Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12693Fiche technique26699 caractères26699
Temps de lecture estimé : 15 mn
02/07/08
Résumé:  Suite de ma soumission...
Critères:  fh fhhh extracon cocus inconnu grossexe fépilée caférestau toilettes fsoumise hdomine exhib noculotte photofilm fellation cunnilingu préservati double sandwich fsodo sm -fsoumisah
Auteur : Audrey      Envoi mini-message

Série : Mon dentiste

Chapitre 03 / 03
Mon dentiste (3)

Puisque vous voulez tout savoir !

Je vous passe les appels téléphoniques plus osés les uns que les autres, mais l’un d’eux vaut le détour.


Lors d’un appel de mon " gourou " pendant un essayage, il m’avait demandé de lui passer la maquilleuse… Avec une certaine décontraction et amusement, la maquilleuse, tout en souriant, avait accepté de prendre mon cellulaire pour parler avec un inconnu… en quelques secondes, ce que je craignais arriva !



En reprenant le téléphone, j’étais confuse de honte, je n’osais plus la regarder.



Il me demanda de décrire la maquilleuse devant elle ! Ses yeux affichaient un étonnement, et sans perdre une miette de notre conversation, les mimiques et autres grimaces approuvaient ou désapprouvaient ma description :



Je m’égosillais, elle avait compris que ma question devait être embarrassante… après une seconde d’hésitation…



Mon embarras devait être visible, mais elle ne m’aidait pas !



L’amusement qui rayonnait sur son visage tendait à me décontracter sans vraiment y arriver.



Sa réponse sans appel, devait conclure l’apostrophe ! Je repris le téléphone :



Enfin, à peine en avais-je fini avec ce calvaire, en raccrochant, que j’allais devoir affronter le regard de cette petite brunette, qui était médusée par cet épisode.



Ma confusion était totale, son regard au-dessus de l’épaule du photographe pendant la séance de shooting, avait créé une gêne visible sur les planches photo, mais de cette expérience, je me sentais grandie, plus forte, capable de relever d’autres défis…

De toutes les manières, je savais que le jour ou je lui dirais "non ou stop" notre relation prendrait fin, je n’avais donc pas le choix !


Ma maquilleuse avait raison, je ne savais jamais à quoi m’attendre avec lui, pas le temps de m’ennuyer, car un peu plus tard, il me téléphona… pour que je passe à son cabinet dentaire.

Il exigea de me voir me masturber dans son fauteuil, lui tournant autour de moi, avec un appareil photo numérique. Scène qu’il me demandait souvent de jouer. J’étais souvent insatisfaite, car il ne me touchait pas pendant mes tristes solo, tantôt lascifs tantôt suggestifs mais très mécaniques, cependant tellement heureuse de lui être totalement obéissante lors de nos jeux d’exhibition.



————————————



Quelle semaine ! Mon homme n’avait que l’OM-PSG à la bouche, match qui devait se dérouler en fin de semaine au Vélodrome. Je m’en souvenais parce que j’avais imaginé une Saint-Valentin un peu différente… Et je ne pouvais pas dire mieux, quand je disais " différente " !


Le lundi soir Nico me baisa… c’est le terme qui convient. Il y a bien longtemps que la tendresse l’avait quitté. Il fantasmait à haute voix sur la possibilité de me voir jouer en groupe, son pouce dans ma bouche pour simuler une bite… Quelques coups de hanches auront eu raison de lui, il aura gesticulé moins de cinq minutes, et s’endormit aussi vite !

Dommage, je commençais à apprécier…(c’est triste parfois la vie de femme !)


Mardi matin, mon amant me téléphona. Il me proposa de passer une journée " surprise " demain en sa compagnie, et comme d’habitude, il m’ordonna de faire une juste description de ma tenue vestimentaire, dessous y compris. Je devais me débrouiller auprès de mes collègues pour passer discrètement le lendemain en compagnie de mon amant… la veille de la journée des amoureux, pas classe !

Il n’y a que les femmes qui comprendront ce que cela veut dire, mais cela m’a " titillé " toute la journée, mêlant parfois stress et envie en m’imaginant les pires perversions des situations que nous évoquions lors de nos conversations téléphoniques.

Je décidai de retirer mon string à la pause de midi tant il était mouillé.


Mercredi, dix heures quarante, je l’attendais… Enfin, il arriva à notre point de rendez-vous avec quelques minutes de retard, je m’engouffrai dans son véhicule… à l’arrière comme d’habitude, l’embrassai brièvement. J’entrouvris mon manteau pour lui montrer ma mini-jupe, écartai les jambes en lui expliquant la douloureuse après-midi que j’avais passée suite à son appel de la veille, pour expliquer la raison de ma nudité sous ma mini.



Son envie de me prendre, était presque palpable dans le ton de sa voix. J’affichai un clin d’œil et un sourire complice comme pour lui dire " Je suis à toi !".


En l’embrassant, mon regard se porta sur un livret sur le siège passager avant, que je pensais être un livre de " cul ". Pour exciter mon chauffeur, je pris l’initiative de prendre en main ce petit livret intitulé Netechan… titre coupé par la tête d’une jeune fille aux seins dénudés…

Les publicités et articles composés de photos étaient assez explicites. Les mots " club échangiste, sauna libertin mixte, hammam et bar lounge " revenaient sans cesse.

Devais-je comprendre que notre journée allait se dérouler dans un lieu libertin ? Je fus interpellée par une feuille publicitaire, pliée en deux, sortie tout droit d’un site internet.

On pouvait lire le programme journalier de cet établissement local, très certainement respectable… Je regardai donc très naturellement le programme du jour :


MERCREDI - Balnéo non-stop de 14h à 19h (Gang Bang) - Entrée offerte aux couples.



Il ne me laissa pas reprendre ma respiration.



Sa question sonnait comme un couperet, une tonalité qui me refroidit et qui voulait dire : « je ne veux pas de relation avec une femme jalouse ».



Sans un mot de plus… Nous roulions vers une destination inconnue en direction d’Aix…

Je décidai de l’exciter un peu en commençant à lire l’article d’une jeune femme qui relatait son expérience échangiste…


Nous sommes arrivés, vers midi, au restaurant du château de la Pioline. Le cadre y était magnifique ! J’étais ravie. Le repas était parfait, notre conversation des plus salaces que le serveur se délectait d’écouter au gré des plats, ne tenant plus. Nous nous étions tellement échauffés… Soudainement, comme lorsqu’il demande : « ouvrez la bouche » en tant que praticien, n’imaginant même pas qu’on puisse lui dire non :



À cet instant s’il m’avait demandé de passer sous la table recouverte de cette grande nappe… Je n’aurais pas hésité une seconde à me fondre sous la table. Il me proposa une fin identique mais dans un lieu moins voyant.



Aussitôt je me levai pour prendre la direction de la scène d’une débauche assurée… Dans mon empressement, j’avais oublié de lui demander si nous nous retrouvions chez les hommes ou chez les femmes. N’osant pas revenir sur mes pas, je me risquai à ouvrir et glisser une œillade à travers la porte des hommes… personne, parfait !

Je m’enfermai dans le premier WC relativement propre. Je nettoyai quand même la cuvette avec du papier. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ma mini-jupe, mon pull et mon soutien-gorge étaient dans mon sac, gardant pour seuls habits mes bas auto-fixants…

J’entendis la porte des toilettes s’ouvrir… puis frapper à ma porte… j’ouvris, me cachai derrière la porte, pensant que mon amant allait entrer, mais il me saisit le poignet et m’extirpa, j’étais nue devant les éviers.



À ce même moment deux hommes, costume-cravate, la trentaine, type représentant, sourire aux lèvres, me découvrirent nue, à peine surpris. L’un d’eux s’adressa à mon tortionnaire, derrière lequel j’essayais de me cacher :



Attendant une réponse, je comprenais trop bien la situation, j’allais être offerte en dessert aux deux comparses de mon dîneur.



Je n’avais pas la possibilité de fuir, je me résignai donc à m’agenouiller devant eux, et défaire leur braguette… Mon amant en retrait vérifiait que personne ne pouvait arriver. L’excitation due à la situation eut pour effet de faire jouir le premier assez rapidement sur mon épaule.

Il s’en excusa et proposa à mon amant de prendre sa place, ce qu’il ne fit pas, et garda sa place de spectateur ! Le second fut plus dur à " terminer ", mais à force de travail, il essaya de me contraindre d’avaler sa semence en plaquant ma tête contre son sexe.

C’est avec un effort et une légère contorsion que j’esquivai son premier jet, le second, et le troisième… Pensant qu’il avait fini, j’allai replacer son sexe en bouche, quand un dernier jet heurta mon œil !

Avec professionnalisme, je redonnai quelques coups de langue et demandai au premier, s’il voulait un deuxième essai. Mais il refusa en me remerciant.


Sans plus aucune gêne je me relevai nue devant eux, les genoux meurtris par le carrelage. J’essayai tant bien que mal de nettoyer le sperme, ma paupière supérieure gonflait à vue d’œil… « C’est malin ! », pensai-je en me rhabillant.


En sortant, j’avais l’impression que personne n’avait aucun doute sur ce qui venait de se passer. Le sourire du serveur mit fin à mes dernières barrières. Je le regardai fixement dans les yeux en m’adressant à mon amant :



Mon mentor paya, nous prîmes congé de ce lieu charmant, sous le regard de nos deux commerciaux qui étaient accompagnés d’un homme bedonnant. J’avais échappé au pire !



J’étais prête à tout et je crois que j’avais très envie de connaître mes limites. Il n’y avait plus aucun doute sur mon envie de me faire baiser !


C’est à Luynes que je devais me découvrir… enfin, mon chauffeur tournait depuis cinq minutes dans le centre. Il avait oublié l’adresse exacte du lieu de rendez-vous quand enfin, à la vue d’une petite école, il s’écria :



Il ne lui fallut pas deux minutes pour trouver une place pour se garer. Très galant, il ouvrit ma porte, et prit ma main pour me faire sortir, puis passa sa main autour de moi, comme si nous étions un couple légitime ( j’adore cet instant quand j’y pense ). Je cherchai donc du regard un lieu libertin, mais rien…rien qui aurait pu me mettre sur la piste.


Tout en marchant amoureusement, nous nous sommes arrêtés devant la porte d’un magasin vitré recouvert de blanc d’Espagne ( pour les néophytes comme moi, c’est ce jour que j’ai appris que la peinture blanche qu’on applique sur les vitres des magasins en réfection s’appelait ainsi ! ).



Nous sommes rentrés, un homme s’affairait à peindre une colonne, torse nu, vêtu juste d’un pantalon blanc et de grosses chaussures. Sa musculature ressemblait à mon Nico.



Je cherchai du regard un endroit pour savoir où nous allions bien pouvoir nous amuser, mais une poussière blanchâtre recouvrait pratiquement tout endroit possible. Rien sans se salir.



Le second apollon aussi peu vêtu qui descendait des escaliers à ce moment-là, n’était physiquement pas pour me déplaire. Son visage me ravit. J’exprimai ma joie, par un sifflement qui ne laissait aucune ambiguïté sur l’effet qu’il me faisait.



Le salaud ! Mon amant avait osé envoyer des photos de moi certainement en train de me masturber dans son cabinet… J’allais lui en donner pour son grade !



Nous les avons suivis. Le premier étage était composé de deux pièces, et d’une salle d’eau. L’une était cossue avec une moquette rose au sol, qui remontait sur les murs jusqu’au plafond. Un canapé blanc moderne – « Salissant », pensai-je - trônait bizarrement au centre de la pièce. L’autre était une pièce vide, sans intérêt.

En entrant dans la pièce harmonieusement colorée, je laissai tomber sur le sol mon manteau que j’avais pris soin d’enlever dans les escaliers, mon pull suivit… rapidement.


Le premier ouvrier venait d’attaquer le début des festivités en baissant ma mini-jupe, ce qui illumina le sourire des trois petits cochons… N’étant pas Blanche-Neige, je n’allais pas m’enfuir quand un prince charmant me proposait de battre le fer avec son dragon devant la fontaine de jouvence…


Il m’installa sur le canapé, m’écarta les jambes largement, plaça sa petite gueule d’amour sur mon abricot et me fit découvrir avec doigté ses qualités de lécheur, pendant que les deux autres derrière lui se déshabillaient. Malgré la nette différence de taille entre mon amant et le jeune mâle, il n’avait pas à complexer !


Ils se placèrent de part et d’autre de moi. Je commençai par quelques mouvements manuels symétriques pour leur faire prendre une consistance appréciable, les deux ouvriers n’en revenaient pas de voir la taille du sexe de mon amant.

Mon lécheur était vraiment excellent, il frôla mon point de non-retour assez rapidement, ce qui n’est pas habituel - je suis vraiment longue à démarrer, en général.

Mais je voulais maintenant qu’on me baise, je voulais sentir une bite me remplir, sentir le frappement des couilles sur mes fesses, le frottement d’un corps sur mon abricot. Tout en laissant une chance à chacun pour savoir qui serait le premier, entre deux respirations, je haletai quelque chose qui devait ressembler à :



Mon lécheur se redressa, baissa son pantalon à mi-cuisse, mit un préservatif, et me fourra sans aucune autre formalité. Il m’arracha un cri de plaisir !



Enfin, je me faisais limer. Il imprimait un mouvement régulier qui chauffait mon bas ventre - signe de bon présage pour la suite. Toujours en train de branler son collègue et mon amant, l’ouvrier astiqué s’inquiéta auprès de mon amant :



Comme unique réponse, j’enfournai sa bite dans ma bouche avec une arrière pensée souriante… J’avais peur de lui faire mal, les coups de bite reçus étaient d’une rare violence. Je devais changer de position pour mieux jouer avec mon triple-X. Je sortis la bite de ma bouche de l’ouvrier :



Je respectais le désir de mon amant en jouant à la salope, par ce vocabulaire volontairement outrageant. Mon amant se proposa. J’avais bien senti que le petit jeune entre mes jambes serait bien resté plus longtemps, mais il obtempéra avec difficulté…

En me levant, pour changer de position, je trouvai amusant de me présenter :



Il avait encore son pantalon descendu au sol et ses chaussures, sa capote encore sur sa bite, la situation était grotesque.

Mon amant passa un doigt sur mon abricot, avant de s’asseoir.



J’allais objecter que ce n’était pas vrai, je voulais juste être ce qu’il désirait le plus… être sa soumise, sans conditions. Il insista :



Il attendait une réponse, tout en me saisissant fortement les hanches pour que je puisse prendre place sur sa bite.



Je positionnai la bite de mon amant avec ma main, la glissai doucement entre mes jambes et l’embrassai à pleine bouche.



Il badigeonnait de gel son sexe capuchonné d’un préservatif, puis le présenta à l’entrée de mon œillet. La pénétration aussi brusque que brutale, me lança comme une décharge électrique. Je n’avais pas souffert comme ça depuis longtemps !

Pas sans mal, nous étions arrivés à trouver une cadence harmonieuse. Malgré la douleur, je commençais à me laisser aller dans les yeux de mon amant, tout en continuant à l’embrasser, quand, interpellé par de vifs mouvements, mon sodomisateur éjacula dans mes entrailles. Je fis un petit sourire à mon amant.

Seb en recul, nous avait laissés prendre la pose, je n’avais pas fait attention qu’il nous mitraillait avec un appareil photo. Franck se décolla, pour s’asseoir sur la moquette.



Sa familiarité marquait un certain décalage d’éducation. En m’adressant à mon amant :



Tout le monde acquiesça. Je me tournai rapidement. Après quelques tentatives, mon amant n’arrivant pas me pénétrer, Franck lui proposa du gel, et le miracle fut. Il me pénétra avec facilité, un vrai régal. Le photographe s’agenouilla devant moi, en enlevant mes bas, et se crut obligé de préciser :



Hors de propos, mais qui devait laisser entendre qu’il ne sucerait pas la bite qui coulissait à trois centimètres de sa petite langue.


J’appliquai fermement la tête de mon lécheur pour qu’il puisse s’exécuter prestement. Il s’acquitta particulièrement bien de sa tâche, puisqu’il réussit à me faire jouir avec sa langue, aidé certes par la pénétration anale de mon amant.

Je me souviendrais particulièrement de ce moment… ma tête sur l’épaule de mon amant qui me caressait savamment de ses doigts, entre frôlements et pincements de la pointe de mes seins. De plus les petits coups de reins, pendant que les caresses buccales de Seb, qui tournoyaient sur le bouton de mon abricot, me rapprochaient chaque seconde du Nirvana.


Mais Franck, en caressant la plante de mon pied gauche, fit tomber la dernière barrière. Le puissant cri de libération me fit tomber dans un état comateux. Quand je repris conscience, Seb m’embrassait à pleine bouche. J’étais prise de part et d’autre, telle une tranche de jambon dans un croque-monsieur. Leurs bites me pénétraient sans ménagement, je me faisais défoncer sans complexe comme dans les productions pornos dont j’étais l’actrice, comme ceux que Nico aimait regarder en me bourrant ! Il éjaculèrent pratiquement en même temps :



En une seconde, il enleva le préservatif qu’il avait eu la peine de mettre, pour trouver ma bouche, qu’il remplit de quelques giclées. Comme une bonne écolière, j’usai mes dernières forces à le sucer, pendant que mes mains malaxaient ses bourses.



L’image de ma bouche déformée par la bite de ce jeune ouvrier, à quelques centimètres des yeux de mon amant, le sperme s’échappant de mes lèvres à chaque mouvement de bite dans ma bouche firent gonfler le sexe de mon amant à l’intérieur de mon p’tit cul annonçant une éjaculation puissante.



Mon amant jouissait. Il me posa comme une poupée de chiffon sur le côté, les fesses relevées, la tête et les épaules sur le canapé. Ma libération fut de courte durée, car mon cul plein de sperme avait inspiré Franck. Il s’enfonça sans aucune difficulté. Je ne sentais pas sa bite mais seulement les tapotements de ses hanches et de ses couilles sur mes fesses.

Ce traitement dura dix bonnes minutes et je le sentis jouir sur mon dos. C’est dans la même position que je m’endormis.


Cela faisait déjà plus de deux heures que nous étions arrivés, quand mon amant me sortit de ma léthargie et me proposa de rentrer. Je n’avais plus de force, mes jambes tenaient désarticulées telle une girafe sous un soleil de plomb. Mon manteau sur les épaules, nue dessous, mes affaires dans mon sac.

Nous prîmes congé des deux ouvriers par un petit baiser pour chacun. Ils voulaient la promesse de me revoir dans la semaine. Toujours éreintée, ma tête sur l’épaule de mon body-guard, celui-ci déclina leur offre… mais ne manquerait pas de les contacter par mail.


Je me suis rendormie rapidement dans la voiture. Mon chauffeur m’avait installée à la place du passager, et avait ouvert largement mon manteau laissant mon corps à la vue de tous. Galante attention, il avait monté le chauffage pour ne pas me faire souffrir du froid et, sûrement aussi, pour mieux m’exposer.

C’est en fait dans cette posture qu’il me réveilla dans le parking d’une rue jouxtant le lieu de l’association dans laquelle je travaillais. Je me suis rhabillée en quatre mouvements, je fis le tour du véhicule et en embrassant mon amant :



Et voilà ! J’avais osé lui dire que je l’aimais ! C’était l’idée qui trottait sans cesse dans ma petite tête en rentrant et je me demandais si ce petit mot de trop, ferait que nous nous reverrions… ou pas !




Je vous rassure, nous sommes toujours ensemble… et en sa compagnie je n’ai plus aucune limite, tout est permis !


Ne riez pas, le soir mon officiel, après m’avoir embrassée, me suggéra d’aller voir mon dentiste à cause de l’odeur due à une éventuelle carie. Il n’y avait pas photo, je sentais la bite. Et lorsque qu’il rajouta que j’étais belle, je ne pus retenir un sourire face au miroir de la salle de bain, avec mon œil poché.


P. S. : Nico, je sais que tu lis régulièrement ce site. Alors ose…soumets-moi avant qu’il ne soit trop tard !


Je t’aime, aussi !