n° 12746 | Fiche technique | 22973 caractères | 22973Temps de lecture estimé : 14 mn | 25/07/08 |
Résumé: Il fait chaud dans le sud. Très chaud ! | ||||
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Auteur : Thomas et Léa (Couple libéré) |
Je plante le décor : nos dernières vacances, dans le sud de la France, avec une chaleur à chauffer un taureau…
Ça faisait un petit moment que nous attendions nos vacances. Depuis qu’on avait investi dans notre petit nid d’amour, nous n’avions plus eu beaucoup de temps à nous consacrer. Entre les travaux, le boulot et les petits tracas quotidiens, notre couple était en stand-by et je comptais bien sur ces vacances pour changer tout cela.
Nous voilà enfin partis pour 800 kilomètres jusqu’à une ville pittoresque du nom d’Albaron, où nous avions loué une villa avec piscine qui appartenait à un manadier de la région.
Depuis notre petite soirée avec Tristan (voir histoire n° 11298), nous n’avions pas eu l’occasion de recommencer ce petit jeu érotico-coquin. Pendant tout le trajet, nous avons un peu ressassé cette soirée avec Tristan, et nous avons décidé de renouveler l’expérience, mais avec un inconnu. Rien que d’y penser j’en avais des fourmillements entre les jambes. Voir mon homme lécher goulûment le sexe d’un autre homme pendant que je le regarderais faire, c’était très excitant.
Et pour bien commencer nos vacances, je montai dans la voiture juste avec une mini-jupe, sans culotte et un tee-shirt moulant et échancré, de façon à exciter un peu le conducteur.
Pendant le trajet, je somnolais tranquillement à côté de lui en faisant des rêves érotiques. Je ne m’en étais pas rendu compte, mais au fur et à mesure que je me tortillais sur mon siège en mettant mes jambes au niveau du pare-brise, ma courte jupe laissait entrevoir mon triangle d’or. Thomas en tomba des nues. Comment faire huit cents kilomètres avec un short qui devenait trop petit à chaque regard qu’il me lançait ?
Je commençais à m’assoupir quand je sentis soudain ses doigts m’effleurer la cuisse et descendre doucement vers mon entrejambe. Je gardai alors les yeux clos pour profiter un maximum des sensations qu’il me procurait. Tout doucement, il m’écarta les cuisses de façon à pouvoir venir caresser mon pubis fraîchement tondu, en forme de petit rectangle pas très large, pour avoir plus de sensations au toucher.
J’ai toujours adoré ses doigts magiques qui avaient tendance à me faire démarrer au quart de tour. Il commença par me caresser de toute sa main, juste en me frôlant légèrement pour voir si j’étais partante pour la suite. Puis ses doigts se firent plus pressants, le majeur écartait mes grandes lèvres pour se frayer un passage vers les petites lèvres et l’entrée de mon vagin déjà bien humide d’excitation. Il continua sur sa lancée, faisant quelques petits allers-retours à l’intérieur de moi et en sortit des doigts tellement mouillés que mes petites lèvres ne se firent pas prier pour gonfler de plaisir.
J’ouvris les yeux pour le regarder amoureusement et je me mis à la recherche de son sexe. Il était tellement à l’étroit dans son short que j’eus du mal à le faire sortir, mais une fois libéré, je pus admirer un pénis droit comme un "i", qui ne demandait qu’à exploser.
Je changeai donc de position pour me pencher au-dessus de ce phallus imposant et je commençai par le couvrir de bisous tendres et langoureux, mes lèvres se voulaient caressantes et douces tout en étant assez goulues. J’ouvris ma bouche et commençai à le laper par petits coups de langue, juste pour l’exciter encore davantage. Je le sentais se tortiller sur son siège et je savourais avec plaisir cette situation. Il ne devait pas perdre le contrôle de la voiture, et moi je devais garder le contrôle sur son sexe.
J’ai toujours adoré le sucer alors qu’il est au bord de l’explosion, car je sais que c’est moi qui décide où et quand il pourra se libérer de tout ce plaisir.
Sentant qu’il était sur le poing d’éjaculer, je mis mes mains devant son sexe pour récupérer tout le sperme sans en perdre une seule goutte, afin de le lui présenter à sa bouche pour qu’il puisse lui aussi goûter à son propre plaisir. Il lécha tous mes doigts jusqu’à ce qu’il ne reste plus une goutte, et je retournai sur mon siège avec un sourire de satisfaction. Mais le coquin n’en resta pas là. Il avait vu un panneau d’aire de repos et il prit la sortie pour se garer, un peu à l’écart des autres voitures.
C’était une aire de repos arborée avec, un peu partout, des vacanciers en goguette. Il commençait déjà à faire très chaud. Nous avons trouvé une petite place de parking isolée et abritée par des arbres, ce qui nous arrangeait bien tous les deux.
Il éteignit le moteur et recommença ses caresses. J’étais déjà toute excitée de notre petit jeu en voiture, alors je ne me suis pas fait prier pour écarter au maximum mes jambes. Il se pencha sur moi et m’embrassa fougueusement avant de descendre doucement vers mon sexe.
Je sentais le désir et le plaisir se mélanger, je n’en pouvais plus. Je pris sa tête entre mes mains et amenai sa bouche vers mon clitoris en feu. Il se mit à le lécher si fort que je ne pus me retenir plus longtemps et mon orgasme arriva dans un immense cri de plaisir.
Les vacances commençaient à merveille.
Nous avons passé le reste du trajet tout rêveurs et sommes arrivés tard dans la soirée à la manade, accueillis par le manadier en personne, un bel homme à l’allure de matador. Petite visite de la propriété avant de nous conduire à notre villa. Elle était encore un peu éclairée par le soleil couchant, et le peu que nous avons pu voir nous avait enchantés.
C’était une grande bâtisse, abritée par d’énormes arbres qui devaient la garder fraîche pendant la journée, un patio pour manger dehors, et la surprise ne s’arrêta pas là. La visite fut fabuleuse : la cuisine spacieuse donnait sur le patio, une chambre immense, une salle de bains de rêve avec jacuzzi et douche à l’italienne, qui donnait directement sur une terrasse surplombant une piscine illuminée. Un rêve…
Il nous laissa nous installer et nous proposa de le retrouver un peu plus tard pour une collation de bienvenue. Il nous expliqua que sa maison se trouvait un peu en contrebas de la piscine et qu’il suffisait de suivre le chemin éclairé par les lanternes.
Après avoir défait nos valises et refait un petit tour de la villa, je me suis changée pour être un peu plus à l’aise, une tenue de vacances, quoi ! Un chouette petit ensemble en voile transparent qui mettrait mes dessous sexy en valeur…
Quand nous pénétrâmes dans la maison du manadier, quelle ne fut pas notre surprise ! C’était une charmante petite maison de plain-pied avec un immense salon, deux canapés en cuir, un énorme tapis de bête devant une vaste cheminée. Même si dans le sud il fait toujours beau et chaud, les soirées sont souvent très fraîches. Il y avait un peu partout des portraits de toreros et de taureaux ainsi que des bronzes de cette magnifique bête.
Il nous pria de nous installer confortablement sur l’un des deux canapés et prit place dans celui d’en face. Il nous avait servi quelques petits amuse-gueules à base de tapenade d’olives vertes et noires, ainsi qu’une boisson fraîche et liquoreuse à la fois, spécialité du coin. La chaleur de l’été aidant, les effets se sont vite fait ressentir.
Nous avons fait connaissance et longuement discuté. C’était un homme charmant, très fin mais avec une force dans le regard qui ne laissait pas de marbre. Il nous expliqua qu’il avait pris la suite de son père et de son grand-père. La manade lui permettait de continuer à vivre auprès des taureaux après les avoir souvent défiés dans les arènes. Il devait avoir dans les quarante-cinq ans, la peau basanée, typé méditerranéen. Il avait de belles et grandes mains. Il était habillé avec un pantalon en lin blanc, une chemise ouverte sur un torse velu qui faisait ressortir un bronzage doré.
Je m’étonnai de ne pas voir de femme dans cette belle maison. Il nous raconta que sa femme était partie avec ses enfants dans le sud de l’Espagne pour retrouver ses parents et y passer l’été, étant donné que c’était la période où il avait le plus de travail avec les taureaux.
De temps en temps, je percevais ses regards allant de Thomas à moi, le genre de regard qui ne trompe pas… Peu de temps après, nous avons pris congé de notre hôte en lui proposant de venir dîner avec nous le lendemain soir après sa journée de travail… Il ne se fit pas prier.
Sur le chemin du retour je taquinai Thomas sur la façon dont le manadier, qui s’appelait Lorenzo, nous regardait et je lui fis comprendre qu’il ne m’était pas indifférent, et que je pensai qu’il était du genre "Tristan"… À suivre !
Mais bon, pour l’instant, je savourai le plaisir de me promener autour de la piscine avec mon amour et amant. D’un coup, je ne sais pas pourquoi, j’ai commencé à le taquiner en me penchant au-dessus de la piscine pour lui balancer de l’eau, et comme lui aussi était très taquin, nous avons fini tout habillés dans l’eau.
La nuit était tombée et personne ne risquait de nous voir, car nous étions entourés de bosquets. De vrais gamins qui se cherchaient. Après avoir enlevé nos vêtements trempés, nous sommes retournés dans l’eau.
La sensation de l’eau sur nos corps nus fit vite son effet, et quand Thomas fit la planche avec son membre dressé comme un périscope, je ne me fis pas prier pour lui écarter les jambes et venir le sucer, pour voir s’il allait garder l’équilibre.
Je commençai lentement mais goulûment à le prendre entre mes lèvres. Je le serrai très fort pour le sentir gonfler et durcir à souhait. Il était tout excité par ce massage très agréable qu’il voulait faire durer. Il changea donc de position et me prit par les épaules pour me coller contre le bord de la piscine, dos à lui et, en m’écartant les cuisses, me pénétra doucement pour que je sente son membre entrer et sortir, gonflé de plaisir. Je commençai à me tortiller pendant que ses mains se promenaient sur mon ventre, mes seins et finalement allaient rejoindre mon clitoris.
J’ai toujours adoré cette position, car il pouvait aussi bien me prendre et me caresser en même temps. Il accéléra un peu la cadence tout en pressant ses doigts autour de mes petites lèvres qui enserraient son sexe. En fin de compte, il se masturbait à travers moi. Puis ses assauts se firent plus forts et plus secs ; un régal ! Ses doigts continuaient à me triturer le clito jusqu’à ce que je sente monter une chaleur en moi que je connaissais très bien : l’orgasme n’était pas loin.
Il accéléra encore et encore… et ma jouissance jaillit, si puissante et si forte que j’ai bien cru que j’allais défaillir. Juste au moment où je sentais Thomas venir à son tour, j’ouvris les yeux. Je vis alors deux yeux à travers les buissons qui nous observaient et j’étais presque sûre que c’était notre hôte qui se trouvait là. Je fis comme si de rien n’était…
Après avoir repris nos esprits, nous sommes sortis de la piscine et sommes allés, bras dessus bras dessous, tout nus vers notre lit.
Le lendemain matin, après un petit déjeuner digne de ce nom sur la terrasse, nous avons pu enfin admirer la vue. Notre terrasse, en hauteur par rapport à la piscine, donnait sur les pâturages camarguais à perte de vues, avec d’un côté des taureaux et de l’autre des vaches avec leurs petits. On pouvait distinguer au loin une mini-arène, ce qui aiguisa notre curiosité.
Après nous être douchés et habillés, nous avons décidé de faire le tour du propriétaire. Nous nous sommes dirigés vers la mini-arène, quand nous avons croisé notre hôte Lorenzo sur un magnifique cheval camarguais gris. Il nous emboîta le pas et nous expliqua comment se passait une journée de travail.
Il nous avait même préparé une surprise en attrapant un petit veau qui devait être marqué au fer rouge du sceau de la propriété. Les gardians qui travaillaient avec lui s’occupaient de trier et de faire sortir les petits veaux pour les marquer, et tout cela à cheval. C’était assez impressionnant.
Après avoir fait le tour des différents enclos, nous sommes repartis à la villa prendre notre voiture pour aller faire quelques courses pour le soir. Étant donné que nous avions un invité, je voulais préparer un repas digne de ce nom. Nous sommes allés à la ville d’Albaron et, par chance, c’était le jour du marché. Tout n’était que couleurs chatoyantes et odeurs agréables. Après quelques emplettes, nous avons décidé de rentrer à la villa et d’en profiter pour faire une journée farniente et piscine.
Le soir venu, Lorenzo arriva vers 20 h 30, avec un petit bouquet de magnolias et une bonne bouteille de vin rouge. Pour l’occasion, j’avais mis une robe rouge longue et fendue dans le dos jusqu’à la courbure de mes fesses. Thomas portait un short de lin blanc et une chemisette ouverte sur son torse légèrement halé.
Notre salon était tout aussi confortable que celui de Lorenzo. Après nous être installés, nous avons commencé les festivités par une coupe de champagne, pour fêter le début de nos vacances. Il faisait chaud mais une petit brise s’était levée et venait nous caresser à travers les fenêtres ouvertes.
Après quelques discussions anodines, Lorenzo entra dans le vif du sujet en disant qu’il nous avait observés, hier soir dans la piscine. Loin d’être gênés, nous lui avons demandé ce qu’il avait ressenti à ce moment-là.
Et là, comme s’il attendait cette question depuis longtemps, il nous raconta que, de temps en temps, quand sa femme n’était pas là, il fantasmait en faisant du voyeurisme à travers les bosquets. Mais jusqu’à présent, il ne s’était jamais fait surprendre et avait été étonné du regard que moi, Léa, j’avais eu à ce moment-là.
Comme Thomas et moi étions très ouverts sur le sexe, nous ne nous sommes pas fait prier et nous lui avons dit que nous étions un couple très amoureux, mais que quelques fois il nous arrivait d’aller plus loin dans nos fantasmes, et nous lui avons raconté notre soirée avec Tristan.
Je vis tout de suite que cette histoire ne laissait pas Lorenzo de marbre car, dans son pantalon en lin, la bosse qui commençait à poindre ne me laissait aucun doute : il était tout nu en dessous et avait aimé notre histoire. Comme l’alcool avait un peu délié nos langues, nos corps eux aussi se laissaient aller. Je commençai doucement à caresser les cuisses de Thomas qui ne se fit pas prier pour venir me déshabiller en un tour de main. Comme ma robe ne tenait que par les épaules, elle glissa le long de mon corps déjà bronzé sur un string blanc en dentelles.
Thomas commença à me caresser les seins. Je fis signe à Lorenzo de s’approcher. Quand il se redressa pour venir devant moi, j’en profitai pour défaire son pantalon. Effectivement, son sexe apparut aussitôt. Il n’était pas du tout comme celui de Thomas, long et fin, il était plus petit mais aussi plus gros.
Je pris son sexe dans ma main et je constatai qu’il était vraiment très dur. Une petite pensée me traversa l’esprit en pensant qu’il serait agréable de le voir pénétrer Thomas. Mais pour cela il fallait que j’y aille doucement pour ne pas le choquer.
Thomas m’allongea sur le canapé pendant que je continuai à branler Lorenzo. Je le fis se mettre à genoux devant ma tête pendant que Thomas, tout en léchant mes seins, commençait à descendre vers mon mont de Vénus. De mon côté, j’attirai le sexe de Lorenzo vers ma bouche et je le lapai à petits coups de langue.
Ses mains posées sur ma tête tentaient de m’attirer vers lui, mais je résistai pour le faire languir avant de le prendre vraiment dans ma bouche. Mes lèvres parcouraient son gland, s’entrouvrant toujours plus, avant de se retirer et ma langue en profitait pour s’enrouler autour, lui arrachant de longs soupirs de satisfaction. Je l’ai finalement pris entièrement dans ma bouche et me suis mise à le sucer goulûment.
Thomas n’était pas en reste. La tête enfouie entre mes cuisses, il dévorait ma petite chatte, y enfonçant un doigt tout en léchant mon clito. Il m’était très vite devenu difficile de me concentrer sur les deux choses à la fois. Je m’abandonnais à la langue de mon chéri et à ses doigts fouineurs qui me rendaient folle, tout en branlant doucement Lorenzo, qui ne perdait rien pour attendre !
De mon autre main, je pressai le visage de Thomas, serré entre mes cuisses, contre mon sexe. J’ai senti mon orgasme monter de façon fulgurante, m’envahir de toute part et j’ai pris mon pied dans un râle évocateur.
Quand j’ai repris mes esprits, mes deux amants me contemplaient, l’œil lubrique, le sexe dressé. J’ai saisi leurs membres bandés dans chacune de mes mains et, tout en les branlant doucement, je me suis remise à les sucer, chacun à leur tour. Ces messieurs avaient l’air d’apprécier le traitement que je leur réservais. Je sentais bien que la pression montait de tous les côtés, et j’ai demandé à Thomas de venir me remplacer pour voir la réaction de Lorenzo.
Connaissant mon homme, je savais qu’il ne se ferait pas prier, mais contre toute attente Lorenzo ne fut pas en reste. Il prit la tête de Thomas dans ses mains et lui fit faire des va-et-vient sur son sexe. Il se branlait dans la bouche de Thomas qui l’aspirait et le suçait autant qu’il pouvait.
J’étais ravie. Je leur avais moi aussi préparé une surprise : j’avais caché sous un des coussins du canapé le gode-ceinture que j’utilisais régulièrement avec Thomas. Quand je l’ai sorti de sa cachette pour m’en équiper, je vis d’abord dans le regard de Lorenzo une certaine surprise, remplacée très vite par une lueur d’excitation lubrique.
Après avoir sucé le gode pour le lubrifier de ma salive, mon regard planté dans celui de Lorenzo, je me suis harnachée, puis j’ai relevé les cuisses de mon homme et je me suis doucement enfoncée entre ses fesses. Quand j’ai senti qu’il était prêt, j’ai commencé à bouger lentement le bassin. Je connaissais ses gémissements, c’était le feu vert pour la chevauchée fantastique !
Je m’étais mise à le pénétrer pendant qu’il recommençait à sucer Lorenzo, alternant les va-et-vient courts et rapides et les allers-retours plus lents mais plus amples. Je suis ressortie presque entièrement de son cul pour y replonger d’un coup, ce qui le propulsa sur le sexe de Lorenzo. Leurs gémissements et leurs soupirs de plaisir se mêlaient, notre nouvel amant faisait des mouvements de plus en plus rapides dans la bouche de Thomas.
La vision de son membre coulissant entre les lèvres de mon homme et du gode qui le sodomisait excitait Lorenzo autant que moi. Il ne tarda pas à avoir des soubresauts et à éjaculer dans la bouche de mon Thomas, qui se régala de sa liqueur et n’en perdit aucune goutte, le petit cochon !
Je me suis retirée de Thomas car Lorenzo m’avait attiré à lui. Il m’a fait mettre à genoux sur le canapé, accoudée au dossier, puis il s’est baissé pour introduire sa langue entre mes jambes. Thomas en profita pour venir s’asseoir sur le dossier face à moi et m’a présenté son sexe devant les lèvres. Il était comme je l’adore. L’excitation due à la sodomie et à la fellation sur Lorenzo l’avait rendu rouge foncé, très gros et très dur.
Je l’ai accueilli dans ma bouche chaude, léchant une goutte salée qui commençait à perler sur son gland. Il était aux anges. Lorenzo, lui, continuait à s’occuper de moi. Sa langue passait de mon clito à mes lèvres, entrant en moi profondément. Je n’en revenais pas, il avait une telle façon de faire que je ne mis pas longtemps à jouir encore une fois.
J’eus à peine le temps de me retourner que Thomas, qui était déjà passé derrière moi, commençait à me pénétrer avec force. Ses mains agrippées à mes hanches, il entrait en moi plus profondément à chaque coup de rein. J’adorais être prise comme ça, un peu violemment.
Soudain il s’arrêta, penché sur moi, je sentis alors un poids de plus sur mon dos. Je compris, dans le râle de mon homme, que Lorenzo, qui avait retrouvé la forme, n’était pas resté inactif et était à son tour en train de le prendre.
Couché sur moi, les mains de Thomas avaient abandonné mes hanches pour mes seins qu’il pressait délicatement. Il ne bougeait plus, je sentais juste les mouvements de Lorenzo, c’était comme s’il me prenait à travers Thomas qui haletait de plaisir à mon oreille.
Le rythme toujours plus rapide augmentait mon plaisir de plus en plus. Je n’en pouvais plus, et j’ai joui dans un cri rauque avant de m’écrouler sur le canapé. Lorenzo était proche du nirvana lui aussi, en se déchaînant entre les fesses de mon chéri qui en redemandait. Après avoir porté ses derniers assauts, il prit son pied en s’enfonçant une dernière fois en lui.
Dans l’excitation du moment, il se laissa tomber sur Thomas puis prit son sexe dans sa bouche pour l’achever. Celui-ci, n’ayant pas joui depuis le début de la soirée, n’a tenu que quelques secondes avant de gicler tout son sperme sur sa langue, dans une onde de plaisir.
Nous avons fait l’amour pendant des heures, sans nous lasser, changeant sans cesse de positions. Mais le meilleur fut quand Lorenzo, qui avait mis Thomas à cheval sur le dossier du canapé, le pénétra comme un taureau en rut pendant que je pénétrai sa bouche avec mon gode ceinture. Je ne reconnaissais pas Thomas. Il n’avait jamais été pris comme ça et avec une telle force, que j’en étais presque jalouse.
Avec tout cela, notre repas n’était plus d’actualité et nous nous sommes écroulés de plaisir pour nous endormir rapidement.
Quand j’ouvris les yeux un peu plus tard, Lorenzo était parti… Je ne savais plus très bien si j’avais rêvé ou fantasmé tout ça mais j’aperçus, sur la table de la salle à manger, le petit bouquet de magnolias.
Et j’ai refermé les yeux, un sourire sur les lèvres.