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Rencontre avec un homme sur la plage

Nous sommes un couple de 47 et 48 ans, marié depuis 25 ans. Nous avons deux enfants de 16 ans et 19 ans. Notre activité sexuelle est assez conventionnelle, nous adorons jouer avec des sex-toys, Laetitia adore être léchée et pénétrée par ses amants, comme elle aime les nommer. Elle raffole du double vaginal. Elle aime se promener nue sous ses robes lors de nos sorties au restaurant ou au cinéma. Nous avons franchi le pas dans un club libertin de la capitale, mais nous n’avons été que des observateurs avant de nous isoler dans une cabine. Elle ne veut pas aller plus loin. Elle me dit que je lui suffis amplement. Nous aimons faire l’amour dans des lieux insolites tels que hall d’immeuble, cage d’escalier, toilettes pour homme, en voiture dans les sous-bois et aire d’autoroute, nous avons des tendances d’exhibitionnisme. Moi, ayant des besoins plus libertins, il m’arrive de fréquenter des lieux adéquats à ma libido et de rencontrer des couples pour des trios majestueux.

Laetitia est une jolie brune, 1, 68 m’pour 52 Kg. Une jolie poitrine un peu lourde, 95 C avec de grosses aréoles brunes, ses tétons s’érigent à la moindre sollicitation. De très belles jambes, un joli petit cul bien ferme, légèrement en forme de poire, ce qui lui confère une très belle chute de reins.

Il y a deux ans, nous sommes partis en vacances à Palmyre. J’avais noté sur internet que la côte Atlantique proposait des plages naturistes. Nous avons fréquenté ces plages et au bout de deux jours, Laetitia a accepté le fait d’être nue sur la plage. Il faut dire que sur la côte sauvage il y a peu de gens, sauf les week-ends.

Voilà comment notre vie changea ce jour-là.

Nous étions sur la plage, il ne faisait pas trop chaud, la mer remontait et nous avons été surpris par une vague puissante qui emporta les vêtements de ma femme. Un homme qui courrait sur le sable mouillé rapporta quelques vêtements de Laetitia. Elle eut le réflexe de se cacher les seins alors qu’elle laissait bien visible son sexe totalement épilé à la vue de notre visiteur, ce qui provoqua un fou rire de ma part, suivi de celui de ma femme. Elle me demanda d’aller à la voiture pour prendre sa robe et les nattes de plage car son maillot de bain et son paréo avaient été emportés par l’océan. Je partis vers la voiture et revins après une quarantaine de minutes. Les plages sont belles mais il faut les mériter et traverser la forêt pour y avoir accès.

Arrivé sur le haut de la dernière dune qui domine la plage, je vois ma femme avec notre joggeur et je les rejoins. Laetitia est assise en tailleur. Pierre est debout face à ma femme, ils sont en pleine discussion. Pierre me serre la main puis nous quitte car il doit rentrer, il lui reste 8 à 9 km à faire et il est déjà 18H.

Pierre est un homme brun, cheveux longs, yeux verts, 1. 80 mètre pour environ 72 kg, une quarantaine d’années. Ma femme est attirée par le type d’homme du sud, sûrement ses origines corses. Je suis châtain, yeux bleus, 1, 96 mètre pour 93 Kg.

Laetitia met sa robe et nous nous dirigeons vers la voiture.

• — Tu me disais que tu ne voulais pas t’exhiber, apparemment tu te libères mon bébé ?
• — Ce n’est pas ce que tu désirais ?
• — Si, mais j’aurais préféré être présent. Tu as éprouvé du plaisir ?
• — Oui et en plus il est charmant.
• — C’est-à-dire ?
• — Il est plein d’attentions, nous avons parlé des plages naturistes de la région et bien d’autres choses et c’est toujours flatteur d’être draguée.
• — Tu veux me rendre jaloux ?
• — Non.

Nous arrivons à notre véhicule et prenons le chemin du retour, je profite d’un léger embouteillage pour lui caresser sa petite chatte toute lisse et soyeuse. Elle ne se refuse pas, écarte même ses jambes pour faciliter cet attouchement. Sa jambe droite vient se poser sur le tableau de bord dégageant ainsi totalement les deux lèvres de sa chatte que je peux fouiller. Elle est totalement humide, un doigt puis deux et trois rentrent sans aucun problème. La circulation reprend et je retire ma main qui est remplacée immédiatement par la sienne, elle se caresse avec une frénésie inhabituelle. Je porte mes doigts recouverts de mouille à ma bouche pour les déguster, elle me sourit.

• — Je t’aime mon cœur.
• — Moi aussi, continue de te caresser, je bande comme un fou, tu devrais la sortir de sa prison.

Elle fait pivoter son siège vers moi, repose sa jambe droite sur le tableau de bord et écarte sa jambe gauche sur les sièges arrières (Je ne regrette pas d’avoir acheté un monospace)

• — Regarde ta petite salope de femme comme elle se branle bien. Tu peux me demander ce que tu veux, je serais ta petite pute ce soir. Dis, tu veux bien ? Regarde comme je suis excitée.
• — Tous ce que je veux ?
• — Oui.
• — Hum, très bien je saurais te le rappeler.

Nous arrivons à notre appartement, ce qui met un terme à son exhibition. Nous sortons de la voiture et croisons notre fils qui nous annonce que ce soir, il fait une soirée PSP 3 avec le voisin et qu’il rentrera tard. Laetitia me demande de mettre les serviettes de bains dans le lave-linge pendant qu’elle prend sa douche. Son comportement me fait penser qu’il a dû se passer quelque chose avec Pierre, car elle est plutôt réservée et ce genre de libération est lié à une très forte excitation ou une situation qu’elle ne maîtrise plus. Je la rejoins dans notre chambre avec la forte idée de la prendre. Elle enfile son string blanc en dentelle, je passe derrière et lui caresse la poitrine.

• — Arrête Eric, il faut que j’aille en ville pour prendre du pain pour ce soir. Nous allons nous rattraper en rentrant.
• — Comme tu veux mais n’oublie pas que ce soir tu devras être ma petite salope !
• — Oui mon bébé. Je me dépêche et nous ferons des folies à mon retour, je t’aime, à tout de suite.

Elle enfile une robe blanche et me quitte en m’embrassent sur le front. Je descends au salon, me sers une bière et allume la télé en attendant ma coquine de femme. Elle revient une heure après.

• — J’ai acheté un poulet rôti pour ce soir et du pain.
• — Il y avait du monde ?
• — Non pourquoi cette question ?
• — Une heure c’est beaucoup pour un poulet et du pain.
• — J’ai fait du lèche-vitrines pour trouver un maillot de bain, tu n’as pas oublié que le mien est quelque part dans l’océan.
• — Bon je vais prendre une douche.
• — Je viens avec toi.

Arrivé dans la salle de bain, je me mets nu et direction la douche. Quand je sors, Laetitia me demande :

• — J’aimerais que tu te rases les bourses ainsi que le pubis. Tu veux bien ?
• — Oui si cela peut te faire plaisir, mais à une condition : tu le fais !
• — D’accord, allonge-toi.

Elle commence par étaler de la mousse sur mes bourses.

• — Pourquoi désires-tu me raser ?
• — Tu ne vas pas te mettre en colère si je te raconte ce qui s’est passé avec Pierre ?
• — Non je t’écoute.
• — Une fois que tu es parti, nous avons discuté. Il m’a dit que cette plage était fréquentée en fin de soirée par des couples et hommes libertins, hétéros, bisexuels et homosexuels. Cela m’a troublée et j’ai voulu en savoir un peu plus. Il m’a expliqué qu’il pratiquait son footing dans cette zone et qu’il était toujours aux aguets de la moindre situation favorable. Il m’a complimentée sur ma plastique et le fait que j’étais totalement épilée. Je ne sais pour quelle raison, je lui ai fait remarquer qu’il avait encore ses vêtements et que nous n’étions pas à égalité.

• — Et bien Laetitia, je vais enlever mon short et maillot ! dit-il.

• — Il était totalement lisse, son sexe avait déjà des dimensions respectables. Je fus fascinée par sa taille imposante. Il me demanda si je voulais le caresser. Comme je ne répondais pas, il avança vers moi. Je le pris en main, le caressant doucement jusqu’à son apogée. Il m’a prise par les mains, m’aidant à me lever, a mis son bras autour de ma taille puis nous nous sommes dirigés vers les dunes. Je suis restée statique, comme une adolescente.

• — Mets-toi à genoux et suce-moi, me dit-il.

• — J’ai obéi comme électrisée par son ordre, mais ne suis pas arrivée à avaler la totalité de sa bite. Elle devait faire au moins 25 cm de long. Elle est moins grosse que la tienne, mon chéri, mais un bon 5 cm de diamètre. Il n’était pas circoncis et je pris un plaisir fou à la décalotter.

• — Lèche-moi les couilles, gobes-les.

Je me suis déchaînée sur ce pieu plein de vitalité et j’ai mouillé comme une petite salope. Il m’a demandé de lui manger l’anus et de lui mettre un doigt dans le cul. Son anus était épilé et dégageait une odeur âcre qui a fini par passer. Je l’ai sodomisé avec un puis deux doigts tout en le suçant. Je l’ai senti venir et il se retira d’un coup.

• — Je vais te cracher sur ton visage de salope.

• — J’ai reçu une grande quantité de sperme sur tout le visage. Il l’a étalé avec sa queue sur mes joues et mes lèvres. Je me suis dirigée vers l’océan pour me nettoyer et calmer le feu entre mes jambes.
• — Je me doutais qu’il s’était passé quelque chose pendant mon absence.
• — Tu m’en veux ?
• — Non depuis le temps que je te demande si tu voulais vivre une relation avec deux hommes. J’aurais préféré partager ce moment avec toi.
• — Je pense que je n’aurais pas été aussi réceptive et libérée si tu avais été là. Si tu allais te rincer, j’aimerais que tu me prennes maintenant.

Nous avons fait l’amour comme des fous avec le sex-toy qui s’apparentait le plus à celui de son amant de passage. Je finis par jouir dans sa bouche chaude pendant quelle se pénétrait violemment avec le gode, ce qui lui déclencha un orgasme.

Vers 22 heures, elle me demande si je suis partant pour aller boire un verre en ville.

• — Oui si tu veux.
• — Je vais me faire belle pour toi, je n’en ai pas pour longtemps.

Après une dizaine de minutes, elle descend me retrouver sur la terrasse, elle est ravissante. Elle porte une nouvelle robe noire qui est très légère et courte, 10 à 15 cm au-dessus des genoux. Le haut ressemble à une toge romaine laissant sa poitrine se promener au grès de sa démarche. Un merveilleux dos nu allant jusqu’à sa chute de reins découvrant son tatouage maori. Elle porte une paire d’escarpins, talons hauts qui soulignent avec grâce de très jolies jambes. Elle est légèrement maquillée et parfumée agrume-pamplemousse, de chez Guerlain.

• — Tu es magnifique mon cœur, j’ai beaucoup de chance d’avoir une femme comme toi.
• — Merci, j’aime te faire plaisir.
• — J’adore toujours autant ce parfum.
• — J’en ai mis aussi sur l’aine.

Nous nous dirigeons vers le centre ville. Laetitia me guide et nous prenons la direction du port de la Palmyre. Arrivés à destination, nous nous installons en terrasse, dans un coin peu éclairé. Un groupe de musiciens joue et chante des vieux tubes de jazz.

• — Comment as-tu connu ce piano-bar ?
• — Pierre m’a indiqué ce bar cet après-midi.
• — Tu es très sexy.
• — Merci.
• — C’est uniquement pour moi ?
• — Je ne comprends pas !
• — Ce que je veux te dire, c’est que je ne serais pas surpris de voir arriver Pierre ! Ne rougis pas mon cœur.
• — Je pense être prête pour ton fantasme.
• — Lequel ?
• — Celui de faire l’amour avec deux hommes. Enfin si toi tu le veux toujours ?
• — Tu le veux vraiment ?
• — Oui.
• — Et bien si Pierre arrive et si c’est ton vœu le plus cher, alors d’accord.

Elle se lève et vient m’embrasser.

• — Je peux aller le chercher, il est au bar. Sois sympa avec lui, tu l’intimides.

Elle me quitte pour se rendre au bar sans aucune hésitation et sans se retourner vers moi. Mon rêve de voir ma femme se faire prendre par un autre va se réaliser, mais une angoisse me tenaille. Jalousie ou pire, peur de la perdre, j’appréhende la tournure des évènements. Mais il est trop tard pour cela. Ils arrivent tous les deux, Pierre porte deux verres et Laetitia le sien.

• — Bonsoir, je suis Pierre et me suis permis de te commander un mojito et un flibustier pour Laetitia.
• — Merci, moi c’est Éric, je t’en prie assieds-toi.

Laetitia reprend place en face de moi et Pierre s’assoit à côté, dans le petit canapé en osier. Nous discutons de tout et de rien, l’ambiance bien que plaisante est lourde. Il va falloir briser rapidement la glace. Cela me rappelle mes premières rencontres où l’on ne sait comment faire, sans risquer de déplaire à ses futurs partenaires. Nos verres sont terminés et toujours rien. Je me décide à intervenir.

• — Laetitia m’a demandé si j’étais d’accord pour que nous passions un bon moment tous les trois. Je pense que tu es partant ?
• — Oui bien sûr. Tu es plutôt direct !
• — C’est la première fois pour Éric et moi, nous n’avons aucune expérience.
• — Que recherchez-vous ?
• — Je voudrais que ma femme se libère totalement et découvre les joies d’avoir quatre mains pour elle et plus bien sûr. Qu’elle se découvre et connaisse mieux son corps ! Apparemment tu l’as énormément excitée sur la plage !
• — Vous avez des tabous ?
• — Non, répondit Laetitia. Enfin nous ne voulons pas de violence et que tout reste dans le consentement de chacun. Tu es d’accord Éric ?
• — Oui, mais pas de rapport sans ma présence, hors de question de te laisser ma femme en fin de soirée. Elle rentre avec moi. Nous ne pouvons pas recevoir et ne voulons pas d’hôtel. Si tu peux nous inviter chez toi alors nous pouvons nous lever et te suivre.
• — Oui aucun problème, ma femme est en séminaire cette semaine, elle rentre dans deux jours. Vous êtes véhiculés ?
• — Non.
• — Vous me suivez ?

Nous nous dirigeons vers le parking et montons dans un gros 4 X 4 allemand en direction du zoo. Pierre possède une merveilleuse villa dans une grande copropriété. Nous arrivons dans un vaste salon. Il ouvre une grande baie vitrée qui donne sur une terrasse où règne une magnifique piscine éclairée. Il allume le jacuzzi, revient vers nous et allume la chaîne stéréo qui diffuse une musique très douce.

• — Asseyez-vous pendant que je vais chercher du champagne.

J’invite ma femme à danser sur un slow afin que l’ambiance ne retombe pas. Laetitia m’embrasse dans le cou, ouvre ma chemise, me mordille les tétons et me caresse le torse et le dos avec ses mains. Je vois Pierre arriver avec un plateau contenant un sceau à champagne et des coupes. Il pose le tout sur une table base et s’assoit dans un canapé. Je relève la robe de Laetitia, caresse ses fesses d’une main et de l’autre invite Pierre à nous rejoindre. Il se colle à ma femme passant ses mains sur sa poitrine.

• — Tu devrais lui dénouer sa robe Pierre, nous serions plus libres de nos mouvements.
• — Oui, tu as raison.

Nous l’accompagnons vers un grand canapé en lui prenant chacun une main. Puis, Pierre s’occupe de sa chatte avec sa langue et moi de ses seins. Nos mains vont et caressent tout son corps. Ses yeux sont fermés. Elle prend alors une de mes mains pour sucer mes doigts.

• — Déshabillez-vous, je veux vous voir. Pierre, donne-moi ta queue, je veux te sucer. Quant à toi mon chéri, bouffe-moi ma petite chatte.

Nous nous exécutons. Je vois le membre de Pierre, il est vraiment imposant, très long et épais. Elle le décalotte, lui suce le gland qui est d’un rouge vif. Il ne va pas tenir à ce rythme.

• — Éric, va chercher des préservatifs dans mon sac à main pour Pierre et prépare-moi bien mon chéri car j’ai envie qu’il me défonce. Allonge-toi sur le sol Pierre, je vais venir sur toi.

Une fois Pierre allongé, elle vient se placer au-dessus de sa verge qu’elle prend d’une main et déplie le préservatif avec sa bouche sur le sexe de son amant d’un soir. Elle effectue quelques allers et retours afin de bien lubrifier celui-ci et vient se placer au-dessus de la bitte de Pierre. Ce dernier guide son sexe vers l’entrée de son vagin. Il peut voir la progression car elle s’est positionnée, les fesses vers son visage. Elle prend appui avec ses mains sur ses genoux et commence un lent va-et-vient.

• — Regarde Éric, la salope, elle a un plug dans le cul.
• — Oui je me suis préparée car ce soir je veux être prise des deux côtés. Cela ne vous gène pas messieurs ? J’aime sentir une queue qui frotte sur le plug, humm ! C’est bon ! Éric, viens t’installer entre les jambes de Pierre et bouffe-moi le clito et les lèvres comme tu sais si bien le faire quand j’utilise mon gode. Oui passe ta petite langue sur mon bouton, oui là, oui continue. Pierre ne t’arrête pas. Passe ta langue entre mes lèvres intérieures et la bite de Pierre et reviens vers mon petit clito, Ho ! Oui je viens, humm ! C’est bon, continuez. Je vais jouir… continuez.

Laetitia reste allongée une bonne minute, le dos sur le torse de son amant pour récupérer.

Elle se relève, se met à genoux et demande que l’on présente nos queues devant son visage afin de nous sucer à tour de rôle. Elle nous avale littéralement, allant de l’un à l’autre.

• — Mets-toi en position chérie, je veux te prendre en levrette pendant que tu continues à sucer notre ami. Écarte plus tes jambes et cambre-toi, je veux voir ton petit trou.

Je lui retire le plug. C’était le gros (6 cm de diamètres) Je lui arrache un gémissement en le retirant.

• — Regarde Pierre, il est totalement dilaté.
• — Je vais te défoncer le cul ma petite salope, tu aimes te faire défoncer.
• — Oui mais pas maintenant, prends ma chatte Éric.
• — Comme tu veux mon cœur, mais je ne vais pas tenir en regardant ton trou tout ouvert.

Laetitia adopte une position de levrette magnifique, cambrant ses reins au maximum. Je m’enfonce au plus profond, pour ressortir et la reprendre à nouveau, elle adore cela. Pierre reste en observateur.

• — Laisse-toi faire Laetitia, je vais te positionner de façon à te procurer encore plus de plaisir.
• — Oui Pierre ! Éric, continue à me baiser.

Il positionne Laetitia afin que ses fesses soient mises en évidences et libère son anus pour de futurs attouchements et introductions. Ses Jambes sont jointes, décrivant un angle de 45° avec ses mollets, son visage collé au sol. Pierre enjambe ma femme lui écarte les fesses, ouvrant encore plus son anus et le lèche. Il finit par y enfouir sa langue qui rentre sans difficulté.

• — Oui continuez à me baiser comme ça. Oh ! Oui Pierre, encule-moi bien avec ta langue, enfonce-la encore plus profond.
• — Je vais jouir continuez, ouiiiiiiiii !
• — Moi aussi j’arrive, oh oui mon cœur !

Je me vide dans la chatte de ma femme. Elle est restée en levrette, exhibant sa chatte à la vue de Pierre. Un long filet de sperme coule de ses lèvres pour rejoindre ses cuisses. Pierre n’a pas perdu de temps, il est venu prendre ma place et récupère avec sa queue le sperme qui coule sur le corps de Laetitia.

• — Je récupère le sperme d’Éric, ça fera un bon lubrifiant et je vais t’enculer, dit Pierre. Tu en as envie ?
• — Oui encule-moi. J’ai envie de la prendre entièrement dans le cul.
• — Oui je vais te satisfaire, tu vas voir.
• — Arrête de parler et fais-le, je veux te sentir.

Laetitia était métamorphosée, jamais elle n’avait tenu ce type de dialogue, elle me prit la main qu’elle serra très fortement quand Pierre la pénétra. Il le fit sans aucune délicatesse et enfouit son pieu sur toute sa longueur. Laetitia avait la bouche ouverte comme pour rechercher de l’air. Après quelques allers et retours dans son cul, elle me lâcha la main.

• — Oui défonce-moi. Regarde Éric comme ta femme se fait bien défoncer. Tu aimes me voir me faire prendre par un autre ?
• — Oui j’aime, j’avais raison, tu es une vraie petite chienne.
• — Oui je suis ta petite salope. Je t’aime Éric.

Pierre continue de la prendre, de plus en plus rapidement, ce qui déclenche une jouissance de plus pour Laetitia. Il se retire, ôte le préservatif et se place devant la bouche de ma femme. Il se branle énergiquement, force la bouche de Laetitia et se vide dedans.

Nous sommes fourbus. Pierre nous propose de nous rafraîchir dans le jacuzzi avec le champagne que nous n’avions pas encore bu.

• — Merci pour cette merveilleuse soirée, Laetitia.
• — Non, merci à toi Pierre, répondit-elle. Mais nous allons prendre congé car il est 3h.
• — Je vais vous ramener.

Un grand calme règne dans la voiture, la fatigue y est sûrement pour beaucoup et je pense que Laetitia culpabilise un peu. Arrivée à la maison, elle fait la bise à Pierre sur les joues et se dirige vers la porte d’entrée.

• — Merci de nous avoir raccompagnés, Pierre. Nous pourrions boire un verre demain ou nous retrouver sur la plage, dit Éric.
• — Oui très bien à demain, je passerai à la plage avec une surprise mais ne dis rien à Laetitia.