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n° 12775Fiche technique20300 caractères20300
Temps de lecture estimé : 12 mn
08/08/08
Résumé:  Sous le pseudonyme de « Liliane », madame fait une escapade coquine dans un club échangiste à l'insu de son mari. Va-t-elle y trouver son plaisir ?
Critères:  fh extracon inconnu intermast fellation cunnilingu préservati -totalsexe -boitenuit
Auteur : Arkelune            Envoi mini-message
Vendredi soir ou la vie coquine de Liliane

Vendredi soir. Officiellement, je suis sortie faire une soirée entre amies. Voilà deux heures que j’ai quitté mon foyer. Je me gare sur le parking familier. La lune est pleine ce soir… Je la contemple un moment, aspirant de longues bouffées d’air frais pour me détendre. Je suis toujours un peu stressée au début d’une escapade coquine.


Mes chaussures noires échancrées à talons hauts font crisser le gravier tandis que je me dirige vers l’entrée du bâtiment ancien. Sans un regard pour l’enseigne « Aux bonnes rencontres » illuminée par un vieux néon rose, je m’avance sur le perron. Je frappe quelques coups à l’aide d’une poignée en bronze savamment ciselée à l’effigie de Bacchus et une impressionnante porte en bois massif s’ouvre pour m’accueillir.



Je souris au gérant. Nous échangeons quelques banalités, puis l’homme d’âge mûr me donne les clés de mon vestiaire avant de retourner prendre place à l’accueil. « Liliane » : j’ai choisi ce surnom en souvenir d’une vieille amie du lycée qui m’impressionnait par sa témérité auprès des garçons.


Je traverse le hall d’entrée, orné de parures murales en taffetas rouge, avec ici et là quelques bustes de femmes nues en marbre qui semblent observer les visiteurs. Sur les marches d’un grand escalier sont disposées de nombreuses plantes exotiques, donnant un côté excentrique à la décoration des lieux.


Une fois dans les vestiaires, j’enlève mes vêtements de citadine pour faire glisser sur ma peau une courte robe en soie noire. Elle épouse parfaitement les contours de ma silhouette généreuse. Je me maquille devant un miroir à chevalet. Un rouge à lèvres couleur cerise pour souligner mes lèvres charnues. Un peu de fard pour rehausser l’éclat de mes pommettes. Rien sur les yeux… j’ai la chance d’avoir un « regard de biche aux cils fournis, éclairé par des pupilles vert émeraude hypnotisantes » d’après l’un de mes derniers amants. Une fois apprêtée, je me dirige vers la salle des réjouissances.


Je ne suis plus une mère attentive, ni l’épouse dévouée d’un célèbre designer, qui ignore d’ailleurs tout de mes sorties nocturnes du vendredi. Je suis Liliane, une trentenaire habituée à fréquenter ce petit club échangiste situé en pleine campagne, dont j’ai découvert l’existence grâce à Internet quelques années auparavant.


D’une démarche langoureuse, toute à ma féminité retrouvée le temps d’une soirée, je m’approche du bar. Olav, barman à la carrure impressionnante, est en train de concevoir ses élixirs colorés à grand renfort de mouvements rapides et précis. Il me sourit et me tend mon cocktail préféré sans que j’aie besoin de lui demander. Je le remercie d’un clin d’œil complice.


Posément installée sur mon tabouret haut, croisant et décroisant les jambes, j’observe la salle. Ma robe se retrousse parfois jusqu’à hauteur de mon sexe. Il y a là une dizaine de personnes esseulées en tenue de soirée. Certaines sont au bar, sirotant leur verre nerveusement, d’autres sont déjà installées dans les coins salons. La plupart semblent absorbées par l’architecture baroque de la salle, dont les murs illustrent les positions d’accouplement décrites dans le Kamasoutra à l’aide de nombreux tableaux. Toutes essaient de se donner bonne figure. C’est toujours comme cela au début d’une soirée.


Mon regard se porte sur le lit géant ovale qui trône au centre de la salle. Personne n’y a encore pris place… il est trop tôt. Je mordille ma paille. J’attends, moi aussi. Je songe avec nostalgie à la première fois que je suis venue ici. Que d’adrénaline, lorsque j’ai accepté l’intimité que me proposait mon premier amant ! Que de surprises aussi, je pensais que les gens qui venaient dans ce genre d’endroit avaient forcément un corps de rêve, comme on en voit dans les magazines. Or d’après mes constatations il y a là des personnes au physique très diversifié. L’âge moyen des libertins doit se situer entre trente et quarante ans. Parfois beaucoup plus. Les jeunes adultes sont plutôt rares. Les personnes seules aussi, et ce sont des hommes en majorité. Cela varie selon les différentes soirées à thème. J’ai ainsi eu l’occasion de participer à différentes ambiances, des soirées « solos » dans le jargon du club comme ce soir, aux moments « entre femmes », en passant par « bien en chair ». J’aime diversifier les plaisirs.


Quoiqu’il se passe, j’ai toujours su que le libertinage est avant tout basé sur le respect de l’autre, bien avant la recherche du plaisir charnel, quête qui ne se réalise pas toujours d’ailleurs. Les choses se font – ou pas - naturellement. Rien n’est imposé. Et la chance n’est pas en reste dans le choix de son ou de ses partenaires. Oh, il arrive parfois quelques incidents ; mais cela ne va jamais bien loin, le gérant veille à ce qu’aucun client ne soit importuné par des malotrus en rut. La réputation du club en dépend. Or elle peut se défaire si rapidement, le condamnant ainsi irrémédiablement par les rumeurs qui s’ensuivraient…


J’interromps ma pensée en voyant arriver une silhouette féline, tout de cuir vêtue. C’est Mya, « la Douce » pour les intimes. J’admire cette jolie jeune femme. Quelle grâce, quel naturel, lorsqu’elle prend place au centre du lit ovale ! Quel âge peut-elle avoir ? Vingt-cinq ans ? Guère plus. Son corps sculptural sans une once de graisse se meut avec beaucoup d’élégance. Tous les regards sont tournés vers elle. À peine installée, elle dénoue lentement les lanières de son bustier. Sa taille entravée par un étroit corset en cuir noir met en valeur une poitrine disproportionnée.


Certains clients iront bientôt la rejoindre sans se faire prier. Je parie sur l’homme aux longs cheveux accoudé au bar non loin. Il a l’air d’avoir vu un fantôme. La jeune femme libère d’un geste ses deux globes opulents de leur carcan de cuir. La blancheur nacrée de ses seins resplendit alors sous les néons tamisés. J’aperçois distinctement deux aréoles sombres, d’où émergent ses tétons érigés qu’elle caresse maintenant nonchalamment d’un air mutin.


Un inconnu m’arrache à cette contemplation.



J’adresse un sourire poli à l’homme qui vient de m’aborder. Nos regards se croisent, se soutiennent un instant. L’entente est instantanée. Je note au premier coup d’œil une allure virile et soignée. Des yeux bleu-gris qui me provoquent déjà une pointe de désir dans le bas-ventre. Si je me fie à ses cheveux qui grisonnent à peine, il doit avoir la trentaine comme moi, guère plus. J’essaye d’imaginer en me mordant la lèvre s’il est marié ou célibataire. Je décide d’en faire simplement un homme d’affaires marié qui n’aurait pas fait l’amour depuis plusieurs mois. À moi de le détendre. J’esquisse un léger sourire à cette idée.


J’aime mettre au point toutes sortes de scénarios lors de mes sorties coquines. Je suis multiple, à l’image de mes amants. Une fois féline, une fois câline… Sera-t-il tendre ou sauvage, prévenant ou égoïste ? À chaque nouveau partenaire, j’ai ce pic d’adrénaline au creux du ventre qui me comble toujours de plaisir.


J’accepte poliment la cigarette qu’il me tend.



Les banalités d’usage prennent fin. Il me donne son surnom :



Son regard se pose sur mes fesses charnues tandis que nous nous dirigeons vers les suites à thème. La chambre « vol marin » reproduisant l’ambiance d’une cabine de bateau est libre. Je m’y engouffre, et Mikal ferme la porte à clé. Nous ne souhaitons pas avoir de témoins indiscrets.


Une fois seuls, il saisit ma main pour y apposer un doux baiser et je plonge à nouveau mon regard dans ses pupilles grises.



Je ne lui réponds pas, pour ne pas gâcher l’instant. J’aurais probablement balbutié quelque chose comme « Merci, mais je n’y suis pour rien ». Je n’ai jamais su quoi répondre quand quelqu’un me complimente sur mon physique.


Il déboutonne sa chemise blanche, puis baisse la lumière, nous plongeant dans une semi pénombre. Je me laisse conduire vers le lit, et m’y assois le buste droit, un peu intimidée. Mikal m’invite à m’allonger auprès de lui. Je me love entre ses bras puissants, respirant son parfum suave, tandis qu’il caresse ma longue chevelure.

Pendant de longues minutes, je laisse courir mes doigts sur son torse. Sa respiration se fait plus régulière.


S’il est un raffinement que j’apprécie tout particulièrement lors de mes escapades coquines, c’est de prendre mon temps. Les caresses du bout des doigts peuvent être très relaxantes pour qui a la patience de les accueillir comme il se doit. C’est le moment que je préfère… quand la découverte de l’autre entraîne l’esprit dans un brouillard de sensations intemporelles, à la fois sereines et excitantes. La réalité s’éloigne, au profit du rêve éveillé où seules comptent les notions d’échange et de sensualité.


Je n’ose pas interrompre ces caresses légères. C’est lui qui en prend l’initiative, posant sa main sur mon épaule. Je frémis tandis qu’il descend plus bas, atteignant le haut de ma robe satinée. Son regard se pose sur ma poitrine qu’on devine pleine et tendue. Voit-il que je ne porte pas de soutien-gorge ? Mon souffle se fait plus rapide tandis qu’il fait glisser les bretelles sur mes épaules nues.


Faisant fi de l’excitation qui me gagne inexorablement, je le laisse me caresser longuement à travers la fine étoffe. Sentir ses doigts esquisser le contour de mes seins me plonge dans un état second. Il tourne à présent lentement autour de mes mamelons, sans jamais s’arrêter sur mes pointes érigées. Puis d’un coup sec, il baisse le haut de ma robe, me découvrant jusqu’au nombril. Mes seins blancs laiteux gonflés par l’excitation semblent le fasciner. Il les contemple un long moment avant de s’en approcher doucement. Son souffle tiède me fait frissonner, j’ai les nerfs à fleur de peau.


Au premier coup de langue sur mon téton durci, ma bouche se crispe de plaisir. Le voilà qui commence à me téter avec vigueur. Je suis bientôt emportée dans un tourbillon de sensations rythmées par l’intensité de ces caresses, tantôt douces, tantôt fermes, alors qu’il fait rouler mes pointes avec habileté ou qu’il les titille comme un jeune chiot. Je pousse sa tête en direction de mon ventre malgré moi. Il cherche mon regard. Nos yeux complices se croisent. Ses baisers quittent ma poitrine, pour descendre lentement vers mon nombril qu’il effleure du menton. Ma robe gêne sa progression.



J’exécute son ordre, me contorsionnant pour faire rouler le fin tissu à mes pieds, lui faisant découvrir brutalement que je ne porte pas de culotte. C’est presque sauvagement qu’il me retourne sur le dos. Tremblante, je ferme les yeux. Il appose de légers baisers sur mes jambes aux courbes généreuses, caresse l’extérieur de mes cuisses, avant de les écarter sans plus de manières.


Le voilà qui observe l’intimité que je lui livre sans pudeur. Plus il me regarde, et plus je sens l’humidité gagner mon antre secret. Quand va-t-il me caresser ? Tout en exhalant un long soupir, je penche la tête en arrière, laissant tomber lascivement mes jambes sur les côtés dans une position non équivoque. Son souffle irradie soudainement mon bas-ventre. Est-ce sa langue qui vient de se poser sur le bouton de ma fleur, tel un papillon léger ? Alors que je tends le bassin à l’encontre de ce premier contact, il en profite pour mettre ses mains sous mes fesses, puis plonge sur mon centre névralgique.


Je pousse un cri malgré moi. Sa langue mutine parcourt ma chatte de bas en haut, se faisant plus pointue à l’approche de mon clitoris gorgé d’excitation, sur lequel il s’attarde parfois quelques instants en alternant les suçotements et les petits pincements sadiques. Haletante, je me tortille sous ses caresses tout en feulant sourdement. S’il continue ainsi, je ne vais plus pouvoir retenir les ondes de désir qui commencent à me submerger par à-coups. Je repousse sa tête avec regret, pensant à la bosse énorme qui déforme son pantalon et dans lequel il doit être plus qu’à l’étroit maintenant. J’aime aussi partager les plaisirs.


Joignant le geste à la pensée, je me rue sur lui pour défaire sa ceinture et entreprendre de le déboutonner. Il me jette un coup d’œil amusé tandis que je bataille avec un bouton récalcitrant, et finit par m’aider. Nous nous allongeons côte à côte. Il m’observe, les yeux mi-clos, me confiant son intimité de la même façon que je lui ai offert la mienne tandis que je libère sa verge épaisse avec douceur.


C’est avec gourmandise que j’entreprends de le faire gémir, frôlant son membre du bout des doigts, partant de la base des testicules pour finalement venir lentement caresser son gland gonflé que je découvre avec envie. Je m’attarde parfois sur son frein, que je titille doucement du bout de l’ongle. Il pousse un râle sourd tandis que j’étale sur son extrémité les gouttes de plaisir qu’il commence à m’offrir. Son membre tressaute comme un petit animal impétueux sous mes caresses légères.



J’obtempère docilement. Je darde d’abord quelques petits coups de langue sur le bout de sa verge. Son bassin se tend tandis qu’il essaye vainement de pénétrer ma bouche, mais je descends plus bas, prenant le temps de lécher son membre sur toute sa longueur, retardant ainsi avec sadisme le moment qu’il attend le plus. Je me décide enfin à l’engloutir subitement, enserrant fermement son gland entre mes lèvres pulpeuses pour le faire doucement coulisser. Ma langue s’agite frénétiquement sur son intimité emprisonnée.


Posant sa main sur ma tête, Mikal entame un mouvement de va-et-vient. À chaque aller-retour, je fais de mon mieux pour faire glisser son sexe le plus fermement possible en m’aidant d’une main, l’autre étant descendue plus bas sur mon déclencheur de plaisir. Je me caresse au même rythme que ses mouvements. Je sens soudain aux palpitations de sa verge tendue à l’extrême qu’il arrive au bout de notre voyage onirique. J’interrompe alors ma fellation. Haletant, il m’observe d’un air interrogatif.



Aussitôt dit, presque fait… Après avoir posé un préservatif, il m’attire contre lui et nous roulons sur le lit dans une tendre étreinte. Son torse viril se penche sur mes seins, nos bas-ventres se joignent. Plaçant ma main entre nos deux intimités, je me sers de la sienne pour masser mon bourgeon tendu, avant de la faire plonger dans ma grotte humide. Je mouille tellement qu’il n’a aucune difficulté pour s’enfouir du premier coup. Je remonte alors mes jambes pour enserrer sa taille fermement. Nous savourons cet instant de communion extrême, n’osant plus bouger.


C’est moi qui en prends finalement l’initiative, le dos cambré j’amène mon bassin plus près du sien, puis le recule lentement, faisant coulisser son membre dans mon fourreau de miel tandis qu’il emprisonne mon sein d’une main, et embrasse l’autre goulûment. Je vais maintenant au-devant de ses coups de reins qui se font plus rythmés, plus puissants. Chaque va-et-vient nous rapproche de l’extase. Je ne suis plus qu’un spirituellement et physiquement avec Mikal qui me pilonne à présent comme si sa vie en dépendait. J’aimerais que ce moment soit éternel. J’enfonce mes ongles dans la peau tendre de son dos. Ma main glisse en direction de mon clitoris, que je ne peux m’empêcher de titiller pour décupler mes sensations, bien qu’écartelée sous les puissants coups de boutoir de mon bel inconnu. Je lui chuchote entre deux gémissements :



Il se plante en moi d’un ultime coup de reins, déclenchant mon extase simultanément. Je me caresse alors frénétiquement, tandis que son phallus tressaute sous les puissantes expulsions de sa semence vitale, faisant vibrer ma gaine mouillée avec harmonie. Nous sommes tendus à l’unisson, le corps parcouru de soubresauts, les yeux révulsés par le point culminant de notre ode physique.


Une fois la tornade sensorielle passée, nous retombons sur le lit, comme épuisés. Nos corps se séparent et la réalité refait surface peu à peu.



Je lui souris tendrement. Il me baise la main. Je me sens bien. Heureuse et comblée par ces joies simples que m’offre la vie. Je me lève, passe dans la salle d’eau pour prendre une douche, et me rhabille en prenant tout mon temps. Mikal m’observe enfiler mon vieux jean et mon pull sans mot dire.



Nous échangeons un regard complice, et sans un mot, je m’éclipse de la suite « Vol Marin » la tête haute, le cœur léger, et le sexe apaisé.


Lorsque je repasse par la grande salle, je constate que l’activité bat son plein ; de nouvelles personnes sont arrivées, plusieurs couples sont en plein accouplement sur le grand lit. En ce qui me concerne, je n’ai plus d’énergie… je n’ai qu’une hâte, c’est de rentrer chez moi pour retrouver mon mari, mon enfant, mon foyer.


Je reste tout de même quelques minutes à observer les ébats d’un jeune couple, mettant un petit moment à reconnaître Mya qui, la jupe retroussée jusqu’aux hanches, se fait prendre vigoureusement par l’inconnu que j’avais repéré au bar tout à l’heure. Celui-ci ahane au-dessus d’elle comme une bête. À leur côté, un homme d’âge mur se masturbe frénétiquement. J’arrive à la fin du spectacle. Celui-ci essaye de se rapprocher de la bouche de la jeune femme pour l’explosion finale, mais celle-ci semble trop occupée par son propre plaisir. L’homme répand soudainement sa semence dans son préservatif en exhalant un long cri sauvage, suivi peu après par les deux libertins qui s’arc-boutent sous l’effet de la jouissance.


Il est temps de rentrer… Je salue le gérant et disparais dans la nuit, l’esprit aussi léger qu’une plume.


Alors que je m’étire au petit matin dans le lit conjugal, je croise le regard de mon mari qui s’éveille à mes cotés.



Il n’insiste pas, et me tourne le dos. Il n’insiste jamais. J’ai cru voir pendant une seconde une lueur étrange dans son regard. Se doute-t-il de quelque chose ? Je veux rester à ses yeux une mère de famille et une épouse tel qu’il les idéalise, rôles que je m’efforce d’accomplir au mieux. Un jour peut-être, je lui révèlerai cette facette de moi qu’il ignore… Mais pour le moment il n’est pas prêt. Mieux vaut qu’il ne sache rien de la vie de Liliane.