caressait la fente, de haut en bas, avec son membre.
En se couchant sur elle, Gérard introduisit son poteau entre les lèvres, puis commença un léger mouvement de hanches, sans aller jusqu’au fond. La pénétration fut lente et progressive. Lorsqu’il parvint au bout, il se retira presque entièrement puis, brusquement, avec force, la pénétra à nouveau à fond. Il réitéra cette procédure plusieurs fois. Séverine referma ses jambes autour de Gérard, comme pour l’empêcher de sortir de son vagin. À chaque coup de boutoir, elle gémissait et roulait la tête de gauche à droite. Michel la lui retint et la força à ouvrir sa bouche dans laquelle il enfourna son dard.
Je me remis à susurrer à Séverine qui tenait ma bite.
Elle libéra sa bouche une seconde :
Ces mots crus eurent le don de booster son énergie. Elle se démena comme une furie, mais restait neutralisée par la force des trois hommes qui l’entreprenaient, et réduite à leur bon vouloir. Cette soumission à leur virilité décuplait son plaisir. Pour ma part, je n’y tins plus. Elle me branlait avec une telle frénésie que je lui lâchai soudain un long jet de sperme sur le menton, le cou et la poitrine. De la main, j’étalai la semence chaude sur ses seins. Visiblement, elle apprécia. Sa langue lécha quelques gouttes autour de sa bouche.
Gérard, quant à lui, accéléra encore le mouvement.
Il défonça littéralement la femelle offerte, à grands coups de bassin. Séverine cria et s’agrippa aux épaules de Gérard. Le plaisir lui remonta des entrailles, et explosa sur son visage. Gérard continua à la pilonner jusqu’à l’éjaculation. Séverine devint carrément folle en jouissant derechef. Puis elle s’affaissa comme une poupée de chiffons.
Quelques minutes passèrent. Les esprits se remirent en place.
Tout le monde rit. Et Gérard d’ajouter :
La main de Gérard remonta sur la cuisse nue de Séverine.
Les cuisses s’ouvrirent largement. La main toucha son but et Séverine rejeta la tête en arrière…