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Temps de lecture estimé : 5 mn
24/07/08
Résumé:  Comment j'ai surpris un couple faisant l'amour sur une plage qu'il croyait déserte.
Critères:  fh couple vacances plage voir pénétratio -occasion -couple -voyeuroca
Auteur : Janus Perses      
Vue des Seychelles

Je n’aurais jamais pensé que mes vacances sur cet archipel si paradisiaque et luxuriant que sont les Seychelles puissent devenir, soudainement, en une après-midi, aussi luxurieux.


Je m’étais arrêté sur un des nombreux bancs de sable blond qui bordent les rivages de l’île lorsque j’aperçus, par derrière des rochers, sur une plage voisine à la mienne, un couple qui s’enlaçait.


Je souris à la vision si romanesque de ce jeune couple se bécotant innocemment enlacés l’un à l’autre. Innocence, c’était le terme qui m’était venu à l’esprit sur le moment, tellement le cadre me paraissait romantique et les gestes échangés si tendres, loin de toute connotation sexuelle… au départ. De simples échanges de baisers et de sourires. C’est la raison sûrement pour laquelle je n’ai pas prêté plus que cela attention à eux, et que j’ai enfilé mes palmes afin de profiter au mieux des fonds marins si magiques dans cet Océan Indien.


Je ne sais pas combien de temps j’ai pu ainsi m’émerveiller des couleurs coralliennes éblouissantes et des poissons multicolores qui peuplent avec tant de majesté le fond des eaux turquoise. Toujours est-il que, sans faire attention, le courant m’avait fait quelque peu dériver de l’endroit où je m’étais mis à l’eau. Ainsi, lorsque je remontai à la surface afin de regagner ce que je croyais être ma plage de départ, je me rendis compte que je m’apprêtai à débarquer sur celle de ce couple que j’avais quitté en train de s’embrasser si gentiment.


Cependant, la naïveté qui avait semblé être la couleur de leurs baisers lors de mon départ avait disparue. Je les avais quittés sages, et je les retrouvais tout feu tout flamme, embarqués dans une danse corporelle suave et ubuesque.


À ma grande surprise, la femme, que j’avais trouvée sur le moment si réservée dans les échanges que j’avais précédemment surpris, s’était soudainement transformée en une furie ondulante. Elle s’était fiévreusement allongée sur le corps de son compagnon qui pétrissait langoureusement ses fesses charnues. Bien que je ne sois plus sur ma plage, je n’avais pas l’envie d’abandonner la vision de ce couple qui copulait sans vergogne sur cette bande de sable. Ils ne pouvaient me voir et je n’allais pas me gêner.


J’étais tapi à fleur d’eau, pour mater ce cul qui ondulait, tantôt agressivement, tantôt profondément, sur le sexe turgescent de son compagnon, dont les mains ne cessaient de tenir et pétrir le fessier féminin rebondi et appétissant. Oh oui ! appétissant, c’était le mot justement approprié pour définir les formes insolentes de la belle. Elle ne cessait de se trémousser impudiquement en pleine nature. Elle se moquait bien, j’en étais sûr, d’être ainsi surprise en pleins ébats. Au déhanchement de son corps, à sa façon de s’empaler sur la tige, d’aller à la rencontre du sexe qui la pénétrait, je me doutais bien qu’elle prenait plaisir à se donner ainsi.


Et le spectacle était à la hauteur. Plus elle s’enfonçait sur l’appendice masculin, plus j’entendais, péniblement certes mais distinctement, les soupirs qu’elle exhalait à chaque coup de boutoir. Et plus son plaisir grandissait, plus les doigts de son ami se faisaient inquisiteurs et écartaient délicatement les rondeurs de ses fesses. Elle avait beau croire que son paréo cachait l’intimité de ses ébats, il y avait belle lurette, je présume, que celui-ci avait été relevé sous les allées et venues de ces deux corps enchevêtrés l’un à l’autre.


Il y a avait en effet, à mon sens, un moment que les doigts insolents de son homme avaient balayé d’un revers la toile qui ne pouvait que gêner d’avantage son intrusion. Je me délectais de voir l’ellipse de ses fesses s’écraser avec grâce sur les cuisses saillantes de son assaillant.


Je sentais mon érection tendre la toile de mon maillot, au fur et à mesure que j’entendais le claquement de ces chairs s’entrechoquer et les soupirs de la femme venir se perdre jusqu’à mes oreilles. Je bandais encore plus à l’idée de savoir que cette femme croyait se donner à un seul homme, à l’homme je suppose qu’elle aimait, alors que je la matais insidieusement. Je me délectais ainsi de violer son intimité, de m’immiscer dans le secret de cette femme, car il n’y avait qu’elle au final que je voyais. Plus précisément il n’y avait que ses fesses, chaloupées, charnelles et secouées que je voyais onduler fiévreusement.


Je bandais désormais comme un taureau à la vue de ce cul frénétique. Je désirais moi aussi le secouer dans tous les sens. Je devenais fou lorsque j’apercevais, de trop brefs instants, son postérieur s’ouvrir sous l’arrogance des doigts de son compagnon. La belle avait beau se donner en pleine nature, elle n’en semblait pas moins farouche de préserver l’intimité de son fion.


Et plus elle résistait à l’indélicatesse digitale de son ami, plus je sentais ma queue me démanger et plus mon envie de vouloir déflorer le con de cette femme augmentait. Je l’aurais saisie par les hanches, j’aurais écarté brutalement ses chevilles avec mes genoux plantés dans le sable, pour déboulonner le trou de son cul. Je le devinais sans peine, délicieusement étroit et envoûtant. Ce n’aurait plus été des soupirs qu’elle aurait laissée échapper mais des cris rauques sous les assauts cumulés de deux queues, agitatrices et gourmandes de cette femme que je savais incroyablement salope.


Quoiqu’il en soit, je restais bien sagement dans l’eau, le visage à peine sorti et ne ratais aucune miette de la saillie. C’est ainsi que j’eus le plaisir suprême d’entendre la jouissance non feinte de cette femme et la voir tressaillir quelque peu sous le plaisir qui semblait la secouer, à l’instant où ses mains s’enfonçaient dans le sable d’or, tentant de s’y accrocher désespérément.


Je m’attendais à ce que son corps s’effondre sur celui qui lui avait procuré tant de plaisir, mais elle ne faiblit pas pour autant dans son élan. Il semblait que l’homme, n’avait pas encore joui. À la bonne heure ! car le spectacle, tout en son et lumière cette fois-ci, n’en fut que plus beau. Je ne sais pas pourquoi, alors qu’elle avait été si silencieuse jusqu’à présent mis à part les soupirs échappés et saccadés qu’elle n’avait pu contenir, elle se montrait soudainement si volubile et démonstrative. Elle chuchotait – façon de parler – au creux de l’oreille de son compagnon de fortune des mots crus, et s’empalait violemment sur la bite gonflée du mâle de plus en plus en rut. Les mains de ce dernier, s’agrippaient avec force aux chairs balancées et rebondies de la croupe féminine.


Elle était devenue une femelle en transe et assoiffée d’une semence qui tardait à venir. Les fesses s’éclataient littéralement sur l’entrejambe de "l’enjambé" dont les mains se crispèrent soudainement aux pommes de ce cul chaloupé qui s’offrait à ma vue depuis un moment. L’homme devait jouir, mais curieusement c’est la femme qui devint une furie et qui lâcha un cri de jouissance sourd et baroque avant de s’effondrer enfin sur le sable.


Je replongeai quant à moi dans les eaux troubles de mes pensées et dans celles, éclairées, de l’océan afin que nul ne me voie.


Cependant quelle ne fut pas ma surprise lorsque, de retour à mon hôtel, je croisais au restaurant du soir ce cul que j’aurais reconnu entre mille, fut-il tout aussi paré et drapé qu’il l’était ce soir-là.


Mais cet épisode nocturne est une toute autre histoire.