n° 12875 | Fiche technique | 13035 caractères | 13035Temps de lecture estimé : 8 mn | 27/09/08 |
Résumé: Ma fiancée me fait la surprise de convier une de ses amies. | ||||
Critères: ffh couple couplus cadeau inconnu fépilée voir intermast fellation 69 nopéné fdanus attache init | ||||
Auteur : Aphrodis Envoi mini-message |
Cela faisait plusieurs années que nous vivions ensemble Sandra et moi. Cela se passait bien sur tous les plans, et bien qu’une certaine routine ait pu s’installer, notre libido était toujours au beau fixe grâce, en particulier, à notre imagination fertile en ce qui concernait les jeux amoureux.
Mais nous avions toujours eu une sexualité classique dans le sens où elle n’avait toujours concerné que nous deux. Cette fois-là fut donc une première.
Nous étions un samedi soir. C’était un mois d’été chaud et lourd. Nous avions passé presque toute la journée à rechercher la fraîcheur dans le parc du coin. La chaleur a l’énorme avantage de réduire la quantité de tissu couvrant les dames. Et j’avais passé tout mon temps à regarder du coin de l’œil les filles qui passaient devant nous, la poitrine gonflée par le désir de vivre, comme dirait Patrick Coutin. Sandra l’avait bien sûr remarqué. Et elle s’en était même amusée, en me provoquant de son côté, pour que je la regarde elle plutôt que les fugitives passantes.
Et c’est vrai que ses charmes étaient mis en valeur par les vêtements estivaux : une petite jupe à fleur dévoilait largement de longues jambes généreuses et dorées par le soleil de son Liban natal ; un petit haut retenu par de très fines bretelles semblait prêt à tomber et dévoiler la généreuse poitrine, retenue tant bien que mal par un soutien-gorge blanc.
Pendant que nous lisions côte à côte, ma main avait essayé de remonter distraitement sous la jupe, mais Sandra avait toujours mis un terme à ses pérégrinations, beaucoup trop tôt à mon goût.
En tout cas, j’attendais avec impatience le retour à la maison et la possibilité qui me serait offerte de pouvoir enlever les minuscules barrières de tissu qui restaient.
Quand nous sommes rentrés le soir, elle s’est précipitée dans la douche pour se rafraîchir. Je l’aurais bien accompagnée, mais elle avait fermé la porte. Je pris mon mal en patience en guettant sa sortie. Et quand la porte s’ouvrit, que je la vis dans sa serviette, des gouttes d’eau roulant encore au creux de son cou, je me suis approché d’elle sans dissimuler mes intentions. Mais elle me demanda de prendre une douche d’abord.
L’eau fraîche coulant sur moi était divinement agréable. Je fermais les yeux pour apprécier cette fraîcheur sur mon visage et mon torse. Et mon esprit anticipa les futurs jeux sexuels qui nous attendaient dans quelques minutes. Ma main se mit machinalement à me masturber, et je ne mis pas longtemps à présenter une belle érection.
C’est la voix de Sandra, sans doute au téléphone, qui me sortit de ma rêverie. J’abandonnai donc mon sexe et accélérai la cadence pour la rejoindre au plus vite.
Quand je suis sorti de la salle de bain à mon tour, elle s’était à peine rhabillée : une culotte pour ne pas prendre froid aux fesses, et un chemisier tellement ample qu’il tombait tout le temps, en laissant apercevoir ses mamelons.
En sortant, je ne me suis donc pas rhabillé non plus et je me suis jeté sur elle pour l’embrasser sur tous les morceaux de peau qui dépassaient du tissu ; et il y en avait beaucoup. Sa peau douce et fraîche car encore légèrement humide était un régal pour les sens. Mon érection était déjà imposante quand Sandra commença à s’imposer.
J’ai toujours aimé être un peu dominé. Je l’ai donc volontiers laissé prendre le contrôle des évènements. Elle m’embrassa, elle aussi, partout, en s’attardant particulièrement sur mes tétons qu’elle avait toujours aimé lécher et mordiller. Sa main me masturbait lentement, achevant de me durcir. Je m’abandonnais entièrement à ses caresses.
Quand elle commença à me lier les poignets à l’aide des liens de soie qui sont en permanence à la tête de notre lit, mon excitation s’accrut un peu plus. C’était plus souvent moi qui l’attachais, mais l’inverse n’était pas pour me déplaire.
Une fois lié dans cette position particulièrement indécente, le sexe érigé droit vers le ciel, j’avais hâte de pouvoir passer à la suite. Mais elle se releva, et debout à côté du lit retira lentement son chemisier, dévoilant à ma vue ses seins aux mamelons durcis par mes coups de langue des minutes précédentes.
Elle fit quelques mouvements de danse, jouant avec mon regard qui, tour à tour, se posait sur ses seins, tentait de voir le sexe à travers la dentelle, contemplait ses fesses rebondies. Puis elle joua avec le bord de la culotte, la déplaçant d’un côté ou de l’autre.
J’avais déjà vu son sexe à de nombreuses reprises, mais la découverte de sa toison pubienne soigneusement taillée, de ses lèvres roses qui gonflaient peu à peu, de ce trou béant qui était si accueillant pour mon vit, était toujours une source de délice.
C’est à ce moment que la sonnette retentit. Mon excitation retomba d’un coup, mais elle annonça aussitôt :
Je n’étais pas certain d’avoir bien entendu. Quel genre de surprise pouvait bien être derrière la porte ? Je ne savais pas si je devais appréhender ou pas la suite des évènements.
Je lui demandai de me détacher ou au moins de me couvrir. Je ne voulais pas qu’on me voit comme ça. Elle sourit, mais n’accéda pas à ma demande.
Sandra s’absenta donc pour aller ouvrir, passant rapidement un peignoir sur ses épaules. Je l’entendis ouvrir la porte d’entrée, mais je ne parvins pas à entendre ce qu’elle disait.
Enfin, la porte de la chambre s’ouvrit. À la suite de Sandra, il y avait une très jolie fille, plutôt menue, mais avec un magnifique sourire.
Quand Sandra annonça :
…Mes dernières appréhensions sur ma position peu valorisante s’estompèrent et mon érection repartit de plus belle.
Sandra ôta le peignoir qu’elle avait mis à la hâte et se rapprocha de Géraldine. Elle la caressa lentement par-dessus ses vêtements : un chemisier blanc que les petits seins tendaient à peine et un tailleur noir. Elle positionna Géraldine face à moi et se glissa derrière elle pour pouvoir me regarder pendant qu’elle ouvrait un par un les boutons du chemisier.
J’avais les yeux fixés sur les doigts qui écartaient les pans de chemise. Je découvrais peu à peu les contours du soutien-gorge blanc en dentelle et ne pouvais contrôler les contractions de mon entrejambe qui réclamait qu’on s’occupe d’elle.
Le chemisier par terre, le tailleur le rejoignit très vite. J’avais devant moi une jeune fille au corps sportif.
Des seins plutôt petits mais qui semblaient adorables, un ventre plat et ferme, des cuisses musclées. Les mains de Sandra caressaient tout le corps de Géraldine qui avait les yeux fermés, ne pensant qu’à son plaisir. Le soutien-gorge tomba d’un geste et je découvris les seins appétissants de Géraldine avec grand plaisir.
J’avais une folle envie de me masturber devant ce spectacle, mais les liens étaient suffisamment serrés pour que je n’arrive pas à me détacher.
Elles s’allongèrent toutes les deux à mes côtés. Elles n’étaient qu’à quelques centimètres de moi, mais je ne pouvais que les caresser du pied pendant qu’elles s’embrassaient.
C’est Sandra qui était maintenant allongée à côté de moi, et Géraldine qui l’embrassait sur tout le corps en descendant peu à peu, s’attardant sur les seins volumineux et leurs tétons dressés, parcourant des lèvres le ventre doré, enroulant sa langue dans le nombril, abaissant la culotte de mon amie en même temps. Sandra frissonnait de plaisir, et après m’avoir regardé avec des yeux pleins d’amour, elle m’embrassa.
J’ai deviné le moment où la langue de Géraldine se posait sur le bouton d’amour de Sandra à la légère morsure qu’elle affligea à mes lèvres. J’interrompis le baiser pour pouvoir regarder le visage de cette inconnue entre les cuisses ouvertes de mon amie, mon amante.
Mon excitation était à son comble. Bien qu’elle fût perdue dans son plaisir, les yeux fermés, la tête en arrière, Sandra tendit le bras pour saisir mon sexe érigé et le masturber lentement. Dès qu’une vague plus forte que les autres l’emportait, son mouvement s’interrompait, et je ne pouvais m’empêcher de bouger le bassin pour faire reprendre ces délicieux va-et-vient.
Au bout de quelques minutes, Géraldine se releva et fit descendre doucement sa culotte. Elle nous dévoila son intimité entièrement épilée, lisse et gonflée comme un abricot bien mûr. Et les quelques mouvements masturbatoires qu’elle fît en nous regardant en train de l’observer, Sandra une main sur mon sexe, l’autre sur le sein, ne firent que renforcer mon envie de voir et lécher cette partie de son anatomie.
Géraldine grimpa alors sur le lit et vint s’asseoir sur le visage de son amante du jour. Ses fesses n’étaient plus qu’à quelques centimètres de mon visage. Et lorsque ensuite elle se pencha en avant pour continuer son exploration du sexe de Sandra comme le long soupir de cette dernière me le confirma, je découvris enfin les profondeurs de sa fente. Elle était brillante d’humidité, mélange de cyprine et de salive.
Sandra léchait le clitoris de son amante de façon énergique. Elle dût lâcher mon sexe, à mon grand désarroi, pour pouvoir écarter les lèvres offertes devant elle. Ses doigts coulissèrent dans le vagin accueillant, la langue virevoltait sur toutes les parcelles de peau qu’elle pouvait atteindre. Au-dessus la rosette de l’anus battait au rythme des contractions féminines. Le spectacle était l’un des plus beaux que j’avais vu. La frustration de ne pouvoir moi aussi lécher ou toucher était sans doute un amplificateur de mon désir.
Quand la bouche de Géraldine avala mon sexe, la surprise et le plaisir furent tels que je faillis éjaculer immédiatement. Heureusement, je pus me contrôler suffisamment le temps de m’habituer un peu à la sensation. Sandra avait compris ce qui se passait. Elle avait délaissé le sexe ami et me regardait, curieuse d’analyser ma réaction au travers de mon regard, de mes soupirs. Là encore, elle m’embrassa.
On sentait dans les mouvements de Géraldine sur mon sexe son réel plaisir d’avoir un sexe masculin en bouche. Et c’est toujours dans ce cas que sont faites les meilleures fellations. Plusieurs fois j’ai cru ne plus pouvoir me retenir, mais ma fellatrice faisait durer le plaisir. Le mien et le sien.
Sandra continuait de m’observer, tout en s’occupant de mes tétons à coup de langue et de pincements. Puis elle changea de position pour aller embrasser notre amante par-dessus mon sexe tendu. Deux bouches féminines s’agitant sur mon sexe. Le fantasme de nombreux hommes était en train de se réaliser.
Mais cela ne dura pas longtemps. Les filles sentaient que j’étais sur le point de jouir. Géraldine se leva en laissant Sandra me finir. Elle s’assit sur le fauteuil en l’ayant rapproché de la tête du lit et donc de mon visage et se masturba sans retenue devant moi.
Les jambes posées sur les accoudoirs du fauteuil, la main droite agitée sur le clitoris, la gauche alternant les pincements sur les seins et les glissements dans le vagin grand ouvert. Tout était magnifique.
Quand je jouis dans la bouche de Sandra, j’avais presque oublié mon sexe tellement j’étais émerveillé par le spectacle devant mes yeux. Mais je dois dire que ce fut l’un de mes meilleurs orgasmes. De longs jets chauds éclatèrent dans la bouche de ma merveilleuse amante sans qu’elle ne change une seconde le rythme de sa bouche.
Géraldine avait compris la situation aux sursauts de mes hanches et elle accompagna mon éjaculation en s’enfonçant profondément un doigt dans l’anus.
J’avoue que je ne sais pas si elle a joui à ce moment-là. Je n’ai pu m’empêcher de fermer les yeux pour encaisser les intenses sensations qui irradiaient tout mon être à partir de mon sexe.
Ce fut après de longues minutes que je commençai à récupérer et repris conscience de ce qui se passait.
Sandra était en train de me détacher tandis que Géraldine se caressait doucement en souriant.
J’étais vidé. Mais je savais qu’avec de telles amantes, je ne mettrais pas longtemps à être de nouveau opérationnel si elles me le demandaient.
Enfin, c’est une autre histoire.