n° 12800 | Fiche technique | 11629 caractères | 11629Temps de lecture estimé : 7 mn | 20/08/08 |
Résumé: Après une rencontre en club, nous découvrons la bisexualité. | ||||
Critères: 2couples couplus hépilé fépilée collection fellation cunnilingu anulingus pénétratio double sandwich fsodo hdanus hsodo échange init journal -entrecoup -fbi -hbi | ||||
Auteur : Nathalie Marc (decouverte de la bisexualité masculine) |
L’histoire dont je vous fais le récit s’est réellement passée, elle est écrite à partir du croisement de nos journaux intimes respectifs.
Merci à celles et ceux qui ont répondu à notre précédent récit.
Nous sommes un couple, Marc et Nathalie. Nous sommes échangistes et partageons souvent nos jeux avec des couples amis, quelquefois des jeunes femmes seules, plus rarement des hommes seuls mais ça nous arrive.
Nathalie a 36 ans. Elle est brune, cheveux sur les épaules, les yeux bleus, 1,70 m, 56 kg, de jolis seins hauts sur la poitrine, très fermes avec de longs tétons bruns sensibles, et une petite chatte entièrement épilée par les soins d’une amie esthéticienne qui partage nos jeux avec son mari. Sa petite chatte est percée, et elle a souvent des bijoux sur les grandes lèvres et le capuchon du clitoris. Elle est bi depuis des années, comme moi maintenant.
Moi, Marc, j’ai 44 ans. Je suis brun, yeux bleus aussi, 1,78 m, 74 kg, moyennement membré (14 cm), entièrement épilé aussi par notre amie Laurence, esthéticienne de son état, et circoncis depuis 14 ans à la demande de Nathalie.
C’est mon passage d’hétéro à bi que je propose de vous raconter donc une histoire réelle.
Nathalie a connu Laurence comme cliente de son cabinet d’esthétique, et quelque temps avant j’avais fait la connaissance de Pierre, son mari, au club de tennis de notre petite ville. Cela remonte à la fin 95, déjà onze ans. Nous ne sommes vraiment devenus intimes qu’en 1998, après un double où nous avions pris une piquette qui se passe de commentaires.
Nous fréquentons donc Laurence et Pierre depuis bientôt dix ans, mais pour des jeux coquins depuis sept ans maintenant, et nous nous retrouvons environ une fois par mois pour des soirées coquines à deux couples, ou plus selon les disponibilités de chacun. Il nous arrive aussi de nous retrouver pour des soirées conviviales où le sexe est absent.
Lors d’une soirée dans un club échangiste – la Chaloupe , près de Bordeaux – nous avions rencontré Laurence et Pierre et appris qu’ils pratiquaient aussi l’échangisme. Lors de cette première soirée, nous ne nous étions pas éternisés dans la boîte et avions terminé la nuit chez nos amis.
Laurence est une jeune femme de 38 ans, fausse blonde vénitienne, de beaux yeux verts, 1,72 m, 62 / 63 kg, un joli corps entretenu, des seins moyens de 90 B, des fesses bien rondes, une petite chatte presque lisse, juste un ticket de métro qu’elle prend soin de teindre comme ses cheveux. Pierre, 39 ans est châtain foncé, les yeux marrons, 1,82 m, 80 kg et super-membré. Une bite en érection de vingt-sept centimètres de long, large de cinq centimètres et épaisse de quatre. Une vraie bite de cheval. Autant Nathalie que moi n’avions jamais vu un pareil engin avant de les rencontrer. Le dire, c’est rien, le voir c’est phénoménal.
Dès nos premières rencontres, Nathalie et Laurence, qui avaient déjà eu des relations avec d’autres filles, nous ont gratifié de merveilleuses parties de lèche-minou qui, aujourd’hui encore, nous font bander comme c’est pas possible.
Un dimanche après-midi, nous avions décidé d’aller au cinéma voir un film qui venait de sortir. Au retour, nous nous sommes installés dans notre salon et, très vite, nous en sommes venus aux caresses. Nathalie et Laurence étaient assises côte à côte sur un canapé, Pierre et moi en face d’elles sur un autre. J’avais proposé un cocktail et nous avions été le préparer dans la cuisine avec Pierre. Cocktail que nous avons baptisé depuis ce jour "vin d’amour",
Quand nous revenons avec notre boisson, Nathalie a les seins à l’air, Laurence est penchée au-dessus d’elle et en tète un pendant qu’elle lui caresse l’autre, Nathalie a sa main sous la jupe de Laurence, visiblement elle la masturbe.
Notre arrivée ne les arrête pas et nous les encourageons à aller plus loin. Laurence retire le pull de Nathalie et libère ses seins du soutien-gorge qui ne servait plus à grand-chose, puis Nathalie se lève et Laurence lui baisse son jean et son string. Elle est maintenant nue, avec les lèvres de sa chatte ornées d’un anneau, d’un petit rubis sur chacune de ses grandes lèvres, et d’un pendentif sur le clito que je lui ai posé le matin après sa toilette. Nathalie déshabille à son tour Laurence, elles s’embrassent à pleine bouche, caressent leurs seins, leurs fesses.
Pierre et moi nous déshabillons à notre tour. Pierre exhibe sa magnifique verge en érection ; à côté la mienne ressemble à celle d’un jeune garçon, mais je bande aussi.
Laurence s’allonge sur le canapé les fesses au bord, Nathalie vient entre ses cuisses et commence à lui prodiguer un cunnilingus qui lui procure de profonds soupirs, jusqu’à lui donner un violent orgasme où elle crie sa jouissance. Après, c’est au tour de Laurence de lécher Nathalie. Elle lui écarte les lèvres en tirant sur les anneaux, elle lui lape le clito. Nathalie jouit très vite dans un cri qui retentit dans toute la maison. Durant leur léchage de minou, nous nous branlions lentement sans aller jusqu’à la jouissance. Pourtant le spectacle offert nous avait bien émoustillés.
Elles s’assoient pour se reposer après ces orgasmes dévastateurs. Laurence se penche à l’oreille de Nathalie, elle lui chuchote quelque chose, un large sourire éclaire leur visage. Nathalie alors s’adresse à nous :
On reste éberlués.
Nous n’en revenons pas et protestons que nous ne sommes pas homos. Rien n’y fait, elles ne veulent pas en démordre.
Après maintes hésitations, je finis par prendre dans la main la bite de Pierre qui a complètement débandé. Moi aussi, d’ailleurs. Je commence une lente masturbation, finalement ce n’est pas aussi difficile que je l’imaginais et encore moins désagréable. Assez vite, il retrouve une bonne érection, mais a toujours du mal à prendre ma bite qui a retrouvé fière allure dans sa main. Au bout d’un moment il s’y résout. Les filles nous encouragent.
Sur leurs encouragements, je me penche sur cette belle queue, je l’effleure du bout de la langue puis je me lance et l’embouche. Son gros gland a du mal à entrer dans ma bouche, le manque de pratique sans doute. Puis nous nous positionnons en 69 et je ré-engloutis la bite de Pierre. Au bout de quelques minutes, j’y prends du plaisir, je pompe de plus en plus vite, je sors la bite de ma bouche et lèche lentement la tige de Pierre. Vu sa longueur, je prends mon temps, je passe ma langue sur ses couilles, les suce. Il se décide enfin et prend ma queue bien dure dans la main. Il commence une masturbation, c’est agréable une main virile autre que la mienne. Il me prend aussi dans sa bouche, nous nous suçons avec les encouragements de Laurence et de Nathalie. Pierre s’enhardit, il caresse mes couilles et ses doigts descendent bien plus bas, il frôle mon petit trou, son doigt se fait coquin, il me masse. Je bande de plus en plus. Je me prends à rêver à une pénétration digitale, je suis très excité, je le préviens que je vais jouir, il me sort de sa bouche et me branle, je gicle sur sa poitrine.
Je le sens de plus en plus dur dans ma bouche. Je passe bien ma langue sous le frein de son énorme bite, lui malaxe les couilles, passe ma langue sur toute la longueur de sa queue, titille le méat. Il se raidit, il m’avertit être sur le point de jouir, je le garde dans ma bouche, il m’envoie quatre ou cinq giclées que j’avale. Finalement, ce n’est pas mauvais.
Après quelques moments de repos, nous reprenons nos ébats. Je m’installe entre les cuisses de Laurence et je lèche sa chatte, elle est trempée, son clito est dur, ses grandes lèvres bien gonflées, elle mouille abondamment. Je descends jusque sur son petit trou. Elle change de position se met à quatre pattes sur le canapé, les fesses tendues. Je lèche à nouveau son œillet brun, dans un râle elle me dit :
Je me redresse et frotte mon gland sur son petit trou, elle écarte ses fesses, mon gland mouillé de mes secrétions et de sa cyprine entre sans difficultés. Pierre est trop membré pour la sodomiser, pourtant elle adore cette pratique, à l’inverse de Nathalie qui l’accepte mais n’aime pas beaucoup.
Laurence gémit de plus en plus, elle devient de plus en plus chienne et ses paroles sont de plus en plus hard.
Je m’active, la besogne de plus en plus fort. Nous jouissons en même temps, je me vide dans son anus.
Pierre s’active aussi entre les cuisses de Nathalie, qui elle aussi est en levrette. Je viens me placer entre leurs jambes ; je vois la bite de Pierre entrer et sortir de sa chatte, il est tellement long qu’elle ne peut pas toute la recevoir en elle, il en reste bien sept ou huit centimètres qui ne rentrent pas. Je tends ma langue pour lécher le clito de Nathalie, et aussi la partie de la bite de Pierre qui ne rentre pas, ainsi que ses couilles. Nathalie crie son plaisir, elle jouit intensément. Pierre se vide les couilles dans sa chatte.
Plus tard dans la nuit, Nathalie a eu droit à une double pénétration vaginale, ce qu’elle adore, depuis : elle en est une fervente adepte. C’est aussi très agréable pour moi de sentir ma bite contre celle d’un autre homme. Laurence, quant à elle, a eu une double vaginale anale.
C’était sublime, nous avons baisé une bonne partie de la soirée. Nous nous sommes de nouveau sucés, j’ai caressé son anus et lui le mien.
Vers six heures, après avoir épuisé toutes nos munitions, nous nous sommes séparés, mais nous sommes revus très vite le week-end suivant pour remettre ça. À cette occasion mon petit trou a goûté le gland de Pierre, même s’il est très peu entré en moi les premières fois. Pierre a été beaucoup plus long avant d’accepter ma queue dans son anus, mais aujourd’hui il ne rechigne plus.
Depuis ce jour, si nous ne sommes que tous les quatre, nous n’hésitons plus à nous sucer entre hommes et à pratiquer la sodomie. Il nous arrive parfois de nous faire une petite faveur tous les deux sans la présence de nos femmes.
Septembre 1999