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n° 12838Fiche technique16754 caractères16754
Temps de lecture estimé : 10 mn
11/09/08
Résumé:  Visite tardive et imprévue d'une amie, qui finira par une intense sodomie éducative !
Critères:  fh extracon copains vengeance fsodo -initfh
Auteur : François Delima      
Une élève passionnée

La sonnerie du portable surprit François au moment où il allait se coucher. Il fut encore plus surpris quand il vit sur l’écran que c’était sa collègue Nadège qui l’appelait… à 10 h du soir !



À peine François avait-il remis son pantalon et sa chemise que la sonnerie de l’appartement retentit déjà. La garce devait être en bas de l’immeuble quand elle a appelé, se dit-il. Un peu agacé par cette intrusion, il ouvrit la porte et se trouva en face d’une femme au visage ravagé par les larmes.



Elle lui raconta, la voix entrecoupée par des hoquets, qu’elle était rentrée du bureau plus tôt que d’habitude parce qu’elle devait partir demain en déplacement professionnel pour plusieurs jours. En entrant dans le petit appartement de deux pièces où elle vivait avec son fiancé, Benoît, elle avait tout de suite entendu des gémissements de femme. Surprise, elle s’était dirigée vers la chambre, dont la porte était grande ouverte, et avait alors vu Benoît, nu, à genoux sur le lit, en train de prendre en levrette une femme qu’elle ne connaissait pas.



Elle lui raconta qu’après s’être pris un tel coup, elle était effondrée, qu’elle avait erré sans but dans les rues pendant des heures. Sans le réaliser, elle avait traversé la moitié de la ville et s’était retrouvée dans sa rue à lui, François. C’est pourquoi elle l’avait appelé.



Un peu décontenancée, Nadège semblait à cours d’arguments. Elle ajouta cependant :



Un peu surpris par la question, à laquelle il ne s’attendait pas, François mit quelques instants à réfléchir à sa réponse : il ne voulait pas passer pour un obsédé du cul, mais il ne voulait pas non plus mentir à son amie.



Là encore, François fut pris au dépourvu. Pourquoi diable lui posait-elle toutes ces questions ? Qu’est-ce que cela pouvait bien lui faire s’il sodomisait sa fiancée souvent ou pas ? À force de parler de ce sujet, il finissait par ressentir une certaine excitation que l’absence de son amie, en voyage professionnel pour deux mois, rendait plus difficile à supporter.



Amusée, Nadège le rassura :



François n’en revenait pas ! C’était la première fois qu’une femme lui proposait en termes aussi crus de la sodomiser. Rectification : c’était la première fois qu’une femme lui proposait de la sodomiser ! Et le langage vulgaire qu’elle avait employé rendait la chose encore plus excitante.



Il ne trompait pas Christine, il "éduquait" Nadège, nuance…



Franchement décontenancé, François ne savait plus quoi dire. Il était dépassé par les événements !



Oubliées, les larmes du début ! Ses yeux étaient maintenant pleins de malice et de désir. Elle aussi semblait excitée par la situation pour le moins particulière.


Elle se déshabilla donc comme cela lui avait été "ordonné" par son "maître", et se retrouva nue, à quatre pattes, sur le canapé, la croupe tendue vers celui qui allait l’initier, à sa demande, aux plaisirs de Sodome. Le "maître" ès sodomie se sentait tout sauf maître de la situation ! François était à la fois très excité par ce qu’il voyait, par ce qu’il allait faire, mais il s’en voulait d’être infidèle à sa fiancée, tout en se justifiant par la longue absence, par le peu de fois qu’elle lui permettait cette pratique qu’il aimait tant… Se déshabillant lui aussi, il constata avec soulagement que ses états d’âme n’influaient pas sur son désir : son sexe était tendu au maximum, son érection était tellement forte qu’elle en était presque douloureuse.


La tendresse étant proscrite de cette « leçon », François, après avoir pris le lubrifiant dans le tiroir dans lequel il le rangeait précieusement pour les rares sodomies avec sa fiancée, en tartina très professionnellement l’anus de son "élève".



Aussitôt dit, il enfonça sans ménagement son majeur dans l’orifice qui lui était offert.



Tout penaud, François devint beaucoup plus doux avec son doigt, avec lequel il forçait peu à peu le passage. Il adorait autant la préparation que la sodomie elle-même. Voir son doigt disparaître peu à peu dans cet anus offert augmentait encore son excitation, pourtant déjà à son comble. Pour se faire pardonner sa brutalité initiale, il commença à caresser le sexe de Nadège, qui était trempé. Un soupir de plaisir vint récompenser son geste et l’encouragea à poursuivre. Tout en continuant à faire bouger en cercles son majeur dans l’anus de son amie, il caressa son clitoris avec l’index de l’autre main, puis introduisit son pouce dans son vagin. Les gémissements redoublèrent.

Estimant que l’anus était maintenant suffisamment détendu, il y introduisit un deuxième doigt tout en poursuivant sa caresse sur le clitoris et dans le vagin de la belle. Rapidement, cette dernière commença à émettre des petits cris de plaisir qui montraient combien elle appréciait ce qui lui arrivait. N’en pouvant plus de désir, François cessa ses caresses et entreprit de se lubrifier abondamment le sexe. Ensuite, il présenta son gland à l’entrée de cet orifice qu’il désirait tant posséder et poussa lentement. En dépit de la vigueur de son érection, son sexe ploya devant la résistance offerte par Nadège. François prit son sexe dans sa main pour forcer davantage et parvint à entrer le gland. Un petit cri de douleur l’interrompit. Il demanda à Nadège de se caresser pour lui faciliter le travail, ce qu’elle fit sans se faire prier.


Rapidement, l’effet des caresses qu’elle se prodiguait à elle-même se fit sentir et la pénétration fut plus aisée. Une fois au fond, ses testicules touchant le sexe de Nadège, François s’immobilisa quelques instants pour lui laisser le temps de s’habituer à cette présence, nouvelle pour elle.



François ne se le fit pas dire deux fois et commença un très lent mouvement de va-et-vient dans les reins de Nadège. Il entrait et sortait tout doucement et à chaque fois elle soupirait de plaisir sans même se caresser. Encouragé, François accéléra peu à peu le mouvement. De plus en plus excité, il la pénétra de plus en plus fort, prenant appui sur ses hanches. Il se pencha sur elle et prit un de ses seins dans sa main. Il le malaxa sans douceur et Nadège cria de plaisir. Se remémorant sans doute les paroles de sa rivale de l’après-midi, elle cria elle aussi :



Les spasmes de la jouissance de Nadège provoquèrent celle de François qui se vida longuement au fond de ses reins, la tenant serrée contre lui par les hanches. Les premiers mots qu’elle prononça, alors qu’il sortait d’elle, furent :