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n° 12861Fiche technique19108 caractères19108
Temps de lecture estimé : 12 mn
24/09/08
Résumé:  Une séance un peu particulière d'humiliation par l'intermédiaire de deux professionnelles.
Critères:  ffh prost hsoumis humilié(e) odeurs pied fellation cunnilingu anulingus sm attache
Auteur : MJacques      
Thérapie de choc

Il avait repéré l’encart depuis longtemps déjà sur le site de petites annonces. Il était reposté toutes les semaines environ.


Une heure de détente avec une ou deux filles de 25 ans, massage, fétichisme etc.


Il avait même déjà téléphoné, pour connaître la nature des prestations, les tarifs. Il trouva la proposition intéressante. Un peu chère, certes, mais tentante. Depuis, il y pensait quasiment tous les jours. Quelques commentaires se rajoutèrent, du genre "très douce", "charmante", "prend son temps" ou "j’y retournerai". Info ou intox ? Il se décida à rappeler et rendez-vous fut pris : deux filles, pour une heure.






"Il", c’est moi, Jacques, 38 ans. Marié depuis bientôt dix ans, un enfant, et le désert sexuel avec sa femme. Par trois fois, j’avais failli la tromper… par trois fois, le destin en avait décidé autrement. Mais la tentation, l’envie, le besoin se faisaient de plus en plus pressants…


Stressé comme un jour d’examen, me voici donc devant la porte. Je frappe, elle s’ouvre doucement. Personne dans mon champ de vision. La lumière est tamisée, mais je distingue pourtant un matelas avec un grand drap couleur brique posé à même le sol et un évier un peu plus loin, au fond de la pièce. Une discrète odeur d’encens, une musique de fond, indéfinissable. Ne pouvant être qu’au bon endroit, j’entre. La porte se referme.


Une brune élancée, les cheveux assez longs et le visage doux, me sourit. Très fine, elle me salue et me précise qu’elle s’appelle Sophie. J’arrive à peine à lui rendre son bonsoir. Elle porte un déshabillé vert, pour ainsi dire transparent, à travers lequel je peux distinguer sa poitrine, qui me semble jolie, et même le bout de ses seins de couleur plus foncée. Un shorty en dentelle couvre ce que je découvrirai plus tard. Waouh !


À ce moment, une seconde fille apparaît au fond de la chambre. À peine habillée de sous-vêtements noirs et rouges, ses jambes me semblent interminables, gainées par des bas noirs maintenus par un porte-jarretelles.

Avec un sourire spontané, elle m’apprend qu’elle se prénomme Angélique. Le même parfum agréable, que je ne connais pas, émane de ces deux filles. Jamais, à part en film, je n’avais vu un tel spectacle.


Deux "bombes". Pour moi. Mais je ne vais pas m’en plaindre ! Je suis submergé par l’émotion, mon cœur bat à tout rompre et je n’ai pas encore réussi à aligner une seule phrase… J’ai toujours été intimidé par les filles et là, la barre est haut placée !


Bon, je suis là pour une raison précise, pas question que je flanche. Je reprends mes esprits. Sachant que je n’arriverais pas à m’exprimer, j’avais pris soin de noter ma "commande" sur un papier. J’ai également apporté un objet, ne sachant pas si les filles avaient un équivalent ou non. Sophie et Angélique lisent le papier et acquiescent. Elles me demandent de payer de suite. Les choses sérieuses peuvent à présent commencer.


Après avoir enlevé mes chaussures, chaussettes et tee-shirt, je m’allonge sur le matelas. Quatre mains caressent doucement ma poitrine, mes bras, mon ventre. Le contact est agréable, j’arrive enfin à me détendre un peu. Quelques baisers tendres, posés çà et là, commencent à m’émoustiller. Je sens soudain qu’un de mes poignets est enserré par un lien sorti de je ne sais où.

Je me laisse faire pour monter le bras au-dessus de ma tête et le voilà attaché. Les caresses n’ont jamais cessé pendant ce temps. Mieux, la langue d’Angélique s’est même insinuée dans mon nombril, m’empêchant presque de sentir mon second bras se faire attacher.


Un bandeau se pose sur mes yeux et, les deux bras liés, je me retrouve dans le noir, abandonné à ces deux belles créatures. C’est un peu dommage de ne plus pouvoir profiter du paysage, mais c’est moi qui avais fixé les règles du jeu !


Je sens mon pantalon qui s’ouvre, pendant que mon ventre et mon torse sont toujours caressés parfois si légèrement que ça me chatouille. Éviter de le montrer, ça pourrait leur donner des idées… Une bouche vient gober le lobe d’une oreille. Divin. Très sensible à ces jeux-là, mon sexe est quasiment au garde à vous, bloqué par mon slip.


Rapidement, mon pantalon est enlevé. Une des filles ironise sur mon état d’excitation, mais, penaud, je n’ai rien à répondre… C’est à présent au tour de mes jambes d’être caressées, des orteils jusqu’à mon pubis, les mains se faisant parfois insistantes sur ma grosseur, parfois prenant soin de l’éviter. Je sens aussi le soyeux de ce qui doit être un bas frôler mes mains, remonter le long de mon bras jusqu’à mon visage. Le pied se pose sur ma bouche, mon nez, rejoint par le second. Mon nez est pincé quelques instants par les deux orteils et, lorsque je veux reprendre mon souffle, un des talons se cale sur ma bouche.


Ce que j’identifie comme des orteils nus vient me chatouiller l’oreille, tandis que ma joue est aussi caressée. Des doigts de pieds se glissent sur mes lèvres. J’ouvre la bouche et ils entrent. L’odeur se fait très discrète mais un très léger goût subtil, acidulé s’offre à mes papilles. Juste ce qu’il faut. Une des filles me somme de sortir la langue, et je sens un premier pied, puis un deuxième, glisser sur celle-ci, de tout son long, bientôt suivi par le tissu des bas de Angélique.


Les quatre pieds vont et viennent sur tout mon corps, mon visage, dans ma bouche. Un régal. L’un d’entre eux s’attarde à présent davantage sur ma virilité, qui ne demande plus à présent que de sortir du tissu tellement elle est tendue. Et c’est donc avec plaisir que je me sens libéré, toujours par ce pied. Mon sous-vêtement est vite enlevé et, rapidement, mes deux chevilles sont également emprisonnées et attachées. Me voilà donc aveugle et écartelé, à la merci de deux professionnelles que je ne connaissais pas il y a quinze minutes…


Un mouvement m’indique qu’une des filles se rapproche, au-dessus de moi. Mon nez est touché par quelque chose de doux et, à l’odeur, je sais immédiatement qu’il s’agit de l’intimité d’une des filles. Les lèvres se frottent sur mon nez, ma bouche. Alors que je sors ma langue pour en profiter, une voix me crie de la rentrer immédiatement.

J’obtempère.


La fille s’ajuste sur mon visage, mon nez pénètre la vulve, je ne peux plus que respirer par la bouche, sur laquelle se posent à nouveau plein d’orteils. La fille se frotte maintenant sur tout mon visage. Ne tenant plus, je ressors ma langue pour lécher la chatte, mais ce sont les doigts de pieds qui en profitent. Après quelques minutes, les filles changent de position. L’odeur de la chatte a changé, mais est tout aussi plaisante, excitante. Je bande comme un fou, mais mes deux maîtresses ne s’en préoccupent pas le moins du monde.


Je reçois à nouveau l’ordre de sortir ma langue, alors que Sophie est toujours quasi assise sur moi. Cherchant à lécher, je sens que la fille progresse doucement vers l’avant et, après avoir pu m’insinuer un peu entre ses petites lèvres, ma langue ressort et se pose sur l’œillet. Un mouvement réflexe et je la rentre dans ma bouche. Une voix me précise fermement de bien lécher le cul. À peine plus tard, je sens une main se poser et caresser ma queue. Quel bonheur. De courte durée…


Angélique m’enlève le bandeau puis vient prendre la place de Sophie. D’emblée, elle pose son cul sur mon nez, en appuyant un peu puis me fait le nettoyer à fond avec ma langue. Elle me dit de la faire rentrer dans son anus, ce que j’essaie de faire tant bien que mal… Aucun commentaire, je continue. Sans voir grand-chose, je sens que ma bite est léchée, très légèrement, par la seconde fille.

Elle me gobe d’un coup en entier puis vient titiller la base du gland. Je ne résisterai pas longtemps à ce rythme… La chatte a remplacé le sphincter sur ma bouche et je m’en donne à cœur joie de lécher, sucer, aspirer ce que je peux. La fille se caresse le clito en même temps, et je sens couler dans ma bouche un goût qui s’acidifie petit à petit. Divin.


D’un coup, les deux brunes s’éloignent. Sophie cherche l’objet que j’ai ramené. Elle le place dans ma bouche, l’attache derrière ma tête. C’est un cale-dent percé et je ne peux plus ni serrer les dents ni même fermer ma bouche. Une fois en place, elle sourit et fait couler de sa salive dans le trou. Je déteste ça, mais il y aura pire. Je suis venu pour me salir et ça y est, c’est ce qui se passe. Angélique vient aussi cracher dans ma bouche. Elle y met un doigt, et m’étale du liquide buccal sur mon visage.


C’est mouillé, ça devient froid, ça chatouille, j’ai envie de m’essuyer, mais je ne peux pas. Les deux filles me crachent à présent dessus. Elles mettent leurs doigts dans leurs vagins pour me faire ensuite les lécher. Sophie, vient placer un de ses pieds sur la chatte d’Angélique, pour enduire les orteils de mouille. Elle m’ordonne ensuite de lui lécher le tout. Un supplice, un régal… je bande toujours, heureusement qu’elles ne me stimulent pas de ce côté-là…

Les filles commencent à s’embrasser au-dessus de mon visage, en veillant à faire couler leurs salives mêlées juste dans l’orifice. J’ai ai plein le nez, les oreilles.


Angélique s’agenouille au-dessus de ma tête et du bout d’un doigt, caresse ma queue de haut en bas, pendant que Sophie vient cracher sur son petit trou et me dit de venir nettoyer avec ma langue. Ce n’est pas facile avec l’embout. Après un certain temps, elles inversent les rôles. Aux anges, j’ai perdu la notion du temps.


Elles se placent à présent face à face, leur visage à hauteur de mon sexe, qui a rarement été aussi gros et tendu. À deux, elles me lèchent sur la longueur en aspirant un peu le gland. Elles savent y faire, me gardant à distance de l’orgasme. D’ailleurs, Sophie remonte me cracher dans la bouche, me pince le nez et plaque sa main sur ma bouche. Plusieurs secondes. Je ne peux plus respirer. Chaque fois que je commence à me débattre, elle me laisse reprendre un peu d’air, puis recommence.


Cela dure un long moment et mon excitation retombe franchement. Pendant ce temps, Angélique a cherché un verre que les filles ont rempli en crachant et bavant dedans. Je les ai vues se stimuler en mettant un doigt en bouche pour qu’il y ait plus de salive. Je frissonne rien qu’à penser à ce qu’elles vont en faire.


Ça y est, un entonnoir que je n’avais pas vu est placé dans ma bouche et je suis totalement impuissant, Angélique ayant calé ma tête entre ses cuisses. Lentement, elle verse le contenu mousseux du verre ; le liquide coule dans ma bouche, sur ma langue et je le sens descendre dans mon arrière gorge. J’aimerais le recracher, mais je ne peux pas bouger. La fille prend son temps, en veillant à ce que j’avale le tout. Dégueulasse. Je crois que je ne bande plus.


Pendant ce temps, Sophie s’est installée sur le dos et commence à me masturber avec les pieds… ça j’aime. Ma bite reprend vite une taille de circonstance et ce sont bientôt quatre pieds qui stimulent mon plaisir. Angélique revient se faire lécher par ma langue, je pense qu’elle aime ça. Je m’applique et cette fois, je sens de la cyprine couler en moi. Elle aime vraiment ça. Moi aussi et l’idée de l’amener peut-être à l’orgasme est loin de me déranger.


Elle commence à gémir de plus en plus fort puis s’arrête. Mission accomplie ? Je ne le saurais jamais… Elle enlève ses bas mouillés à certains endroits pour me bander à nouveau les yeux. Il refait tout noir, elles ne me touchent plus, se taisent. D’un coup, je sens qu’on me touche la queue. Tout doucement d’abord puis de façon plus insistante. Je pense que mon moment est arrivé. Les deux filles me lèchent de plus en plus fort, j’aimerais les voir, j’aimerais voir leurs langues se toucher, s’embrasser peut-être.


Un doigt se pose sur mon anus, en le massant. Une des filles m’a prise en entier dans la bouche, me suçant divinement bien, en rythme, faisant cogner le gland contre sa gorge. Le bruit de succion est merveilleux. Elle accélère encore, en resserrant de plus en plus les lèvres autour de ma queue. Grâce à toutes ces stimulations, mon plaisir monte et je sens que le point de non-retour est atteint.


Je lâche un gémissement, déformé par le cale-dent toujours en place. Mes sphincters se crispent, je tente encore de lutter quelques secondes, de retarder l’arrivée de l’orgasme qui pousse, mais, dans un dernier cri, ça y est, je jouis, je jouis, je jouis, je n’en finis plus de jouir… Ma queue se contracte, le liquide monte en saccades et le jet de mon sperme emplit la bouche de la fille. J’ai l’impression d’éjaculer des litres de semence. Pas bon, ça…


La fille, consciencieusement, garde tout en bouche. Elle attend que les premiers jets se tarissent, puis la seconde fille prend sa place. Les mouvements de va-et-vient sont à la limite du supportable, presque douloureux, mais il y a encore du sperme qui sort et pénètre dans la seconde bouche. Combien de temps ai-je joui ? Je ne sais plus. Mon corps est parcouru de frissons, j’essaie de ne penser à rien d’autre qu’à ce plaisir. Je dois avoir la chair de poule de la tête aux pieds. Mon bassin se contracte sous les coups de langues appliqués à mon gland. Je crois que j’ai vraiment crié et là je gémis toujours… Quel pied ! Mais…


Je commence à me relâcher, quand une des filles s’agenouille à ma tête. Je n’entends plus rien, mes oreilles bouchées par les cuisses. Je ressens alors du chaud dans ma bouche. Lentement, la première fille fait couler mon sperme mélangé à sa salive dans ma bouche. Le goût dont j’ai horreur m’agresse immédiatement. Je voudrais cracher, je sors la langue pour boucher l’anneau, mais il est trop large et, d’un doigt enfoncé dans ma bouche, la fille me provoque un réflexe de déglutition et j’avale du liquide.


Elle se lève et, du lavabo, je l’entends faire couler de l’eau. Ma tête est à nouveau bloquée et j’entends qu’une des filles fait mousser du liquide dans sa bouche ; de suite après, du froid coule dans sur mes lèvres et il me faut avaler le breuvage. Beurk.


Ce que je n’avais pu voir c’est que, pendant ce temps, l’autre fille avait vidé mon sperme mélangé à sa salive dans un verre, qu’elle s’était aussi rincée la bouche et avait recraché le tout dans le verre, qui était donc quasi plein. Quand la première a achevé sa mission, elle détache les bas et j’ai pu voir Angélique à côté de moi, le verre en main, avec un sourire indéfinissable. Elle me demande : " Alors mon cochon, on a encore soif ? ". Je fais non de la tête. Erreur : à nouveau, les filles me bloquent ma respiration.


Angélique me repose la question, et je dois bien répondre "oui". Un regard entre les deux filles et Sophie présente ses orteils au-dessus de ma bouche, que je ne peux toujours pas fermer. Et Angélique de faire couler tout doucement, entre les doigts de pieds de sa copine le liquide biologique malodorant. Tranquillement, délicatement, pour que j’en profite jusqu’à la dernière goutte ; je dois bien sûr nettoyer le plus possible le pied…


Le verre vide, elle s’aperçoit qu’une goutte a perlé au bout de ma verge, qui se ramollit un peu. Elle la dépose sur la pointe de son index puis vient m’obliger à lui nettoyer celui-ci avec ma langue. Mon excitation étant retombée, ça ne m’amuse plus, mais je ne suis pas en position de m’y opposer. Avant de détacher le cale-dent, elles crachent encore une fois, à tour de rôle dans ma bouche et attendent que j’ai bien avalé le tout. À la limite du haut-le-cœur, le cale-dent est enlevé.


Je suis toujours attaché. Mon cou colle, j’ai un peu froid, mon visage est tout mouillé, et les narines sont pleines de l’odeur du sperme et de la salive des filles… Quelle heure est-il ? Depuis combien de temps suis-je ici ? Je ne m’en fais pas, elles ne vont pas faire des heures sup. À l’œil ! Angélique annonce à ce moment qu’il y a encore du crédit… Oups, bien ou pas ?


J’ai à peine le temps de me poser la question, qu’elle se remet à califourchon sur mon visage et, ne pouvant résister au paysage de ses lèvres, de l’entrée de sa grotte secrète et du petit bouton qui dépasse à peine de se son capuchon, je me remets à la brouter. Ça plus quelques mouvements agiles d’une main experte et mon sexe reprend de la vigueur.

À ma surprise, Sophie lui enfile un préservatif et s’accroupit, le faisant pénétrer en elle. Elle se déchaîne. J’ai toujours adoré cette position, qui permet de voir le visage de la partenaire et ses seins qui ondulent au rythme de la chevauchée. Sauf que là, je n’ai que le cul de Angélique en visuel, mais qu’importe, je sais que cette fois-ci je pourrai tenir jusqu’à qu’elles jouissent, si c’est leur volonté…


Je suis frustré de ne pouvoir mettre les doigts ni dans la chatte que je lape ni sur les seins de celle qui me pistonne. Après… un certain temps, voilà que grâce à mes jeux de langues, la première commence à gémir de plus en plus, m’invitant à poursuivre mes mouvements. Elle semble apprécier, et, à la façon dont elle m’a brutalement serré la tête de ses jambes, j’ai su qu’elle avait aussi au droit à un orgasme.


Confirmé d’ailleurs par la quantité de cyprine sécrétée, que j’avale au fur et à mesure qu’elle s’écoule dans ma gorge… Plus bas, un petit feulement m’informe que Sophie est aussi en train de partir. Là, je ne peux que la laisser faire, puisqu’elle se sert de ma queue comme d’un objet, réglant ses mouvements selon son désir.


Après avoir atteint une vitesse de pilonnage très rapide, elle cesse progressivement ses mouvements jusqu’à s’arrêter. Dommage, je recommençais à remonter moi aussi. Elles s’en sont rendu compte, et m’enlevant le préservatif, elles me masturbent en lubrifiant avec leur salive, jusqu’à ce que je revienne une seconde fois et que je crache ma semence sur leurs mains…


Je suis comblé, vidé, sali, honteux, confus, mais j’ai eu ce que je voulais. Toilette, rhabillage et salutations… je vais avoir du mal à ne pas revenir un jour… Merci les filles !