n° 12788 | Fiche technique | 23950 caractères | 23950Temps de lecture estimé : 14 mn | 18/08/08 |
Résumé: Un quinquagénaire, récemment libéré des contraintes conjugales, trouve quelques compensations sexuelles au prix de transactions peu glorieuses pour son égo ! | ||||
Critères: fh fplusag extracon grosseins groscul poilu(e)s lunettes campagne fête collection lingerie odeurs fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio fdanus fsodo humour -humour -occasion | ||||
Auteur : XXL (Transactions et fornication) |
Rien n’allait mal. Mon épouse avait décidé de prendre un congé conjugal sabbatique. Elle désirait vivre autre chose, après trente ans de mariage… Grand bien lui fasse !
Il était dix heures, j’arrêtai la voiture sur un parking de l’autoroute qui me ramenait des magasins d’usine de Troyes, pour une pause cigarette suivie d’un café serré. J’avais enfin déniché, pour honorer une invitation à un mariage, une veste sport en jean, mais NewMan quand même. Il ne me restait que cinquante bornes avant de retrouver ma maison vide, et les messages du répondeur téléphonique que j’appréhendais…
Désabusé, je jetai mon mégot dans le gazon et constatai que je n’étais pas le seul dans la guigne. Un break allemand, plus tout jeune, inoccupé, le capot levé, finissait de vomir un nuage de vapeur d’eau bouillante. Je sirotais mon café, assis à une table de la cafétéria, quand une bonne femme, la soixantaine, en ensemble tailleur abricot, enserrant un petit chien dans ses bras, traversa la salle, tout sourire, pour venir m’aborder.
Perplexe, je regardais cette dame qui connaissait mon prénom mais que, au premier abord (et même au deuxième) je n’arrivais pas du tout à me remémorer. Ses cheveux mi-longs étaient coiffés en arrière, alliant de voluptueuses ondulations blondes avec des mèches châtain-roux. Les revers de la veste abricot étaient noirs, et le vêtement s’évasait en corolle vers la taille, comme pour dissimuler des hanches larges. La jupe, assez courte, collait à ses cuisses puissantes en laissant échapper les jambes, gainées de noir, aux chevilles pourtant fines, mises en valeur par des talons très hauts. Elle se rendit compte, devant mon air niais, que je ne la reconnaissais pas.
Effectivement, cette jeune retraitée était devenue ma copine de piscine. Elle était d’une bonne humeur inaltérable et, entre quelques longueurs de bassin, on faisait une pause détente et papotage. Sa poitrine, pas énorme mais lourde, semblait encore bien se tenir dans son maillot de bain noir. Comme je pratiquais la brasse coulée, je prenais plaisir à reluquer, sous l’eau, son gros cul rebondi. Je synchronisais quelquefois ma plongée pour que, derrière elle, ses cuisses puissantes s’ouvrent et dévoilent la courbe de son pubis et la trace de sa fente, parfaitement moulée dans le tissu synthétique en extension. Curieusement, je n’avais jamais eu honte de mon voyeurisme aquatique.
Sous prétexte que le corps médical lui interdisait tout effort, son salaud de mari me fit transborder seul ses valises et ses caisses de champagne vers ma voiture. Sylvette lui fit remarquer que son mini-infarctus avait bon dos mais Monsieur resta aussi impassible qu’inactif. Bien que ma Mégane n’ait que deux portes, Sylvette tint absolument à s’installer sur la banquette arrière, pour surveiller son petit chien, assez espiègle.
On ne roulait que depuis trois minutes mais Sylvette tint absolument à s’excuser de l’attitude de son mari. Depuis deux ans, il profitait de son petit accident cardiaque pour ne plus rien faire à la maison. Ses seules activités se résumaient à la lecture de l’Équipe et aux matchs de foot sur Canal. À part ça, il ne voulait plus tondre la pelouse ; un gros tas de gravillons blancs attendait depuis deux ans son bon vouloir alors que les allées du jardin se creusaient d’ornières profondes. Bref, il refusait tout effort violent et, rajouta t-elle :
Sylvette changea vite de sujet de conversation. Vers onze heures, j’immobilisai la Mégane société devant la maison de ma passagère. Je venais de basculer mon dossier. Visiblement, Sylvette avait un problème. La jupe moulante venait d’émettre un mini-craquement de protestation. Sylvette sourit pour se donner une contenance, mais le sourire était crispé.
Voilà donc Sylvette, un peu humiliée, en train de remonter sa jupe à mi-cuisses et soulever son postérieur de la banquette en s’accrochant au siège passager. C’est le moment que choisit le petit chien pour s’échapper de ses bras, avec sa laisse dont la boucle s’accrocha au talon pointu du bottillon. Retour à l’envoyeur pour mon infortunée passagère. Affalée sur le bord de la banquette, la jupe remontée jusqu’à la taille, les jambes ouvertes pour essayer de rétablir un équilibre précaire, Sylvette insultait son petit chien étonné de la catastrophe dont il était responsable. La petite culotte, exposée au grand jour, était presque coquine : deux étroites bandes de dentelle noire encerclaient les cuisses et détonnaient presque avec la couleur jaune citron qui dominait la lingerie. Le tissu fin était constitué d’un maillage ajouré recouvert par endroits de motifs floraux brodés en relief.
Comme le ton employé par Sylvette était goguenard, je me permis de la complimenter sur sa lingerie coquine, en exprimant mon regret qu’aucun industriel n’ait eu l’idée de fabriquer des maillots de bain féminins du même genre. Elle rigola et m’expliqua qu’elle avait acheté cette petite culotte aguichante pour raviver les ardeurs de son mari, mais que non seulement cela n’avait eu aucun effet mais qu’en plus, Monsieur avait trouvé la lingerie très vulgaire et indigne d’une femme respectable !
Installé dans leur véranda qui s’ouvrait sur un jardin ensoleillé, après avoir déchargé la voiture, mon hôtesse m’apporta un rafraîchissement bien mérité. Elle s’était débarrassée de la veste de son ensemble abricot, et son chemisier sans manches dévoilait une pilosité discrète aux aisselles. Avec beaucoup de diplomatie et de sourires affables, elle essaya de me persuader de l’aider à sortir ses volumineuses plantes méditerranéennes sur la terrasse, pour qu’elles profitent de la lumière, et des averses prévues dans la nuit. D’après elle, il n’y en avait que pour un gros quart d’heure, à deux, à déplacer les massifs sur le petit muret bordant la terrasse. Les poteries qui hébergeaient citronnier, laurier rose, olivier nain et une quinzaine d’autres plantes étaient trop volumineuses pour elle. Son mari refuserait de l’aider et son fils ne viendrait lui rendre visite que dans deux mois. Elle avoua profiter de la situation mais elle était persuadée que j’étais un garçon charmant, serviable, etc.
Bien entendu, le petit service dura trois quarts d’heure ! Je dus tomber la chemise tant je transpirais à déplacer ces lourdes poteries gorgées de terre. Sylvette, le buste incliné, remplissait deux verres de jus d’orange frais pendant que je m’épongeais le torse en imaginant sa belle croupe tendue, dépourvue de toute entrave vestimentaire. Je n’en suis toujours pas revenu d’avoir osé lui dire :
Très sûre de gagner son défi, Sylvette sirotait la boisson fraîche en me narguant de son regard, amusée de mon embarras.
Un tantinet interloquée quand même, Sylvette, beau joueur, éclata de rire.
Elle cogitait visiblement une réplique assassine quand on entendit le voisin siffloter en posant son échelle sur le mur de séparation.
Complètement paniquée, elle se réfugia derrière le muret et la poterie qui contenait le laurier rose. Elle m’intima l’ordre de me planquer, craignant certainement que le voisin ne s’interroge sur la présence d’un homme torse nu à ses côtés. Assis sur le carrelage, adossé au muret, j’attendais donc la fin de la conversation avec ce brave homme qui expliquait qu’il avait décidé de couper le haut du massif de bambous. Sylvette trouvait que c’était une bonne idée, vu que les branchages faisaient de l’ombre à ses plantes.
Un peu humilié de ma position, l’idée me vint de déstabiliser mon hôtesse qui continuait à pérorer, ignorant royalement ma présence. Je posai une main sur le genou et j’entrepris lentement une progression en hauteur, sous la jupe, par l’intérieur de la cuisse. Je venais de quitter la limite du bas et m’aventurais sur la chair nue. Ma main était maintenant en lutte avec celle de Sylvette, qui manifestement ne voulait pas que j’explore le fin textile jaune de la petite culotte. Elle me chassa trois fois, je revins quatre fois. Elle essaya bien de m’empêcher de tirer la lingerie vers le bas, mais comme on frisait le déchirement du tissu, elle me laissa, très irritée, lui baisser le slip à mi-cuisse. Le minou était joufflu, la toison abondante, frisée et vagabonde.
J’ai cru que ça tournait mal pour moi quand, le jardinier disparu :
Elle rajusta sa culotte, rabaissa sa jupe en la lissant et, alors que je me relevais, un peu honteux, elle me fixa droit dans les yeux pour me tenir des propos étranges :
J’exigeai d’être payé d’avance car je me méfiais. Elle accepta car je lui dis que ce n’était pas négociable. Elle me fit jurer sur la tête de mes enfants de tenir ma promesse.
Au pied des marches qui menaient à la chambre d’amis, Sylvette me gronda d’avoir fripé sa jupe et d’avoir presque distendu son slip. Alors qu’elle se débarrassait de la jupe pour la ranger soigneusement sur le dossier d’une chaise, je pris la liberté de lui ôter sa culotte par surprise. À ma grande surprise, Sylvette ne râla pas. Elle me sourit coquinement en gravissant quelques marches et se retourna, étonnée, car je ne la suivais pas dans l’escalier. Elle comprit que j’étais en train de me rincer l’œil avec une vue imprenable, en contre-plongée, sur sa moule dodue qui émergeait d’entre ses cuisses. Espiègle, la coquine reprit lentement sa montée et, sur l’avant-dernière marche, elle s’arrêta. Mon hôtesse, de dos, sans aucune pudeur, inclina le buste en montant seulement son pied droit sur la dernière marche, et m’ouvrit complètement sa croupe en écartant les jambes. La meilleure de la matinée, c’est qu’elle osa me dire que j’étais un gros cochon quand elle sentit mes mains lui écarter les fesses. La raie velue était savoureuse et le trou du cul, vieux rose, exhalait un parfum délicat au jasmin. Elle poussa juste un « Ohhh ! » faussement étonné quand ma langue abandonna son anus et que mon index poilu s’agita lentement dans le petit orifice.
Allongée sur le ventre, sur le lit de la chambre d’amis, Sylvette se laissait caresser en émettant des petits gémissements. Elle se retourna, ferma les yeux, et elle en redemanda côté pile. Agenouillé, nu à ses côtés, je lui dispensais des tonnes de bisous sur tout le corps pendant que mes mains pétrissaient sa poitrine aux aréoles boutonneuses. Reconnaissante, elle s’occupa de moi en me positionnant sur le dos et en m’interdisant tout mouvement. Sa petite main emprisonnait mon sexe pendant que sa langue me léchait les tétons. Presque timidement, elle commença à me lécher le pénis puis les testicules. À genoux à mes côtés, Sylvette me fit face et me regarda droit dans les yeux quand elle avala ma queue et se mit à la sucer. Par instants, elle la gardait dans la bouche et observait attentivement mon visage, les joues gonflées et les lèvres humides. Quand elle constata que la raideur de mon phallus était suffisante, le plus naturellement du monde, Sylvette se leva sur le lit et elle s’accroupit, de dos, les jambes béantes au-dessus de mon visage.
Elle en redemandait, la bougresse, et pas qu’un peu !
Le bouquet final fut presque banal. Sylvette exprima le désir, comme nos analyses sanguines étaient vierges, de s’abstenir de l’usage d’un préservatif. Elle n’avait pas été honorée par son époux depuis belle lurette, elle voulait donc sentir la chair fraîche et vivante la pénétrer et le liquide tiède lui envahir le vagin. Je ne pense pas qu’elle eut un orgasme, mais elle fut très satisfaite de ma prestation. En fait, j’étais conscient d’avoir été le dindon de la farce : Sylvette aurait le beurre, l’argent du beurre et le fermier…
Il ne me restait plus que deux brouettes de gravillons à étaler. Sylvette, qui m’observait en peignoir, se montra enchantée du résultat des travaux. Il me fallut négocier fermement les dernières pelletées pour que j’obtienne le privilège d’assister à un pipi inattendu et pressant de ma copine. Sylvette seulement vêtue de ses bas, debout dans la pelouse, bien campée sur ses jambes fléchies, libéra sa vessie, sans état d’âme…La cascade limpide semblait jaillir de l’épaisse toison brune, elle s’épanouissait en arc de cercle, irisée par le soleil, et elle rebondissait en gouttelettes sur l’herbe rase.
Sylvette me fit comprendre qu’on continuerait à se voir à la piscine, mais qu’elle ne tenait pas du tout à ce que des relations plus intimes s’établissent. Quid de son égarement passager ? Message reçu cinq sur cinq, chère Madame. Elle eut quand même l’amabilité de me donner les coordonnées de sa couturière, qu’elle préviendrait de ma venue : les manches de ma veste en jean étaient trop longues et le mariage était proche.
Le lendemain matin, je me précipitai donc chez la couturière. Sylvette m’avait expliqué que cette brave dame était veuve et qu’elle bossait au noir pour compléter sa maigre retraite. Une dame de grande taille m’accueillit, dans un tablier de travail assez informe. Derrière ses grosses lunettes rectangulaires, son regard me détailla brièvement de la tête aux pieds. Ses cheveux étaient lisses, courts et teintés d’un blanc encrier, uniforme. Je lui donnais soixante-cinq ans, peut-être plus même. Ce qui me surprit le plus c’est que son tablier de travail, qui avait connu des jours meilleurs, contrastait énormément avec son maquillage soigné, avec son parfum puissant de chèvrefeuille, et aussi avec une paire de bottines lacées d’un noir étincelant. En fait, je me suis dit qu’elle s’apprêtait à partir faire les courses.
La couturière, très professionnelle, me fit essayer la veste, repéra à la craie la longueur, retourna la manche pour observer les coutures… Bref, elle m’assura que cela ne posait aucun problème technique mais… elle était débordée de travail et, bien que Sylvette m’ait recommandé, elle ne me promettait pas d’être dans les temps !
La dame enleva ses lunettes et un sourire énigmatique se dessina sur ses lèvres rouge sang.
Plus rien me m’étonnait mais je mis bien une grosse minute avant de retrouver ma sérénité.
La couturière déboutonna calmement son tablier et le jeta sur sa table de travail. Elle ne portait qu’une culotte fuchsia, échancrée, aux bords flottants de dentelle blanche. Une cicatrice balafrait la petite surcharge pondérale qui débordait du slip et allait mourir vers le nombril. Ses longues mains s’emparèrent de son énorme paire de nichons pour me les présenter en offrande.
J’ai encore en mémoire l’image de cette plantureuse mamie, à quatre pattes dans la longueur du divan. Moi, j’étais debout, collé à l’accoudoir, les mains accrochées à ses nichons, et elle me suçant le phallus lentement, avec application et méthode… Elle venait de m’enfiler un préservatif et, assez crûment, elle me fit comprendre que ça ne la dérangeait pas du tout que je passe par l’entrée de service. Comme ma chère épouse avait toujours refusé cette pratique, j’acceptai, à condition qu’elle m’initiât… Visiblement, elle avait de l’expérience car, après s’être lubrifiée le trou du cul, elle me fit asseoir sur une chaise. La queue bien raide tendue vers le plafond, je ne fus que spectateur. La couturière, debout et à califourchon, s’enfila elle-même sur mon sexe. Elle ferma les yeux et imprima à ses hanches un frénétique mouvement de va-et-vient, laissant virevolter ses grosses mamelles dans l’espace.
Le raccourcissement des manches de ma veste me coûta quand même soixante euros : « On ne mélange pas les affaires et le plaisir… » énonça-t-elle en me raccompagnant. Ce ne fut que le matin du mariage, à la piscine, que Sylvette m’apprit que les gens de son village appelaient la couturière « la tirelire » : jambes ouvertes, à condition de mettre une grosse pièce dans la fente.
En fait, je n’avais jamais trompé mon épouse. Le boulot, les enfants, les problèmes de pognon, les ennuis de santé des parents, avaient accaparé ma vitalité. Mes rêves érotiques compensaient la routine du mariage. Je crois bien que, dans ces digressions nocturnes, l’opulente et jeune employée de la poste m’avait supplié de la sodomiser une bonne dizaine de fois. Pour une fois que je passais du rêve à la réalité, j’étais servi ! Malgré ces deux expériences humiliantes pour mon ego, je me refusais à virer à la misogynie.
Je m’ennuyais ferme au mariage, avec ma splendide veste en jean bleu. J’avais un peu sympathisé avec mon voisin car lui non plus ne dansait pas. Et pour cause, il avait une canne et devait friser les soixante-dix ans. De fil en aiguille on en vint à parler vacances. Je fus bien obligé de lui avouer que, avec la contribution que mon épouse me demandait pour me laisser la maison, j’étais un peu juste financièrement parlant, ces temps-ci.
C’est à ce moment-là que son épouse, en nage, vint déposer sa veste blanche pour repartir sur la piste, dans un groupe qui gesticulait frénétiquement. Sa femme devait avoir à peu près mon âge. Elle paraissait, disons dodue, certainement à cause de sa petite taille, d’ailleurs. La pauvre était aussi affligée d’un nez proéminent et busqué.
Sur la piste de danse, elle se donnait à fond. Son pantalon sarouel blanc, éclairé par les UV des spots, ne dissimulait plus du tout le triangle étroit d’un string qui naissait au bas du dos pour se transformer en ficelle entre ses fesses, assez plates d’ailleurs.
J’étais sur le point d’accepter la transaction, petit sacrifice… pour les vacances. Le vieil homme crut bon d’anticiper ma réponse ! Dès que son épouse, un peu pompette, regagna sa chaise pour avaler une nouvelle coupe de champagne, il me désigna comme partenaire éphémère de la nuit.