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Temps de lecture estimé : 15 mn
18/08/08
corrigé 01/06/21
Résumé:  C'est l'anniversaire d'Eloïse ; il faut lui trouver des idées de cadeaux...
Critères:  ffh fbi sexshop fellation fgode pénétratio jouet théatre humour -humour -théâtre -couplea3
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Série : Roméo et Juliette - L'anniversaire d'Eloïse

Chapitre 01 / 03
Roméo et Juliette - L'anniversaire d'Eloïse - Acte I

Les personnages :


Juliette


Cassandra: la meilleure amie de Juliette

Roméo


Éloïse : la meilleure amie de Roméo


Siriac : le meilleur ami de Roméo et le petit ami de Cassandra






Roméo & Juliette


L’anniversaire d’Éloïse



Acte I, scène 1


Vendredi, 15h50


Un salon


(Juliette)



(Juliette est assise sur un fauteuil, une tasse de café fumant à la main et un téléphone dans l’autre main.)


Juliette : Roméo ? … Oui, bon, je crois que j’ai enfin trouvé une idée pour l’anniversaire d’Éloïse. … Non, je te dis pas, c’est une surprise. … Je vais aller l’acheter tout à l’heure avec Cassandra. … Et toi ? T’as trouvé ? … Oui, c’est impeccable. … On se retrouve ce soir à la maison ? … Bisous. … Je t’aime !


(Elle raccroche et appuie quelques autres touches. Un silence. Elle boit un peu de café.)


Juliette : Allô, Cassandra ? … Ça y est, j’ai trouvé. C’est un truc à la con, mais telle que je la connais, ça va lui plaire. … Ben tu verras. … Je passe te prendre à six heures et on y va ensemble ? … À tout à l’heure !


(Elle raccroche.)




Acte I, scène 2


Vendredi, 17h35


L’appartement de Cassandra et Siriac


(Roméo, Siriac)



(Roméo et Siriac discutent debout, une bouteille de bière à la main.)


Siriac : Bon, et donc, pour Éloïse ?

Roméo : Ben moi c’est bon. J’ai les places de concert que j’avais achetées il y a six mois. Je les gardais pour l’occaze. Ça tombe pas mal, le concert est demain soir.

Siriac : Ah oui, c’est vrai, tu m’en avais parlé… Mais pourquoi les places ? T’en as pris combien ? Trois ?

Roméo : Oui.

Siriac : Mouais, en fait, c’est un cadeau pour Juliette et toi autant que pour elle.

Roméo : Oh, c’est surtout elle qu’adore ce groupe… Mais oui, ça va être sympa de l’accompagner.

Siriac : T’as dû banquer pour trois places…

Roméo : Un peu, oui, mais bon. Je pense que ça va lui plaire. Et toi ? T’as trouvé quelque chose ?

Siriac : Deux ou trois bricoles, oui. Si je me souviens bien de ses goûts, ça devrait pas lui déplaire non plus…




Acte I, scène 3


Vendredi, 18h40


Un sex-shop


(Juliette, Cassandra, un vendeur, deux clients)



(Juliette et Cassandra parcourent avec intérêt un vaste rayon de sex-toys. Les deux types observent minutieusement l’un ou l’autre des multiples rayons de DVD. Le vendeur observe minutieusement les fesses des deux jeunes femmes.)


Cassandra : Franchement je trouve ça assez moyen…

Juliette : Boh, moi je trouve ça plutôt marrant.

Cassandra : Et puis, elle en a déjà plein, des godes…

Juliette (désignant un emballage) : Plein, c’est l’excès, et puis non, pas des comme ça.

Cassandra : Mouais, en fait, c’est un cadeau pour toi autant que pour elle…

Juliette (souriant innocemment) : Tu crois ?


(Elles rient. Juliette prend un modèle et les deux jeunes femmes s’approchent du vendeur, qui observe alors minutieusement leurs poitrines. Juliette s’en aperçoit et se cambre excessivement en balançant un léger coup de coude à son amie.)


Juliette (à Cassandra, tout bas) : On va essayer d’avoir un prix…


(Cassandra l’imite aussitôt : elle bombe le torse et adopte une attitude aguicheuse. Juliette montre l’article au vendeur. Celui-ci ne le regarde pas, mais continue de considérer les corps des deux jeunes femmes.)


Juliette (d’une voix provocante) : On peut l’essayer avant de l’acheter ?


(Le vendeur, complètement scotché, les regarde en bavant presque.)


Le vendeur : Euh…




Acte I, scène 4


Vendredi, 19h50


L’appartement de Juliette et Roméo


(Juliette, Éloïse, Cassandra, Roméo, Siriac)



(Plusieurs paquets cadeaux sont posés à quelques mètres de la table, dressée avec soin. Tous sont assis, sauf Roméo qui achève de servir du champagne avant de s’attabler à son tour. Juliette lève son verre et sourit à Éloïse.)


Juliette : Bon anniversaire, Éloïse !

Cassandra, Roméo, Siriac (levant leurs verres) : Bon anniversaire !

Éloïse (trinquant) : Merci…


(Juliette se lève et va chercher un premier paquet-cadeau qu’elle tend à Éloïse.)


Juliette : Tiens, ça c’est de la part de…

Cassandra : Non, lui dis pas de qui ça vient, c’est plus rigolo…


(Éloïse se saisit du petit paquet avec un sourire. Elle déchire l’emballage et en sort un CD, un DVD et un livre, qu’elle contemple avec intérêt.)


Éloïse : Ah, c’est excellent ! Je sais pas qui a choisi, mais c’est une super idée.

Roméo : C’est quoi ?

Siriac : Bah c’est couillon : si tout le monde demande « C’est quoi ? » d’un air con, elle va forcément trouver assez vite de qui ça vient…

Roméo : Je t’emmerde…

Éloïse (lui tendant ces premiers cadeaux) : Tiens…


(Roméo s’en saisit et les étudie à son tour. Juliette fait passer un gros nouveau paquet à Éloïse.)


Éloïse (le tâtant) : Ah, ça c’est plutôt mou… Des fringues ?


(Elle déchire le papier et en extirpe bientôt une veste en jean qu’elle déplie devant elle en souriant.)


Éloïse : Super, ça aussi !

Juliette : Je crois qu’il y en a encore…


(Éloïse sort ensuite du même paquet une belle robe d’été à motifs bariolés qu’elle tient aussi un instant devant elle.)


Éloïse : Elle est magnifique !

Siriac : Tu devrais peut-être l’essayer tout de suite…

Juliette : Attends, regarde, il y en a encore…


(Éloïse fouille une dernière fois dans le paquet et en sort en haussant les sourcils une culotte et un soutien-gorge en dentelle noire.)


Siriac : Ah ! Je maintiens que tu devrais vraiment essayer ça tout de suite… Vas-y, on regarde pas…

Cassandra (à Siriac) : ‘rroooooh, tu vas pas commencer !

Éloïse (avec un sourire) : Eh ben ! Je suis gâtée… Et puis, ça tombe bien, je savais plus quoi me mettre…


(Elle observe Juliette, puis Cassandra.)


Éloïse  : Vous avez fait les soldes, les filles ?

Roméo : Et qui te dit que c’est les filles qui t’ont offert ça ?

Juliette (se saisissant d’un autre paquet) : Tiens.


(Éloïse le prend et l’ouvre. Il ne contient finalement qu’une longue enveloppe qu’elle décachette. Elle en sort trois grands tickets qu’elle lit rapidement.)


Éloïse (hurlant soudain) : Haaaa ! Trop génial ! Des places pour le concert de "Muse" !

Cassandra : C’est quand ?

Éloïse : Demain soir ! C’est énorme ! Comment vous avez fait ça ?

Siriac : T’avais rien de prévu, au moins, j’espère ?

Éloïse : J’sais pas, je m’en fous ! J’y vais ! C’est sûr !


(Elle regarde tour à tour Roméo et Juliette.)


Éloïse : Vous m’accompagnez ?

Roméo : Avec joie.

Juliette (affectant un air ravi) : Ah bah oui ! Avec joie !

Siriac (à Juliette) : T’as l’air enchantée…

Éloïse (à Juliette) : Oh, allez !

Juliette : Oui, oui, d’accord…


(Elle attrape le dernier paquet et le tend à Éloïse.)


Juliette : Tiens, c’est le dernier…


(Éloïse l’ouvre et en rougissant légèrement, en sort bientôt un imposant gode-ceinturon, qui déclenche l’hilarité de Roméo et l’ébahissement de Siriac.)


Éloïse : Euh… ben… merci… Ça tombe bien, je savais plus quoi me mettre…


(Tous rient.)


Siriac : Bon, eh ben, tu devrais peut-être l’essayer tout de suite…

Éloïse : Non, pas maintenant. Après manger…


(Tous la regardent avec étonnement. Siriac est baba.)


Éloïse : Du calme, je plaisante…


(Siriac se lève et va se saisir du sextoy qu’il examine sous tous les angles, avant de regarder Cassandra d’un air entendu.)


Cassandra : J’aime pas quand tu as ces yeux…

Juliette (à Éloïse) : Allez, maintenant, tu dois deviner qui t’a offert quoi.


(Éloïse réfléchit un très court instant.)


Éloïse : Déjà, vu la tronche de Siriac, c’est pas lui qu’a acheté le gode. Je dirais bien que cette merveille vient de Roméo…

Roméo : Non, perdu !


(Il regarde Juliette avec insistance.)


Roméo : D’ailleurs, je me demande à qui est destiné ce cadeau, au juste…

Juliette : Mais vous vous êtes tous donné le mot, ou quoi ?

Éloïse (à Juliette) : Ah c’est à toi que je dois cette trouvaille ?


(Juliette, amusée, effectue une courte révérence, puis sort vers la cuisine.)


Éloïse : Hmmm… alors, Roméo, c’est les places de concert ?

Roméo : Yes.

Éloïse (lui sautant au cou) : Oh, je t’aime, mon Roméo !

La voix de Juliette (de la cuisine) : Eh, oh ! Doucement, quand même !

Éloïse : Et comme je vois mal Siriac acheter des fringues pour une nana, j’en déduis qu’elles viennent de Cassandra ?


(Celle-ci acquiesce d’un hochement de tête tout en souriant.)


Éloïse : Merci à vous, les amis.


(Elle se lève et va leur faire une bise. Juliette revient, portant un vaste plateau chargé de fruits de mer.)


Juliette : Allez ! J’apporte l’entrée. Tu veux bien ranger tous tes cadeaux, Éloïse ?

Éloïse : Siriac, je te reprends ton nouvel ami ?


(Siriac rougit presque en lui rendant le gode qu’il tenait toujours. Elle reprend aussi les disques, le livre et les vêtements qu’elle emporte vers une autre pièce. Juliette dépose le plateau.)


Cassandra : Ouaouh ! Ça c’est juste l’entrée ?

Roméo : Oui, t’as vu, ça rigole pas, chez nous… Vous voulez un peu de vin blanc ?

Siriac (s’exclamant) : Oui !!!


(Cassandra le regarde avec étonnement. Éloïse revient s’asseoir.)


Juliette : Allez, servez-vous.


(Elle tend les couverts de service à Cassandra. Roméo sert du vin. Éloïse examine à nouveau ses places de concert.)


Éloïse : Bon, eh ben, ça tombe bien, on savait pas trop quoi faire demain soir…

Roméo : Quand j’ai découvert la date du concert, il y a six mois, j’ai tout de suite pensé à toi. Je me suis dit que ça ferait un super cadeau d’anniversaire.

Juliette (faussement jalouse) : Gnagnagna !

Éloïse (à Juliette) : Faudra qu’on parte tôt, par contre ; la première partie est à huit heures, et faut bien compter une heure de trajet, d’ici, surtout un samedi soir.

Juliette (visiblement sans intérêt) : Euh… oui…

Roméo (à Juliette, agacé) : Dis-le si ça te fait chier !

Juliette (du tac au tac) : Ça me fait chier.


(Un silence.)


Juliette : Non, je suis désolée, mais j’aime pas spécialement ce groupe…


(Siriac semble s’agiter sur sa chaise et paraît hésiter à intervenir.)


Juliette : … et puis, j’sais pas, t’aurais pu m’en parler, Roméo…

Roméo : Voilà. C’est de ma faute, naturellement.

Juliette : Oh, tu me…

Siriac (l’interrompant) : Arrêtez ! J’ai peut-être une solution !


(Un court silence.)


Siriac (à Juliette, sentencieux) : Je veux bien me dévouer pour y aller à ta place.

Cassandra : Ben ça va, toi ! Et puis t’aurais pu m’en parler…


(Éloïse et Roméo se regardent.)


Juliette : Adjugé !

Siriac : Ah… eh ben, ça se fête ! Roméo ! À boire !


(Cassandra soupire puissamment.)


Roméo : T’as déjà fini le verre que je viens de te servir ?

Siriac : Oui, mais il était petit.


(Roméo, souriant, ressert Siriac.)


Juliette : Qu’est-ce tu fais demain soir, Cassandra ?

Cassandra : Mais… euh… ben, rien. Enfin, rien de spécial.

Juliette : Bon alors on passe la soirée ensemble ?

Cassandra : Remarque, ça fait bien longtemps…


(Éloïse regarde tour à tour Siriac et Roméo.)


Éloïse : Eh, nous aussi, ça fait bien longtemps qu’on n’a pas passé une soirée ensemble. Ça me rappellera notre jeunesse…

Roméo : Bon, Siriac, tu passes nous prendre à six heures ? T’auras cuvé d’ici là ?

Siriac : Bah pourquoi moi ?


(Un silence.)


Siriac : Bon, okay.

Éloïse : Eh ben voilà ! Tout s’arrange ! Bon, on mange, maintenant ?




Acte I, scène 5


Vendredi, 23h20


L’appartement de Juliette et Roméo


(Juliette, Éloïse)



(Juliette et Éloïse vont et viennent vers la cuisine, achevant de débarrasser la table des restes du repas. On entend s’ouvrir la porte d’entrée de l’appartement.)


La voix de Roméo (provenant de l’entrée) : Bon, allez, rentrez bien. Bonne nuit.

La voix de Siriac : Ouaaaaaiiis ! Et à demain, les amis, pour de nouvelles aventuuuures…

La voix de Cassandra : ‘roooooohhh, t’es pénible, là, Siriac !

La voix de Roméo : Et bon courage, Cassandra.

La voix de Cassandra : Mouais… bon, enfin, merci pour tout et à demain. Bye !


(On entend se refermer la porte d’entrée. Roméo entre.)


Juliette : Il en tenait une couche, le Siriac…

Roméo : Bah, il a juste un peu trop picolé. Je vous aide ?


(Éloïse sort soudain vers la chambre et revient très rapidement, portant à la main le gode-ceinturon.)


Éloïse (avec un sourire) : Oui, tu vas finir de débarrasser et de faire la vaisselle, et nous on va essayer mon nouveau jouet…


(Juliette sort vers la cuisine en souriant. Roméo commence par sourire, puis demeure un instant perplexe en voyant Éloïse aller s’asseoir sur le canapé et observer en détail le sextoy. Il finit par sortir à son tour vers la cuisine en emportant les derniers couverts.)


Éloïse : Alors, comment ça marche, ce truc…


(Juliette revient et éponge soigneusement la table avant de retourner vers la cuisine. Éloïse pose le gode à côté d’elle et retire en hâte son pantalon.)


La voix de Juliette (de la cuisine) : Je te laisse faire la vaisselle, mon amour ?

La voix de Roméo : Pffff !


(Juliette revient. Éloïse s’équipe avec quelques difficultés de l’engin. Juliette vient s’asseoir à côté d’elle et l’observe tenter de serrer correctement les lanières de maintien.)


Éloïse : Ça y est ! Je crois que ça tient…


(En guise de réponse, Juliette branle doucement le sexe factice en dardant vers Éloïse des yeux exaltés.)


Éloïse : C’est rigolo !


(Juliette se penche d’un air décidé et se met à sucer consciencieusement le gode.)


La voix de Roméo (de la cuisine) : Qu’est-ce que vous faites ?

Éloïse : Rien, on regarde Derrick…


(Juliette joue de sa langue sur le gland en latex en lançant des regards enflammés à Éloïse.)


Éloïse : Hmmm, ça m’excite grave, en fait !


(Juliette poursuit un instant, puis finit par se relever et entreprend de se déshabiller lentement en accompagnant chacun de ses gestes d’une caresse lascive. Éloïse ne la quitte pas des yeux et se met à branler d’une main son pénis artificiel. Roméo revient en s’essuyant les mains sur un torchon.)


Roméo : Ouaaahouh ! Trop fort !


(Il balance son torchon derrière lui et vient s’asseoir sur un fauteuil face aux deux jeunes femmes. Juliette achève de se dévêtir et se caresse encore un court instant en se déhanchant avec volupté. Elle s’approche ensuite du canapé et vient s’y agenouiller par-dessus les cuisses de son amie.)


Juliette (à Éloïse, chuchotant) : Baise-moi !


(Éloïse plaque ses mains sur les fesses de Juliette et son visage sur sa poitrine. La jeune femme vient se positionner juste au-dessus du gode, qu’elle maintient d’une main tendue sous son bassin. Tout doucement, elle s’y empale en soupirant et gémissant. Roméo ne perd pas une miette du spectacle et se caresse discrètement l’entrejambe à travers son pantalon.)


Roméo : Ouoh la la !


(Juliette monte et descend lentement son bassin au-dessus des cuisses d’Éloïse, qui accompagne maladroitement les mouvements saccadés de son amie, sans cesser de lui dévorer les seins.)


Juliette : Aaaahhh !

Éloïse (chuchotant) : Alors, tu l’aimes ma grosse queue ?

Juliette : Oooohmmmouiiii !

Roméo : Rââaaah !


(Il se lève et arrache quasiment tous ses vêtements, puis vient se positionner debout sur le canapé à côté des deux jeunes femmes auxquelles il tend son sexe gonflé presque tendu. Juliette se précipite pour le sucer avec acharnement. Éloïse continue de lui asséner des mouvements de plus en plus amples et presse un doigt contre son anus.)


Juliette : Hmmmmm ! Hmmm !


(Se balançant toujours de haut en bas et sans cesser de sucer, Juliette glisse une main jusqu’à son pubis et excite vivement son clitoris d’un doigt en gémissant plus fort encore.)


Éloïse (s’immobilisant) : Non, ne me dis pas que tu veux déjà jouir…


(Juliette se dandine encore au-dessus d’elle à toute allure mais abandonne soudain le sexe de Roméo et, criant, semble tressaillir à plusieurs reprises, comme agitée de quelques spasmes, avant de se crisper dans un ultime hurlement en serrant Éloïse entre ses bras contre sa poitrine.)


Roméo (à Éloïse) : Eh ben, t’es rudement efficace…

Juliette (haletant) : J’en veux encore ! J’en veux encore !


(Elle se redresse et recommence de se dandiner sur le sexe factice en se précipitant à nouveau sur celui de Roméo.)


Roméo : Ah… quoique…


(Juliette le suce quelques secondes avec ferveur, mais se recule soudain et, tirant quasiment son pénis vers le bas, lui intime de s’asseoir à côté d’Éloïse.)


Juliette : C’est toi qui vas me faire jouir, maintenant !


(Elle se relève quelque peu et change de partenaire, venant s’empaler d’un trait sur le sexe de Roméo. Celui-ci referme ses mains sur ses seins et les caresse doucement au rythme des déhanchements encore lents de la jeune femme. Éloïse vient à son tour se mettre debout sur le canapé à côté du couple.)


Juliette (à Roméo, impérieuse) : Et tu vas sucer la grosse bite d’Éloïse !


(Roméo roule des yeux inquiets de Juliette au gode-ceinturon qu’Éloïse approche de sa bouche, mais referme finalement ses lèvres sur le gland qu’il entreprend de sucer gauchement sous les yeux ravis des deux jeunes femmes.)


Juliette : Hmmm ! J’adore te voir sucer !


(Elle passe une main entre les cuisses d’Éloïse et écarte péniblement sa culotte et les lanières du ceinturon, puis, sans cesser de se balancer de haut en bas, caresse fébrilement le sexe d’Éloïse, qui se trémousse d’autant plus, enfonçant davantage son jouet dans la bouche de Roméo.)


Juliette (à Roméo, entre deux gémissements) : Tu as bien du mal… Je vais t’aider…


(Elle joint ses lèvres à celles de Roméo et effleure le gland factice. Roméo s’en écarte légèrement et Juliette le suce profondément. Éloïse se dandine de plus en plus sous les caresses que lui prodigue toujours Juliette. Tous trois gémissent. Éloïse attrape la tête de Roméo et la presse nerveusement contre son gode. Celui-ci ouvre la bouche et accueille l’engin sans rechigner.)


Éloïse : Allez ! Suce-moi, mon salaud ! Tu aimes sucer des grosses bites, hein ?


(Éloïse assène de rapides coups de bassin, défonçant presque la bouche de Roméo, qui se met soudain à beugler presque en défonçant à toute allure Juliette. Celle-ci hurle aussi de plus belle et masturbe désormais Éloïse à toute allure. Les trois jeunes gens jouissent en même temps dans un concert de plaintes d’extase. Roméo finit par s’immobiliser ; Juliette se laisse tomber littéralement sur lui. Éloïse s’effondre de tout son long sur le canapé, inerte.)


Juliette : Ouaaaaah…


(Elle embrasse langoureusement Roméo, qui ne réagit pas.)


Juliette : C’est booooon…


(Elle regarde Éloïse et son gode-ceinturon.)


Juliette : Allez, à moi !


(Éloïse sourit, mais ne bouge pas. Juliette se relève et s’approche d’elle pour essayer de détacher l’objet.)


Roméo (reprenant ses esprits) : Eh ben putain !


(Juliette défait péniblement le ceinturon et prend le gode à la base, puis se rapproche de Roméo et dirige le jouet vers ses fesses, en dessous de son sexe qui s’amollit.)


Juliette : Je crois que j’ai d’autres idées…

Roméo (serrant soudain les cuisses) : Non !


(Juliette sourit, puis enfile le ceinturon qu’elle referme maladroitement autour de ses hanches.)


Éloïse : En tout cas, c’est rigolo…

Roméo : Mouais…

Éloïse (s’approchant de lui) : Hmmm, moi aussi, j’ai adoré te voir me sucer…

Roméo : Pffff ! N’importe quoi !


(Il se lève et sort vers la salle de bains. Juliette s’approche d’Éloïse. Celle-ci s’installe confortablement sur le canapé et ouvre grand ses jambes en regardant son amie. Sans un mot, Juliette soulève quelque peu les cuisses d’Éloïse et dirige contre son sexe le gland factice, puis pousse doucement. Éloïse gémit puissamment lorsque l’engin s’enfonce en elle.)


Juliette : Alors, il te plaît, mon cadeau ?

Éloïse : Aaaaahhhhhmmmmmouiiiiiii !


(Juliette accélère ses mouvements de va-et-vient en regardant Éloïse d’un air dominateur. Roméo revient, toujours nu.)


Roméo : Encore ?

Éloïse : Aaahahahhhh ! Ouiiii ! C’est trop boooon !

Juliette : Oui, c’est une bonne idée, ce gode…

Roméo : Franchement y a pas de quoi fouetter un chat…

Juliette (à Roméo) : Regarde, mon amour, comme elle prend son pied quand je la baise…

Roméo : Mouais…


(En regardant Roméo avec envie, Éloïse se caresse le clitoris d’une main et suce avec provocation les doigts de son autre main.)


Roméo : Oh la la ! J’hallucine !

Éloïse : J’ai envie de ta queue, Roméo !

Roméo : Ouais, ben, une autre fois, peut-être…

Éloïse : Je veux que tu m’encules pendant qu’elle me baise !

Roméo (regardant son sexe pendant) : Ben c’est pas que je veuille pas, mais…

Juliette (à Roméo) : Tu veux bien aller chercher des capotes et du lubrifiant, s’il te plaît ?

Roméo : Non, ça va encore se retourner contre moi…

Éloïse : Aaaaahhhh ! Hmmmm ! Donne-moi ta queue !

Roméo : Ben, là, ça va être du chewing-gum…

Éloïse : En mâchhhhhaaaahhha ! … en mâchouillant, ça vaaahahhaaa…

Roméo (à Juliette) : Arrête, on comprend rien de ce qu’elle dit…

Juliette : Elle dit qu’elle veut une bite dans la bouche !


(Roméo regarde curieusement Juliette. Celle-ci se retire d’entre les jambes d’Éloïse et monte s’agenouiller sur le canapé, presque à cheval sur elle, et lui tend à sucer le sexe factice luisant de son plaisir. Éloïse penche la tête pour le sucer avec ardeur, en dardant vers Roméo des yeux enflammés. Celui-ci soutient un instant son regard.)


Roméo (regardant à nouveau son sexe toujours mou) : Non, ça ne prend pas…

Éloïse (écartant d’une main le gode) : Roméo, viens me lécher !

Roméo : Euh… ouais…


(Hésitant, il regarde encore un peu Éloïse se remettre à sucer, puis, soupirant, s’agenouille entre ses cuisses et se met à lui dévorer le sexe. Elle gémit instantanément. Juliette le regarde faire par-dessus son épaule.)


Juliette (chuchotant à Éloïse) : J’aurais bien une idée…


(Éloïse continue de gémir et de sucer, n’ayant probablement absolument rien entendu. Juliette se relève et descend du canapé, enjambant quasiment Roméo. Elle court presque jusqu’à un meuble, en sort un préservatif qu’elle ouvre d’une main et installe très rapidement sur le gode. Elle revient discrètement s’agenouiller derrière Roméo. D’une main, elle se saisit du sexe légèrement durci du jeune homme et le branle doucement, et de l’autre elle dirige son gode jusque contre ses fesses.)


Roméo (sursautant soudain et braillant en se relevant) : Ah non ! Non ! Ça, y a pas moyen ! C’est mort ! Même pas la peine d’y penser !


(Il s’éloigne vers la chambre en râlant.)


Roméo : Bonne nuit !


(Il sort. Éloïse demeure les cuisses connement écartées devant Juliette qui arbore un air déçu.)


Éloïse : Bon allez, c’est pas grave… Reprenons !

Juliette : Mouais…


(Elle se relève, retire tristement le préservatif, et vient une nouvelle fois pénétrer Éloïse qui se perd encore en gémissements.)


Juliette (défonçant à toute allure Éloïse) : Ça ne t’exciterait pas, toi, de lui défoncer son petit cul ?

Éloïse (ailleurs) : Aaaahhaaaa ! Hmmmm !

Juliette : Enfin, il a pas l’air bien chaud… Il faudra sans doute ruser…

Éloïse : Haaa ! Haaa ! Haaa !