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Temps de lecture estimé : 6 mn
11/07/08
Résumé:  La jeune Asiatique découvre son nouvel objet de plaisir, le tâte et le goûte au plus profond d'elle.
Critères:  f asie grossexe douche cérébral revede fmast fgode jouet init tutu fantastiqu -fantastiq -mastf
Auteur : Mister AD  (Amateur de romance, d'érotisme...)            Envoi mini-message

Série : La jeune Asiatique et le chibre

Chapitre 02
La jeune Asiatique et le chibre - Partie 2

Tu es de retour chez toi. En arrivant, tu vas dans la cuisine te servir un grand verre d’eau glacée. Ta gorge est alors sèche depuis trop longtemps.


Lorsque tu t’assois à la table de la cuisine, tu places face à toi ton paquet. Serrant ta main entre tes cuisses, tu ressens une envie irrésistible de l’ouvrir et de te servir de son contenu.


Tu ne vois que des images torrides de toi et de deux hommes, oui deux, toi pourtant si sage. Tu vois leurs sexes bien gros et bien dressés devant ta bouche si avide. L’un après l’autre, tu lèches leurs énormes bites.


Te mordant la lèvre, tu prends le paquet et l’ouvres enfin. L’énorme pieu repose sagement devant tes yeux voraces. Tu l’observes lentement, sans le toucher, sa peau lisse et si réelle, ses veines gonflées et gorgées d’aucun sang. Il n’y a que du plastique devant toi. Tu as pourtant de la difficulté à reconnaître l’objet.


Tu as acheté un godemiché !


L’objet, pourtant si énorme, te fait frémir de désir et de peur à la fois. Déjà, tu l’imagines dans ton sexe, te pilonnant, t’appuyant dessus et l’avalant dans ta chatte bien lubrifiée. Oh oui… tu vas probablement avoir besoin de lubrifiant pour le mettre en toi.


Dans ta salle de bain, le soir même, tu te fais couler un bain chaud. Tu portes toujours les vêtements de la journée. Lentement, cérémonieusement, le tissu de ces vêtements glisse sur ta peau pâle. Tu te retrouves ainsi devant le bain, ne portant que ta culotte bien humide de toute ton excitation de la journée et de toutes les idées qui fouillent ton esprit.


Une fois prête, l’eau à la bonne température, la mousse déjà débordante de blancheur, tu glisses dans le bain. En entrant en contact avec ton sexe, l’eau presque bouillante t’envoie une décharge dans tout le corps. Installée, tu bouges les mains sous l’eau, t’adaptant à cette température.


Ton regard ne fixe qu’une seule chose, le membre debout sur le coin de la baignoire. Son gland dardant l’air humide de la salle de bain, n’attendant que ton désir et ton sexe suintant abondamment.


Il devra patienter quelques minutes encore. Tu laisses l’eau te réchauffer et détendre tes muscles. Ton sexe s’ouvre, palpitant d’impatience. Tes mains parcourent tes cuisses et ton ventre, tu n’as qu’une seule envie, sentir le membre déjà en toi.


Au moment où tu poses tes fesses sur le bord de la baignoire, tu hésites. Et s’il te faisait mal. Si ton sexe était trop petit pour cet énorme truc. Non, ce n’est pas possible. Le concombre de l’autre fois était presque de la même taille.


Tu te sens perverse pendant un moment, ta respiration s’accélère, tes joues rosissent. Tu prends le gode dans ta main, te demandant même comment une chose aussi grosse pourrait être sucée. Sortant la langue, tu entreprends de lécher le pourtour du gland et un étrange goût de caoutchouc te prend la gorge. Sans arrêter ton mouvement, tu continues à en lécher toute la longueur, laissant ici et là une bonne épaisseur de ta salive.


Ta main droite allant et venant près de ta bouche, serrant si fort l’objet, l’autre main s’active vivement sur ton sexe. Ton clito n’a pas pris de temps à se montrer, l’eau du bain l’a si bien réchauffé.


Plaçant enfin le gode sur sa base, bien droit sur le bord du bain, tu t’élèves bien haut au-dessus, t’enlignant dans la mire du phallus. Le gland de caoutchouc ouvre tes lèvres et s’immisce lentement à l’entrée de ta chatte. Ça y est, il va te déchirer en deux, penses-tu.


Tu descends sur la chose, et celle-ci entre en toi. Tes chairs s’écartent. Tu fermes les yeux un moment, la douleur de la pénétration laissant place à un plaisir électrisant. À mi-chemin, le gode ralentit. Tu t’imagines alors un homme bien costaud sous toi. Un homme qui te pénètre vigoureusement. Son sexe déjà à mi-chemin semble d’une longueur interminable.


Tu progresses encore un peu… puis remontes pour en retirer quelques centimètres de ton ventre. Il plonge de nouveau, gagnant le reste du terrain. Il est alors bien fiché en toi, le gland butant contre le fond de ton sexe. Tu halètes fortement, tes doigts s’activant sur ton clito à une vitesse folle, ton autre main posée sur le gode, cherchant nerveusement le bouton d’activation.


Après plusieurs essais, tu réussis enfin à activer l’objet, de petites vibrations se font alors sentir. Des frissons te parcourent, tu arrives à peine à te maintenir debout sur l’objet, tes pieds glissant au fond de la baignoire. Tu te reposes à nouveau sur le bord, sursautant une fois sous le contact froid de tes fesses avec la céramique, une seconde fois sous une décharge du membre.


Ta main le retire de ton con, frottant vivement le gland vibrant sur les rebords de ta chatte maintenant dégoulinante. Tu ne te contrôles presque plus, voyant l’énormité plonger en toi, vibrant en toi. Tes doigts pincent ton clito, tournent autour de lui, l’agacent et l’abandonnent, le chatouillent et le massent. Ta respiration rauque emplit la pièce. Ta main pousse sans cesse la chose en toi, activant du bout des doigts une vitesse supérieure, puis une autre.


Sur les quelques points indiquant ces vitesses, tu en as déjà franchi les trois-quarts, mais ton sexe n’en a cure. Tu désires avant tout jouir. Tu vois l’homme bien membré te défonçant à toute allure. Il a de multiples visages, sa peau possède de multiples couleurs, pourtant son membre tel du roc est tout aussi énorme. Et il vient en toi. Il te fait jouir.


Tu jouis, tes pieds fouettent l’eau du bain, la mousse recouvre les murs, le sol, ta peau pâle. Tu ne possèdes plus ton corps. Tu actives les dernières vitesses du gode. Tu sursautes, tu hoquettes de plaisir. Le dernier mode de vibration est alors actif. Le phallus sursaute dans ton ventre, il donne des pulsations vibratoires, il semble pourtant que quelque chose ne va pas. Tu le retires lentement, très lentement, profitant de l’étirement de ta jouissance. Le gland ressort enfin. Le membre factice est recouvert de ta jouissance. Le son délicat de sa vibration se mêle à ta respiration… puis, peu à peu, l’apparition des pulsations s’espace… puis…


Ta main recouvrant ton sexe, ta paume se réchauffant avec tes lèvres bouillantes, tu observes, intriguée, le comportement étrange du jouet. Puis l’étonnant se produit : il gicle. Une bonne quantité de foutre s’échappe en un jet du gland et se répand sur ton ventre. Tu pousses à ce moment un petit cri de surprise.


Tu diriges nerveusement le jouet vers les murs plutôt que ton ventre. La substance chaude et visqueuse coule sur toi, d’un réalisme déroutant. Un second jet s’échappe de l’objet, puis un autre, puis un autre. Ces trois jets bien puissants se répandent sur le mur près du bain. Malgré l’épaisseur du liquide, il coule bien rapidement dans l’eau du bain, laissant une légère trace sur le carrelage.


Tu te relèves chancelante. Reposant ainsi dans ta nudité, tu regardes le bain, puis l’objet que tu tiens toujours dans ta main. Tu le poses sur l’évier de ta salle de bain. Tes doigts glissent sur ta peau et passent rapidement sur la tache de foutre. Cette trace s’étalant maintenant le long de ta cuisse. Tu viens lécher le bout de ton index, goûtant à cette substance étrange. Ça ressemble de plus en plus à du vrai… même le goût s’y colle.


Tu n’as pas le temps d’y réfléchir plus, l’eau du bain semble bouillir soudainement. De gros bouillons apparaissent à la surface de l’eau, quelque chose semble avoir pris contrôle de la baignoire. Tu es si effrayée que tu te replies sur toi-même, le foutre coulant sur tes fesses, tu contemples le phénomène.

Quelque chose sort du bain. Une tête perce la surface de l’eau, recouverte encore de quelques parcelles de mousse. Le corps d’un homme se dévoile peu à peu devant toi. L’inconnu se dévoile, puis se tient debout au fond de la baignoire. Un pied à la fois, il en sort et se positionne à tes côtés.


Entièrement nu, je te fixe, un étrange sourire aux lèvres. Tu me contemples, semi-effrayée, toujours excitée par tes caresses. Ton regard glisse sur mon corps couvert d’eau et de mousse, puis se pose un long moment sur mon sexe, bien droit et pointant vers toi. La taille, les veines, la forme, tout correspond. Tu reconnais mon membre : c’est ton gode !