Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 12707Fiche technique10832 caractères10832
Temps de lecture estimé : 7 mn
07/07/08
Résumé:  Rencontre et partage érotique dans un taxi.
Critères:  fh inconnu voiture voir photofilm nopéné jeu -occasion
Auteur : Heros Tic  (Amateur)      
Un taxi pour deux

Coincé pour des raisons professionnelles lors d’un long week-end à Paris, voici l’histoire surprenante qui m’est arrivée.


Pour me détendre d’une dure semaine de travail, j’avais opté pour une journée de farniente en bord de Seine. Allongé sous un soleil de plomb et entouré de charmantes nymphes en tenues légères, pendant tout l’après-midi, j’ai laissé vagabonder mon esprit dans une rêverie érotique peuplée de magnifiques créatures.


J’étais entouré par ces charmantes jeunes étudiantes allongées non loin de moi, dont les corps, ambrés par le soleil, prouvaient qu’elles venaient ici très régulièrement entretenir leur bronzage. Elles profitaient, elles aussi, de cette belle journée d’été.


Malgré cette compagnie fort agréable, la chaleur en cette fin d’après-midi était devenue si suffocante que l’envie d’aller lécher une glace devenait vraiment trop forte. Je me décidai alors de quitter les bords de Seine. Tout en remontant les quais, dans l’idée de trouver enfin une source de fraîcheur, mes yeux se nourrissaient des sublimes images parisiennes où les couleurs sombres et rosées d’un soir tombant avant l’orage ne laissaient pas insensible le photographe amateur qui sommeillait en moi. Mon inséparable appareil photographique toujours à portée de main afin de pouvoir saisir un instant, une atmosphère ou un lieu pour le plaisir des souvenirs.


Au même instant, une jeune femme pensait, elle aussi, à rentrer. Elle était passée voir une amie qui l’avait invitée à prendre un verre, passer l’après-midi pour papoter entre filles et essayer toutes leurs nouvelles toilettes achetées dernièrement, juste pour le plaisir d’être entre amies et partager un moment de convivialité. Il se faisait déjà tard. Elle se préparait à rentrer quand, tout à coup, l’orage qui grondait déjà depuis quelques temps au loin, vint à frapper plus fort, tout près.



Prenant ainsi congé de son amie, elle se dirigea d’un pas rapide vers la station de métro la plus proche. La station était, malgré tout, à une bonne dizaine de minutes à pied. Ses talons hauts, qui mettaient en valeur son si joli tailleur, ne lui facilitaient pas la tâche pour accélérer le pas avant l’averse qui semblait maintenant inévitable. L’orage se rapprochait de plus en plus. Un doux vent chaud commençait à se faire sentir dans les arbres de la grande avenue.


Les feuillages vibraient de plus en plus tandis que quelques gouttes commençaient déjà à tomber. Sa paire de chaussures à talons, qui amplifiait si bien sa cambrure et mettait tellement bien en valeur sa jupe fendue jusqu’au haut des cuisses, l’empêchait de courir vers la station de métro qui pourrait l’abriter et qui était encore assez loin.


Les gouttes de plus en plus rapprochées commençaient à humidifier son chemisier léger que ni la chaleur ni même le vent n’arrivaient plus à sécher maintenant. Les gouttes de plus en plus grosses, qui marquaient peu à peu son chemisier, rafraîchissaient malgré tout l’atmosphère qui était devenue si lourde. Elle ne connaissait pas bien Paris et avait peur d’arriver totalement trempée dans le métro. Son chemisier, que l’eau rendait transparent, laissait ainsi transparaître ses dessous satinés. Ses dessous soulignaient parfaitement sa silhouette sexy.


C’est à cet instant qu’elle se mit en quête d’un taxi pour l’abriter. Les taxis en fin d’après-midi du mois d’août n’étaient pas si nombreux à circuler dans cette rue tranquille. L’orage maintenant zébrait le ciel qui, noirci par les nuages, rendait cette atmosphère si particulière aux orages d’été.


Mon appareil photo à la main, je profitais de ces instants pour figer les lumières et la beauté de Paris en été. Au bout de quelques minutes, l’orage était devenu si intense que l’eau commença à se déverser comme un orage que seuls les tropiques connaissent si bien. De peur d’abîmer mon fidèle ami, qui n’aimait pas vraiment prendre l’eau, je me mis aussitôt, moi aussi, à la recherche d’un taxi.


Regardant partout et cherchant en vain cet abri, je me mis à courir en remontant la rue qui me semblait interminable. Tout à coup je vis arriver face à moi et surgissant de nulle part, une voiture noire surmontée de sa petite lumière qui signifiait que le taxi était libre. Lui faisant signe frénétiquement, je traversai la rue en courant comme un fou sous cette pluie battante. J’ouvris la portière et m’engouffrai enfin au sec. Au même instant, l’autre portière du taxi s’ouvrit, elle aussi. C’est ainsi que je me retrouvai assis aux côtés de cette magnifique inconnue.


C’est dans un premier éclat de rire que, tous les deux trempés, nous avons décidé de partager le taxi. La climatisation de la voiture tranchait avec la chaleur et la moiteur extérieure et commençait à la faire greloter. J’avais dans mon sac une serviette qui était, malgré tout, restée sèche. Je lui ai proposé de se sécher et de la réchauffer. Grelottante, elle accepta rapidement la douceur de cette serviette encore chaude des rayons du soleil. La douceur de cette étoffe caressait sa peau et lui rendait peu à peu le sourire. Avec la proximité de nos corps, j’en profitais pour lui faire des compliments sur sa tenue qui tranchait sur la décontraction d’un week-end d’été à Paris.


Mes yeux glissaient sur son corps et j’appréciais ses dessous colorés que son chemisier trempé et devenu transparent laissait voir sans mal. Je croisais le regard du chauffeur qui semblait lui aussi apprécier. Tout d’abord gênée de savoir que nous la regardions ainsi, elle éclata de rire en s’apercevant que tout le monde pouvait aussi la voir et qu’après tout le spectacle était certainement fort agréable. Cela ne lui déplaisait pas tant que cela.


Ses mains dégrafaient peu à peu son chemisier et venaient sécher et découvrir la teinte de sa peau qui tranchait avec les couleurs de ses dessous. Son bronzage si pâle montrait qu’elle ne devait pas souvent s’allonger en tenue légère au soleil. Le spectacle qui m’était donné était exceptionnel.


En passant près de l’observatoire de Paris, j’étais émerveillé par la lumière, les nuages et le ciel qui formaient des images sublimes. Mon amour pour les belles choses me fit aussitôt prendre mon appareil et je commençai à mitrailler. Je cherchais toujours le meilleur angle, tournais dans la voiture pour faire la meilleure prise et ainsi conserver cette atmosphère si particulière. Elle était intriguée de ma passion pour la photo et voyant que je pouvais, avec mon appareil, visionner en direct les clichés, elle me demanda si je pouvais les lui montrer. C’est ainsi que je me retrouvai serré contre elle pour regarder mes images.


Le contact de son corps contre moi réveilla mes sens et mes yeux glissèrent sur ce corps presque nu à mes côtés. Mon regard croisa le sien et grâce à nos sourires respectifs, nous comprîmes que cette situation ne nous déplaisait pas. Sa main m’effleurait par moment quand elle voulait me montrer tel ou tel détail d’une photo. Au détour d’une photo, je me rendis compte que je l’avais, elle aussi, capturée dans le feu de l’action.


Elle se trouvait en tenue légère, chemisier ouvert, avec en arrière-plan ce Paris aux couleurs si particulières. Elle n’était ni surprise ni même choquée par ce cliché et le trouvait très beau, avec une légère teinte érotique, ajouta-t-elle. Elle était persuadée que je l’avais prise exprès pour garder un souvenir de cette situation si particulière dans laquelle nous étions.


Le chauffeur continuait, discrètement du regard, à contempler nos échanges. Je repris mon appareil et, par jeu, mon doigt déclencha une photo d’elle contre moi. Dans un éclat de rire commun, tout en regardant cette photo, elle me surprit. En un clin d’œil, elle me prit l’appareil des mains et commença à vouloir, elle aussi, s’essayer à la photographie.


Elle a déclenché quelques photos, tournée vers moi. L’un contre l’autre, presque enlacés, nous avons regardé ses photos.



Effectivement, peu enclin à apprécier une photo d’homme, de surcroît de moi, je ne pouvais apprécier ces clichés. Je la trouvais sublime. Reprenant mon appareil, je débutai une série de prises qui n’avait qu’elle comme modèle. Mon regard au travers de l’appareil contemplait son corps qui se laissait aller.


À cause de l’alcool qu’elle avait bu avec son amie et grâce à l’atmosphère si particulière de ce taxi, elle se laissait aller comme dans un rêve… un fantasme. Jupe fendue, les seins couverts d’une fine dentelle, allongée, elle prenait des poses de plus en plus félines. Son regard de braise me réchauffait et me permettait de m’approcher de plus en plus d’elle. Les photos glissaient comme des caresses, comme un doux zéphyr qui effleure la peau et fait monter le frisson du plaisir.


Ma main se glissa sur ses cuisses, pour apprécier la douceur de ses bas qui remontaient sous cette jupe fendue, ce qui laissait entrevoir des dessous encore plus sexy. Réchauffée, elle se laissait maintenant aller de plus en plus, les yeux mi-clos. Mes mains glissaient sur ses formes. Mes caresses faisaient pointer ses seins gonflés de désir. Le chauffeur qui appréciait de plus en plus ce spectacle regardait longuement dans son rétroviseur sans rien dire. Elle avait remarqué son manège mais amusée, voire même excitée, elle ne disait rien.


À travers mon appareil, je continuais de parcourir son corps qui se cambrait et s’ouvrait pour notre plus grand plaisir. Mes mains caressaient sa douceur et se glissaient à la découverte des plaisirs. Elle posa ses mains sur mes cuisses et commença, elle aussi, à les faire glisser. Je frissonnais de plaisir en continuant à flasher sur elle. Ses mains douces et chaudes qui parcouraient la toile fine et encore humide de mon pantalon ne me laissaient nullement de marbre. Le regard pétillant, elle s’amusait de cette situation si particulière.


C’est ainsi que nous avons commencé notre traversée de Paris…