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n° 12768Fiche technique16776 caractères16776
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Temps de lecture estimé : 10 mn
05/08/08
Résumé:  Un agent immobilier me fait visiter une maison et me dévoile une salle dédiée au plaisir sado-maso !
Critères:  fh extracon fsoumise photofilm jeu attache yeuxbandés init -dominatio
Auteur : Annelyse      
La salle perdue

Tout a commencé en décembre dernier lorsque mon mari Stéphane et moi (Carole) avons décidé de déménager pour acquérir une maison dans les Yvelines, plutôt en campagne. Actuellement sans enfants, mais cela pourrait changer, et tous les deux souhaitant ardemment un jardin, nous nous sommes naturellement portés vers cette partie du département, travaillant non loin et la trouvant particulièrement calme et cosy.


Après avoir sélectionné la zone qui nous intéresse et regardé sur internet les quelques annonces, nous avons contacté trois agences immobilières locales pour prendre rendez-vous le samedi suivant et leur exposer notre recherche. Tout s’est très bien passé avec les agences qui se sont mises immédiatement à la recherche de notre demande. Dès le lundi, je reçois deux appels pour prendre rendez-vous pour le samedi suivant afin de nous présenter quelques maisons et effectuer des visites éventuellement.


Nous enchaînons alors les deux agences matin et après-midi. Après deux visites le matin, nous sélectionnons trois maisons à visiter dans la seconde agence l’après-midi même si l’une d’entre elles nous est beaucoup trop chère. L’agent immobilier nous fait savoir que cette maison vient juste de rentrer et qu’il ne la pas encore vue, et elle pourrait dès lors avoir été surestimée par les propriétaires. Nous partons en voiture effectuer les visites, Alexandre, l’agent, assis à l’arrière et nous indiquant le chemin.


Les deux premières maisons sont conformes à ce que nous attendions au vu de la présentation : deux pavillons dans une zone résidentielle, en bon état général, mais rien d’emballant en soi. Nous nous rendons ensuite à la dernière maison et Stéphane me fait comprendre, avant même la visite, que ce n’est pas la peine de s’emballer pour cette maison car tout de même 20 % au-dessus de nos moyens.


Sur place de toute façon, elle ne paraît pas transcendante avec ses murs de crépi sales. Une fois à l’intérieur toutefois, la maison s’avère très spacieuse et agréable à vivre ; un vrai cocon avec une grande pièce à vivre (cuisine, salle à manger, salon) organisée autour d’une cheminée de salle de bal. Derrière, deux trois pièces faisant office d’arrière-cuisine, une chambre et un bureau ainsi qu’une salle d’eau. À l’étage, trois autres chambres et une salle de bain, l’ensemble en bon état et de très nombreux placards aménagés. Nous en ouvrons quelques uns et admettons qu’ils sont profonds et fonctionnels. Au dessus, des combles à aménager pouvant permettre la réalisation d’une grande salle de jeu ou d’une suite parentale. Enfin un sous-sol comprenant un large garage et deux pièces servant actuellement de rangement et d’atelier.


Alexandre découvre comme nous la maison et son état général et tire un peu la moue car le prix ne semble pas exagéré du tout au vu de la surface et son bon état. Nous lui en faisons part mais il veut nous rassurer en disant que tout est négociable. En bon professionnel, il repasse à l’attaque en nous demandant, comme il l’a fait pour les autres maisons, nos impressions générales. Nous sommes gênés de devoir admettre que c’est exactement la maison que nous recherchons, mais il faudra, compte tenu du prix, trouver autre chose. Ne voulant pas fermer la porte sur cette opportunité, il nous demande de refaire un tour afin de nous faire une meilleure idée. Mais le tour est vite fait et nous ne trouvons que très peu de défauts à cette maison.


Nous repartons à l’agence et discutons des possibilités. Alexandre, très prévenant avec nous depuis la visite, reviendra vers nous s’il trouve d’autres maisons à visiter, sachant précisément maintenant ce que nous recherchons. Nous rentrons ensuite, un peu perturbés par cette dernière maison qui nous apparaît parfaite, hormis son prix.


Le mardi suivant, dans la matinée, je reçois un appel d’Alexandre m’annonçant que les propriétaires de la maison pourraient faire un effort question prix. En tout cas lui-même travaille ardemment en ce sens car il a bien compris que c’est cette maison qui nous intéresse. Il m’annonce aussi que nous n’avons apparemment pas vu l’ensemble de la maison et qu’il reste une pièce encore au sous-sol. Il me demande si je veux venir la revisiter.


Cette dernière remarque m’intrigue car je n’ai plus trop la disposition des pièces en tête, mais s’il y a encore une pièce au sous-sol, alors la maison est vraiment très grande. Je lui demande quand nous pourrions venir la visiter à nouveau avec Stéphane. Malheureusement le samedi suivant, les clés sont monopolisées par une autre agence qui fait aussi des visites. Il ne me reste dès lors que la possibilité de venir seule un midi, ne travaillant qu’à une quinzaine de minutes de là. Je lui demande si je peux venir ce midi et le rendez-vous est pris pour 13h00 devant son agence.


Dix minutes avant l’heure, j’arrive devant l’agence et Alexandre sort immédiatement pour me rejoindre dans ma voiture. Il a un grand sourire et me félicite pour mon timing et mon tailleur. Je reste perplexe ne sachant quoi répondre, car même si j’apprécie les compliments, je trouve la remarque sur ma tenue un peu déplacée venant d’un homme que je connais à peine. Le reste du trajet est du même niveau, Alexandre me tutoyant, posant sa main régulièrement sur mon coude ou mon épaule en me parlant. J’ai bien du mal à rester concentrée sur la route, à la fois gênée par cette attitude et aussi par ma réaction à le dévisager pour finalement le trouver plutôt assez bel homme, enfin surtout beau parleur.


Arrivée devant la fameuse maison, je remarque que ce trajet m’a donné un coup de chaud et je dois être rouge tomate au niveau du visage. La visite recommence, rez-de-chaussée, étage pour enfin aller au sous-sol. Alexandre m’explique qu’il est revenu visiter la maison le samedi afin de pouvoir négocier plus facilement avec les propriétaires et qu’il a découvert au fond du garage la grande pièce vers laquelle il me dirige. En effet, l’entrée n’est pas facile à atteindre car elle est à moitié obstruée par de vieux meubles et des vélos. Juste avant d’entrer, Alexandre me prévient que je vais toutefois y trouver des choses un peu bizarres. Sans attendre, il me fait entrer.


À peine ai-je mis un pied dans la salle que je comprends les remarques d’Alexandre. C’est une chambre entièrement couverte de miroirs avec un lit composé d’un matelas posé sur une estrade, une croix en X au mur derrière le lit avec des attaches pour les mains et les pieds. Sur la gauche, plusieurs étagères sur lesquelles sont posées de nombreux articles de sado-maso, mais aussi des articles plus courant comme des sex-toys, des vibros. Un placard encastré sur la droite et une caméra sur un trépied ferme le tableau.


Je n’ai pas bougé de l’entrée et je sens Alexandre collé dans mon dos. Il me demande d’entrer afin d’y aller lui aussi. Je m’exécute et m’avance vers le centre de la pièce. Alexandre reprend la parole me signalant que l’aménagement est un peu particulier mais que la pièce est vaste, avec un cabinet de toilette sur le côté que je n’avais pas remarqué. Alexandre ouvre le placard pour me montrer sa taille et sa profondeur et me dévoile une penderie avec de nombreuses tenues en latex et cuir, et des étagères contenant des cassettes vidéo et un écran télé.


Je me tourne pour regarder toute la pièce avant d’éclater de rire en disant que ce genre de chose n’est pas possible. Je suis hilare en regardant cette débauche. Alexandre me dit qu’il est resté perplexe comme moi samedi dernier en découvrant cette pièce puis il s’est dit qu’il en faut pour tous les goûts. C’est sûr, mais je lui fais remarquer que tout de même, ces tenues, cette croix, et ces objets, ça a de quoi surprendre. Il me répond que c’est pas si surprenant car dans l’intimité, beaucoup de personnes font des tas de choses surprenantes. Je suis d’accord mais quand même, lui dis je, se faire attacher à cette croix.



Cette discussion avec Alexandre me semble surnaturelle. Je le connais à peine. Son tutoiement me perturbe. Toute cette pièce me perturbe. Mais plus encore ce sont ses paroles qui me gênent car il n’a pas tort.



Il m’attire contre la croix et me lève les bras pour que je saisisse les lanières. Les bras écartés, je ne ressens rien de particulier, ni de gêne, ni d’humiliation comme je m’attendais. Alexandre me fait remarquer que je ne fais que me tenir et que je ne suis pas attachée. À cette remarque, je sens comme un coup de cœur dans ma poitrine et mes sens passent immédiatement en alerte. Je me méfie de cette proposition voilée, mais tout mon corps semble vouloir jouer le jeu.



Alexandre me cale les poignets dans les fixations prévues à cet effet, avant de faire de même avec mes chevilles sans même me le demander. Je suis bras et jambes écartés, attachés sur la croix. Mon tailleur est détaché et la position fait saillir ma poitrine dans mon chemisier qui baille. Ma jupe est tendue à craquer entre mes jambes. Je réalise soudainement que je suis à la merci d’Alexandre, sans aucune possibilité d’échappatoire.


Alexandre s’est éloigné et met en marche le caméscope. Il me demande alors ce que je ressens à être ainsi attachée.



Je n’en suis pas sûre et lui demande de me détacher. Il revient auprès de moi, me regarde dans les yeux, pose un baiser sur mes lèvres et commence à libérer ma main droite.


Je suis soulagée de voir qu’il ne me veut pas de mal et la peur évacuée, mon désir reprend le dessus. C’est vrai que depuis tout à l’heure je suis toute excitée. Alexandre commence à me détacher la main gauche quand je l’arrête, me redresse sur la croix et retend ma main droite vers l’attache.



Ma poitrine se gonfle dans le chemisier et Alexandre, après m’avoir attaché la main à nouveau, défait doucement les boutons un à un. J’ai toujours les bras et les jambes en croix, le ventre à l’air et les mains d’Alexandre qui se glissent dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. Il décroche aussi les bretelles et m’enlève ainsi le dernier rempart. J’ai tout à fait conscience de ma position impudique, les seins dardant en avant, excités comme un diable, en face de cet homme que je ne connais que depuis quatre jours.


Alexandre s’éloigne à nouveau, déplace le caméscope pour le mettre de trois-quarts sur le côté, et reviens vers moi avec un petit objet dans la main. Il s’agit d’un masque opaque qu’il me passe sur les yeux. Je ne vois plus rien. J’entends Alexandre s’éloigner à nouveau, chercher ou prendre un objet sur les étagères puis revenir. Je suis excitée comme jamais et il ne m’a même pas encore touchée.


Je sens quelque chose sur mon mollet, une baguette ou une cravache, qui remonte doucement entre mes jambes. Elle atteint la jupe tendue au-dessus des genoux et la remonte lentement, inexorablement jusqu’à mon entrejambe. La baguette reste là quelques minutes, se frottant à mon pubis couvert par mon collant et ma culotte. La sensation est extraordinaire à chaque passage sur ma vulve et mon clitoris est à deux doigts de me faire exploser.


Mais Alexandre s’arrête et s’éloigne à nouveau. À son retour, il me roule la jupe autour des hanches ; c’est son premier vrai contact avec ma peau. Puis il glisse un objet métallique sous le bord supérieur de ma culotte et de mon collant avant de les couper complètement des deux côtés. Les ciseaux font leur office et mon collant pend lamentablement maintenant sur chacune de mes cuisses, ma culotte ayant été détruite.


J’ai le sexe à découvert ! Les jambes écartées devant Alexandre, je ne peux rien faire pour cacher mon intimité. Je ne vois rien et je suis toujours attachée. Et je n’ai jamais, oh non jamais, été aussi excitée. Mes tétons dardent et me font mal. Mon clitoris est tendu lui aussi et compte tenu de la position, mes lèvres s’ouvrent lentement. Et Alexandre ne me touche toujours pas.



Une caresse sur mes seins, un baiser qui mordille mes tétons et remonte dans mon cou. Alexandre se colle à moi en m’embrassant à pleine bouche. Il est nu. Je sens sa verge tendue entre mes jambes. Elle cherche seule son chemin, le trouve sans mal, et me pénètre lentement ne s’arrêtant qu’au fond de mon vagin. Elle a l’air longue mais pas trop épaisse. Elle me fait déjà jouir rien que par sa présence. Elle est là où il faut au bon moment. Je coule abondamment sur sa verge, ses couilles, et mes cuisses. De son côté, il a commencé à aller d’avant en arrière, me baisant en femme totalement coincée, prisonnière, livrée, mais offerte de plein gré que je suis pour lui. Il me caresse à nouveau les seins, les mordille, avant de me défoncer encore plus fort. Je jouis encore et encore. Combien de fois ai-je joui ? Je ne saurais dire : trois, quatre fois.


Et Alexandre est venu en moi. Il a déversé sa semence au fond de ma matrice, au creux de mes reins. Il s’est retiré et j’ai senti son sperme couler de ma chatte ouverte de manière impudique. Je suis épuisée.


Alexandre m’enlève le bandeau et je le vois comme si c’était la première fois. Il est beau subitement : l’homme, le mâle dominant. Il me détache et je me couche sur le lit devant la croix, épuisée.


Alexandre me redemande mon avis sur cette pratique sexuelle et je ne sais quoi lui répondre. Je lui dis après quelques minutes que je ne sais pas si c’est cette pratique sexuelle, lui ou l’infidélité, voire un mélange des trois qui m’a mise dans cet état-là, mais une chose est sûre, c’est que je viens de vivre ma plus grande expérience sexuelle.


Après quelques minutes, je fais une brève toilette et je me recompose une tenue. Mon tailleur est froissé, mon chemisier trempé, ma culotte et mon collant détruits. C’est donc nue sous ma jupe que je retourne à la voiture avec Alexandre pour le ramener à son agence.


Ce fut bref, moins d’une heure, mais intense. Je ne suis pas retournée travailler ce jour-là et le soir venu, Stéphane et moi avons expérimenté un nouveau jeu lorsque je lui ai demandé de m’attacher.


Quant à Alexandre, je l’ai rappelé le lendemain matin pour lui demander ce qu’il avait fait du film car dans le feu de l’action, j’avais oublié ce détail. Il m’a dit que le mieux était que je passe le lendemain midi pour me faire effectuer une visite rapide d’une autre maison, et revoir la maison des plaisirs (comme je la surnomme) et y récupérer le film.


Mais c’est une autre histoire, car cette fois j’étais prête à me soumettre à lui !