n° 12742 | Fiche technique | 9095 caractères | 9095Temps de lecture estimé : 6 mn | 24/07/08 |
Résumé: Le récit d'une rencontre sur une plage naturiste de Corse. | ||||
Critères: hh hplusag inconnu hépilé vacances plage nudisme fellation -occasion -hhomo -plage | ||||
Auteur : OlivierF (Olivier) |
Âgé d’une vingtaine d’années, j’ai pour habitude de me rendre sur une superbe plage de Corse du Sud chaque été depuis pas mal d’années. Cette plage a la particularité de s’étendre sur plusieurs kilomètres dont une bonne moitié reste difficile d’accès, compte tenu que peu de gens connaissent les raccourcis qui y mènent. De ce fait, la plupart des estivants occupent la partie accessible et laissent presque déserte l’autre moitié. Je dis « presque », car c’est une zone réputée pour le naturisme et l’on peut distinguer, au loin, quelques serviettes et parasols témoignant de l’occupation de ce coin de paradis.
Une fin d’été, pour une fois célibataire, je décidai d’aller seul à la plage afin de tuer le temps. J’ai souvent fantasmé à l’idée de me retrouver nu en pleine nature – fantasme car j’y associe bien vite les situations que cela pourrait engendrer – et c’est tout naturellement que l’idée de tenter l’expérience me vint alors que j’approchais de ma destination.
Aussi, pour la première fois de ma vie, au lieu de continuer mon chemin, je coupai sur ma droite et marchai d’un pas décidé en direction de ce lieu mystérieux. Je progressais lentement, la marche dans le sable étant éprouvante, mais je commençais à distinguer des corps nus bronzant de-ci de-là. Lorsque je finis par les dépasser, je remarquai quelques couples, mais aussi beaucoup d’hommes seuls, offrant à ma vue leur peau bronzée.
Je ne pouvais m’empêcher de laisser courir mon regard sur des sexes de toutes tailles que certains laissaient en évidence, feignant la sieste derrière leurs lunettes de soleil. Je commençais à comprendre que, pour ces derniers, le naturisme n’était que prétexte à une bonne séance de matage ce qui me fit ressentir une certaine excitation mêlée de crainte à l’idée de me retrouver nu et à portée de regard d’inconnus.
En effet, de trop rares expériences masculines m’avaient conforté dans ma bisexualité et, sans doute, ne suis-je pas venu sur cette plage sans arrière-pensée.
Je choisis donc un coin de sable à quelques mètres de l’eau, posai ma serviette et, les jambes un peu tremblantes, me débarrassai de mon maillot. Ce faisant, je jetai un coup d’œil furtif autour de moi tout en me demandant si mes voisins profitaient du spectacle derrière leurs lunettes. Certains semblaient regarder dans ma direction mais la distance ne me permettait pas d’en être certain.
Je commençais à regretter de m’être installé aussi loin et, après deux allers-retours dans l’eau, je sentais venir l’ennui. L’après-midi était bien avancée et les quelques personnes présentes commençaient à rassembler leurs affaires. Je restais seul sur ma serviette à me demander ce que j’allais bien pouvoir faire… sans doute partir aussi avec une pointe de déception, même si je ne voyais pas ce qui aurait pu se passer sur une plage dite publique.
Perdu dans mes pensées, j’aperçus un homme d’une quarantaine d’années qui s’approchait, visiblement lui aussi en train de partir. Plutôt bien conservé, il marchait nu le long du rivage et j’en profitai pour poser mon regard sur son sexe qui avait la particularité d’être épilé avec soin. Un léger mouvement de sa tête me fit réaliser qu’il devait faire de même et je m’enhardis à allonger négligemment mes jambes afin de lui offrir une vision parfaite de mon intimité.
Contre toute attente l’homme marqua un temps d’arrêt et obliqua dans ma direction. Le cœur battant je le regardais s’approcher sans trop savoir quoi faire. Maintenant qu’il se passait enfin quelque chose, la peur prenait le dessus. Heureusement, je le vis fouiller dans son sac, en sortir une serviette et la poser à moins de dix mètres de la mienne. Puis il s’assit et se mit à contempler l’horizon. Un peu rassuré, je rassemblai mes esprits… cette situation m’impressionnait mais mes yeux n’arrivaient pas à se détacher de cette verge lisse qu’il exposait à ma vue. Il était temps de me rafraîchir un peu les idées et retrouver mon calme. Je me levai et me dirigeai donc vers le rivage.
Une fois dans l’eau je me retournai, mine de rien. Mon voisin n’avait pas bougé et semblait me suivre du regard. Une idée folle me vint à l’esprit et je me mis à nager le long de la plage.
Une fois à sa hauteur, je sortis de l’eau comme si de rien n’était et me retrouvai face à lui, à quelques mètres de distance. J’étais tremblant de tant d’audace et je maîtrisai tant bien que mal un début d’érection. Puis je regagnai ma serviette, sentant presque son regard sur mes fesses que je cambrai le plus possible.
Je m’étais à peine assis que l’homme se leva à son tour pour se baigner… et répéter mon propre manège. Une fois à ma hauteur, il sortit de l’eau et je constatai que son sexe avait pris quelques centimètres dans l’intervalle. Cette vision envahit mon esprit et je sentis ma verge se raidir brutalement. J’étais dans un état second, mon cœur battait la chamade et, plutôt que de rester sans bouger, je laissai mes jambes glisser sur le sable, lui dévoilant mon érection.
Il fit quelques pas dans ma direction tout en me lançant un « bonjour » enjoué. Je lui rendis son salut, et il commença à me parler du temps, de la beauté du paysage, enfin, je ne me souviens plus très bien.
Doucement mon voisin s’assit à côté de moi tout en continuant à parler. J’avais entre-temps replié les jambes et mon érection s’était atténuée. C’est alors que je sentis sa main se poser sous ma cuisse.
Je restai pétrifié…
Lui, tout en conversant, continua sa progression avec douceur jusqu’à ce que ses doigts entrent en contact avec mon sexe, qui se raidit de nouveau, ne laissant aucun doute quant à mes pensées. Nous restâmes ainsi un petit moment à parler naturisme, lui caressant toujours ma verge et mes bourses.
Je n’en pouvais plus, et, en plaisantant, lui fis remarquer que, à mon grand regret, la plage était dépourvue de dunes. Il rit et me montra un bosquet de tamaris derrière une clôture en m’expliquant que les endroits tranquilles ne manquaient pas aussi à cet endroit. Il y eut un silence, puis il me dit « viens, je te montre ». Tremblant, je le suivis à l’ombre du bosquet en question qui, effectivement, offrait toute la discrétion nécessaire.
C’est alors qu’il se retourna et, sans dire un mot, me prit par la taille. Nos sexes se rencontrèrent et nous nous laissâmes glisser sur le sable. Lui sur le dos, je laissai mes lèvres courir sur son torse tout en caressant son membre du bout de mes doigts. Puis, n’y tenant plus, j’approchai ma bouche de l’objet de ma convoitise.
Je voulais profiter de chaque instant au maximum et pris un malin plaisir à jouer avec ses testicules que j’aspirais tout en le branlant avec douceur. Je sentis sa respiration s’accélérer et me décidai à passer aux choses sérieuses. Je remontai donc et le décalottai, laissant apparaître son gland trempé. Avec beaucoup d’application et mon peu d’expérience, je pris son sexe dans ma bouche et commençai à le sucer.
Sa verge était douce et chaude, avec un petit goût salé qui revenait chaque fois que ma langue passait sur son méat. J’imprimais à ma bouche de lents mouvements de va-et-vient, ma langue tournant autour de son gland avant de descendre sur sa hampe jusqu’à ce que son sexe entier soit avalé. Son bassin ondulait en suivant mes mouvements.
J’avais perdu toute conscience du temps mais je me languissais qu’il jouisse. Tout en le suçant, je saisis la base de sa verge et commençai à le branler, en prenant soin de garder son gland au chaud dans ma bouche. Ses râles annonçaient l’arrivée d’un orgasme puissant mais mon rythme ne changeait pas, ma langue tournoyant autour de cette belle tige.
Soudain, je le sentis se cambrer. Un premier jet chaud fusa dans ma bouche, les suivants un peu moins fort, je ne sentais plus de pression mais son sperme continuait à se répandre sur ma langue qui continuait son travail tout comme ma main. J’avalai progressivement sa semence au goût assez piquant et, lorsque je fut certain que c’était fini, je ralentis mes mouvements avant de libérer son membre repus.
Mon amant resta quelque temps assommé puis, se redressant, m’embrassa avec fougue tout en saisissant mon sexe. Ses caresses étaient brusques mais efficaces, et je jouis longuement sur son ventre. Après avoir échangé nos impressions, nous décidâmes de regagner le bord de mer avant de nous séparer.
Je n’ai plus eu l’occasion de retourner sur cette plage, mais j’espère qu’un jour nos corps se retrouveront de nouveau à l’ombre des tamaris.