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Initiation

L’histoire dont je vais vous faire le récit s’est réellement passée, en juin 2000 précisément, elle est écrite à partir de notre journal intime, comme toutes celles qui suivront.

Nous sommes un couple de la région bordelaise, échangiste entre autres bien que ne fréquentant pas les clubs du même nom. Marc a aujourd’hui quarante-quatre ans, il est brun, yeux bleus, 1 m 78 pour 74 kilos, membré 13/14 centimètres en érection, assez large, circoncis à ma demande et entièrement épilé. De belles couilles moyennement grosses bien pleines.

Moi, Nathalie j’ai trente-six ans, je suis brune, yeux bleus, 1 m 71 pour 56 kilos, des seins hauts, fermes avec de longs tétons ultrasensibles, un beau 95 de tour de poitrine, une jolie chatte (aux dires de mon mari), entièrement épilée avec parfois des bijoux sur les petites et grandes lèvres ainsi que sur le capuchon du clito. Je suis clitoridienne et vaginale. Je ne prends pas de plaisir analement et n’ai jamais eu d’orgasme par ce côté.

Mais revenons à ce mois de juin. Nous habitons à quinze kilomètres de Bordeaux une grande maison avec piscine. Ce jour-là, en début d’après-midi, nous étions au bord de la piscine entièrement nus comme d’habitude. Coup de sonnette, je me lève, enfile un peignoir et vais voir qui ça peut bien être, nous n’attendions personne.

C’est Magali, sans e à la fin, la fille de nos voisins qui vient parfois nager, une jolie fille de vingt ans qui me demande si elle peut venir se baigner.

• — Oui, bien sûr, tu peux venir.

Je la fais entrer et nous nous dirigeons vers la piscine où Marc a lui aussi enfilé un peignoir. Bises de Magali qui commence à se dévêtir. Elle enlève son tee-shirt et nous dévoile un mini soutien-gorge qui cache à peine les pointes de ses seins, puis elle baisse son short pour nous montrer un petit string de bain très sexy. À croire qu’elle est venue pour nous exciter…

Je lui dis :

• — Nous allons enfiler des maillots car nous sommes nus.
• — Vous pouvez rester nus, ça ne me gêne pas, et si vous voulez je peux aussi me mettre nue.
• — Alors dans ce cas nous restons nus, répond Marc.

Nous retirons nos peignoirs et offrons notre nudité la plus totale aux yeux de Magali. Son regard est attiré par nos sexes épilés qu’elle fixe longuement. Magali retire son soutien-gorge et son string.

Je lui dis alors :

• — Magali, tu n’as jamais vu une femme avec le minou lisse et un homme avec la queue et les couilles lisses ?
• — Non, c’est la première fois.
• — Tu trouves comment ? demande Marc.
• — C’est joli, surtout toi Nathalie.

Et là-dessus elle plonge dans le bassin. Après une dizaine de minutes elle regagne le bord. C’est une très jolie fille un peu plus grande que moi, fine avec des seins très volumineux, en poire, qui tiennent bien malgré leur grosseur, avec des aréoles bien brunes, de jolies fesses rondes, bien séparées, et une touffe naturelle de poils très noirs qu’elle ne taille pas. Elle revient s’allonger à côté de Marc qui s’est mis sur le ventre pour cacher un début d’érection.

Nous bavardons d’un concert qu’elle doit aller voir à la fin de la semaine suivante et maintenant elle fixe mon minou.

• — Ça t’intrigue que nous soyons épilés, Magali ?
• — Oui, c’est très joli, ça doit être doux au toucher…
• — Très doux, en effet. Tu aimerais caresser un garçon épilé ?
• — Je ne sais pas, je n’ai jamais caressé de garçon !
• — Et toi, tu as déjà été caressée par un garçon ? demande Marc.
• — Juste les seins par-dessus mon soutien-gorge, mais jamais ni le ventre ni le sexe, je suis vierge.
• — Et avec les filles, tu as eu des expériences ?
• — Oui, avec Sandra, avant qu’elle ait son copain, maintenant il nous arrive de temps en temps de faire l’amour ensemble mais c’est plus rare, la dernière fois c’était avant Noël dernier.
• — Tu aimerais me caresser ou caresser Marc ?
• — Pourquoi pas ? Ça doit être agréable…

Notre conversation commence à émoustiller Marc qui visiblement ne perd pas une miette de l’anatomie de Magali. Il se tourne sur le côté face à nous deux, sa belle queue commence à bander.

• — Tu peux nous caresser si ça te fait envie, Magali.

Elle s’approche de moi et passe le plat de sa main sur mon pubis sans toucher ma chatte, ses doigts sont très doux. À mon tour je lui caresse les seins, ses tétons sont bien érigés.

• — Avec Sandra, vous aimez vous faire quoi? demande Marc.
• — Nous caresser, téter nos seins, lécher nos minous.
• — Rien que des bonnes choses, remarque Marc.
• — Sandra t’a raconté comment ça se passe avec son copain ? lui demandé-je.
• — Oui, mais sans entrer dans les détails.
• — Tu n’es pas tentée toi aussi de faire l’amour avec un garçon ?
• — J’y pense assez souvent quand je me caresse le soir ou le matin dans mon lit.
• — Tu te branles souvent ? lui demande Marc.
• — Presque tous les jours et parfois deux ou trois fois par jour, sauf quand j’ai mes règles.
• — Tu peux caresser Marc si tu veux. Tu sais, nous sommes très libres et nous avons souvent des aventures avec d’autres couples, des femmes ou des hommes seuls, nous sommes bisexuels tous les deux.

Elle hésite un peu, se lève puis s’approche de Marc qui tire le matelas sur lequel elle était allongée pour le rapprocher du sien ; elle se réinstalle, ils sont tous les deux allongés sur le dos, elle lui caresse le torse, sa main descend sur son ventre et atteint son pubis. Marc est en pleine érection, son gland circoncis est trempé ; Magali passe les doigts le long de sa queue et lui caresse les couilles, puis très lentement remonte le long de la tige qui est très grosse, et elle commence une lente masturbation. Visiblement, si elle n’a jamais caressé un garçon, elle s’en sort très bien. Marc s’est penché sur sa poitrine et lui titille les seins.

Je viens entre ses cuisses, les lui écarte et pose ma bouche sur son petit chat. Elle est trempée, j’écarte ses poils et entreprend un léchage dans les règles de l’art. Tout en masturbant Marc elle commence à gémir, elle pousse de plus en plus son bassin sur ma bouche. En moins de temps qu’il n’en faut elle crie sa jouissance. Son premier orgasme la laisse pantelante.

• — Tu as aimé, Magali ?
• — Oui, c’était génial autant sur mes tétons que sur mon clito.
• — Repose-toi un peu, si tu veux on recommencera un peu plus tard.

Notre conversation porte sur le sexe en général. Elle pose des questions : pourquoi sommes-nous épilés ? Pourquoi ai-je des anneaux sur la chatte ? Pourquoi Marc est-il circoncis ? Faisons-nous souvent l’amour ? Si je préfère avec un homme ou avec une femme ? Si je suce souvent Marc ? Questions auxquelles nous répondons, bien sûr.

À cette dernière, je lui demande si elle aimerait sucer la queue de Marc.

• — Ça ne doit pas être mal, j’aimerais bien essayer.
• — Je te le prête, tu peux le sucer si tu en as envie.
• — Je n’ai jamais touché un garçon, tu me montres comment je fais, Nathalie ?

Je m’approche d’eux, me penche sur Marc qui n’en espérait pas tant et commence à le branler ; sa queue s’allonge et grossit, je passe ma langue sur le méat, il mouille, je titille son gland en expliquant à Magali, je passe ma langue sous le frein en lui montrant bien comment tenir la langue… Marc a ses doigts dans la chatte de Magali.

• — À toi maintenant, lui dis-je.

Elle s’empare de la bite tendue et pose ses lèvres sur le gland, elle l’engloutit, je lui dis :

• — Caresse ses couilles en même temps.

Magali s’exécute. Marc s’empare de ses tétons, les pétrit, tire dessus… La pipe dure un bon quart d’heure, Marc se retient pour ne pas jouir puis prévient qu’il va gicler. Je dis à Magali :

• — Suce bien mais, si tu n’aimes pas le sperme, fais-le jouir hors de ta bouche.

Elle suce et avale la première puis la seconde giclée mais sort la bite de sa bouche pour les trois suivantes.

Elle a du sperme partout, sur le cou, les épaules, les seins. Je viens lécher ses seins. Marc s’allonge entre ses cuisses et lui dévore sa petite chatte. Elle jouit pour la seconde fois.

Après une demi-heure de repos elle me dit qu’elle voudrait bien lécher aussi ma minette. Je m’étends sur le dos, elle s’installe entre mes cuisses et commence à me lécher. Marc se place derrière ses fesses, il joue avec sa chatte et son petit trou en commentant, elle mouille abondamment. Elle est experte, en peu de temps elle m’amène au plaisir, je jouis très fort.

Nous passons sous la douche pour laver les traces de sperme et de cyprine avant de plonger pour un bain. Au bout de dix minutes, Marc sort de la piscine et je le rejoins peu après. Magali nage encore un long moment avant de nous rejoindre ; dans l’eau, c’est une vraie sirène tant elle nage bien.

Nous sommes étendus tous les trois. Le soleil nous sèche et réveille les ardeurs de Marc ; je demande à Magali si elle aimerait être déflorée par Marc.

• — Oui, je n’osais pas le demander mais j’en ai très envie.
• — Alors, Marc va faire de toi une vraie jeune femme.
• — Tu prends la pilule, Magali ? Quand as-tu eu tes règles la dernière fois ? demande Marc.
• — Je vais les avoir en fin de semaine prochaine, mais le médecin m’a prescrit la pilule depuis quelques mois, pour que mes règles soient moins douloureuses.
• — Alors, c’est parfait, tu ne risques pas la grossesse, répond Marc.

Nous détestons le latex et, comme nous faisons très régulièrement des tests et que Magali est vierge, pas de risque d’attraper une saloperie avec elle. Nous nous rapprochons d’elle pour la faire mouiller, je commence à téter ses beaux seins, Marc lui lèche le minou, elle est très rapidement excitée, je lui dis alors :

• — C’est toi qui va te dépuceler toute seule, Marc va s’allonger sur le dos, tu vas l’enjamber et enfoncer sa queue dans ton minou, comme cela tu pourras te pénétrer à ton rythme ; si tu as mal, tu arrêtes.

Marc s’allonge, son membre est dressé, Magali vient se positionner face à lui et s’assoit, je prends la bite de Marc dans ma main et la frotte sur le clito et les lèvres de Magali qui est trempée, sa cyprine coule le long de la colonne de chair. Elle s’empale lentement sur la verge et s’immobilise lorsque le gland est entré en elle.

• — C’est agréable de sentir le gland dans ma fente, j’ai l’impression d’être trempée.

Puis elle reprend la pénétration. Bientôt, toute la longueur de la bite est dans sa chatte, elle commence à faire des va-et-vient très lents puis de plus en plus rapides. Marc gémit, il se retient pour ne pas éjaculer, mais en moins de dix minutes il gicle et lui remplit la chatte de son sperme. Magali est maintenant une vraie jeune femme. Du sperme s’écoule de sa chatte et tombe sur la serviette de bain.

• — Tu as aimé, Magali ? demande Marc.
• — Oui, je n’ai ressenti aucune douleur mais c’était trop intense pour que j’aie un orgasme, je sentais tellement bien ta queue dans mon ventre, tu remplissais bien ma chatte. C’était super agréable, je n’aurai pas peur de recommencer.
• — Et tu veux que l’on recommence d’ici un moment ? demande Marc.
• — Pourquoi pas, répond-elle.

Je suis allée chercher des mouchoirs jetables et lui essuie le sexe, qui ne présente aucune trace de sang. Nous apprendrons quelques semaines plus tard qu’elle avait joué avec un sex-toy qu’elle avait découvert dans la chambre de ses parents ; sex-toy que depuis elle utilisait lorsqu’ils étaient absents.

Une heure s’est écoulée, elle s’adresse à Marc :

• — Tu me reprends, Marc, j’ai encore envie de ta queue.
• — Viens, ma belle, empale-toi encore, branlez-moi toutes les deux pour que je bande très fort, répond-il.

Nous nous rapprochons, je prends sa bite en main et commence une lente masturbation, Magali caresse ses couilles, mais très vite elle prend son gland dans sa bouche, il est vraiment en érection, puis elle l’enjambe et dirige le chibre dans sa chatte, elle se pistonne à toute vitesse et Marc jouit très rapidement.

Nous nous dirigeons tous les trois vers la douche pour une toilette intime, je lave la chatte de Magali qui lave la bite de Marc, nous nous essuyons et nous habillons, la soirée est largement entamée et Magali doit rentrer chez ses parents. Nous l’embrassons et l’invitons à revenir dès qu’elle le veut.

* * *

Le lendemain, après avoir déjeuné nous sommes installés au salon pour prendre le café, Marc lit le journal, je suis allongée sur un canapé. Coup de sonnette… Qui peut bien braver la chaleur si tôt ? Marc se lève, va voir et revient avec Magali qu’il tient par les épaules.

Elle s’approche de moi et m’embrasse sur la bouche puis se tourne vers Marc et l’embrasse aussi sur la bouche.

• — J’avais très envie de vous voir, hier c’était si bon que j’ai envie de recommencer, dit-elle.

Je lui propose un café, elle s’assoit à côté de Marc, ils s’enlacent et s’embrassent pendant que je fais couler trois cafés. Marc se lève et je m’assois à côté de Magali, il s’installe en face de nous. Magali est très jolie dans un tee-shirt et une large minijupe blancs.

D’où il est, Marc voit nos cuisses et probablement nos strings, il est très attentif à l’entrejambe de Magali. Il s’adresse à elle :

• — Mais que t’est-il arrivé ? On dirait que tu as été chez le coiffeur ?

Je ne comprends pas tout de suite.

• — Oui, hier j’ai tellement aimé lécher la chatte lisse de Nathalie que j’ai rasé la mienne ce matin.

Elle soulève sa jupe, son abricot est lisse. Je me penche vers son minou pour l’embrasser, il reste quelques poils que le rasoir n’a pas enlevés, ce n’est pas facile de se le faire soi-même. Je lui dis :

• — Tu aurais dû venir me demander de t’aider ; attends, nous allons rattraper les ratés…

Marc va chercher son rasoir, la mousse, un gant, une cuvette avec de l’eau et une serviette de toilette qu’il étend sur la table basse. Entre-temps, je l’ai complètement dévêtue, elle a un très joli corps, je lui humidifie le minou et Marc étale la mousse, puis il entreprend de peaufiner le rasage.

Quand il a fini le pubis et le tour des lèvres, nous la faisons mettre à quatre pattes pour lui raser les poils entre ses fesses. Nous voyons pour la première fois sa rosette, un joli trou assez brun avec quelques poils qui l’ornent ; je l’enduis de mousse et, très doucement, pour ne pas la couper, je lui rase son petit trou. Marc le lui lave pour ôter la mousse en excédent. Maintenant, on voit bien ses grandes lèvres qui sont brunes et bien dessinées. Hum… je sens que je vais me régaler…

Cette opération nous a tous les trois bien excités. Nous lui proposons une douche pour finir le travail et l’invitons dans la salle de bains où tous les trois nous nous retrouvons sous le jet, c’est l’avantage d’une grande maison et d’une grande salle de bains. Nous la savonnons, Marc son dos et ses fesses, moi ses seins, son ventre, sa chatte, elle se caresse le minou, c’est très doux, ça lui plaît. Nous nous séchons.

Je la frictionne avec une crème hydratante pour enlever le feu du rasoir, puis nous revenons dans le salon sans nous rhabiller. Nous prenons place sur un canapé, Magali est entre nous deux, sa main s’est emparée de la queue de Marc et le branle pendant que je l’embrasse et lui caresse les seins.

Très vite elle nous dit :

• — J’ai envie de faire l’amour, je voudrais que Marc me prenne mais pas comme hier, je voudrais être dessous.
• — Allons dans une chambre, nous serons plus à l’aise.

Je me dirige vers notre chambre pour retirer le dessus de lit et la couette. Ça tombe bien, la femme de ménage a changé les draps ce matin. Magali s’allonge, je m’installe entre ses jambes pour butiner son joli fruit, Marc la lèche à son tour, elle coule abondamment c’est une véritable fontaine, puis il lui relève les jambes sur la poitrine et la pénètre, sa queue s’enfonce sans difficulté dans la chatte de Magali qui dégouline ; il la baise comme j’aime qu’il me baise, lentement au début puis des coups plus rapides en faisant sortir sa queue presque entièrement de son minou avant de se renfoncer de toute sa longueur. Elle commence à gémir, son souffle est plus court, le plaisir monte. Elle se lâche et commence à prononcer quelques mots coquins :

• — Je sens bien ta queue… Hum, c’est bon, tu me remplis bien, va plus vite, qu’elle est bonne ta bite !

Je m’en mêle.

• — Tu aimes la grosse bite de Marc, tu vas devenir une vraie petite coquine qui va aimer la baise. Pas vrai que tu aimes sa bite ?
• — Oui, oui, oui, j’aime la bite de Marc, ne cesse-t-elle de répéter.

Elle est emportée par un violent orgasme qui la fait jouir pendant deux bonnes minutes. Marc décharge à son tour et quand il se retire je viens entre ses cuisses lécher les fruits de leur jouissance.

Nous passons l’après-midi à faire l’amour, Marc nous fait jouir chacune notre tour, nous aussi le faisons jouir. Nous le suçons toutes les deux ensemble, il jute dans nos bouches, dans nos chattes… un véritable feu d’artifice !

Nous avons même doigté le petit trou de Marc qui adore cette caresse, Magali a demandé que je la doigte aussi, mais elle n’a pas été sodomisée, Marc n’a pas voulu le lui proposer. Depuis, son anus n’est plus vierge et elle aime bien cette pratique, même si elle ne jouit pas avec son petit trou.

Magali est très souvent venue pour que je lui rase la chatte, maintenant elle la fait épiler par Laurence, une de nos amies qui est esthéticienne. Elle a pratiquement passé tout cet été 2000 en notre compagnie, elle a eu de très nombreux rapports tant avec moi qu’avec Marc et ce jusqu’à la fin septembre où elle a repris ses études d’infirmière.

Durant l’été, nous lui avons fait rencontrer nos amis Laurence et Pierre avec son énorme bite de cheval qu’elle aime avoir dans sa minette. Lors d’une rencontre où Laurence avait été sodomisée par Marc, elle a demandé à Pierre de la prendre par l’anus mais, hélas ! malgré les précautions prises, l’énorme gourdin de Pierre n’a jamais pu entrer, c’est Marc qui a défloré son petit trou.

Magali vivait avec Boris, un garçon plus âgé qu’elle, et ils sont souvent venus partager avec nous nos soirées de sexe entre amis. Ils se sont quittés au mois de mars, et depuis lors Magali a repris les bonnes habitudes, elle vient nous voir plusieurs fois par semaine.

Elle est très imaginative et aime beaucoup essayer diverses positions. Elle aime la pluralité autant masculine que féminine. Il y a bientôt un an, elle s’est fait faire un tatouage sur le pubis, une très jolie fleur qui part d’entre ses grandes lèvres et donne l’impression de sortir de sa chatte ; c’est très excitant et d’un bel effet.

Elle parle maintenant de se faire percer les lèvres pour y mettre des bijoux. Je vous le raconterai peut-être une autre fois !