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Temps de lecture estimé : 10 mn
27/07/08
Résumé:  Michel a des problèmes pour satisfaire Francine, son épouse. Son médecin et amie, Laurette, prend le problème en mains.
Critères:  fh ffh hplusag couple médical massage intermast fellation 69 nopéné -amourdura -couple -couple+f -h+medical
Auteur : Cidoup            Envoi mini-message

Série : Défaillance

Chapitre 01 / 03
L'examen



Le docteur, la doctoresse devrais-je dire, s’installe au pupitre d’un écran à côté du lit. En contournant son bureau, sa blouse reste une seconde accrochée, dévoilant la peau bronzée d’une cuisse nue. Elle sourit en rétablissant l’ordonnance de sa tenue.



J’aime bien Laurette que j’ai connue jeune médecin débutante lors de mon installation dans ce quartier. Depuis, elle et Georges, son mari, sont devenus nos amis, enfin, pour être honnête surtout ceux de Francine. C’est un peu compréhensible vu notre différence d’âge. Ils ont à un ou deux ans près celui de mon épouse, qui n’a pas atteint la cinquantaine tandis que moi, j’ai été l’an passé obligé de prendre une retraite non désirée, poussé vers la sortie par un conseil d’administration soucieux de ne pas conserver un dirigeant de près de soixante-dix ans. Oh ! Ce n’est pas pour des considérations bassement matérielles que j’ai retardé au maximum la date de mon départ, ma pension est confortable, merci. Simplement, cela ne me plaisait guère de passer les journées seul dans l’appartement, pendant que Francine travaille comme chef de service à la préfecture.


Enfin, c’est le passé maintenant, et je dois admettre que la vie professionnelle trépidante ne me manque pas. Je peux mieux me consacrer à ma jeune épouse que les tracas professionnels m’entraînaient à négliger. Quel bonheur de sortir ensemble sans le souci de me ménager pour faire bonne figure le lendemain à cause de la réunion avec les délégués du personnel ou la réception d’un client hyper-important, ou pour faire visiter l’usine à une sommité régionale, voir nationale, ou encore pour apaiser un conflit entre deux directeurs ! Nous avons retrouvé une vraie vie de couple et la bonne humeur de Francine fait plaisir à voir…


… Faisait, car depuis quelque temps, je crois que j’ai trop tiré sur la corde. Francine s’est inquiétée de ma mine fatiguée, et prenant prétexte de défaillances que j’espère passagères, elle m’a entraîné de force dans le cabinet de Laurette.



Je repousse le slip à mi-cuisses.



Elle manipule mes bourses. Que sa main est douce ! Je croise les yeux de Francine qui me dévisage d’un air ironique. J’efface le sourire béat et détourne le regard. Laurette donne une pichenette à la verge molle qui repose sur ma cuisse. La réaction est immédiate, l’engin grossit et s’allonge.



Elle déplace sur mon bas-ventre un détecteur d’échographie et étudie avec attention les moirages qui se dessinent sur l’écran.



Elle enfile un gant de latex. Laurette, le visage inexpressif, fait tourner son doigt. Oh ! Cette sensation ! Je maîtrise avec difficulté un soupir, pas question que Francine se moque de moi ! Nouveau soupir quand le doigt quitte l’anus. L’examen aurait pu durer plus longtemps.



Laurette me passe du papier pour essuyer le gel dont elle m’a enduit pour l’échographie et le jette avec le gant dans une poubelle. Elle approche sa chaise de la table d’examen et soulève le pénis du dos du doigt. La verge reste souple malgré la douceur du frottement.



Les deux femmes contemplent mes bijoux de famille complaisamment étalés. Je me sens ridicule et maudis mon manque de réaction.



Sans attendre une réponse qu’elle sait affirmative, la doctoresse manipule de deux doigts la tige molle. Je suis horriblement gêné. Une autre main que la mienne ou celle de mon épouse me caresse. Cela ne m’était plus arrivé depuis notre mariage. Laurette fait glisser la peau sensible sous le regard intéressé de Francine. Le gonflement de la verge trahit le plaisir que j’éprouve. J’ai honte et m’en veux de ne pouvoir contrôler mes réflexes.



Ce n’est plus du bout des doigts que le docteur me manipule. Sa paume se referme sur la tige dilatée et la caresse se transforme en véritable masturbation. J’ignore sa signification thérapeutique mais je n’ai plus honte maintenant de ma virilité retrouvée et m’abandonne à la douceur du traitement. Je souris à Francine qui avance une main gourmande.



Quelques gouttes giclent du méat et viennent s’écraser sur le poignet de Laurette et la main de Francine.



Laurette reprend mon sexe en main. Quelques coups de poignet sans résultat. Elle joue distraitement avec la tige molle. Cela me fait un bien immense quoique sans manifestation physique.



La perte des doigts sur la verge me fait soupirer.



Je suis aux anges. Deux jolies femmes pour moi tout seul qui s’occupent de mon sexe ! Je ferme les yeux ne voulant pas savoir qui, du docteur ou de ma femme, décalotte le gland ou fait rouler les testicules. Malgré la proximité de l’éjaculation, je sens la verge gonfler et s’allonger.



Une bouche se referme sur le gland. J’ouvre les paupières pour voir Francine, les yeux plissés d’un rire contenu, sucer ma queue entre ses lèvres.



Elle manchonne la tige, couvrant et découvrant alternativement le gland.



Laurette se penche et avale mon sexe. Ça, c’est de la conscience professionnelle ! Oh, cette langue ! Aussi douce que celle de Francine !



De nouveau mon corps échappe à mon contrôle. L’éjaculation déferle sans prévenir. Surprise, Laurette avale une partie du sperme et recrache le surplus dans un mouchoir. Elle va éclater mais se ravise devant mon air penaud.



Laurette rédige une ordonnance. Francine s’agite sur sa chaise.



Je détourne les yeux pour ne pas croiser son regard furibond.



J’ajoute mon grain de sel.



Elle range son sac.



Nous nous embrassons en vieux amis, comme si l’intermède érotique – une première entre nous – était une parenthèse sans conséquence. Dans la rue, Francine retrouve sa bonne humeur.



J’aimerais être aussi confiant qu’elle…



oooOOOooo



Le soir, dans notre lit, Francine vient se lover amoureusement contre moi. Nous échangeons un long baiser. Nous avons l’habitude de nous coucher nus. Rien pour contrarier nos caresses réciproques. Je sais qu’elle adore sentir mes mains se promener sur son corps en prélude à l’acte d’amour. Elle ronronne de plaisir pendant que mes doigts, ma langue partent à la découverte sans cesse renouvelée de ses coins secrets. Sa main glisse entre nos corps vers mon bas-ventre, ses doigts entourent mon sexe. Ma verge gonflée de désir n’arrive pas à raidir. Francine s’entête.



Elle s’enfonce sous les draps.



Une bouche chaude s’empare du gland. Une langue le parcourt, titille le méat. Je sens la tige se dilater s’allonger, durcir.



Francine, fière du résultat, se redresse. Sans lâcher son trophée, elle s’accroupit sur mon ventre, dirige la queue entre ses cuisses… Las ! Je ne résiste pas à la montée brutale du désir et m’épanche à l’orée du vagin tant désiré. Je suis désespéré.



Francine m’entoure de ses bras et me cajole.



Nous restons plusieurs minutes serrés l’un contre l’autre, puis je me dégage doucement.



Elle me sourit et se place sur le dos. Je m’enfonce sous les draps.



Comment lui dire que j’en rêve mais que je serais incapable de lui montrer physiquement le plaisir qu’elle me fera ?



Je sors de dessous le drap pour y retourner mais en sens contraire la tête entre ses cuisses écartées. Je soupire d’aise lorsque ses doigts de fée triturent ma verge ratatinée et qu’une langue douce caresse mes testicules. J’écarte les poils de son sexe à la découverte de son petit bouton secret.



Je m’applique à parcourir les replis de chair qui s’humectent de la rosée du plaisir. De l’ongle, je chatouille l’entrée du vagin, le pénètre de la longueur d’une phalange.



Sa bouche entoure de salive tiède la queue flasque qui me sert de sexe.



J’introduis deux doigts dans le puits d’amour et un dans le trou secret, derrière. Sa langue fait rouler le gland contre le palais. Quelle sensation ! Jamais je n’avais eu autant de plaisir avec une caresse buccale. Peut-être à cause de la souplesse de ma queue, inhabituelle en ces moments-là ? Je mordille le clitoris. Francine frémit. Mon sexe, qu’elle a presque entièrement avalé, étouffe ses gémissements. Je la sens près de la jouissance et active mes caresses… là… Oui ! Mes doigts clapotent dans son vagin qui dégouline de cyprine. Tout à coup, elle serre les cuisses, emprisonnant ma tête. Ouille ! Elle m’a presque mordu ! Ce n’est pas grave.


Au bout de quelques secondes Francine retire ma queue de la bouche.



Elle reprend sa sucette, pas convaincue. J’en grogne de satisfaction et m’emploie à étancher ses lèvres intimes.



Francine est fière de sentir le barreau se développer entre ses lèvres et active ses léchouilles sur la tige. Je suis à la fois déçu et content. Content de récupérer une virilité qui m’échappait, mais un peu déçu de ne pas retrouver la délicieuse sensation du gland qui roule sous la langue. Le monde est mal fait ! Tant pis, ce n’est pas la faute de Francine et je m’efforce de lui procurer un autre orgasme… Aïe ! La sève monte dans la tige. Non, pas encore, c’est trop tôt !



Trop tard ! Avant que Francine comprenne qu’elle doit cesser de sucer, le sperme s’écoule dans sa bouche. Elle déglutit consciencieusement et termine de nettoyer le gland pendant que mes doigts investissent ses orifices et que ma langue râpe le clitoris.



Je me dégage et m’installe à ses côtés, la serrant contre moi. Sa respiration s’assagit.



Trois jours plus tard, Laurette me téléphone. Elle a obtenu pour moi un rendez-vous auprès d’un professeur réputé. C’est un homme, ce coup-ci. Ses rudes manipulations ne me font aucun bien, ni celles de son assistante, une infirmière revêche qui semble vouer une haine farouche à la gent masculine, à en croire les regards mauvais qu’elle me lance. Au bout de plusieurs examens et contrôles divers, ce spécialiste me laisse peu d’espoir. D’après lui, mes corps caverneux sont en piètre état et je ne retrouverai pas, à moins d’un miracle, la rigidité nécessaire à l’introduction.


Je suis effondré. Oh ! Pas pour moi, mais pour ma femme. Francine a beau m’assurer que les caresses réciproques que nous échangeons sous la couette suffisent à son bonheur, je sais qu’il arrivera un moment où son corps réclamera une nourriture sexuelle plus consistante. Que c’est dur de vieillir…



À suivre