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Temps de lecture estimé : 40 mn
08/09/08
Résumé:  Un couple de vieux amis partent en balade au bois de Boulogne pour une séance de photos au soleil. La séance amicale dérape un peu, d'autant qu'un garde-chasse monté comme un âne a la bonne idée de passer par là...
Critères:  fh fhh inconnu copains grossexe groscul forêt voir exhib photofilm fellation pénétratio sandwich fsodo fouetfesse -fhh -nature
Auteur : Ln007  (Hélène et Marc)            Envoi mini-message
Au bois

On s’est retrouvés un jour de juin à quatorze heures à la Porte Dauphine, à l’orée du Bois. Pour deux personnes qui entretiennent une relation seulement amicale, l’objet de notre rendez-vous est plutôt atypique. Sans compter qu’entre autres difficultés, la réussite de « l’entreprise » est avant tout subordonnée au bon vouloir de la météo. Dieu merci, la température est douce en cette saison quasi estivale et le ciel est dégagé. C’est un bon point mais rien n’est acquis !


Elle est arrivée d’un pas nonchalant, les cheveux noués, un sac de toile en bandoulière, vêtue d’un petit chemisier blanc légèrement transparent et d’une jupe courte et serrée. Elle ressemble à une étudiante à la fois sage et insouciante, qui s’offre une petite balade au vert.


Nous reparlons de mon idée sur un ton apparemment badin mais elle ne semble toujours pas convaincue. Elle est sceptique, pas tant sur le déroulement des opérations, que par rapport au résultat escompté. Elle ne se trouve pas très photogénique. Chemin faisant, je lui rappelle que mon idée n’engage à rien et que si elle tourne au fiasco, ça n’aurait strictement aucune importance. Au moins nous aurions fait une belle promenade au milieu de la chlorophylle. Elle acquiesce d’un haussement d’épaule mais à vrai dire je ne sens pas très bien le coup.


Il reste à trouver le lieu approprié, ce qui n’est pas aisé compte tenu de la densité de population parisienne en baguenaude. Après nous être écartés des sentiers battus, nous abordons une végétation plus luxuriante. Elle ouvre la voie et chaloupe en évitant les ronces. Sa petite robe faussement sage moule ses fesses et je jette des regards furtifs sur le mouvement de ses hanches.


Un petit coin s’offre à nous et un regard circulaire nous confirme qu’il n’y a pas âme qui vive à cent mètres à la ronde. Surtout, nous sommes protégés des regards indiscrets par toutes sortes de fourrés et d’arbustes assez hauts. Au bout de quelques minutes, on se croit presque seuls au monde. Les choses sérieuses peuvent enfin commencer !


Il était convenu que le scénario serait soft et progressif. Je n’ai pas d’appareil numérique pour vérifier la qualité des photos mais avec une pellicule de 36 vues (plus une autre au cas où le jeu lui plairait !), nous ne sommes pas démunis. J’essaie de la convaincre de poser naturellement, comme si de rien n’était. Vaste programme.

Elle pose son sac à terre et se prête de mauvaise grâce, avec une pose empruntée, aux trois premières photos. Ses lunettes de soleil dissimulent mal un visage figé. Elle m’avait d’ailleurs prévenu qu’elle détestait « poser bêtement ». Je lui demande alors de faire comme si elle était seule, de se laisser aller, bref de m’oublier ! Elle relâche ses cheveux, son visage s’éclaire un peu et elle me lance sa première mise en garde.



Ça commence bien, en effet…

Les trois photos suivantes sont meilleures. Toujours debout, elle pose de façon plus naturelle et n’a plus les yeux rivés sur l’objectif. La bouche entrouverte, les lunettes relevées, elle mordille un brin d’herbe, prêtant ainsi à son visage une expression vaguement romantique et légèrement sensuelle. Je lui parle pour qu’elle reste naturelle et constate avec soulagement qu’elle commence à se détendre. J’en profite pour faire d’autres photos de son minois, sans qu’elle regarde l’objectif.



Qu’à cela ne tienne. Je lui suggère de progresser dans la présentation, prétextant que je n’ai qu’une pellicule et que nous ne pouvons nous permettre de rater les photos.



Sitôt dit, sitôt fait. Elle regarde cette fois l’objectif avec plus d’aisance.



Elle dévoile ses épaules, croise les mains sur sa poitrine, et m’offre un petit sourire de vacancière pendant que je la shoote. Elle se tourne spontanément, relève ses cheveux pour dégager sa nuque et me demande de faire une autre photo de trois quarts arrière avec le même cadrage pour que n’apparaisse toujours pas le tissu.


Tout ça n’est pas mal mais ça reste banal et beaucoup trop sage à mon goût. Je décide d’aller un peu plus loin.



Je m’apprête à prendre la photo mais la présence du soutien-gorge dessert le tableau. Je lui demande de l’enlever le temps de la pose. Elle affiche une petite moue d’hésitation mais elle obtempère. En deux temps trois mouvements, elle s’est délestée discrètement de son armature. Elle croise à nouveau ses mains sur sa poitrine et je la shoote à nouveau. La sensualité gagne du terrain. Son dos nu exposé à la lumière naturelle, son chemisier négligemment abandonné sur sa jupe apportent sans conteste une connotation érotique à la scène.


Je lui fais part de mon sentiment et lui propose d’exploiter cette pose. Je lui demande de bien vouloir garder la même position, mais en baissant un peu sa jupe, de sorte que le froncement de son chemisier se trouve cette fois sous les hanches et laisse entrevoir le haut de ses fesses. Elle accepte sans barguigner et offre à l’objectif une perspective encore plus prometteuse.



Des deux pouces, elle fait descendre le tissu. Elle est nue jusqu’à la naissance des fesses. Surtout, on ne voit pas sa culotte. Spontanément, elle relâche ses bras et pose ses mains sur ses hanches. La chute de reins est mise en valeur et on aperçoit discrètement le galbe et la pointe de son sein gauche. L’illusion est parfaite : si les photos sont bien cadrées, on l’imaginera nue sous son chemisier. Tout à trac, elle me dit :



Elle a reboutonné son chemisier mais son soutien-gorge gît toujours par terre. A-t-elle vraiment envie d’en rester là ? Je la sais a priori très pudique mais cet « oubli » contredit quelque peu son propos. À travers la soie que la lumière rend plus transparente, je devine sans peine le contour et la pointe de ses seins. Le contrat que nous avions passé est clair (rien que des photos, en tout bien tout honneur) mais je sens poindre en moi une certaine excitation.



Je cadre le buste et le visage et prends deux photos.



Elle lève les yeux au ciel puis tourne la tête pour s’assurer que personne ne nous voit. Elle marque un temps d’hésitation et enfin, d’un air un peu contraint pour montrer quand même sa réticence, elle enlève son chemisier. La poitrine nue, seulement vêtue d’une jupe courte et serrée, elle est plutôt bandante. D’ailleurs je sens ma queue gonfler dans mon pantalon… Ses seins ne sont certes pas très volumineux, mais ils sont fermes et hauts et ont une jolie rondeur. Je prends trois photos, la dernière en plan rapproché car je veux qu’on voit bien ses tétons ! Elle me regarde avec effronterie.



Au moins ça la fait rire. Je remarque que son expression a changé. Son regard vif trahit un soupçon d’intérêt. Elle semble commencer à prendre goût au jeu et en mon for intérieur je prie pour que rien ne vienne l’interrompre.



Sous couvert d’hésitation, j’y vois un aveu. Non seulement elle a vaincu ses premières réticences, mais elle semble prête à casser d’autres barrières. Je ne m’en étonne pas. Sous un dehors classique et intello, j’avais déjà remarqué en elle une prédisposition à sortir des sentiers battus pour emprunter des chemins de traverse qui mènent tout droit aux plaisirs que d’autres s’interdisent. C’est d’ailleurs cette ambivalence feutrée qui m’avait séduit chez elle : ce mélange de classicisme bon teint et de sensualité résurgente. Son adhésion aux conventions sociales ne l’empêche pas, in fine, d’assouvir ses envies secrètes.



Elle a raison. Notre enclos est trop confiné pour la suite de nos aventures.



Naturellement, elle s’apprête à se rhabiller.



Son rire incrédule fuse mais elle est décontenancée, oscillant entre la raison qui exige qu’elle recouvre immédiatement sa pudeur et une envie naissante de transgresser un interdit qui, à bien y réfléchir, n’est pas si dangereux que ça. On n’est pas au Jardin du Luxembourg. Elle hésite encore, fait mine de se rhabiller puis se ravise.



C’est gagné. Autant pour elle que pour moi. Elle fourgue son soutien-gorge dans son sac et ramasse son chemisier. Pendant les premiers pas, elle est sur le qui-vive, plaquant l’étoffe sur sa poitrine, et ne cesse de regarder dans toutes les directions en maugréant « C’est n’importe quoi ! » et autres appréciations du même acabit. En fait de quelques pas, nous zigzaguons entre les fourrés, les taillis, les ronces et autres herbacées qui gênent notre progression. Elle finit par libérer sa poitrine. Elle est plus à l’aise et elle cesse de ronchonner.


Pendant que nous déambulons, je reluque le balancement harmonieux de ses épaules et de ses seins. Je ne sais si le sourire énigmatique qu’elle affiche maintenant reflète la cocasserie de la situation ou s’il augure un futur prometteur. En tout cas, elle prend un plaisir de moins en moins dissimulé à errer les seins nus dans ce décor champêtre. Elle n’est plus sur la défensive, elle assume sa liberté. La situation devient émoustillante. Nous échangeons un sourire silencieux, certains désormais que notre jeu ira crescendo. La connivence aidant, tout devient plus facile.


Je la précède et prends quelques photos. Tout en marchant, elle sourit à l’objectif, qui est devenu son grand complice. Une autre barrière est tombée.


Après cinq minutes de marche, nous apercevons une vieille maison, dans l’enceinte d’un petit parc, sans doute destinée aux gardiens ou aux ouvriers des Parcs et Jardins, comme il s’en trouve quelques-unes dans le Bois. Le terrain est clôturé par un mur. À première vue, la maison est inhabitée, tous volets fermés et envahie de lierre. Elle semble intéressée.



Oui, mais à condition qu’il n’y ait personne. Je fais rapidement le tour de l’enceinte. Un gros portail en bois est cadenassé et la chaîne est rouillée. Revenu sur mes pas, je lui fais la courte échelle pour qu’elle se hisse sur l’acrotère.



Elle est assise en amazone sur le mur et je prends une photo en contre-plongée. Je lui passe ses affaires et entreprends d’escalader le mur. De l’autre côté se trouve un talus qui va faciliter notre descente. Un rapide coup d’œil nous confirme que les lieux sont désaffectés. L’endroit ne ressemble pas à un Éden mais il est propre et on pourra poursuivre, désormais en toute liberté, notre petite séance de photos de charme.


Elle s’assoit sur une souche, les jambes croisées haut dévoilant ses cuisses et allume une cigarette. J’aime cette pose, classique et ultra féminine, et j’en profite encore pour prendre une photo. Plus je l’observe, plus je la trouve sensuelle, comme si son corps et son esprit se libéraient. Le regard lointain, elle semble réfléchir à la suite des opérations. Je la laisse à ses cogitations et j’en profite pour en griller une. Elle se lève enfin, semblant avoir pris une décision.



Elle me regarde avec un sourire incrédule.



Elle s’exclame comme si elle répondait à une incongruité, mais mon propos n’est pas pour lui déplaire. Elle attend simplement que je lui suggère ce qu’elle consentira à faire, à condition d’y mettre les formes.



Je lis dans son regard toute la malice du monde.



Avec une lenteur calculée, elle dégrafe sa jupe, la plie soigneusement et la range dans son sac. Elle n’est donc pas pressée de la remettre… Sa petite culotte de dentelle noire, largement échancrée, damnerait un saint ! Moi qui pensais qu’elle porterait une banale culotte de coton, je suis ravi de cette découverte… Le triangle du tissu voile à peine son pubis, soulignant le galbe de ses hanches, et ses fesses sont presque nues, désormais offertes à la convoitise.



Elle pince les lèvres et pivote lentement comme une petite fille, les bras en suspension, pour que je m’imprègne du spectacle. J’ai un faible pour les femmes qui ont une morphologie gynoïde, les épaules étroites, la taille fine, toutes en courbes à partir des hanches. C’est exactement son cas.



Sa réflexion ne l’empêche pas d’être consciente de l’effet qu’elle provoque. Elle commence à arpenter le terrain et une nana qui se balade en petite culotte dans la nature, forcément ça ne laisse pas indifférent un homme normalement constitué. J’écarte les branches devant son passage et nous furetons. Personne n’est venu ici depuis longtemps. Revenu à notre point de départ, je m’approche d’elle et ne peux m’empêcher de passer une main baladeuse sur ses fesses bien rondes, l’assurant qu’elles sont aussi délicieuses au toucher qu’au regard. Elle apprécie le compliment mais me rappelle qu’on est là pour faire des photos.


Elle a une idée derrière la tête. C’est elle qui va prendre les commandes, cette fois. Elle me tourne le dos, s’accroupit devant la souche et y prend appui sur les coudes. Les sangles de ses sandales croisées sur ses chevilles ajoutent à la provocation.



Ce que j’en pense ? J’ai devant moi une fille qui commence à devenir sérieusement délurée ! Foin de minauderies, la voici accroupie sur la pointe des pieds, les cuisses écartées en position propice à l’empalement, vêtue en tout et pour tout d’une minuscule dentelle arachnéenne dévoilant bien plus qu’elle ne cache ses rondeurs fessières.



Je prends trois photos. L’une de face afin de capter son visage qui en dit long sur ses talents cachés, une autre en hauteur, vue de dos pour avoir une vue d’ensemble, et enfin une dernière, carrément braquée sur son cul somptueux, sans qu’elle s’en aperçoive.



Joignant le geste à la parole, je lui relève les épaules et exerce une petite pression sur la cambrure de son dos pour faire ressortir encore mieux la rondeur de ses deux hémisphères. Elle a la position altière de la femelle en passe de s’offrir, ni debout ni soumise. Mon sexe est à hauteur de son visage et elle ne peut ignorer la protubérance dans mon pantalon. Elle ne dit rien. Encore deux photos…



Quoi, déjà ? Elle qui était si bien partie, pourquoi s’est-elle ravisée ? Pas exactement… Plutôt que de se relever, elle pose les genoux à terre et reste immobile, les bras croisés sur la souche. Je suis un peu décontenancé par cette curieuse interruption de séance. Je décide de prendre les devants.



Le plaisir n’en sera pas gâché pour autant… Je pose l’appareil photo, m’agenouille derrière elle et entreprends de la masser délicatement, là où elle est censée avoir mal. Mais là, justement, à voir son cul tendu à trente centimètres de mon visage, j’ai un appétit d’ogre ! Je bande dur et j’ai une envie irrépressible de lui arracher sa culotte, pourquoi pas avec les dents ! Mais il faut que je me contienne et je la masse lentement, derrière le genou en remontant jusqu’en haut des cuisses.


Elle a une peau lisse et douce, dédiée à la caresse. J’observe que ma sensation tactile est décuplée par cette séance de photos. À l’avoir ainsi longuement caressée des yeux à travers l’objectif, dans son dénuement progressif, je me suis en quelque sorte imprégné de sa peau. Il y a quelque chose d’intime et d’émouvant dans cette perception.


Et elle, que ressent-elle ? Je me penche en avant. Elle est alanguie, la tête inclinée sur le côté, les yeux clos et affiche un petit sourire d’aise. J’approfondis un peu mon massage. Mes mains s’immiscent imperceptiblement dans l’aine et frôlent le tissu. Du bout des doigts, je devine sa vulve à travers la soie.



J’adore ce genre de réponse qui invite implicitement à continuer. Le massage prodigué prend une autre tournure et elle ne s’en effarouche pas. Alors je continue. J’accentue les caresses d’une seule main entre les deux cuisses. Je m’engage sur un sentier plus audacieux et j’en arrive à caresser maintenant du bout des doigts sa vulve. Je sens qu’elle mouille. C’est un délice absolu d’effleurer son mont de Vénus à travers le tissu humide. Je n’en peux plus, il faut absolument que je libère ma queue qui me fait souffrir le martyre. Elle est comprimée dans mon pantalon et si je ne fais rien, elle va exploser. D’une main, je déboutonne ma braguette le plus discrètement possible et je la sors, gonflée à bloc, raide comme un pieu. Enfin à l’air libre ! Si elle se retourne, j’aurai l’air malin…


Elle sait dans quel état je suis et elle en joue. Imperceptiblement, elle écarte encore un peu les cuisses, exhale un soupir.


J’ai trop envie d’elle. Advienne que pourra ! Plutôt que de continuer à la caresser à travers la soie comme un puceau, je prends la lisière de sa culotte entre les doigts et la fais glisser doucement sur ses hanches. Lentement, la raie de ses fesses se dévoile. Elle ne proteste pas. Je continue. Me voilà arrivé à mi-parcours. Consentante au dénuement définitif, elle me laisse faire. Elle déplie un court instant les jambes pour faciliter la tâche et reprend sa position initiale.


La voici intégralement nue, « vêtue » de ses seules sandales, exhibant la plénitude de son cul dans une superbe impudeur alors qu’il y a une heure à peine, elle s’effarouchait de devoir montrer ses seins. Elle ne bouge toujours pas mais son souffle est court. Je suis troublé par la tournure des événements.



De sa part, une telle réflexion ne m’étonne pas. Je suis censé endosser la responsabilité de ce qui se passe et bien sûr, elle n’est qu’une pauvre victime abusée. Ça ne me choque pas outre mesure. Ça fait partie de notre petit jeu de rôles.



Elle veut bien. Je caresse sa croupe à pleines mains comme si je la modelais, me repaissant de ses rondeurs.



Mes doigts glissent dans l’ornière de sa raie, s’immiscent dans sa fente tiède et humide. Je m’apprête à les porter à mes lèvres. Elle redresse brusquement la tête.



Elle veut prendre son temps et je n’ai pas les moyens de protester. À sa manière, c’est elle qui mène la danse.



Elle se retourne vivement et braque ses yeux sur l’objet du délit.



Je me déshabille comme un bizuth, un peu gêné. Elle m’observe sans vergogne, me jauge sur pièce. Elle a un petit sourire de dépit.



La garce ! J’essaie de ne pas me démonter.



Elle s’assoit sur la souche. Je constate avec plaisir que son pubis est taillé très court, accentuant sa nudité. Elle est dans l’expectative.



Elle se marre. Femme qu’on fait rire…



Je m’approche d’elle. Elle pose ses mains sur mes fesses et se penche en avant. Délicatement, elle passe sa petite langue sur la base de mes couilles, descendant jusqu’au scrotum, puis remontant jusqu’à la racine de ma bite, sans jamais la toucher. Après ce tour de reconnaissance, les mouvements de sa langue deviennent plus amples. En parfaite experte, elle fait des mouvements circulaires, avale parfois de ses lèvres une couille qu’elle continue de branler avec sa langue. Elle me lèche avec application comme si j’étais recouvert de chantilly !


Tout à son ouvrage, elle caresse subrepticement mon anus avec son index. Il y a des mecs qui n’aiment pas ça, considérant sans doute que c’est faire injure à leur virilité, les cons, mais pour moi c’est la cerise sur le gâteau ! Je sens à cet instant que je vais bientôt exploser. De temps à autre, elle lève les yeux et je lis dans son regard gourmand le plaisir évident qu’elle voue à sa tâche. « Tu caches bien ton jeu », pensé-je. « Tu as un art bien à toi d’exciter un mec et de le pousser dans ses limites. »


J’imagine secrètement un voyeur en train de se délecter de la scène. Cette perspective ne me refroidit pas et depuis le temps qu’elle m’excite, je ne vais pas tenir longtemps.



Elle s’écarte un peu, empoigne ma bite et me branle fermement, avec un regard de défi qui signifie que c’est elle qui tient le jeu. N’y tenant plus, j’abdique et j’ai un orgasme presque douloureux à force d’intensité. Mes couilles sont bien remplies et mon sperme se libère en giclées abondantes. Elle observe la scène avec un intérêt amusé.



Penaud, je me sens pris en faute comme un collégien. Elle a parfaitement dominé la situation et m’a expédié au septième ciel sans m’accorder le droit de la posséder. Elle ne m’a même pas sucé, la salope ! Chapeau bas, mais je me jure de prendre ma revanche, d’une façon ou d’une autre.


J’ai besoin de récupérer. Elle sort alors de son sac une grande serviette de plage qu’elle étale sur l’herbe.



Elle a tout prévu… On s’allonge sur le dos, profitant d’une autre cigarette. Malgré son air détaché, j’ai l’impression qu’elle m’en veut secrètement d’avoir joui si vite.



Après le chaud, le froid.



Avec un air ingénu, elle fait mine d’interroger le ciel. Elle m’intrigue de plus en plus, gardant toujours cette part de mystère, même dans les situations les plus osées, ne dévoilant rien qui puisse la mettre vraiment à nu quand bien même elle a abdiqué toute pudeur, feignant d’accorder peu d’importance à ses ressources.



Elle élude. Je n’espérais nullement qu’elle confesse le plaisir qu’elle a à partager ces moments inédits avec moi. Mais elle fait totalement l’impasse sur son propre plaisir : celui de faire monter jusqu’à l’exacerbation son désir et celui d’autrui. Et je suis certain qu’elle n’en a pas terminé.


Il est seize heures et le soleil nous inonde sans nous accabler de chaleur. C’est un temps idéal pour la bronzette. Elle sort de son sac un flacon d’huile solaire.



Elle a vraiment pensé à tout, cette petite cachottière !



Plus pour très longtemps, ma chérie…



Je fais couler un petit filet d’huile sur sa poitrine que je masse délicatement, m’attardant sur les mamelons. Je fais rouler un téton sous mon doigt.



Tiens, tiens… Des deux doigts j’emprisonne le téton et je le pince. Elle a une petite grimace teintée de plaisir qui m’incite à continuer. Je le tords délicatement dans un sens puis dans l’autre et le tire vers le haut. Je le sens durcir et m’attaque au deuxième. Ses tétons se sont gonflés, dressés comme deux pointes arrogantes. Les yeux fermés, elle exhale des petits spasmes au fur et à mesure que j’accentue la pression.


La voilà bien échauffée, prête à subir de nouvelles explorations. Je délaisse ses seins et laisse tomber quelques gouttes sur son ventre que je masse avec la paume, sans oublier les hanches. Je fais couler un peu d’huile sur son pubis, s’infiltrant dans les poils, glissant dans le pli de l’aine. J’en rajoute un peu à l’extrémité de son pubis, juste au-dessus de la porte d’amour. J’observe tout cela avec attention. Le liquide progresse vers son vagin, mouillant ses lèvres. Dans un soupir, elle croise les bras derrière la tête, supputant la suite. Ma main progresse dans son antre, mêlant l’huile à sa sève. Je trouve son clitoris et je l’agace pour qu’il durcisse à son tour. Elle est abandonnée, les yeux toujours clos, toute résistance vaincue. J’introduis un deuxième doigt. Son sexe s’ouvre davantage même si je sais que son accès m’est interdit.


Je bande à nouveau, mais de façon moins compulsive que tout à l’heure. Son corps, dont les formes sont accentuées par l’effet de l’huile, brille au soleil.



Elle soupire d’agacement.



Je la photographie dans toute sa lascivité, les bras croisés derrière sa tête, les jambes à moitié repliées. On devine plus son entrejambe qu’on ne le voit. Sa position, prélude à l’amour, n’est pas feinte et je suis certain que la photo sera parlante. Je reviens à côté d’elle. Elle effleure ma cuisse de sa main et cherche ma queue à tâtons. Elle la trouve bien dure, palpitante, à nouveau prête à l’emploi. Elle a une petite mimique de contentement et la caresse négligemment du bout des doigts.



Elle rigole. Un ange passe. Sa caresse se fait plus précise.



Sa question faussement naïve me fait sourire.



Elle se tourne vers moi. En chien de fusil, la tête inclinée au-dessus de mon ventre, elle prend ma bite à pleine main et me branle sur toute la colonne, en un mouvement souple et régulier, sans trop la presser mais en l’enveloppant fermement dans sa paume. Cette fois encore, je constate qu’elle n’est pas novice en la matière.


Elle se rapproche encore de moi, baisse la tête, continue à m’exciter la racine de la queue. Je ne vois pas son visage mais je sais ce qu’elle va faire. Je sens ses lèvres envelopper mon gland. À mon tour je ferme les yeux et me laisse envahir par sa bouche. Avec un art consommé, elle me suce posément, sans précipitation, mêlant ses caresses buccales à sa dextérité manuelle. Pendant qu’elle m’entreprend, ma main glisse sur ses fesses, à l’affût de son sexe. Elle relève la tête.



Elle a susurré ça d’une voix mielleuse. Je déglutis et j’essaie de réfléchir à ma réponse.



Elle a l’art de donner le change en faisant passer une envie partagée pour mes propres désirs !



Je m’écarte d’elle. Elle m’attend mais je ne veux pas la prendre à la missionnaire. Elle mérite tellement mieux que ça, cette adorable sainte nitouche ! Sans crier gare, je relève ses jambes et maintiens ses chevilles à la hauteur de mes épaules. Les cuisses écartées, le cul en l’air, la voici devenue en un tour de main prête à se faire embrocher. Je me délecte de ce panorama unique et obscène, de sa fente ouverte au-dessus de sa petite rondelle. Je me sens l’âme d’un soudard. Elle est surprise par mon entrée en matière mais ne proteste pas.



La tête renversée, les cheveux étalés sur l’herbe, elle attend l’invasion. J’introduis mon dard dans son con, juste au bord pour humecter mon gland de son jus. Merveilleuse position que celle-ci, qui me permet de faire et voir en même temps ! Je m’enfonce un peu, puis ressors, effleurant ses lèvres, et m’enfonce à chaque fois davantage. Je veux faire durer le plaisir. De ma pine, j’explore sa caverne obscure, m’enfonçant au plus loin que je peux. Je la pistonne sans précipitation excessive, mais de toute la longueur de ma queue pour ne rien perdre. Je sens mes couilles battre contre son cul moelleux.


Elle commence à haleter, la bouche ouverte, les reins envahis par l’onde de plaisir. Je ne la bourre pas seulement d’avant en arrière mais aussi de gauche à droite pour bien l’élargir. Je veux que son sexe devienne béant.


Je sors d’elle, un instant seulement.



Elle me ramène à elle en un geste d’impatience



Ça devient de plus en plus trivial. Elle m’électrise. Je me réintroduis en elle jusqu’à la garde.



Tandis que nous baisons, elle se livre enfin, sans fard. Merveilleuse boulimique de sexe qui cache si bien son jeu, tu ne résistes pas au plaisir d’être possédée de toute ton âme et tout ton corps par la magie d’une pine qui la fouille sans relâche.


J’accélère le rythme. Mes flancs claquent contre ses cuisses avec la sonorité bestiale des chairs qui s’entrechoquent. Nous avons atteint la vitesse de croisière et forniquons longtemps, nos corps à l’unisson.

Son souffle s’accélère en un signe annonciateur. Elle appelle l’air comme si elle allait se noyer. Elle va jouir sans moi. Alors pour l’achever à mon tour, je la défonce comme un bélier, sans pitié. Elle fait un grand ô avec sa bouche, serre les poings et se cabre. Comme mue par une force invisible, elle se tend et, vaincue à son tour, elle explose de toute sa voix. Un cri de femelle sauvage.


Elle reprend son souffle et ses esprits puis, sans daigner me regarder, se retourne et s’allonge sur le ventre. Je m’assoie à côté d’elle et ne peux m’empêcher de lui envoyer une vanne.



Je n’insiste pas. Une minute de silence s’impose.


Elle est alanguie, les bras abandonnés le long du corps. Je n’ai rien d’autre à faire que de la contempler dans sa sensualité. J’observe ses épaules rondes et menues, sa taille fine, la courbe de ses hanches, généreuses juste comme il le faut, la cambrure de son dos et le galbe de son cul rebondi. Son corps et sa peau sont ceux d’une adolescente.



Elle se redresse sur ses coudes et affiche une petite moue.



Elle ne manque pas d’air, décidément.



À nouveau je l’oins, côté verso cette fois, d’abord sur ses épaules et ses omoplates. Je la masse lentement, le plus délicatement possible, soucieux d’éviter désormais toute connotation sexuelle dans mes gestes. Me voici sur ses hanches, si douces, si souples. Maintenant les fesses. Sur chaque globe, j’appose un peu d’huile et les masse, d’abord sur les extrémités, puis vers le centre, là où se dessine la raie. Comment veut-elle que je reste stoïque ? Nous sommes nus et moi je ne suis pas rassasié. Surtout, il ne faut pas que ma queue la touche. Je rajoute un peu d’huile à la naissance de sa croupe, mes mains effleurant sporadiquement le vallon soyeux de son entre-fesses. Je décide de me mettre franchement derrière elle. Assis sur ses mollets, j’entreprends le massage des cuisses, de bas en haut. La voici totalement huilée. Elle peut enfin se livrer aux bienfaits au soleil.


Une demi-heure passe sans que nous échangions le moindre mot.


Soudain, un craquement de branche. Un autre, puis encore un autre.


Nous sommes pétrifiés pendant une seconde qui semble une éternité. Je tourne la tête et aperçois alors une silhouette à quelques mètres qui s’avance tranquillement. Très vite, je jette son chemisier sur ses reins et enfile maladroitement mon slip. Pas le temps de faire mieux.



L’homme s’approche d’un pas sûr. Âgé d’une quarantaine d’années environ, trapu, il est vêtu d’un treillis et d’un débardeur. C’est sûrement un ouvrier chargé de l’entretien. Nous voilà dans de beaux draps.



Il est un peu fruste mais n’a pas l’air méchant.



Il allume une cigarette et l’observe à la dérobée, pas pressé de nous voir décamper.



Je l’interroge du regard. Elle se tourne légèrement sur le côté et l’observe du coin de l’œil, plus attentivement qu’elle ne le voudrait.



On se regarde et on pouffe.



Je me demande bien ce qu’il peut « bricoler » ici, mais le savoir à proximité n’a pas l’air de la déranger. Elle est restée allongée. En se tournant sur le côté tout à l’heure, son chemisier a glissé un peu, découvrant ses hanches et le haut de sa fesse droite. Je suis certain qu’elle s’en est rendu compte mais elle n’a rien fait pour le rajuster.



Elle affecte l’innocence mais elle est visiblement émoustillée par la présence de ce beau mâle dans les parages. Elle ne songe d’ailleurs pas à se couvrir davantage. Quant à moi, ça ne me dérange pas outre mesure. De toute façon, elle préfère que je reste à côté d’elle.


Curieusement, elle qui aspirait tant à profiter du soleil sans être importunée, elle me demande s’il reste encore de la pellicule. Encore trois satanées photos.



La voici redevenue bien mutine, tout à coup.

Première photo. Allongée sur le ventre, en appui sur les coudes, le menton sur les mains, jambes serrées, un pied croisé sur l’autre. Classique, mignon.


Plus que deux photos. Il ne faut pas les louper. Elle tourne le buste sur le côté, se redresse sur un coude, sa tête reposant sur une main, et écarte sa jambe libre. Ce faisant, la polissonne a encore fait glisser le tissu, dévoilant sa fesse droite dans toute son ampleur. Je suis sûr qu’elle l’a fait exprès. Cette position particulièrement suggestive a l’avantage d’accentuer la cambrure de ses reins et de donner à ses fesses une rondeur callipyge. Elle renvoie un regard plein de promesses à l’objectif.



J’acquiesce du regard. Elle tourne la tête à gauche et à droite et s’en débarrasse négligemment. La voilà à nouveau nue, la croupe exposée dans toute sa plénitude. Elle sait ce qu’elle fait, elle n’ignore pas que notre « ange gardien » n’est pas loin. Ses yeux virevoltent. Je ne sais exactement si elle attend ou si elle redoute qu’il la surprenne dans cette posture.



Sa voix est oppressée. Je sais maintenant qu’elle l’attend.


Elle porte son regard au loin, derrière mon épaule. J’ai un pressentiment et me retourne. Il est planqué derrière un arbre et nous observe, torse nu. Sans affolement apparent, elle garde la pose. C’est pour elle l’occasion ou jamais. Après cette dernière photo, elle n’aurait plus de prétexte. Elle ose et le fixe un instant, le regard brûlant. Elle a le feu aux joues, c’est la tempête dans sa tête, mais elle ne se démonte pas. Affectant l’indifférence à s’exhiber de la sorte, elle se jette dans le vide, assumant les conséquences de cette décision folle. Voudrait-elle reculer qu’il serait trop tard. Elle ira jusqu’au bout pour assouvir son désir.


Le type s’avance à pas de loup et m’interroge d’un regard hésitant. D’un hochement de tête indifférent, je lui confirme que sa présence n’est pas franchement indésirable, puisqu’elle a décidé de ne pas se couvrir.



Les dés sont joués. Je me tourne vers elle. Elle est statufiée.



J’ai dit cela sans réfléchir, emporté par l’envie de la provoquer dans son audace. Elle ne proteste pas et se mord les lèvres, mélange de honte et de désir qu’impose une telle exhibition devant un inconnu. La tête sur ses bras croisés, elle s’exécute lascivement. Elle écarte davantage sa cuisse et, sans même que j’en aie formulé le souhait, relève sa croupe. Elle est superbement obscène, son cul luisant ouvert, dévoilant toute son intimité. Je prends la photo. Elle se met aussitôt sur ses genoux et passe sa main sur ses cheveux pour se donner une contenance. Elle reste nue et attend. J’entends son cœur battre d’ici.



La trivialité du propos la fait réagir.



J’approuve silencieusement sa stratégie. Elle a affranchi le gars sur la nature de notre relation tout en feignant de banaliser une situation assez explosive. J’attends la suite.



Elle a toujours son sourire moqueur mais je la sais très excitée.



Il avale sa salive.



Le type est sur la défensive, ne sachant toujours pas quelles sont ses intentions.



Mauvaise pioche, gros balourd. Elle le toise avec une expression un peu contrariée.



Elle tend la main vers son chemisier. Il se précipite.



Elle délaisse le chemisier, se lève et continue à le regarder tranquillement, debout les mains sur les hanches. Elle n’a décidément pas froid aux yeux. Il détaille à nouveau sa nudité avec un regard concupiscent.


Le buste en avant, les mains dans le dos, elle fait quelques pas. Féline, elle passe et repasse devant lui, toujours disposée à converser comme s’il s’agissait d’un simple visiteur. Le gars reste les bras ballants, ne sachant toujours pas à quel saint se vouer. Pour ma part, j’y vois du grand art. Elle conjugue une attitude nonchalante à une situation torride pour encore mieux lui faire perdre la tête.



Elle se met alors à marcher droit devant elle, en ondulant des fesses, puis revient sur ses pas, les yeux brillants et fait un tour complet sur elle-même.



C’est le moment crucial car sa réponse sera déterminante.



Elle a dit cela d’un ton léger comme si la décision ne lui appartenait pas. Le gars respire un grand coup. Le petit jeu a assez duré.



Elle ne répond pas. Il espère un signal. Elle le regarde et acquiesce d’un hochement de tête. Elle veut bien qu’il essaie. En vérité, elle en meurt d’envie.


Il s’avance lentement et la saisit par les hanches, lui caresse les seins puis les fesses, très vite lui met un doigt pour s’assurer qu’elle est mouillée. Elle approuve et écarte les jambes. Elle se colle à lui et caresse de ses lèvres son torse, s’attardant sur ses tétons avec sa langue. Elle descend lentement et sa bouche parcourt son ventre. Elle s’accroupit pour terminer l’exploration jusqu’au nombril. Elle lève les yeux vers lui en un regard lourd d’intentions. Elle entreprend de déboutonner sa braguette. Libérant les boutons avec application, elle fait glisser lentement le pantalon. Elle caresse ses cuisses musclées et effleure la bosse du slip. Elle marque un temps d’arrêt, se demandant si ce qu’elle croit deviner est bien réel. Elle tend le slip et le fait glisser à son tour. Sa queue surgit à deux doigts de son visage, énorme, épaisse, tendue à l’extrême. Elle est ébahie par la dimension de l’engin, se demandant comment elle va l’accueillir.

Elle tourne la tête vers moi.



Maintenant, elle doit assumer. Elle l’entreprend doucement. Elle lui lèche d’abord savamment les couilles, comme elle l’a fait avec moi, puis agace son gland avec sa langue. Elle y prend goût et l’enveloppe de ses lèvres. Elle le suce progressivement, l’avale à chaque fois un peu plus. De temps à autre, pour reprendre sa respiration, elle le branle avec volupté. Elle manie sa queue religieusement, comme un objet sacré, s’en délecte du toucher et du regard, s’en caresse amoureusement les joues puis la happe à nouveau, s’enfonce encore un peu plus, en ressort et la fait coulisser jusqu’au bord de ses lèvres mouillées dans un bruit de succion gourmande. Pour mieux la voir à l’œuvre, il ramène ses cheveux en arrière. Comme elle a faim, la salope ! C’est une suceuse goulue, une pompe à bite insatiable ! Elle l’avale presque entièrement. Sa bouche est devenue sexe, défiant les lois de la respiration.



Il en profite pour enlever son treillis. À moitié allongée sur lui, le cul en offrande, elle continue à le sucer et à le branler avec avidité puis elle détourne la tête. D’un geste incertain elle me fait signe de venir derrière elle. Que puis-je faire pour elle, si occupée à sa tâche ? Elle prend ma main et m’invite à caresser son con. Je la branle un peu mais très vite elle reprend ma main et la glisse plus haut, entre ses fesses.

Je vois où elle veut en venir. Je lubrifie mon doigt avec son jus et introduis l’extrémité dans sa rondelle. C’est étroit et chaud. Elle a arrêté de le sucer pour mieux appréhender la pénétration digitale. Elle empoigne le dard du mec comme un mât de sauvetage et attend, tel un animal piégé. J’enfonce très doucement mon doigt dans son trou, le fais aussitôt ressortir pour le détendre puis l’enfonce à nouveau. En même temps, j’élargis un peu sa rondelle par une petite rotation. Elle n’a aucun mouvement de douleur. Le terrain me semble bien préparé. Je l’humecte à nouveau et poursuis mon invasion rectale. Mon doigt est maintenant enfoncé aux trois quarts. Elle pousse pour qu’il pénètre complètement. J’introduis un deuxième doigt et je réitère la manœuvre. Son trou s’est élargi, il a passé avec succès l’épreuve de l’admissibilité.


Veut-elle que je l’encule ? Non, pas maintenant en tout cas… Elle rampe sur son comparse et le chevauche. Elle veut s’empaler sur le braquemart géant. Elle s’enfonce sur le gland avec précaution. Il est tellement bien monté, le bougre ! Méthodiquement, elle remonte un peu pour redescendre un peu plus en un lent va-et-vient. Elle veut se baiser complètement. La voici arrivée au bout. Elle adresse un petit sourire de victoire au queutard et reprend son mouvement pour terminer de rôder la machine. L’impétrant, au départ encombrant, se love confortablement dans sa moule et devient un hôte impérial. Maintenant qu’elle l’a apprivoisé, il est à elle. Elle veut le manger de tout son ventre, dans toute sa longueur et toute son épaisseur.


À califourchon sur la bête, elle entame une danse du ventre envoûtante. La tête droite, les seins dressés, elle s’imprègne de cette invasion abondante en un mouvement vertical souple et incessant. Elle coulisse sur le pal, remonte jusqu’au prépuce puis redescend, s’y assoit complètement et s’élargit en ondulant d’avant en arrière puis en mouvements circulaires. Il a empoigné ses hanches et se met à claquer ses fesses de ses mains rugueuses. Elle aime cette punition sonore et tactile qui lui brûle le cul et les sens. Elle montre son plaisir à sa façon, s’exclamant de saisissement à chaque claquement sur sa chair puis cambre ses reins pour en redemander.


Cela ne lui suffit pas, elle glisse ses mollets sous ses cuisses pour encore mieux s’empaler. Lui, relève un peu les jambes. Elle bascule en avant, le cul bombé, agrippée aux épaules du mec. À son tour, il la pistonne, de plus en plus frénétiquement, pétrissant et claquant son cul sans ménagement. Ses fesses rougies s’écrasent sur le pilon, sa chatte ruisselante clapote contre ses couilles. Elle halète, le regard perdu, femelle en chaleur transcendée par cette bite infernale qui la baise sans relâche. La tête renversée, elle a un long spasme et se laisse retomber lourdement sur le ventre du tringleur. Premier orgasme.


Elle reste empalée sur lui, soupirant comme après l’effort. Elle caresse amoureusement son torse et se penche en avant. Ses cheveux tombent sur son front. Elle effleure ses lèvres, l’embrasse doucement puis relève la tête.



Elle ondoie à nouveau sur la queue à moitié enfoncée dans son con. Elle tourne la tête et me fixe de son regard penché. Dans ses yeux je devine une envie qui la taraude. En un mouvement lancinant, elle se balance d’avant en arrière, sans jamais s’enfoncer complètement sur la queue mais en cambrant sa croupe à l’extrême, figure maîtresse de cette pantomime. Son invitation muette n’échappe pas au lascar.



Alors il relève encore son bassin et écarte les jambes. Elle a compris le signal et se penche encore en avant, ventre contre ventre, la queue à moitié rentrée dans le vagin. Elle est cambrée à l’extrême. Je m’approche d’elle.



Des deux mains, elle écarte ses fesses pour me signifier que c’est maintenant. J’humecte mes doigts de ma salive et la lubrifie un peu. Son anus s’est resserré mais je vais l’enculer directement, sans la doigter au préalable, puisque c’est ça qu’elle veut. Du gland je tapote sa rondelle ourlée et je pousse un peu en tenant ma queue bien droite. La porte interdite s’entrouvre à peine. Le trou de ma pine s’y engouffre. Je pousse encore un peu. Mon gland glisse lentement mais sûrement, comme au ralenti. Elle est toujours serrée et j’éprouve une sensation exquise à sentir le bout de ma queue ainsi emprisonné dans cet orifice interdit. Je reste quelques secondes ainsi, le temps que son anus se façonne à cette entrée en matière. La double pénétration en est à sa première phase. Je sors et rentre à nouveau. Son sphincter s’est élargi. Je m’introduis encore d’un centimètre, forçant un peu plus son intimité secrète.


Elle a un petit sursaut d’appréhension mais pas de douleur. Pour m’inviter à ne pas abandonner, elle prend ma main dans la sienne et pousse un peu sur ma queue. Elle rentre encore d’un centimètre. Elle commence à s’ouvrir, m’appelle de sa profondeur. Je poursuis ma progression, lentement mais implacablement. Je suis maintenant à moitié dans son cul, sans qu’elle rechigne. Elle commence à découvrir cette sensation unique d’avoir une deuxième bite en elle et elle ne le regrette pas. Le demi-tour est proscrit, il est acquis que nous irons jusqu’au bout. Je m’enfonce encore dans le tunnel. Elle a mal, forcément, mais elle sait que cette douleur va bientôt se métamorphoser en un plaisir insensé. Alors dans un élan d’impatience, elle s’enfonce sans faillir sur ma queue. Elle a un cri de douleur et serre les dents, les yeux clos, attendant que l’orage passe. Nous ne bougeons plus. Elle rouvre les yeux et souffle comme après une course éperdue, la sueur au front. Son cul est en feu mais elle a dompté la matière. Je suis complètement en elle.


Pour la première fois de sa vie, la voici empalée dans le con et dans le cul. Combien de femmes n’ont pas éprouvé ce désir secret et lancinant d’être ainsi possédée ? De se vouer au plaisir, sacrilège depuis la nuit des temps, de remplir leurs deux orifices à la fois ? Elle a franchi le pas, guidée naturellement par ses dispositions sexuelles à la faveur de la providence.


Elle est solidement arrimée mais il faut que son trou du cul se dilate avant de commencer la chevauchée fantastique. Je la tiens par les épaules, lui par les hanches. Il n’est pas idiot, il sait qu’il ne doit pas bouger pour le moment. Du fond de son cul, je fais coulisser lentement ma queue en arrière, comme si j’allais la libérer, mais je m’arrête à mi-parcours. Je m’enfonce à nouveau, jusqu’au bout. Elle est encore étroite mais bien disposée. Je recommence la manœuvre plusieurs fois, en remontant à chaque fois un peu plus. Elle s’ouvre franchement, maintenant. Je coulisse dans son fourreau avec une relative aisance. Elle y met du sien, accompagnant le mouvement d’une petite ondulation du bassin. Je prends ses seins dans les mains et les caresse doucement. Ses tétons sont durs comme du bois. Elle a les yeux mi-clos et se laisse entraîner.


Elle seule peut savoir ce qu’elle ressent, mais l’expérience n’est pas pour lui déplaire. Pour ma part, j’éprouve un plaisir particulier à être le premier à l’enculer de la sorte, apportant ma contribution à sa nouvelle découverte.



Elle opine en silence et ondule un peu plus d’avant en arrière, pas trop pour ne pas se désarçonner de l’autre bite. Épousant son rythme, je lime son cul plus amplement. Je coulisse maintenant sans résistance, son fourreau se détend. Je sors pour voir. Sa rondelle s’est dilatée, pas aussi ouverte que son vagin mais assez pour m’offrir l’entrée du tunnel sans péage. Je m’y engouffre à nouveau sans escale et je la ramone comme si je baisais sa chatte. Son cul chaud et souple devient chatte.


Au tour de l’autre de reprendre du service. Il la lime à nouveau, doucement, en même temps que moi. Nos pines s’enfoncent en elle à tour de rôle. La tête en arrière, les yeux fermés pour mieux en ressentir la pénétration, elle se laisse envahir par ce mouvement alternatif, bien calée sur nos deux queues.





> De : Virginia69@club internet. Com

> À : Martin5a7@hotmail. Fr

> Objet : Qu’est-ce que tu me fais faire…

Je mouille comme une fontaine…

Moi qui aime les préliminaires tu ne me facilites pas la tâche en abandonnant à un moment pareil ! Ok je prends le relais.




Pièce jointe :


Transpercée, écartelée par l’avant et par l’arrière, elle se gargarise de nos queues invasives. Le tête à tête avec mon collègue me trouble un peu. Je n’ai pas l’habitude d’avoir un visage masculin si près de moi alors que je suis au bord d’exploser. Je me concentre sur la croupe épanouie et féminine dans laquelle je vais me perdre. Elle ferme les yeux, elle se tient de profil, gardant la position qu’elle avait pour nous parler à tous les deux. Son souffle se fait de plus en plus rapide. Elle est tendue comme une corde de violon et vibre à chacun de nos mouvements. Elle est sur le point de jouir.


D’un regard échangé avec le gardien sur-dimensionné, je m’assure qu’il va lui laisser le temps de venir avant nous. Il est peut-être un peu rustre, mais il a un certain savoir-vivre. Peut-être ma présence, et l’aspect "social" de cette scène l’incite-t-il à plus d’attention pour sa partenaire qu’il n’en a habituellement. Le fait est qu’il a l’air de bien se maîtriser et de ne vouloir écourter notre double galop à aucun prix.


Le souffle rapide de notre monture fait place à un râle guttural et sauvage qui va crescendo jusqu’à exploser en un véritable hurlement. Son corps se raidit, chaque muscle est tendu comme un arc, tandis qu’elle se couvre d’un léger voile de sueur. Elle lève les deux bras et s’ébroue joyeusement un sourire béat sur les lèvres.



C’est le signal d’une chevauchée fantastique qu’elle orchestre d’un air détaché. Une compétition s’installe implicitement entre nos deux queues bien raides qui voudraient toutes les deux cracher leur venin la première. Plus de mouvement cadencé, plus de caresse pour les rondeurs de notre partenaire, rien qu’une agitation frénétique pour sortir de cette situation, retrouver notre quant-à-soi, nos vêtements et notre vocabulaire habituel.


J’ai l’avantage d’un orifice plus étroit, plus sinueux, moins usité et plus excitant. Ma pine est délicieusement enserrée de la base au gland. Sa rondelle s’est légèrement rétrécie depuis son orgasme, ce n’en est que plus stimulant. Je suis sur le point de jouir quand j’entends un mugissement bovin. Merde, il m’a grillé sur le poteau. Je viens une seconde après lui, mais j’ai en ce qui me concerne l’orgasme assez discret.


La sortie est toujours moins glorieuse que l’entrée, bite humide et ramollie. J’aime bien m’attarder un peu d’habitude - là, non. La présence de "Queue d’Âne" trouble un peu notre duo romantique, même si je sais bien qu’elle lui doit beaucoup, à ce braquemart géant qui a eu la bonne idée de venir se mettre à sa disposition au moment voulu.


Notre ami a sorti un mouchoir douteux de sa poche, s’essuie rapidement, se rhabille et nous lance un : « Bon, ben, salut la compagnie » en s’éloignant d’un pas rapide.


On reste nus comme des vers, alanguis, vidés, relaxés, dans le soleil de la fin d’après-midi. Elle se love contre mon épaule :



Je lui caresse les seins et les hanches :



Elle me tend les lèvres pour un baiser très long et très doux avec plein de petits coups de langue dans tous les sens, puis elle commence à y mettre les dents. Ça se termine en partie de cannibalisme.


On se rhabille et on prend le chemin du retour. Elle a l’air ailleurs. Puis elle se tourne vers moi d’un air mutin :