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n° 12816Fiche technique7691 caractères7691
Temps de lecture estimé : 5 mn
01/09/08
Résumé:  Un homme est surpris par sa femme de ménage en train de se masturber dans les toilettes.
Critères:  fh toilettes hsoumis fdomine intermast nopéné hdanus -hsoumisaf
Auteur : Franck1  (Franck)      
Surpris !



Petite, la quarantaine pas trop mal conservée pour cette femme, d’origine très modeste, à la vie assez rude, qui pour l’heure fait office de femme de ménage. Maria a remonté ses cheveux de jais à la va-vite pour ne pas qu’ils la gênent. Son visage, légèrement bouffi et rougi par l’effort, trahit une jeunesse passée à faire tourner des têtes.

Ses pattes d’oies peu prononcées encadrent des yeux qui hésitent encore entre stupeur et tentation.


Marc, quant à lui, ne s’attendait pas à se retrouver dans cette situation quelque peu inconfortable ! Jeune « trentenaire dynamique », il est avocat prometteur, mais à mi-temps, dans un cabinet d’une certaine importance et consacre son temps libre à une association de critique littéraire. Il est marié à une magnifique jeune femme et leurs nuits ne sont pas de tout repos.


Aujourd’hui, c’est lecture ! Le livre qui fait l’objet de son attention semble écrit de main de maître alors que son auteur, bien qu’âgé de 53 ans, n’en est qu’à son deuxième roman. Arrivé au tiers du récit, l’ambiance s’électrise et c’est le talent de l’écrivain qui fait que Marc peine à retenir son érection.

La combinaison de cet état d’excitation et d’une certaine négligence fait que maintenant, Marc se tient debout dans les toilettes, le pantalon et le caleçon à ses pieds, la verge érigée dans la main droite, devant une Maria abasourdie !


Le moment est intense, Marc sent son cœur s’accélérer, propulser le sang dans son sexe qui palpite au creux de sa main. Son gland devient écarlate, mais impossible de savoir si c’est de gêne ou par strangulation ! Le moment s’éternise ; la gorge sèche, Marc ne comprend pas la montée d’excitation qu’il ressent, alors même que son sexe devrait être en train de s’affaisser, mort de honte.



Et la situation bascule de nouveau, Maria donne une tape sèche sur la main délictueuse qui lâche prise immédiatement, et, en s’agenouillant, elle s’empare du membre tendu, le majeur au niveau de la base du gland.


Marc est sans voix, à la fois estomaqué et désireux de ne pas rompre le charme. Les doigts vigoureux de Maria enserrent fortement sa verge et sa main commence à descendre vers la base de la hampe tout en tirant sur le prépuce de façon à le décalotter complètement. Mais elle ne s’arrête pas, elle continue à tirer. Marc hésite entre douleur et plaisir. Il commence à se demander s’il s’agit d’une punition.


De sa main gauche, Maria commence alors à caresser les fesses fermes de Marc, elle insère le tranchant de sa main dans sa raie (doigts vers le bas) et en suit le tracé en forçant Marc à légèrement écarter les jambes. Elle arrive ainsi à la base des testicules qu’elle enserre entre son pouce et son index et s’y suspend. Le mélange de sensations contradictoires est à son comble.


Les tractions exercées sur le prépuce et le gland, ainsi que sur les bourses, sont fortes et légèrement douloureuses, mais à ce désagrément se mêle le plaisir produit par les légères oscillations que procure le battement du sang dans le gland, ainsi que par les caresses appuyées des trois doigts encore disponibles sur les testicules.


Après quelques secondes d’éternité, les tiraillements s’estompent. Maria cesse de se suspendre aux bourses de Marc, et sa main gauche les lui presse gentiment mais fermement contre le scrotum, tandis que sa main droite débute un lent va-et-vient plus traditionnel. Marc reprend son souffle avant même de s’apercevoir qu’il avait arrêté de respirer.


La lente simulation manuelle du coït est délicieuse, la vision des doigts courtauds de Maria qui le tiennent comme un étau et de son gland violacé et légèrement malmené procure à Marc un plaisir irrépressible, à la limite de la perversion. L’étreinte est tellement vigoureuse qu’à chaque mouvement, le passage de la base du gland est douloureux.


Puis la routine s’installe. Le va-et-vient, après une légère accélération, atteint sa vitesse de croisière, la main gauche de Maria continue de masser les testicules et son pouce en profite pour se frayer un chemin en direction de l’anus afin de stimuler le scrotum et bientôt, peut-être, entamer un toucher prostatique.


Le plaisir monte, Marc se détend, tente de retarder l’éjaculation. Il se laisse aller, les allers-retours sont lancinants, la pression sur ses testicules douce et stimulante. C’est le plaisir sans effort, il n’y a qu’à se laisser faire. Plus de gêne, plus de honte, il ne reste que le plaisir.



Marc a un gros moment d’hésitation, il ne comprend pas ce qui se passe encore ! Il a toujours les bourses bien comprimées dans une main chaude, mais Maria lui a lâché la queue. Il la regarde ébahi, sans réagir. Elle le fixe sévèrement et semble attendre quelque chose, sans qu’il sache quoi.


Puis, de sa main libre, elle lui donne une tape sèche sur la verge, le faisant sursauter de douleur mais l’obligeant ainsi à détourner son regard et à constater que, devant son sexe, Maria a formé, avec sa main droite, un « cercle » avec son pouce et son index. Voyant qu’il ne saisit toujours pas le message, Maria lui pousse violemment le bassin de la main gauche.


Son pouce s’enfonce légèrement dans l’anus de Marc et, par réaction, celui-ci avance son bassin, propulsant son dard au travers de l’orifice formé par les doigts de Maria. Elle relâche alors la pression sur l’anus, le bassin de Marc recule, faisant traverser l’anneau digital à sa queue une nouvelle fois, dans l’autre sens.


Le message est clair et Marc se plie à cette fantaisie. Il commence alors à donner des coups de reins de façon à pénétrer le simulacre de vagin offert par la femme de ménage. Tout d’abord lentement, puis de plus en plus vite. Le ridicule de la situation lui procure une humiliation qui l’excite. Le tout est ponctué d’encouragements volontairement dégradants du genre « Vas-y, p’tit cochon, frotte-toi », « T’aimes ça, me baiser les doigts, hein ? »


Le rythme est pris, la respiration de Marc se fait bruyante, elle est saccadée. Il a le souffle de plus en plus court. Il sent le plaisir monter. Maria le sent sur le point d’exploser. Elle lui serre les couilles, la bite va-et-vient entre ses doigts, le gland lance des éclairs violacés de part et d’autre de l’anneau de chair. Un soubresaut et, en un instant, l’anus de Marc se contracte violemment autour du pouce que Maria lui a subitement enfoncé.


L’onde de plaisir se propage de la prostate au scrotum, se dirige vers la verge que Maria, dans un dernier mouvement sadique, a subitement abandonnée. Le flot de jouissance remonte le long du sexe dressé, fier mais seul, qui tressaille au moment où le sperme en jaillit puissamment. L’extrémité phallique de Marc résonne encore de l’extase, lorsque Maria arrache son pouce de son anus et lui dit :