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n° 12776Fiche technique10394 caractères10394
Temps de lecture estimé : 7 mn
08/08/08
Résumé:  Homme travesti, féminisé par deux femmes.
Critères:  ffh magasin essayage hsoumis lingerie hféminisé travesti hmast init -hff -fhomo -hsoumisaf
Auteur : Mlle_Julie      
Le magasin de lingerie

J’entrai dans ce magasin de lingerie qui hantait mes nuits depuis déjà quelques semaines.


J’avais remarqué ce magasin en passant devant par hasard. La vitrine était discrète, mais très, très alléchante : guêpières, nuisettes, bas… et il y avait ce petit panneau "Grandes tailles" qui me faisait envie. J’étais passé devant ce magasin des centaines de fois, regardant avec convoitise la vitrine, mais je n’avais jamais eu le cran de rentrer.


Il était 18 h 50, le magasin fermait dans dix minutes, il ne semblait y avoir personne.


La vendeuse – la patronne ? – m’accueillit avec un grand sourire très commercial.


– Puis-je vous aider, monsieur ?

– Euh… oui… bafouillai-je en regardant cette très belle femme dans la quarantaine, en tailleur gris et escarpins aux talons fins. Eh bien… j’ai remarqué cette charmante nuisette de marque Aubade, celle qui est en vitrine.

– Bien sûr. Quelle taille fait votre femme?

– En fait, ne me prenez pas pour un fou, mais…

– C’est pour vous, n’est-ce pas ? Ne vous inquiétez pas, vous n’êtes pas le seul homme à aimer porter de la lingerie de femme. Allez, je ferme dans cinq minutes… Vous voulez essayer ?


J’étais totalement sous le choc, non seulement je ne me faisais pas jeter dehors comme un malpropre, mais en plus on me proposait d’essayer ! Totalement abasourdi, je ne pus que bafouiller un « euh… oui… d’accord. »


Elle ferma le magasin, et alla chercher dans sa réserve la nuisette que je désirais acheter.


– Déshabillez-vous dans la cabine, je reviens de suite…


Je me déshabillai alors, me retrouvant torse nu. Elle ouvrit le rideau et me tendit la nuisette.


– Eh bien voilà, elle vous va à merveille. J’ai le string et le boxer coordonnés. Vous voulez essayer également ?


J’étais en plein rêve. Elle revint en me donnant le boxer en dentelle.


– Je ne suis pas en état pour le mettre, dis-je avec le sourire en essayant de cacher du mieux possible mon érection due à la situation que j’avais tant fantasmée.


Elle ouvrit alors complètement le rideau et je vis qu’elle n’était pas seule. Une superbe jeune femme brune était avec elle, et elles me souriaient toutes les deux.


– Ne t’avais-je pas dit, ma chérie, qu’on avait une poupée ce soir ?


Poupée ! Humilié, mais aussi terriblement excité… j’allais être une poupée dans les mains de deux superbes femmes qui n’avaient pas l’air d’avoir froid aux yeux.



J’étais totalement anesthésié, j’étais en nuisette, dans un magasin de lingerie et je subissais un interrogatoire me demandant, comme ça, de but en blanc, d’exprimer mes fantasmes, alors que je ne m’en étais jamais ouvert à personne… Je balbutiai que « oui, ça fait des années que j’aime et que je porte de temps en temps de la lingerie, que mon fantasme "ultime" serait de me travestir complètement, mais que je n’ai pas le physique, ni le courage, de franchir le pas… »



Et en répondant ces trois mots, je me sentis soudain comme soumis à cette superbe femme… comme si un poids s’était enlevé de moi…



Toutes ! Elle a parlé de moi au féminin et même si c’est mon rêve, ça fait bizarre d’entendre cela pour la première fois pour soi.

Je payai donc ma nuisette, et me retrouvai dans la rue, seul et totalement vidé… Dans 24 heures, j’allais vivre mon fantasme…..


Une fois rentré chez moi, je m’affalai sur le canapé, encore groggy par l’aventure que je venais de vivre. Je mangeai très légèrement et je passai dans la salle de bain pour y prendre une douche bienfaitrice. Une fois séché, j’enfilai la nuisette que je venais d’acheter ce qui déclencha immédiatement une érection. Je décidai de me coucher et je me caressai longuement jusqu’à l’éjaculation.

Je rêvais déjà au week-end que j’allais passer. Allais-je réellement accepter de passer le cap, c’était mon fantasme, mais étais-je prêt à vivre cette expérience…


Je m’endormis sur ces interrogations. Mon sommeil fut agité comme rarement, j’étais travesti et mes nouvelles amies me rendaient complètement soumis, j’étais sodomisé, attaché, bref, un éventail de tous mes fantasmes de travestis… J’en étais là, quand le réveil remplit sa fonction première.


La journée au bureau me sembla encore plus longue que d’habitude. Je ne pus rien avaler le midi, un mélange d’excitation et d’appréhension me tenaillait le ventre… Une fois rentré chez moi, je pris une douche et décidai d’enfiler mon plus beau shorty, et comme demandé par Chantal, j’emmenai ma nouvelle nuisette.


J’entrai dans le magasin, et là, panique totale ! Non seulement j’étais en retard, mais dans le magasin il y avait un couple. L’homme était devant la cabine d’essayage et commentait avec sa femme, la (superbe) guêpière qu’elle essayait… Comment Chantal et Hélène allaient-elle m’accueillir ? J’en étais là, quand Chantal arriva et s’exclama :



Et de me claquer une bise sur la joue en me souhaitant la bienvenue et en me demandant si j’avais passé un bon voyage ! Je souris intérieurement en pensant à mon dur voyage de la rue d’à côté…



Le couple présent paya ses emplettes, la guêpière et un string coordonnés ainsi qu’une paire de bas… et s’en alla. Vu la tête de l’homme, ils allaient passer un bon week-end…


Hélène ferma le magasin derrière eux et tomba le rideau métallique. Nous voilà seuls tous les trois…



Je commençai alors à me dévêtir, je ne savais pas si j’étais humilié ou excité… Je me retrouvai rapidement en shorty, une bosse le déformant….



Et comment que j’avais compris ! Le programme m’excitait tellement que rien que d’y penser j’avais peur de le souiller, mon shorty…

Hélène revint de la réserve les bras chargés d’un tas de lingerie.



Cinq minutes plus tard, j’avais le souffle coupé, tellement le corset me serrait. Je n’osais même plus respirer, mais effectivement, j’avais une silhouette plus féminine.

Hélène me tendit des bas auto-fixant que je mis en faisant bien attention à ne pas les filer, puis Chantal décréta que Julie était prête à monter dans l’appartement…


Je me retrouvai donc en bas, avec un corset blanc ainsi qu’un shorty, au bas d’un escalier qui montait vers l’appartement où je m’apprêtais à vivre un week-end de folie…

Enfin, je l’espérais…