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n° 12714Fiche technique21856 caractères21856
Temps de lecture estimé : 13 mn
11/07/08
corrigé 01/06/21
Résumé:  Ma logeuse me fit découvrir la littérature érotique classique sous son meilleur jour...
Critères:  fh fplusag hépilé fdomine odeurs fellation cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo -fplusag -bourge
Auteur : ErosWay  (Amateur de belles lectures...)            Envoi mini-message
La logeuse, ou : "une passion anthologique"

Ceci est le récit d’une des périodes les plus marquantes de ma vie. Un moment qui m’a laissé des souvenirs intenses, et quelques regrets aussi…


Je venais de remporter un concours dans une banque, qui m’obligeait à effectuer un stage d’une année dans une des villes où la banque était présente. Ce fut Valence, une ville que je ne connaissais absolument pas. Mon a priori était plutôt favorable : originaire de Rouen, je rêvais de soleil et pour moi Valence, eh bien, c’était déjà le Sud.


En quête d’un logement, je finis par opter pour une chambre « chez l’habitant » car je ne voulais pas me retrouver seul le soir.


Je m’installai donc « chez l’habitante » : Madame de Sertange, veuve de son état, encore très belle femme. De beaux cheveux bruns mêlés de gris, des yeux bleu nuit, une bouche pulpeuse, une belle poitrine. Le tout fondu dans l’allure générale d’une belle bourgeoise de province. Laissée en jachère… mais ça, je ne le savais pas.


Passons sur les détails d’une relation qui me devint progressivement indispensable. Madame de Sertange, Anne de son prénom, exerça pendant l’année que je passai à Valence une emprise totale sur moi. Au point que je ne sortais plus, attendant avec impatience les longues soirées que nous passions ensemble. Progressivement, avec l’habileté consommée d’une véritable mère maquerelle, elle avait su m’amener à partager sa passion de l’érotisme… tout en m’imposant ses goûts.


Ainsi je peux dire que, durant cette année-là, même si parfois je fis l’amour comme je le voulais, elle me manipulait complètement. Presque chaque soir Anne de Sertange m’accordait ses privautés, comme elle disait. Elle venait dans ma chambre alors que j’étais au lit, prêt à m’endormir ; bien entendu je l’attendais, et elle me caressait. C’était bon et à chaque fois différent, elle se servait avec une habileté diabolique de ses mains, de ses pieds, de ses seins et de sa bouche. Ainsi, tous les soirs, sauf un, elle venait me traire, comme elle disait. Elle me tenait « par la queue », au sens propre du terme.


Mais ce ne sont pas ces cajoleries, au demeurant délicieuses pour votre serviteur, qui sont l’objet de ce récit. Car un soir de la semaine était consacré à la culture. À chaque fois, je découvrais une œuvre différente. Anne de Sertange puisait à volonté dans l’enfer de la bibliothèque de feu son mari.



Premier soir de lecture


Alors que j’étais assis sur mon lit, le dos contre l’oreiller, Madame de Sertange me tendit un premier ouvrage d’où émergeait un beau marque-page doré en forme de phallus.



Je pris l’ouvrage de ses mains et l’ouvris sur un premier texte. Alors que je m’apprêtais à lire, Anne de Sertange fit doucement glisser mes draps et ma couverture afin de me découvrir totalement. J’étais en caleçon.



Je souris, et commençai à lire :


L’aimable cachette qu’était la rose d’amour de Lucette s’offrait bien ouverte à l’arme qui devait la pénétrer. Maurice se plaça entre les cuisses fuselées de la jeune femme et d’un coup de reins habile il l’enconna, cependant que ses mains empoignaient les fesses, et que son doigt farfouillait dans la raie l’adorable petit troufignon de la jouvencelle.


Pendant que je m’attachais à lire du mieux possible, Anne glissa doucement sa main sous mon caleçon. Je sentis ses doigts effleurer mes bourses, doucement, très doucement… Elle se contentait de me caresser en faisant doucement rouler mes testicules, ce qui eut pour effet de me faire bander.



Je repris donc ma lecture, mon excitation décuplée par ses derniers mots… Oui, j’adorais sa bouche, son cul, son con moelleux… mais il me fallait les mériter. Je poursuivis donc.


Lucette, heureuse d’être possédée par le gentil garçon, jouait du cul comme une courtisane experte car maintenant, elle savait faire l’amour. Les ondes du plaisir la faisaient frissonner toute, de la nuque au talon, déjà ses yeux s’embuaient de douces larmes de volupté, déjà des sanglots de joie roulaient dans sa gorge, quand le rideau du cabinet de toilette s’ouvrit et Sir Archibald fit une entrée de quatrième acte, surprenant les deux gentils coupables dans leur attitude lubrique.


Anne décida à ce moment-là de m’enlever mon caleçon. Elle le fit glisser doucement, tirant assez fort pour faciliter le passage de ma verge tendue, et me l’enleva d’autorité. J’étais sa chose… Puis elle posa sa tête sur le haut de mes cuisses, la bouche presque collée à mes bourses. Elle s’empara de mon gland, déjà très humide, avec son autre main et se mit à souffler doucement sur le scrotum, suscitant, à chaque souffle, des ondes de volupté.



Galvanisé par la chaleur de son souffle sur mes couilles et par le jeu de ses doigts sur mon gland, je repris la lecture.


Lucette, qui était complice dans cette comédie, retenait son amant contre elle, le serrant dans ses bras et dans ses cuisses pour l’empêcher de dégager son arme de la tendre cachette où elle était plongée. Maurice, un peu effaré, mais nonchalant de ce qu’il montrait, laissait voir ses fesses exposées en plein air à Sir Archibald ; on pouvait même apercevoir dans la raie brune le trou brun et assez large de son derrière de tapette.


Sans aucun doute émoustillée et inspirée par ma lecture, Anne de Sertange se mit à me lécher doucement les couilles, tout en glissant un doigt humide de salive entre mes fesses. Là, elle se contenta de patiner lentement mon petit trou, en cercle, comme si elle comptait les sillons de mon œillet les uns après les autres. Avec son autre main, elle se contentait de tenir ma queue, le pouce sur le gland afin d’étaler ma mouille au fur et à mesure de ma « production »…



Archibald avait largement ouvert les fesses de Maurice, et maintenant il donnait libre cours à sa passion en léchant et en enfonçant sa langue dans la rosette anale que des coïts fréquents avaient largement ouverte. Les bagatelles de la porte ayant excité le gentil Maurice, celui-ci se remit à besogner Lucette, qu’il n’avait pas cessé d’enconner. Quand Archibald vit le coup de reins et entendit les soupirs d’amour, il se dévêtit en un tour de main…


Pour ne pas être en reste, Anne entreprit d’absorber un à un chacun de mes testicules tout en enfonçant son doigt dans ma rosette si savamment adoucie. Les bruits de succion m’excitaient au plus haut point. Elle m’avait imposé le rasage soigné des couilles et de la raie des fesses, mais je dois dire que j’en savourais tous les bienfaits. Elle me mangeait ainsi doucement les bourses, tout en me ramonant, son pouce de la main gauche n’ayant pas cessé de tourner sur mon gland, passant parfois sous la couronne…


Une morsure bien placée me ramena à ma lecture. Je bandais comme un âne, je ne rêvais que d’expulser mon foutre mais il fallait que je lise…


Enjambant le corps de Maurice, toujours allongé sur sa Lulu, il dirigea son arme sur le trou du cul, que les caresses de sa langue avaient suffisamment assoupli pour en rendre la pénétration facile. Ce fut délicieux ; sa pine glissait dans le doux réduit de Sodome, s’enfonçant jusqu’à la racine, les fesses de Maurice touchant les poils de son ventre. Ce fut Lucette qui, par ses coups de reins, donna la mesure et les trois jouisseurs partirent ensemble pour le bon voyage à Cythère. Lucette la première fit entendre sa voix, en gémissant de plaisir ; puis Maurice lui déchargea dans la mignonne vulvette, tandis qu’Archibald lâchait de longs jets de sperme chaud dans le trou de balle de son Ganymède.


Je gémissais moi aussi. Anne avait entrepris maintenant de me sucer la verge tout en maintenant un doigt dans mon cul, son pouce appuyé sur mes bourses. Sa langue remontait jusqu’au méat, y cueillait sa récompense salée puis descendait jusqu’à l’orée des couilles. C’était délicieux.


Elle s’interrompit cependant :



Je repris ma lecture, malgré ma verge dure, dure, dure… animé du dur désir de durer


Du derrière de Maurice, le sperme d’Archibald coulait. Lucette s’agenouilla, enfouissant son nez mutin entre les fesses du jeune homme, collant sa bouche rose comme une ventouse contre l’anus, qui laissait échapper la forte et abondante jouissance de l’Anglais. À cette caresse, Maurice se remit à bander ; en deux ou trois soubresauts, sa pine se gonfla et Sir Archibald, l’embouchant, tailla une superbe plume à son giton. De son côté, Lucette ne restait pas inactive ; elle introduisit dans sa bouche la queue de Sir Archibald, la suçant avec amour, presque avec dévotion.



Anne me tétait régulièrement maintenant. J’éprouvais une difficulté croissante à lire. Elle me suçait divinement tout en remontant mes couilles régulièrement avec sa paume, le majeur fiché dans mon cul. Je repris ma lecture, la fin du chapitre approchait… ma fin aussi.


Le résultat de ces mignonnes caresses fut une double éjaculation de la part des deux hommes, Maurice dans la bouche d’Archibald et Archibald dans la bouche de Lucette.


Je sentis mon jus monter, monter, et j’éjaculai à mon tour puissamment dans la bouche avide d’Anne de Sertange qui continua à me sucer le gland doucement jusqu’à la dernière goutte de semence. Puis elle se redressa sur son séant. Je voyais parfaitement poindre ses tétons à travers sa robe de chambre en soie et j’étais certain qu’elle devait littéralement dégouliner entre les cuisses. Elle comprit parfaitement ce que j’avais en tête.



Elle me donna un doux baiser sur les lèvres comme chaque soir, me faisant ainsi sentir mon propre goût, puis elle s’éclipsa, me laissant à ma plénitude.



Deuxième soir de lecture


Lorsque j’entrai dans sa chambre, Anne de Sertange était allongée sur son lit, sur le ventre, les yeux posés sur un livre.



J’entrai donc, et m’avançai à genoux sur le lit qui était immense. Anne était vêtue d’une simple chemise de nuit blanche, en dentelle, qui me laissait deviner l’absence totale de sous-vêtements. Pour ma part, j’étais en caleçon et tee-shirt.



J’obtempérai comme d’habitude, et m’approchai d’elle.



Je relevai aussitôt sa chemise de nuit ; je procédai doucement afin qu’elle sente le tissu découvrir progressivement sa peau… d’abord le creux des genoux, ensuite les cuisses… puis les fesses, magnifiques. Et enfin, je remontai le plus loin possible jusqu’au cou en dégageant doucement les seins que je savais imposants. Elle commença sa lecture au moment où je posais les mains sur ses fesses.


C’était une pièce fort originale, capitonnée d’une épaisse étoffe blanche fixée au mur par des boutons d’argent ; un tapis formé des toisons blanches de jeunes agneaux couvrait le plancher et au milieu, sur un vaste divan, s’étalait la fourrure d’un ours polaire.


Je commençai par masser doucement chaque fesse en prenant soin de les écarter fermement avec mes mains. Je savais qu’elle adorait sentir son anus écartelé. Il était là, sous mes yeux, tapi au fond de la raie des fesses. Tout propre et sans poils. Tout rose aussi, d’un rosé foncé… et froncé. Je tirai sur une fesse, puis sur l’autre avec l’autre main, faisant s’ouvrir à chaque traction le petit trou… Elle reprit sa lecture après quelques minutes de silence, savourant ce moment d’intense intimité.


Au dessus de ce meuble unique, une lampe d’argent ancienne, provenant de quelque église byzantine ou d’une synagogue d’Orient, répandait une pâle lumière, suffisante pour éclairer ce temple de Priape dont nous étions les adorateurs.


Tout en poursuivant mon lent massage des fesses je positionnai mes pouces de façon à pouvoir atteindre sa vulve. Pour faciliter l’accès, je pris un oreiller que je plaçai d’autorité sous son bas-ventre. Cela ne l’empêchait nullement de lire et moi, je disposais ainsi d’une vue imprenable sur son intimité, sur ses orifices de l’amour. Depuis, avec le recul, je me rends compte qu’Anne de Sertange avait un sexe magnifique. Elle s’épilait habituellement mais cette fois-là elle avait décidé de n’en rien faire, aussi je pouvais admirer sa vulve sous une fine toison brune. Les grandes lèvres, légèrement gonflées déjà, se refermaient parfaitement, non sans laisser apparaître le fin ourlet des petites lèvres, que je voyais s’humidifier progressivement. Ainsi, tout en ouvrant le plus possible ses fesses, j’utilisais mes pouces pour écarter les grandes lèvres. Dieu que c’est beau une femme !


Je sais, me dit-il, que le blanc est ta couleur favorite ; il sied à ton teint brun, c’est pourquoi je l’ai adopté pour toi, pour toi seul. Nul autre n’entrera ici. Et aussitôt, avec dextérité, en un clin d’œil il me dépouilla de tous mes vêtements ; je me laissai faire, étant entre ses mains comme un enfant endormi ou un homme en extase. En moins de rien, je me trouvai complètement nu, étendu sur la peau d’ours, et lui, devant moi, me contemplait avec des yeux dévorants.



La voix d’Anne était rauque. Elle n’était pas insensible à mes caresses. J’aurais souhaité m’occuper de ses seins, triturer ses tétons, mais la position ne le permettait pas. Je me contentai donc des trésors qu’elle m’offrait si volontiers. Une odeur enivrante montait doucement de sa vulve gonflée. Je bandais dur mais j’avais conservé mon caleçon. Effectivement, moi aussi, je mouillais beaucoup, et je risquais de me répandre goutte à goutte sur elle.


J’empaumai alors sa vulve avec la main gauche, mon majeur posé sur son clitoris, tout dur à présent, et mon pouce enfoncé entre les lèvres. J’alternai ensuite entre la caresse du clitoris et la pénétration de mon pouce. Lorsque celui-ci s’enfonçait dans la chaleur affolante de son vagin, mon majeur reculait, puis je ressortais le pouce ruisselant pour titiller le petit bouton, don des dieux à la meilleure part de l’espèce humaine.


Dans le même temps, avec mon autre main, j’entreprenais de pénétrer son anus : d’abord un doigt, puis deux, puis trois… elle gémissait mais poursuivait sa lecture.


Il promena ses mains sur tout mon corps ; puis ce furent ses lèvres, couvrant de baisers ma poitrine, mes bras, mes jambes, mes cuisses. Arrivé en haut, il appuya avec ravissement son visage sur l’épaisse et abondante toison qui ombrage le pubis. Il frissonna de plaisir en sentant les poils lui chatouiller les joues et le cou ; saisissant alors le phallus, il y appuya ses lèvres. Le contact le mit hors de lui ; le gland, puis le membre entier disparurent. Pendant ce temps, j’avais saisi sa tête bouclée ; je tremblais de délices ; la sensation était si aiguë que j’en devenais fou. La colonne toute vibrante était dans sa bouche, la tête touchant son palais, chatouillée par sa langue, caressée à petit coups. Je me sentais sucé, mordillé, mordu. La jouissance devenait trop forte ; elle me tuait. Eût-elle duré un instant de plus, je perdais connaissance.


Tout en lisant d’une voix hachée, Anne remontait ses fesses pour venir s’empaler sur mes trois doigts, écartelant ainsi son œillet, puis elle les rabaissait pour faciliter la caresse du clitoris et la pénétration du vagin. Elle dégoulinait littéralement sur mes mains. J’enlevai alors mes doigts de son rectum et, tout en poursuivant les caresses sur sa chatte, je me mis à lui lécher le trou du cul. Enfonçant le plus loin possible ma langue, ramonant son petit volcan d’amour.



Je goûtais avec passion au goût poivré de son anneau, léchant à qui mieux mieux, l’aspirant et le mordillant, chose qu’elle appréciait particulièrement.


Mes nerfs se tordaient ; je me tortillais, j’entrais en convulsions. Soudain, une de ses mains qui caressait mes testicules glissa sous mes fesses et un doigt pénétra dans l’anus. Il me semble être un homme par-devant, une femme par-derrière ; j’éprouvais des deux côtés une jouissance sans nom. C’en était trop, mon corps se liquéfiait ; le brûlant lait de vie monta comme une sève de feu tandis que mon sang en ébullition, gagnant le cerveau, y portait le délire. Je n’en pouvais plus ; je m’évanouis de plaisir.


L’écoute de la voix rauque d’Anne ajoutée aux caresses que je lui prodiguais me firent perdre tout contrôle. Je lâchai sa chatte, arrachai mon caleçon et, présentant mon gland à l’orée de ses grandes lèvres, la pénétrai profondément. Elle poussa un cri de plaisir et se mit à me pomper littéralement la queue avec ses muscles vaginaux. La sensation était extraordinaire. J’allais et venais dans son brûlant fourreau, et elle me pressait le membre à chaque aller. Heureusement, grâce à son programme de « traite » quotidienne, je pouvais me retenir d’éjaculer.


Elle lâcha définitivement le livre et me demanda de ralentir. Ainsi, je me mis à ressortir doucement ma queue, puis à l’enfoncer très lentement pour sentir le doux contact des petites lèvres épouser au plus juste ma verge au passage. Elle continuait à faire jouer ses muscles internes, à chacune de mes poussées, comme un lent massage.


Je finis par ressortir totalement pour écarter ses fesses et goûter à nouveau son œillet au goût poivré. Puis j’arrêtai pour fourrer, en lieu et place de ma langue, ma queue brûlante dans son fondement. Elle poussa un gémissement presque bestial. Elle avait atteint elle aussi le point de rupture.


Le brûlant fourreau m’accueillit et d’un seul coup, d’un seul, j’écrasai mes couilles sur ses fesses. Puis je me mis à la pilonner tout en malaxant ses seins. Elle divaguait, criant des mots obscènes, jouissant de sa complète soumission. De son don de soi.


Je ressortis ma verge à l’orée de la couronne puis je m’enfonçai de nouveau de plus belle. Je lâchai soudain son sein pour frotter son clitoris avec un doigt enduit de mouille. Elle se mit alors à jouir, ce qui déclencha ma propre jouissance. Je me déversai à grands jets dans son rectum. Puis j’y restai, épuisé, assommé, jusqu’à ce que la détumescence fasse déculer ma queue.


Nous n’en avions pas fini avec mon éducation littéraire : l’enfer de feu Monsieur de Sertange était pavé de nombreux ouvrages, autrement plus sulfureux…