n° 12825 | Fiche technique | 13071 caractères | 13071Temps de lecture estimé : 8 mn | 06/09/08 |
Résumé: Sur le chemin des vacances, je fais la connaissance de l'oncle de mon meilleur ami... | ||||
Critères: h hh hplusag hsoumis hmast fellation hsodo init | ||||
Auteur : Monsieur X |
Je n’ai pas très bien compris comment je me suis retrouvé dans cette situation, mais je suis bien là, complètement à poils devant l’oncle de mon meilleur ami, dans sa salle de bain avec son regard qui parcourt mon corps et son sourire qui signifie beaucoup de choses.
Revenons donc quelques jours plus tôt pour comprendre le pourquoi de la situation.
Avec Arnaud, mon meilleur ami, nous décidons de partir quelques jours en vacances sur la Côte d’Azur pour bien profiter du soleil et des filles avant de reprendre le boulot. Nous travaillons comme magasiniers dans une grande surface.
Nous partons avec sa voiture et il me propose de passer la journée chez son oncle, qui habite sur le chemin de nos vacances. Bien que je connaisse Arnaud depuis plus de quinze ans, je n’ai jamais rencontré son oncle et je suis enchanté par cette idée.
Nous arrivons ainsi chez Jean-Pierre vers seize heures. Je découvre alors un homme charmant, de vingt ans notre aîné, très serviable et également très heureux de me rencontrer, après avoir entendu parler de moi depuis si longtemps. Jean-Pierre nous propose de rester chez lui ce soir et de ne partir que le lendemain pour ne pas avoir à faire un voyage de nuit. Nous acceptons volontiers et nous installons dans la chambre d’ami.
Jean-Pierre vit dans une belle maison à étages, avec un immense jardin et une piscine dont il ne se sert que très rarement. Sa maison est à son image, très ordonnée et toujours très propre.
Vers dix-huit heures, alors que Jean-Pierre s’occupe de ses plantes dans son jardin, Arnaud me dit qu’il souhaite descendre au village afin de dire bonjour à tous les gens qu’il connaît. Légèrement fatigué par le voyage, je préfère rester à la maison. C’est ainsi qu’Arnaud prend sa voiture et disparaît au bout de l’allée.
Soudain, pris d’une envie pressante, je me dirige vers la salle de bain de l’étage, entre et ferme le verrou. Je m’approche des toilettes et mon regard est attiré par un magazine posé par terre à côté.
Je suis décontenancé et passablement dégoûté par ce que je vois : il s’agit bien d’un magazine porno, mais celui-ci ne comporte que des photos d’hommes se léchant ou s’enculant, UN PORNO GAY !
Mais là, l’impensable (en tout cas pour moi) se passe : mon sexe commence à gonfler dans mon pantalon. Je suis abasourdi de voir que je peux être excité par de telles photos, mon érection devient incontrôlable et atteint son maximum avant que je comprenne pourquoi.
Mon excitation est telle, que presque instinctivement ma main descend sur mon sexe. Je commence à me caresser à travers le pantalon puis, gêné par ce rempart trop imposant, ce dernier se retrouve rapidement sur mes chevilles, quelque secondes plus tard, mon slip suit le même chemin, libérant mon sexe dans une érection folle et presque douloureuse.
Je m’assieds sur le rebord de la baignoire et pour ne plus être gêné par quoi que soit, tour à tour, mes chaussures, mes chaussettes et mon tee-shirt rejoignent le reste de mes vêtements à terre.
Complètement nu, je me branle en regardant des photos sur un magazine gay. Sur une photo, un jeune mec, assez chétif suce un mec très musclé habillé en militaire. Sur une autre, un noir se fait enculer par un blanc, ou encore un où plusieurs mecs se branlent autour d’un autre mec le visage déjà couvert de sperme.
Je n’aurais jamais cru cela possible, mais toutes ces photos m’excitent et me mettent dans un état assez indescriptible.
Et puis… la porte de la salle de bain s’ouvre, Jean-Pierre entre et se retrouve ainsi face à moi.
Totalement paniqué, je tente tant bien que mal de cacher mon sexe avec le magazine, je devient rouge pivoine et reste planté là ne sachant trop quoi faire, ni quoi dire.
En fait, les premiers mots qui me viennent à la bouche sont :
Ses derniers mots me laissent totalement con et je suis incapable de dire quoi que soit.
Malheureusement pour moi, la situation me rend un peu gauche et je ne sais pas quoi faire… Ramasser mes vêtements au sol en lâchant le magazine couvrant mon sexe ou bien sortir de la pièce avec le magazine entre les jambes ?
Ce petit moment de réflexion est de trop et Jean-Pierre en profite pour redémarrer la conversation.
La vérité, c’est que malgré ma réticence affichée, j’ai au fond de moi, très envie de le sucer, pour voir, pour ne pas mourir idiot comme on dit.
Comme une invitation, je me rassied sur le bord de la baignoire et laisse tomber le magazine au sol, dévoilant mon sexe toujours aussi bandé.
Jean-Pierre s’approche et s’agenouille devant moi, sa bouche n’est plus qu’à quelques millimètres de mon sexe et puis, le grand moment, ses lèvres entourent mon gland et je sens sa langue jouer avec mon frein, ses mains parcourent ma queue et mes couilles, pendant que sa bouche s’occupe du gland.
Il me suce quelques instants, mais je sens bien qu’il préférerait que les rôles soient inversés. Prenant l’initiative, je me lève et m’agenouille aussitôt devant lui, son pantalon se retrouve très vite au sol et je remarque alors qu’il ne porte pas de sous-vêtements.
Son sexe m’est offert instantanément, il est de taille normale, bien dessiné et entièrement épilé avec un gros gland rosé que je m’empresse de prendre en bouche. C’est la première fois que je suce un mec, mais sentir cette queue dans ma bouche est une sensation qui me plait tout de suite.
J’essaye de reproduire sur Jean-Pierre ce que plusieurs filles m’ont déjà fait avec leur bouche, visiblement, il apprécie mon action, alternant petites sussions et branle intensive. Ma langue descend jusqu’à ses couilles pendant que ma main branle sa tige sur toute sa longueur.
Mais visiblement, cela ne suffit pas à Jean-Pierre, il en veut plus, il veut mon cul.
Je m’exécute et me retrouve alors debout, une jambe relevée sur le bord de la baignoire et Jean-Pierre à genoux au niveau de mon cul. Je me sens complètement offert à lui et je sens mon anus s’ouvrir aux fantasmes de mon initiateur.
Sa langue se pose soudain sur ma grotte, la sensation m’électrise et me provoque un petit sursaut, mais Jean-Pierre sait très bien ce qu’il fait et semble être un expert en la matière. Il dépose de la salive sur mon anus et l’étale avec sa langue.
Effectivement, très vite, un doigt vient se poser à l’entrée de mon petit trou, l’inquiétude me gagne et ressentant le malaise, Jean-Pierre se fait de plus en plus doux, il caresse l’intérieur des mes cuisses, me lèche à nouveau l’anus et remet son doigt à l’entrée.
Très lentement, je sens son doigt s’introduire dans mon cul, puis en ressortir presque aussitôt, il refait cela plusieurs fois, puis introduit un deuxième doigt, me faisant légèrement grogner de douleur et de surprise.
Il me doigte le cul avec son index et son majeur, la sensation est agréable et très peu douloureuse, mais je sais que le plus gros reste à venir.
Et il se trouve que Jean-Pierre commence à s’impatienter lui aussi.
Nous nous retrouvons donc sur le lit de Jean-Pierre, il me demande de me mettre à quatre pattes et de me cambrer au maximum pour bien lui offrir mon cul.
Dans cette position, je sens qu’il peut faire ce qu’il veut de mon anus, je suis totalement soumis à ses moindres désirs.
Encore un peu de salive déposée sur mon petit trou et déjà je sens son sexe se positionner sur mon anus. Cette fois, ça y est, pour la première fois de ma vie, une queue va pénétrer ma grotte encore vierge.
J’essaye tant bien que mal de me décontracter, mais le stress et la peur me paralysent et mon anus ne veut pas céder sous la pression exercée par Jean-Pierre. Il recommence alors ses caresses et sa délicatesse me permet petit à petit de me détendre, il en profite pour entamer sa progression, millimètre par millimètre, et bientôt, c’est son gland qui est entré en entier dans mon cul.
Aucune véritable douleur ne se fait sentir, mais j’ai bien remarqué que son sexe est plus épais au niveau de la tige.
Le voilà qui rentre sa queue progressivement au fond de mes entrailles et même si une douleur plus vive se fait sentir, elle reste tout à fait supportable. Je ne sais pas si c’est la délicatesse de Jean-Pierre ou le fait que mon cul puisse supporter ce genre d’intrusion très facilement, mais lorsque Jean-Pierre est entré complètement en moi, je ne peux pas dire avoir eu vraiment mal.
Sentant ce bien être et certainement encouragé par mes gémissements de plaisir, il accélère ses mouvements et des sensations d’extase me parcourent tout le corps, des pieds à la tête. Je n’aurais pas imaginé prendre autant de plaisir à me faire enculer et je suis heureux de ressentir moi-même ce que j’ai fait à plusieurs filles auparavant.
Je peux entendre le plaisir de Jean-Pierre et le sentir également, en effet, il accélère encore légèrement ses mouvements de bassin, puis soudainement se retire de mon anus.
Je comprends à cette phrase qu’il est proche de la jouissance.
Nous reprenons donc possession de la salle de bain, Jean-Pierre me demande de me mettre dans la baignoire en lui tournant le dos et en mettant les mains sur le mur.
Il vient se placer derrière moi, me relève légèrement les fesses et réintroduit presque instantanément son sexe dans mon cul.
La surprise m’arrache cette fois un petit cri de douleur, mais très vite le plaisir revient.
Jean-Pierre ne peut se retenir très longtemps et plusieurs jets de sperme chaud m’inondent les entrailles. Cette sensation de recevoir ce liquide au fond du cul est l’un des meilleurs moments de la soirée.
Puis, il se retire de mon anus et presque aussitôt, son sperme me coule le long des jambes. Avec sa main il récupère une partie du fruit de sa jouissance et me la donne à lécher, ce que je fais sans dégoût. J’aime même beaucoup ça.
Encore un peu abasourdi par cette expérience, et incapable de faire quoi que soit, c’est Jean-Pierre qui saisit ma queue et me branle énergiquement.
L’excitation de la soirée étant toujours aussi forte, je ne suis pas long à éjaculer une quantité impressionnante de sperme, directement au fond de la baignoire.
Après nous être douché tour à tour, Arnaud fait son retour à la maison et Jean-Pierre et moi n’avons pas l’occasion de discuter de cette folle soirée.
Le lendemain, avant de partir je laisse un petit mot sur son lit :
Merci pour cette formidable expérience, j’ai découvert une nouvelle facette de moi-même et j’ai vraiment aimé cette soirée. Si un jour je repasse dans le coin, je viendrai te dire bonjour et peut être plus…