n° 12821 | Fiche technique | 27312 caractères | 27312 4800 Temps de lecture estimé : 17 mn |
04/09/08 |
Résumé: Un homme se souvient de sa première maîtresse, Florence, douce et soumise... | ||||
Critères: fh fsoumise facial fsodo jeu attache yeuxbandés | ||||
Auteur : Nikooooooooooooo (homme de 35 ans, pervers à souhait !) Envoi mini-message |
J’étais célibataire, elle était belle et mariée, et je l’adorais. C’était mon amante. J’ai connu Florence il y a quelques mois au sein de notre club de sport. Nous nous sommes tout de suite plu, et au fil du temps notre relation est devenue de plus en plus sérieuse et prenante. On avait un besoin grandissant de se parler, de se raconter nos vies, nos souvenirs. Ont suivi des échanges de sms, d’innombrables coups de téléphone pour se dire « bonjour » quotidiennement. Puis cela s’est transformé en rendez-vous quasi journalier, on avait besoin de se voir, de s’entendre. Bref, c’était devenu une passion, une drogue.
C’est comme cela que notre relation a commencé, c’est comme cela que débuta une longue histoire d’amour. C’était la première fille qui se donna autant à moi, peut-être lassée par le train-train quotidien de sa vie de couple. Elle avait une confiance totale en moi, on s’aimait et on se le prouvait. Côté sexe c’était extraordinaire, je l’ai connue pudique, réservée, inexpérimentée, et pourtant elle avait soif de savoir, goûter, essayer, jouir, et me donner du plaisir.
Elle a connu beaucoup de premières fois avec moi. Cela avait commencé avec un baiser avec la langue, pour moi c’était insignifiant mais elle y voyait une vraie preuve d’amour, de passion, puis il y eut la fellation, chose qu’elle avait très rarement faite à son mari plus par dégoût qu’autre chose.
Elle m’offrit sa bouche et m’honora en avalant ma semence avec plaisir et délectation, puis il y eut la sodomie, les godes, nos jeux pervers…
Nous étions tous les deux pleins d’entrain, on avait soif de plaisir, de frisson, de jouissance. Ce que je pouvais l’adorer ma Flo, l’écouter gémir, la faire jouir, la faire crier, elle avait ce regard qui me rendait fou quand elle était excitée.
+ + +
Ce soir j’ai rendez-vous chez elle vers vingt heures. C’est notre soirée hebdomadaire qui correspond au déplacement professionnel de son mari. Je vais la rejoindre après mon boulot, juste le temps de faire un crochet chez moi pour prendre une douche et me changer. La consigne qu’elle m’avait donnée, c’était d’être très discret pour ne pas éveiller les soupçons avec un éventuel voisin, bref je dois venir incognito, la porte d’entrée ne serait pas verrouillée.
Toute la journée je n’ai fait que penser à elle, je pensais à nos ébats amoureux passés, je pensais à ce que j’allais lui faire ce soir, lequel des fantasmes j’allais assouvir. Je bande comme un salaud et j’ai déjà ma petite idée en tête.
La nuit est fraîche, je viens de garer ma voiture sur un parking à 200 mètres de chez elle et marche silencieusement jusqu’à sa porte d’entrée. Il n’y a personne dans la rue et comme convenu la porte n’est pas fermée à clef. Mon cœur bat à toute vitesse, je suis à la fois excité, angoissé, troublé. Je souffle un bon coup et entre précautionneusement. Le couloir est plongé dans le noir, seule une lumière s’échappe du salon par une porte entrouverte. J’en profite pour jeter un coup d’œil, elle est là sur le canapé en train de regarder je ne sais quelle émission. Elle porte une petite nuisette rouge qui lui va jusqu’à mi-cuisse. Elle est belle et très désirable, je bande toujours et vais pouvoir enfin mettre en route mon plan pervers.
Mais d’abord je fais marche arrière, prends les escaliers et monte dans sa chambre à coucher. J’allume une des lampes de chevet et pose mon sac avec mes affaires pour la nuit dans un coin. Je récupère quelques ustensiles et gadgets que j’ai préparés et en mets une partie dans les poches de mon jean. Je mets le reste sur la table de nuit. Je sors les oreillers de dessous les draps et les pose l’un à côté de l’autre par terre au bord du lit. Voilà tout est prêt, je vais enfin pouvoir me libérer de ce pantalon trop étroit, je vais enfin rejoindre ma belle amante qui m’excite tant. J’entre dans le salon :
On se prend dans les bras l’un de l’autre et l’on s’embrasse tendrement. Je niche ma tête au creux de son épaule, elle sent bon. Nous restons comme cela un moment, alternant les petits bisous dans le cou, sur la bouche. De temps en temps nous avons des baisers plus appuyés où nos langues se rejoignent. Mes mains parcourent ses épaules, ses bras, puis remontent sur sa nuisette en satin rouge le long de son dos pour redescendre jusqu’au creux de ses reins.
Je plaque mes mains sur ses deux fesses pour l’attirer fermement contre moi et lui faire sentir cette bosse qui déforme mon pantalon. Sa réaction est rapide, elle me plante ses ongles dans le dos et commence à onduler tout en me regardant droit dans les yeux. C’est le bon moment pour lui annoncer :
Elle a l’air étonné et curieux à la fois. Elle se recule et regarde mes poches mais ne voit rien qui puisse la mettre sur la voie. Elle penche légèrement sa tête de côté, se mord la lèvre et me lance un sourire :
Sur ce, elle me tourne le dos, fait quelques pas en avant et fait glisser les bretelles de sa nuisette une à une. Elle tire légèrement dessus et sa nuisette se retrouve à terre. Elle passe ses pieds au-dessus et se penche en avant tout en gardant ses jambes droites et légèrement écartées. Elle garde la pose quelques instants et m’offre une magnifique vue de sa petite chatte et de son anus.
La garce, elle sait comment faire pour m’exciter, mais ce geste ne restera pas très longtemps impuni. Elle se relève, se retourne les mains sur ses hanches avec la poitrine fièrement dressée. Je veux m’avancer pour l’embrasser et lui toucher les seins, mais elle me stoppe et dit :
J’ai l’impression d’être sur un nuage. J’ai là devant moi une superbe fille nue, qui sait que je vais lui faire l’amour, qui sait que je vais certainement réaliser un nouveau fantasme, un acte pervers. J’en tremble d’excitation. Je plonge ma main dans la poche droite et en sors un bout de tissu pas très large et long. Elle me fixe avec étonnement :
Elle me fait un sourire que je lui rends. Puis je me place derrière elle et lui noue le bandeau de tissu autour des yeux. Mes mains se posent sur ses épaules, puis descendent sur ses seins. Un dans chaque main, je les caresse, les soupèse, les palpe. Elle penche sa tête en arrière. Je l’embrasse dans la nuque puis remonte avec une petite série de baisers jusqu’à son lobe d’oreille tout en faisant rouler ses tétons entre mes pouces et index.
Elle lâche un soupir et se retourne pour m’embrasser à pleine bouche. Elle commence à me dévêtir, ouvrant un à un les boutons de ma chemise qui rejoint rapidement le sol. Puis elle s’attaque à la boucle de ma ceinture et aux premiers boutons de mon jean. Elle s’agenouille pour tenter de descendre mon jean et libérer mon sexe. J’ai une terrible envie qu’elle me prenne en bouche, mais je dois suivre mon plan diabolique et l’arrête :
Elle pose une de ses mains sur la bosse qui déforme mon caleçon tandis que l’autre fouille ma poche à la recherche de l’autre surprise. Elle en sort un autre bout de tissu. Elle le palpe et devine que celui-ci est semblable au précédent.
Elle est toujours à genoux et me tend ses bras en avant, m’offrant ses poignets. Cette fois-ci tout est en place. Je vais pouvoir abuser d’elle comme bon me semble, sans aucun complexe, doute ou ambiguïté. Elle est à moi pour la nuit, pour mon propre plaisir et satisfaction.
Cette domination me rend fort et puissant, je bande comme jamais. Je vais pouvoir la prendre sans aucune hésitation, sans demander une quelconque autorisation ou acquiescement de sa part. Ses orifices n’attendent que moi.
Je prends le tissu et son premier poignet, je tourne autour et je fais un double nœud. Je saisis son deuxième poignet et ramène ses deux bras dans le dos. Elle est surprise par une telle initiative. Elle s’imaginait être attachée avec les mains devant, mais pas exhibée de la sorte ! Elle sait que dans cette configuration elle n’a plus aucun moyen de défense, ses mains ne lui seraient plus d’aucune utilité pour repousser mes éventuels assauts. Sa bouche, ses seins, son ventre, son sexe seront totalement accessibles. J’enroule le tissu sur son deuxième poignet pour finir avec un double nœud bien serré.
Je me lève et tourne autour d’elle. Je me débarrasse de mes jean et caleçon. Je suis nu, le sexe dressé, le gland gonflé de plaisir. J’ai l’impression qu’il bat au rythme de mon cœur tellement la pression est forte. Elle est magnifique ma Flo. À cet instant je regrette de ne pas avoir d’appareil photo ou une caméra.
Je m’avance vers elle avec mon sexe à la main et lui caresse du bout du gland la joue. Elle frissonne, tourne la tête et embrasse ma tige. Elle sort sa langue et lui fait parcourir la totalité de sa longueur. Ses allers-retours sur mon sexe laissent des traces de salive, puis elle m’embrasse le bout du gland.
Et à nouveau sa langue prend le relais. Je donne un coup de bassin, passe ses lèvres et fais entrer mon sexe dans sa bouche. Elle commence à me sucer. Je pose mes mains dans ses cheveux et donne un mouvement de va-et-vient à sa tête.
Putain que c’est bon, j’accélère, puis ralentis, j’essaye d’aller de plus en plus profondément, elle a de temps en temps un réflexe de haut-le-cœur. Je sors mon sexe entièrement de sa bouche pour le rentrer à nouveau, quand mon sexe est dehors elle garde sa bouche ouverte et sort sa langue. C’est comme un appel à la jouissance, elle m’offre sa bouche, sa langue, son visage.
Je prends ma verge en main et la plaque contre mon ventre pour lui présenter mes boules. Elle les lèche, les gobe. J’ai envie de jouir et de me répandre dans sa bouche tout de suite tellement cette situation m’excite. Je me remets dans sa bouche et continue mes va-et-vient tout en lui tenant la tête. Ses lèvres pincent ma queue, ses joues sont creusées, et sa langue se bat en continu avec mon gland.
Je viens. Mon corps se crispe et un dernier coup de reins a raison d’une première giclée qui va directement au fond de sa gorge. Je me dégage de sa bouche et elle sort instantanément sa langue où une deuxième giclée de sperme se pose. Une troisième salve laisse une épaisse traînée blanche allant de sa joue jusqu’à la commissure de ses lèvres.
Avec mon index je récupère mon foutre et le lui mets dans la bouche. Elle suce mon doigt, passe sa langue sur le pourtour de ses lèvres et avale ma semence. Elle me sourit fièrement, en fait c’est moi qui viens de craquer.
Et je lui présente mon sexe ramolli qu’elle prend aussitôt en bouche. Elle me lape les dernières traces de sperme et je retrouve rapidement ma vigueur. Je l’aide à se lever, et la fais marcher à reculons. Elle bute contre le fauteuil et s’affale dans un cri de surprise.
Sa position est inconfortable. De sa propre initiative elle met ses fesses au bord du canapé et passe chacune de ses jambes sur les accoudoirs. Elle est comme écartelée. Ses lèvres roses sont ouvertes et brillantes. Je n’ai pas vu qu’elle mouillait autant.
Je passe mes doigts sur sa fente ouverte. Elle s’électrise, son ventre se contracte, et ses fesses se soulèvent. Mon majeur et mon index sont trempés et je les lui présente à ses lèvres. Elle ouvre la bouche et les suce. Je recommence l’opération plusieurs fois, sans jamais enfoncer mes doigts en elle.
J’adore la voir avaler sa propre mouille. Je l’embrasse et devine une odeur de sperme mélangé à sa cyprine. Je quitte ses lèvres pour continuer de l’embrasser dans le cou, sur les épaules et les seins. J’embrasse ses tétons à tour de rôle, leur donne des coups de langue, puis les suce, les aspire.
Flo respire par la bouche maintenant. Ses bouts sont érigés et durs. Son excitation est grandissante. Puis je me mets à genoux juste en face de son sexe ouvert et pose mes mains sur l’intérieur de ses cuisses. J’effleure sa peau et je la vois onduler. C’était comme si elle voulait me présenter son sexe à brouter. Ma tête est à quelques centimètres de son sexe. Je souffle dessus.
Un petit cri aigu suivi d’un long râle sort de sa bouche quand je pose ma langue sur son clito. Du bout de la langue je titille son petit bout, je le fais rouler, je l’aspire. Sa respiration est maintenant rapide et bruyante. Je présente mon majeur à sa bouche et lui dis de bien le mouiller. Je reprends mon léchage mais cette fois-ci je ne me contente pas seulement de son clito mais me promène sur ses lèvres. Je la lape tel un petit chat tout en y déposant un maximum de salive. Je pose le bout de mon majeur humide sur son anus et l’enfonce d’un coup jusqu’au bout !
Je continue de la lécher, enfonce ma langue, mon doigt est maintenant actif dans son petit cul serré. Elle gémit et ondule. C’est à ce moment-là que je décide d’arrêter. Je retire ma langue et mon doigt. Elle est comme folle, hystérique, au bord de l’orgasme. Moi je bande.
Je l’aide à se lever. Ses jambes flageolent. Elle se tourne et je me colle à elle. Elle sent le bout de ma queue raide contre ses mains. Elle essaye de l’attraper avec ses mains entravées. Nous faisons le tour du fauteuil pour sortir de la pièce et rejoindre le couloir. Elle n’a aucune assurance et fait des petits pas pendant que j’en profite pour lui malaxer les seins. Arrivés au bout du couloir j’appuie des deux mains contre ses épaules, pour plaquer ses seins contre la porte d’entrée. Ce contact froid sur sa peau la surprend, cette cruauté me réjouit.
Ses jambes sont maintenant écartées de plus d’un mètre. Elle a une croupe merveilleuse. Une fois encore elle m’offre un vue extraordinaire. Ses lèvres sont entrouvertes et je vois son anus plissé. Alors qu’une main la maintient toujours plaquée contre la porte, je pose l’autre sur sa fesse. Je la caresse, elle en a la chair de poule et me tend son petit popotin comme si elle voulait que je la prenne sauvagement contre la porte. C’est alors que je lui balance une série de trois claques fermes qui résonnent en même temps que ses cris dans le couloir.
Sa fesse est rougie et a la marque de mes doigts.
Je la saisis par les cheveux, et dirige sa bouche jusqu’à mon sexe pour l’obliger à me sucer. C’est dans cette position que nous montons à l’étage. Arrivés en haut nous sommes devant la porte de sa chambre. Je la relève pour l’embrasser à pleine bouche. Je prends ses seins en main, lui pince les tétons, puis je lui caresse la chatte. Je touche son clito, la doigte avec un puis deux doigts.
C’est à cet instant que je deviens fou d’excitation. Je n’ai plus envie de lui faire l’amour mais de la baiser avec ma queue toute raide. Je la saisis par le bras et la tire à l’intérieur de la chambre, je l’amène devant les oreillers que j’avais positionnés devant le lit et lui ordonne de s’agenouiller dessus. Puis je la pousse en avant et elle tombe de tout son poids sur le lit. Je ne suis plus moi-même.
Je lui écarte les genoux, crache dans ma main de la salive et l’étale sur sa fente. Je me mets derrière elle à genoux et pénètre son vagin d’un coup. Elle est trempée et bouillante. C’est comme un soulagement pour elle. Elle lâche un long cri. Je reste au fond d’elle quelques instants avant de sortir. Puis je place mon gland sur son anus et force le passage avec la même conviction. Son anus n’offre presque pas de résistance et tout mon sexe rentre brutalement. Elle crie et lance de longs « ahhh », je sors ma bite jusqu’au gland pour l’enfoncer à nouveau bien à fond.
Elle tire sur ses liens, serre les poings. Je me redresse sur mes jambes et plaque mes mains sur ses omoplates et continue de la sodomiser avec force et amplitude. Je vois à présent qu’elle mord les draps tout en continuant de crier. Je crois que c’est la première fois que je la sodomise avec autant de violence. Ses cris me résonnent dans la tête. Je suis sur le point d’exploser, de me vider dans son cul, mais la situation me plaît trop, je veux faire durer le plaisir. Garder cette trique, la fourrer, la faire encore crier.
Une pénétration de plus et je crois que j’éjacule. Je sors complètement. Son anus reste ouvert quelques instants avant de se refermer petit à petit. Sa chatte, ses cuisses sont couvertes de cyprine. Flo ne bouge pas, elle est comme inanimée. On n’entend juste qu’elle respire bruyamment par la bouche.
Je l’embrasse sur la fesse et l’aide à se relever. On dirait qu’elle vient de finir un marathon. Tout son corps est endolori. Je l’aide à s’asseoir au bord du lit, me mets derrière elle pour lui défaire le double nœud et libérer un de ses poignets. Je me place à côté d’elle et elle se laisse tomber en arrière quelques instants avant de vouloir ôter son bandeau.
Je l’en empêche en lui attrapant la main et la pose directement sur mon sexe encore tout dur. Instinctivement elle me branle tout doucement.
On s’enlace. Tout en l’embrassant je lui fais lâcher mon sexe et remonte ses bras au-dessus de la tête, saisis le tissu qui est encore attaché à l’un de ses poignets et le passe à un des barreaux du lit, puis le rattache à son autre poignet. Je prends les deux coussins par terre pour les mettre un sous ses fesses et l’autre sous sa tête.
Je lui écarte les cuisses. Elle est à nouveau offerte et en position d’attente. Je veux jouir en elle. Je dois juste me décider par quel orifice. Mais au fond de moi je sais déjà, je veux jouir dans son cul, me répandre dans ses entrailles. Je prends les deux godes que j’avais préparés sur la table de nuit. Le premier est de taille normale, tout doré avec un bout arrondi et une base noire avec un variateur de vitesse.
Le second est en latex rose imitant parfaitement le chibre d’un acteur porno. Il est doux, veineux avec un gros gland et il peut aussi vibrer. Il est plus large que mon sexe et plus long de quelques centimètres.
Je mets le doré en route. Flo reconnaît tout de suite le bruit et me sourit. Enfin un peu de douceur, doit-elle penser. Je fais quelques passages sur son ventre, ses seins, ses cuisses, ses lèvres. Je le pose sur son clito, elle adore et commence à ahaner bruyamment. Puis je l’enfonce dans son vagin, et fais quelques allers et retours. Elle écarte d’avantage ses cuisses, je sors le gode et coupe la vibration, mets de la salive sur le bout de mon gland et m’enfonce à moitié dans son anus. Je décide de prendre l’autre gode pour combler sa chatte. Au contact, elle reconnaît tout de suite la douceur de la texture du grand gode rose.
Je fais pénétrer le gode rose et pousse encore mon sexe un peu plus profondément dans son cul. Mon voisin prend beaucoup de place et je suis encore plus comprimé dans son fondement. Je commence à la limer d’une façon très régulière et je fais de même avec le gode. Le fait d’avoir surélevé ses fesses avec le coussin me laisse un peu d’amplitude avec le gode pendant que je la sodomise. Des fois je lui enfonce le gode quand je me retire et des fois je synchronise les pénétrations.
Je mets la vibration en route. Ses petites vibrations me chatouillent et m’excitent encore plus. De son côté Flo prend beaucoup de plaisir et gémit.
Je me mets à accélérer. J’enfonce le gode rose profondément, il y a juste le mécanisme pour régler les vibrations qui dépasse encore. Cela déclenche en elle le début de son orgasme. Je continue de la labourer en ne me préoccupant plus du gode. Je redeviens à nouveau sauvage. À chaque coup de reins je m’enfonce en elle jusqu’à la garde, et empêche par la même occasion au gode rose de sortir de son ventre. Flo est sur le point de jouir.
Je lui ôte son bandeau. Je veux la regarder jouir droit dans les yeux et profiter de son petit visage d’ange. Son corps tout entier se raidit, elle cherche son souffle, sa poitrine se gonfle, ses tétons sont dressés, ses fesses se contractent sur ma queue, ses cuisses se resserrent augmentant la sensation des vibrations dans son vagin et sur ma queue.
Je sens ma sève monter et essaye de résister le plus longtemps possible. Je prends le gode doré en main, le mets en marche sur la puissance maximum pour le poser sur son clito. Flo terrassée par son orgasme secoue sa tête pour me dire non, elle a un regard qui me supplie de ne pas faire cela.
Au contact elle se fige, plus aucun son ne sort de sa bouche. Après juste quelques secondes de ce traitement Flo est au supplice, son orgasme ne s’arrête plus, elle ne crie plus, elle pleure, tellement c’est fort et puissant. Tout son corps tremble, elle est prise de spasmes incontrôlés. Je suis allé au-delà de son orgasme, de sa jouissance habituelle.
Je jouis à mon tour en me calant au fond de son cul avec les deux engins vibrants. J’ai crié à mon tour au rythme de mes éjaculations.
Je suis en transe, vidé. Je retire les godes, les coupe. Je détache les mains de ma soumise. Nous nous enlaçons. Elle dort déjà et seuls quelques petits spasmes troublent sa béatitude.
Ce soir, elle m’a tout donné, sa bouche, son visage, sa chatte, son cul, sa jouissance, son âme. Je n’oublierai jamais. Je l’aime.
Au petit matin, mon réveil sonne, je me lève direction la douche. J’ai l’impression d’avoir rêvé, d’être sur un petit nuage, je me remets à bander en pensant à toutes ces images qui défilent dans ma tête. Un baiser furtif sur l’épaule de la belle Florence et je m’éclipse aussi discrètement que j’étais venu. Je voudrais arrêter le temps, revenir en arrière pour revivre ces moments magiques, mais à quoi bon, la semaine prochaine nous allons nous retrouver et nous nous aimerons encore et encore…