n° 12820 | Fiche technique | 17791 caractères | 17791Temps de lecture estimé : 11 mn | 03/09/08 |
Résumé: Habitant dans un village, loin de la ville, il m'est difficile d'aller au sauna ou au bar gay du coin, donc les légumes du jardin sont plus accessibles. | ||||
Critères: hhh inconnu voir facial fellation 69 légumes préservati pénétratio hdanus hgode hsodo jouet partouze yeuxbandés -hhomo | ||||
Auteur : Wonderboy (épicurien bisexuel) |
J’avais la semaine dernière une libido si forte que je voulais réaliser mon fantasme à tout prix, et j’y ai mis les moyens pour l’assouvir.
J’avais envie de me faire sodomiser par plusieurs gars en même temps, mon orifice était si réceptif que durant cette semaine, tout y est passé, la collection de godes, plug, et une grande partie des légumes du frigo prévus pour une ratatouille.
Je me masturbais jusqu’à cinq fois par jour, avec à chaque fois un jouet dans mon fondement. Mes éjaculations devenaient une petite goutte de liquide séminal, mes bourses étaient vides, mais mon érection toujours grandiose, arrivant rapidement après quelques va-et-vient de ma veuve poignet.
Habitant dans un village, loin de la ville, il m’est difficile d’aller au sauna ou au bar gay du coin, donc les légumes du jardin sont plus accessibles. Ma femme étant partie une dizaine de jours dans sa famille, j’étais libre de me balader dans la maison nu et excité à souhait.
Le troisième soir, je me branche sur un Chat gay et commence mon investigation du vrai, du faux, des grandes gueules, et des véritables gays cherchant une aventure.
Assez rapidement, je suis en contact avec un certain Michel, avec qui le courant passe relativement bien. Il est 100% homo, habite à moins d’une heure de chez moi, et fréquente le milieu gay de la région. Je lui explique que, étant bisexuel occasionnel et de plus marié, je ne vois pas vraiment comment assouvir mon désir d’être la proie de plusieurs gars, bien membrés, tant qu’à faire, mais surtout respectueux. Ma crainte est de tomber sur un fou furieux, macho, qui ne pense qu’à lui, enfin, je ne cherchais pas un plan style parking d’autoroute, mais plutôt salon champagne.
Michel me donne son numéro de téléphone afin de mieux nous connaître, même si le Chat, c’est bien pour ouvrir une communication, entendre la voix de l’autre permet de mieux sentir la personne inconnue.
Il me paraît très sympa, une voix grave de mâle, une bonne élocution, il me met en confiance. Il me propose de réaliser mon fantasme avec un couple d’amis avec qui il batifole parfois, et me promet monts et merveilles. Rendez-vous est pris pour le lendemain soir, chez lui. Je raccroche le combiné, tout ému, nerveux, et impatient de la grande aventure qui se prépare.
La journée du lendemain se passe lentement, trop lentement. En fin d’après-midi, je me prépare en me douchant, et me fais un lavement anal en profondeur afin d’éviter des désagréments que l’on imagine. N’y tenant plus, je m’enfile le plug le plus large de ma collection afin d’être prêt et ouvert au moment voulu. Je monte dans ma voiture, accompagné de mon jouet toujours enfoncé et de bouteilles de champagne. Je décide de faire le trajet avec le plug vibrant "full speed" dans mon anus - pour ceux qui ne connaissent pas, c’est pas mal surtout en appuyant sur l’embrayage.
À l’entrée de la ville, je m’arrête sur le bas-côté et le retire. Je trouve rapidement la maison de Michel et, nerveux, appuie sur la sonnette.
Michel est un bel homme, début quarantaine, qui entretient son corps, vu son allure sportive, très souriant. Il me serre la main, me met à l’aise, et m’invite dans le salon, après m’avoir remercié pour le champagne qu’il s’empresse de mettre au frigo.
Ses amis vont arriver d’une minute à l’autre, il m’offre un verre d’apéritif en les attendant. Nous avons de quoi parler, quelques points en commun permettent à la discussion d’aller bon train, et je suis parfaitement à mon aise quand la sonnette retentit, les amis viennent d’arriver. Ils me paraissent sympathiques du premier coup, même âge que Michel, même milieu, le courant passe bien.
Michel, qui avait déjà mis ses amis au courant de ce que je voulais, se permet de résumer la raison de ma présence, ce qui me fait légèrement rosir les joues. Alain, le copain de Denis remarque ma gêne, et m’explique qu’ils ont l’habitude de se retrouver avec Michel pour des trios endiablés, et que se connaissant bien, ils me promettaient une soirée réussie.
Michel, assis à mes côtés, me caresse la cuisse tout en parlant à ses camarades, sa main frôle mon sexe qui réagit rapidement à ses caresses. Alain et Denis se roulent un patin, et Michel cherche mes lèvres qu’il entrouvre de sa langue.
La fête a commencé, on se retrouve assez rapidement nus, assis sur la moquette confortable devant le feu ouvert, nous embrassant et nous caressant en carré, plusieurs mains me caressent, je touche les autres sans vraiment savoir qui est qui. Denis me prend en bouche, mon sexe est au garde-à-vous, comme tous les autres d’ailleurs, trois hommes qui bandent autour de moi, le bonheur arrive, on dirait.
Alain propose de me tester, et demande aux autres de se mettre à genoux, l’un à côté de l’autre, la queue dressée vers le ciel, c’est à moi de les sucer tous les trois comme bon me semble. Je m’installe devant eux, et prends en main la verge de Denis à ma gauche que je soupèse, et caresse des deux mains, ma langue lèche toute la longueur de cette beauté puis l’avale goulûment et je m’applique à lui faire une pipe d’enfer.
Ma langue tourne, lèche, enveloppe ce membre chaud avec avidité. Ses soupirs me rassurent sur mon savoir-faire. Tout en m’appliquant, je branle Alain de la main droite. Je délaisse Denis et suce Alain quelques minutes, pour finir avec Michel. Les trois hommes semblent ravis, et je ne puis m’empêcher de recommencer passant de l’un à l’autre, comme une bête de sexe, je suce l’un, branle les deux autres, et vice-versa. Les soupirs deviennent gémissements, les silences deviennent des mots crus de la part des trois hommes, je les pompe à mon rythme, alternant les pressions des lèvres et le frôlement de mes dents sur leur tige. Ils vibrent dans ma bouche, leur jouissance se rapproche. Je suis tellement excité que j’ai envie de leur sperme, me voyant dans un film de bukkake, je leur demande de se lâcher sur mon visage.
La bite que je suce me crache quelques saccades de sperme chaud au fond de la gorge, j’essaie d’avaler une grosse partie, je le termine en le branlant et reçoit les dernières gouttes sur mes joues, je me jette littéralement sur le second qui ne tarde pas à venir dans ma bouche ouverte, langue tendue, le troisième se branle en même temps et me crache le tout sur le visage. Un facial en bonne et due forme. J’ai du sperme sur tout le visage, les cheveux, et le trop-plein coule du menton sur ma poitrine. Je termine ma succion des trois alternativement jusqu’à ramollissement de ces trois belles queues.
Pas mal pour un début, de l’avis partagé de mes trois compères, je suis aux anges, la soirée débute bien, et suis satisfait de ma lubricité. C’est bon de se sentir salope parfois.
Pour me remercier, ils décident de me faire une pipe à trois bouches. Je m’installe dans le divan, Michel me lève les jambes, me voici offert à ces hommes. L’un me suce, l’autre me prend les couilles en bouche une à une, et le troisième me fait une superbe feuille de rose, sa langue lèche mon orifice rapidement et n’hésite pas à bien saliver, tout en introduisant un doigt de temps en temps. Il fait la remarque que mon orifice a été visité dernièrement car il n’y a même pas de résistance. Je lui réponds d’un sourire entendu sans expliquer les détails… Plus tard, peut-être.
Les bouches se succèdent autour de mon gland, et je ne tiens pas longtemps avant d’éjaculer massivement. Mon corps est pris de soubresauts, tant c’est bon, et je m’écroule après la jouissance.
Une pause s’impose, et le champagne remplace le sperme dans les gosiers, tous ravis de ce début de soirée - car suite il y aura, c’est clair.
Ces mecs sont vraiment très sympathiques, le champagne coule à flot, il y a du stock dans le frigo et je m’inquiète pour mon retour en voiture. Pas de raison de l’être, puisque Michel me propose de dormir ici, et d’un clin d’œil amusé, invite également ses amis. Michel remet une bûche sur le feu, il est vrai que nous sommes toujours nus, et ne semblons pas près de nous rhabiller.
Il est temps de passer à la suite, je caresse Michel tout en discutant, sa verge grossie dans ma main jusqu’à être dure comme du bois. J’approche mon visage de son attribut, ferme les yeux en laissant ma tête se promener pour apprécier les effluves de son sexe. Ma langue le goûte, puis continue une danse tout autour, comme pour le nettoyer. Mes lèvres le baisent tendrement, j’ouvre la bouche pour y insérer le gland et la caresse du bout des lèvres, jouant aussi avec ma langue, aspirant de temps en temps. Puis, petit à petit, son bâton de plaisir envahit totalement ma bouche. Je fais des va-et-vient et je l’entends gémir de plaisir.
Les deux autres en profitent pour se faire la pareille, se plaçant très vite en soixante-neuf. Du coin de l’œil, j’observe ces deux lascars prendre du plaisir. Denis doigte son amant en même temps qu’il le suce avidement, Alain écarte les jambes au maximum et accepte avec plaisir ses fouilles quelque peu intimes. Deux doigts le pénètrent en rythme soutenu, et les gémissements deviennent de plus en plus bruyants, malgré la bouche pleine.
Michel relève ma tête, ne voulant pas venir trop vite, car il a d’autres plans me concernant, d’après ses dires. Un sourire en guise de réponse, il se lève, et me place à quatre pattes sur le divan, la tête dans les coussins, relève mon cul et me lèche la rondelle avec beaucoup de salive. Il invite ses deux compères à s’occuper de moi, et à respecter les engagements pris de me faire réaliser mon fantasme de sodomie continue.
Alain me propose - ou plutôt impose gentiment - un foulard sur les yeux, me rassurant sur le plaisir à venir.
Me voilà dans le noir, j’entends le bruit des sachets de capotes qui s’ouvrent, et une goutte de froid sur mon anus, du gel, que des doigts étalent et qui pénètre doucement mon antre.
Alain m’annonce qu’il a l’honneur de commencer, il présente son gland à la porte d’entrée de mon anus et y entre doucement. Je le sens m’écarteler le bas-ventre. Certes, maintenant j’avais l’habitude, mais sa verge est réellement très épaisse. Après qu’il fût complètement entré, il se coucha sur moi pour m’embrasser la nuque et me caresser les épaules. Il commença à me limer lentement, tout continuant ses caresses. Des vagues de plaisir déferlèrent en moi. Je poussais un petit râle à chaque fois qu’il était au fond de moi. Il recule puis avance d’abord lentement puis l’amplitude de ses mouvements augmente, il sort presque de moi laissant juste son gland dans l’entrée. À chaque intromission, j’émets des petits cris qui rapidement deviennent « Oh ! oui ». Je sens le plaisir grandir en moi, je l’accompagne maintenant en faisant danser mes fesses fermement emprisonnées par ses mains.
Il se retire complètement, et laisse la place à un autre, qui d’un coup, rentre puissamment jusqu’à la garde, me faisant lâcher un cri de plaisir continu. Ses mouvements se font amples, lents, mais extrêmement puissants. Je chauffe littéralement du cul, le plaisir me monte à la tête, et je crois découvrir l’orgasme anal, tant c’est bon.
On me relève la tête d’une main sur le menton, et une bite me caresse le visage. J’ouvre la bouche, j’essaie de la happer. Il joue avec moi pour ensuite s’enfoncer au fond de la gorge. Une bite bien raide dans mon cul, qui va-et-vient, une main qui me palpe la queue depuis quelques instants et une autre belle queue dans ma bouche gourmande. Je voudrais que le temps s’arrête, ou plutôt qu’il continue « ad vitam », tant la jouissance continue est énorme. Les trois compères changent de rôle, et chacun fait le tour par mon cul, par ma bouche.
Ils me relèvent, retirent mon bandeau, retirent leurs capotes, et se branlent tous les trois devant moi. Je vais encore avoir droit à un facial en bonne et due forme. Les trois vits crachent leur semence plus ou moins en même temps, et c’est bouche ouverte que je reçois leur présent chaud et visqueux. Je ne puis m’empêcher de me branler et d’éjaculer sur la moquette de notre ami.
Je les remercie en les gratifiant d’un grand sourire et me précipite à la salle de bain pour un nettoyage en règle, la quantité de sperme reçue, venant de six éjaculations, fait qu’il est temps de se doucher.
De retour dans le salon - hypocritement, une serviette autour de la taille - je les remercie encore une fois pour le plaisir reçu. Ils sont tout ouïe à mes propos, et me font comprendre que ce n’est pas terminé, puisque l’on se retrouvera tous dans un grand lit, faute de place… ben voyons.
On passe à table et nous discutons de choses et d’autres, et bien sûr de sexe. Le plaisir anal solitaire à l’aide de godes ou de légumes, les parkings ou sauna, et la conclusion est vite vue : les plans salon sont les meilleurs. Je demande aux hommes s’ils se sodomisent souvent en solo, et Michel me répond qu’il a mieux qu’un simple gode. Lors d’un voyage en Californie, il a ramené dans ses bagages une « fucking machine », espèce de moteur muni d’un bras métallique et, au bout, le gode de son choix, avec télécommande pour gérer la rapidité de la pénétration. Ayant vu cela sur Internet, et ayant toujours voulu goûter au plaisir d’être baisé sans fin, je lui fais part de mon désir de tester la chose.
Il va dans sa chambre et ramène un gros sac de sport, qu’il déballe rapidement et il s’affaire à monter tous les accessoires ensemble. Il ouvre une boîte contenant cinq godes différents, parmi lesquels il me demande de choisir. J’opte pour un des plus gros, une bonne vingtaine de centimètres et un diamètre de facilement cinq centimètres. Il s’empresse de le fixer et de brancher la machine. Le moteur se lance, et le gode de faire de l’aller-retour d’une bonne amplitude. Il me donne la commande et je teste la machine et sa rapidité en visuel pour l’instant.
On se remet à table, mais mes yeux ne sont que pour cette machine. Michel s’en rend vite compte et nous fait la remarque que je ne puis attendre le dessert. Nous rions tous de bon cœur, mais en fait il a raison, et je le leur fais remarquer.
Michel propose de m’aider, je me mets à quatre pattes, m’enduis de gel, et me place au bout du gland de latex. Je me recule et le gland pénètre relativement facilement, je prends la commande, et l’enclenche en vitesse minimum. Le gode rentre lentement, vu la vitesse, mais pénètre à fond en une fois. L’avantage des machines : ça ne jouit pas, donc ça continue « ad vitam », mais par contre, la sensibilité humaine n’est pas au rendez-vous et le gode pénétrant à fond me surprend, me faisant un peu mal et surtout me déséquilibrant vers l’avant. Franche rigolade dans mon public, mais je ne m’avoue pas vaincu et recommence, Michel me suggère de le mettre en marche avant et de me placer ensuite, chose que je fais, et effectivement, j’apprends à mieux gérer la machine et mon équilibre. Le gode rentre maintenant profondément à vitesse régulière, mon plaisir s’envole et, doucement, j’accélère la vitesse.
Un flash se produit dans ma tête, cette machine est époustouflante et je leur en fais la remarque entre deux soupirs. Michel me répond que le meilleur est à venir. S’approchant de moi, il me prend les deux poignets qu’il tient fermement, il appelle les deux autres à me tenir chacun une jambe et, doucement, tourne le curseur sur vitesse maximale. Je ne puis bouger, mon cul offert à la machine, recevant ces longues et rapides pénétrations qui me font littéralement monter à la jouissance anale maximale. Je crie en continu mon bonheur, mon cul me chauffe, limite douleur, une main me masturbe et, sans bander, j’éjacule très rapidement. La machine diminue de vitesse, mais continue profondément ses va-et-vient pendant une durée assez longue que je ne pourrais dire, mais en tous cas bien plus longue qu’un coït normal. Mon cul n’est que feu, mes bras et tout mon corps meurtris, ankylosés, mais mon esprit par contre est serein grâce à cette merveilleuse machine. Je fais signe à Michel qu’il est temps que ça s’arrête. Je me « décule » de la machine, me relève, un peu titubant, et vais m’asseoir dans le fauteuil, un doigt sur ma rosette que je masse doucement après l’effort.
Alain décide de profiter aussi de la machine, et c’est en spectateur passif que j’observe le plaisir qu’il éprouve. Michel, excité et bandé à souhait, se place derrière Denis et le prend en levrette, permettant à Denis et Alain de s’embrasser pendant qu’ils se font enculer.
Après l’étreinte, le réconfort : nous allons nous coucher dans un lit extra King size, et je m’endors rapidement sans tenir compte des mouvements clairs et nets de mes voisins.
Au petit matin, je suis réveillé par une superbe fellation qui annonce une belle journée à venir.