Dans le sauna mixte que je fréquente habituellement, j’ai fait une belle rencontre dans les douches communes. L’un des clients, un homme de presque cinquante ans, est venu accompagné de sa petite amie qui n’a pas plus d’une vingtaine d’années. Mais le plus beau dans l’histoire, c’est que celle-ci est une très très grosse fille comme je les aime, et même encore plus… Du fait de sa silhouette plus large que haute, elle fait davantage penser à une baleine blanche sur pattes qu’à un être humain. Je m’empresse de la rincer à l’aide du jet en caressant ses voluptueux bourrelets savonnés. Bien entendu, je m’attarde plus que nécessaire entre ses énormes nichons…
- — Mmmm… vous est magnifique ! Monsieur a bien de la chance, car les belles rondes comme vous ne se trouvent pas facilement !
- — Merci, c’est très gentil à vous ! répond la baleine d’une voix aiguë et puissante qui renforce mon érection. Mais… tout le monde n’aime pas les grosses, vous savez ! Et en plus vous êtes très mignon vous aussi, tu ne trouves pas Chéri ? Avec ses beaux yeux bleus et sa grosse bite bien tendue !
- — Merci, vous êtes adorable. Ça ne vous dérange pas que je vous caresse ? C’est tellement agréable !
- — Non non, tu peux y aller mon chou… deux hommes, c’est beaucoup mieux qu’un seul… c’est ce que je dis toujours à mon mec ! minaude-t-elle en trémoussant ses hanches contre les miennes. (Je manque de tomber tellement elle est lourde) Bon, et si on allait au hammam tous les trois ? J’ai envie de transpirer un peu, maintenant !
Elle nous y entraîne tous les deux par la verge : elle en tient une dans chaque main ! Et comme elle prend soin de nous bousculer de son large cul à chaque pas, j’ai bien peur de jouir un peu trop vite ! Dans le hammam saturé de vapeur, nous, ses hommes, nous installons sur la planche de part et d’autre de notre imposante maîtresse. Nous bavardons un peu en la caressant pendant qu’elle nous branle.
- — J’imagine que tu dois avoir un gros appétit, lui dis-je à l’oreille en pelotant son nichon droit. J’adore les filles qui aiment la bonne nourriture !
- — C’est vrai, je suis une folle de bouffe ! Tu es comme mon mec alors, si tu aimes les grosses bouffeuses !
- — Oui, je les adore ! Et tu vas souvent au restaurant, ou tu préfères manger à la maison ?
- — On mange chez nous en général. Les restaurants ne sont pas faits pour les grosses : tout y est minuscule, surtout les portions ! Par contre j’aime bien certains buffets "à volonté" , mais je dois utiliser deux chaises pour poser mon gros cul ! En tout cas, que ce soit chez nous ou à l’extérieur, c’est toujours mon copain qui me fait manger. Allez ! Explique-lui, Chéri ! Raconte-lui comment tu t’occupes de moi !
C’est assurément la femme qui porte la culotte dans leur couple… au sens figuré, bien sûr, car la belle n’est habillée pour l’instant que d’une robe de graisse… Sur l’ordre de sa copine, son mec fait entendre le son de sa voix :
- — Quand je t’ai rencontrée, tu ne pesais que 110 kilos ! Et pourtant tu grignotais déjà tout le temps : toujours un truc dans la bouche ! Et vorace, avec ça ! Tu me faisais bien bander avec ton gros cul et tes gros bras ! Mais ce qui m’excitait le plus, c’était de penser à la silhouette que tu aurais si tu continuais à bouffer comme ça tout le temps ! D’ailleurs maintenant, je crois que tu en es à 210 kilos, c’est bien ça ?
- — Oui, c’est le résultat de la pesée de ce matin ! nous annonce-t-elle fièrement.
- — Tu te rappelles qu’au début tu te remplissais pour oublier ce connard qui t’avait plaquée… justement à cause de ton poids ?
- — Je l’avais oublié, celui-là !
- — Alors, quand nous nous sommes rencontrés, moi j’étais carrément fasciné par ta graisse et ça te faisait énormément plaisir, évidemment ! Pendant l’amour, je t’avais même avoué que j’aurais bien envie de te voir doubler, puis tripler ton poids ! Ça te faisait bien rigoler car tu te croyais déjà trop grosse ! Je me souviens quand même que tu m’avais répondu que j’avais de la chance d’être tombé sur une fille qui adore la bouffe ! Mais tu m’as d’abord fait jurer que je ne serais jamais dégoûté par tes rondeurs. Puis tu as passé le reste de la soirée à te goinfrer de bonbons aux caramels, de gaufres, de bûches glacées et de plein d’autres choses que tu stockais dans ta cuisine : tu dévalisais le frigo et les placards de tout ce qui pouvait s’avaler ! Et comme si ça ne te suffisait pas, au milieu de la nuit tu m’as même encore supplié de t’en remettre dans la gueule ! Je t’ai fait engloutir quatre glaces au chocolat et ensuite je t’ai baisée sauvagement par derrière comme une grosse truie !
- — Tu racontes bien mon amour ! Continue !
- — Lorsque nous avons emménagé ensemble, c’est là que j’ai voulu t’imposer des repas plus nombreux et plus copieux… Je t’ai fait arrêter tout de suite le grignotage pour que tu aies plus d’appétit aux heures des repas. Je t’ai concocté un petit programme sur mesure : huit heures, petit-déjeuner. Onze heures, brunch. Quatorze heures, déjeuner. Dix-sept heures, goûter. Vingt heures, dîner. Vingt-trois heures, souper. Deux heures du matin, collation du premier réveil. Cinq heures du matin, collation du deuxième réveil… de toute façon tu n’as jamais pu tenir toute une nuit sans bouffer ! Donc voilà, cher Monsieur, elle mange un gros repas toutes les trois heures. Eh oui, on ne devient pas obèse par hasard ! Et vous seriez étonné de voir tout ce qu’elle peut avaler en une heure ! Vers la fin, c’est quand même moi qui dois la gaver un peu… normal, car elle n’en peut plus la pauvre ! Mais en tout cas, elle prend toujours ce que je lui fourre dans la bouche ! Surtout si c’est des chocolats ou des glaces ! Et quand elle n’en peut vraiment plus, je la laisse se reposer pendant deux petites heures pour bien digérer tout ça… Une petite sieste, une émission de télé, un bon livre ou une descente au sauna comme aujourd’hui… avant d’attaquer le repas suivant !
- — Un peu de baise aussi ! Il faudrait voir à ne pas oublier l’essentiel, mes chéris ! Allez ! J’ai envie de vous sucer tous les deux maintenant !
Nous sommes à ses ordres ! Nous nous mettons debout sur la planche et elle glisse nos bites bien dures dans chacune de ses joues onctueuses. Quel régal ! Comme elle nous suce en doublé aussi bien qu’elle vient de nous branler, nous avons tôt fait d’éjaculer ensemble dans sa gorge. La grosse salope avale nos spermes dans un gloussement de béatitude…
- — Dis donc Chéri ! Il faudrait peut-être se dépêcher maintenant : j’ai faim ! Il faut absolument qu’on soit à l’heure pour le dîner ! Heureusement que tu m’as fait bouffer rapidement avant qu’on sorte, ça nous a laissé plus de temps pour le sauna. Mais je ne sens déjà plus les cinq kilos de confiture que tu m’as enfoncés dans la gorge pour le dessert ! Qu’est-ce que tu as bien fait d’acheter cet entonnoir ! Pour la confiture, c’est génial ! J’ai protesté après les trois grands pots de framboise, de fraise et de mûre, mais c’est vrai aussi que je venais de me taper un kilo de miel à la grande cuiller ! En enfonçant délicatement l’entonnoir au fond de ma gorge, tu as pu me faire ingurgiter encore un kilo de marmelade d’orange ! Je commençais à pleurer un peu, mais tu as insisté pour me rajouter aussi un kilo de marmelade de citron ! Ça faisait mal mais c’était super bon ! La prochaine fois, je ferai un effort pour ne pas pleurer… sinon tu vas peut-être te décourager de me faire bouffer, mon pauvre amour ?
- — Mais tu peux pleurer autant que veux, idiote ! Tu sais bien que ça m’excite ! lui dit-il avec un bisou sur la bouche. Viens ma chérie, je n’aime pas que tu restes plus de deux heures sans rien avaler. Ça m’angoisse ! Tu risquerais de perdre ton gros ventre et tous tes bourrelets ! Regardez-moi ces grosses joues noyées dans son cou, ce n’est pas magnifique ça, Monsieur ? Et ce double-ventre, ma chérie, c’est une bien belle bouée de sauvetage que tu as là au-dessous des nichons ! Et elle ne demande qu’à s’agrandir, tu sais ! Alors ne perdons pas de temps : je veux que tu continues à bien grossir, même si je dois te gaver à l’entonnoir vingt-quatre heures sur vingt-quatre !
- — Depuis que je mange pour ton plaisir, j’ai pris cent kilos en moins d’un an ! Mais je ne m’en plains pas, au contraire ! Ah bien sûr, ce n’est pas toujours évident de marcher avec ce ventre énorme qui me fouette les genoux en permanence ! Mais au moins, ça t’évite peut-être de reluquer les autres grosses qui passent dans la rue ! Hein mon salaud ! C’est bien ce que tu faisais quand j’étais moins grosse ? Tu en avais même peloté une pendant que j’avais le dos tourné !
- — Tout ça c’est du passé mon amour ! Tu es devenue beaucoup plus belle qu’elle, d’ailleurs…
- — Au fait, tu as remarqué comme je suis souvent essoufflée ces temps-ci ? Ça ne te dérange pas ?
- — Ça me plaît beaucoup, tu veux dire ! Ta voix est beaucoup plus sensuelle : quand tu parles, on dirait que tu te fais baiser ! Et pour ton gros bide, tu vas t’habituer ma chérie. Moi, c’est plutôt ma bite qui devient énorme quand je le vois s’allonger comme ça ! Et est-ce que je t’ai dit à quel point j’apprécie ta démarche d’éléphant ? Tu as bien ralenti ton pas ces derniers temps : tu te dandines comme une vraie obèse à présent ! Continue comme ça !
- — Je sais, tu m’as déjà dit que je ressemblais à un hippopotame qui fait la danse du ventre…
- — Exactement ! Et si tu veux bien tenir ta promesse de tripler ton poids du début, tu pourras bientôt pousser ton bide avec tes mollets qui commencent eux aussi à bien pendouiller… et plus tard c’est peut-être sur tes pieds que tu l’auras, alors ne t’inquiète pas pour tes genoux car ils vont bientôt avoir du renfort pour soutenir ce beau ventre !
- — Et si un jour je ne peux plus marcher ?
- — Mais je serai toujours là pour m’occuper de toi ! Et tu ne manqueras de rien car je me chargerai de te remplir jour et nuit ! Ça te fait envie, hein ma gourmande ?
- — Oui, on en reparlera… Allez viens maintenant, car j’ai très faim !