n° 12876 | Fiche technique | 13894 caractères | 13894Temps de lecture estimé : 9 mn | 27/09/08 |
Résumé: Une soirée chez un pote se termine dans les WC de ce dernier en compagnie d'une tout juste célibataire. | ||||
Critères: fh jeunes copains toilettes collection intermast fellation cunnilingu préservati pénétratio journal | ||||
Auteur : Daminou Envoi mini-message |
Est-ce seulement possible de transcrire les sensations que j’ai pu ressentir lors de cette soirée ? Sincèrement, j’en doute. Je vais pourtant essayer, rien que pour vous. Quant à la raison, ou devrais-je dire la folie, qui m’a poussé à vous conter cette expérience – d’apparence banale – plutôt qu’une autre, elle est on ne peut plus simple.
Il me suffit d’y penser, ne serait-ce qu’une toute petite seconde, pour que mon être soit tout feu tout flamme, pour que mon sexe s’embrase. Mais ceci est une autre histoire, commune à beaucoup de personnes…
Passé cette introduction, vous devez certainement vous demander quelle est la signification de ce titre un peu (beaucoup) ambigu. Sachez cependant que vous l’apprendrez à la fin du récit ou, pour les meilleurs d’entre vous, que vous le devinerez. Après vous avoir fait quelque peu languir, du moins j’ose l’espérer, il est temps pour moi de commencer mon histoire.
J’étais en terminale. Cela remonte donc à l’année dernière. À vrai dire, c’était il y a quasiment un an jour pour jour, peu avant le baccalauréat. Nous étions une joyeuse petite bande, tout le temps fourrés ensemble. Que ce soit au lycée, en ville, à la plage, ou lors de petites fiestas entre ami (e) s justement.
Il est important, je crois, de vous présenter celle qui est encore aujourd’hui au centre de mes fantasmes, desquels résultent inévitablement une masturbation passionnée.
Je vais l’appeler J., d’une part pour conserver son anonymat, d’autre part dans l’espoir qu’elle se reconnaisse si un jour elle parvient jusqu’à ce message.
J. faisait partie de la bande dont je vous ai parlé un peu plus haut. Elle était dans le même bahut que moi depuis le collège. Je n’ai cependant appris à la connaître qu’en terminale grâce à un copain qui sortait avec l’une de ses amies. Et par la même occasion à la désirer. Elle n’était pas spécialement belle, elle était ronde, mais elle avait ce je ne sais quoi d’attirant, ce truc « animal ».
Malheureusement, elle était déjà prise. Ce n’est qu’à la fin de l’année scolaire que la chance me sourit enfin, elle et son ex avaient rompu. En outre, il y avait une fête prévue chez un copain le soir même.
Cette soirée débuta comme tant d’autres, avec des jeux de beuveries. Je dois dire que ça m’a sûrement aidé. Entre deux verres, nous voilà tous sur la piste de danse à nous déhancher comme ce n’est pas permis. Malgré le fait qu’il y avait deux autres filles, les garçons ne tournaient qu’autour de J…
Elle était littéralement prise en sandwich entre un ami et moi.
Ses fesses ondulèrent dès le début contre mon entrejambe, alors que je la tenais par la taille. Advint alors ce qui devait arriver, une érection phénoménale. Je pense qu’elle le sut instantanément car elle tourna la tête vers moi avec un regard pétillant et un sourire mi-amusé mi-gêné.
Elle pivota alors sur elle-même pour me faire face. Elle continua à danser, alors que mes mains partaient épouser le galbe de ses fesses pour les malaxer. Et là, je ne sais même plus qui a fait le premier pas, nous nous sommes embrassés goulûment.
La fiesta ne faisait que commencer. Je l’entraînai dans la pièce d’à côté, m’assis sur une chaise, pour qu’elle puisse venir sur mes genoux. Elle se rapprocha d’entrée de jeu le plus qu’elle put, et ondula lascivement sur ma bosse proéminente tandis que l’une de mes mains caressait la raie de ses fesses. C’est à cet instant que la bande décida qu’il était l’heure de se coucher. Les matelas étaient disposés les uns à côté des autres dans le salon. Le nôtre était en plein milieu.
Un couple d’amis s’allongea à ma gauche. J. retira son top, le dos tourné, pour enfiler une chemise de nuit. Elle enleva ensuite son pantalon, puis s’installa à ma droite. Pour ma part, je n’avais enlevé que ma chemise pour ne pas paraître suspect vis-à-vis des autres.
Deux amis s’installèrent à sa droite. Le couple s’endormit aussitôt, les deux garçons peu de temps après. Nous pouvions enfin commencer, il était temps. Nous étions fous de désir.
J. se serra contre moi, sa jambe droite par-dessus ma jambe gauche. Alors que nous nous embrassions, cette même jambe caressait la mienne et venait parfois s’appuyer contre la bosse de mon jean. Ma main gauche effleura son visage, son épaule, pour venir caresser l’un de ses seins, le soupeser tendrement, pour tenter de deviner où se trouvait précisément le téton.
Mes doigts s’aventurèrent alors sur ses cuisses, pour pénétrer sous la chemise de nuit afin de retrouver immédiatement le sein de J… C’est alors qu’elle se redressa précipitamment pour retirer son soutien-gorge, avant de me souffler à l’oreille :
Ma main parcourut alors le même chemin pour s’emparer de nouveau de son sein. Un soupir de plaisir s’échappa alors de nos deux bouches. Pour la même raison, sentir la peau de l’un toucher celle de l’autre à un certain endroit. Sans soutif, mes doigts trouvèrent sans aucun mal le téton qu’ils tentaient de deviner auparavant.
Mon pouce réalisa alors de petits ronds, tantôt légers tantôt appuyés. Ma main redescendit pour soulever la chemise de nuit jusqu’à dévoiler ce même sein. Ma bouche se posa alors tout naturellement dessus, emprisonna le téton pour le suçoter, l’embrasser, le lécher.
Ce manège continua un moment, avant que ma main ne décide d’explorer une autre partie de son corps. Elle se déposa sur l’entrejambe de J… Son string était trempé. Une surprise de taille m’y attendait car je sentis la protubérance d’un clitoris de taille peu ordinaire. C’est alors qu’elle poussa un gémissement de plaisir un peu plus fort que les autres qui réveillèrent le couple à ma gauche.
Inutile de préciser que nous étions rouges de honte, et d’excitation. Heureusement, ils n’avaient rien remarqué et s’endormirent de nouveau assez vite. Ma main n’avait pas bougé de place. Ma main commença alors à frotter l’entrejambe de ma partenaire, insistant plus particulièrement sur cette bosse très attirante.
Ni une, ni deux, je passai ma main sous l’élastique de son string pour rencontrer ce fabuleux clitoris. Cette fois, mon majeur s’occupa essentiellement de ce petit bouton d’amour, l’effleurant, appuyant dessus, dessinant ses contours. Brusquement, il descendit pour écarter légèrement les grandes lèvres du sexe de J ; de haut en bas.
Je retirai alors ma main, ma partenaire me regarda d’un air déçu qui se transforma en un air à la fois amusé et excité. En effet, je venais de porter mon doigt à la bouche pour goûter ce jus que j’affectionne tant. Je l’embrassai alors avec fougue, lui faisant (re)découvrir sa mouille. Je lui glissai alors à l’oreille :
C’était la pure vérité, elle avait un goût… Miam, sucré. Ma main s’aventura alors de nouveau sous son string et écarta de nouveau ses grandes lèvres de haut en bas, de plus en plus.
Mon majeur la pénétra doucement, profondément, tandis qu’elle ne pouvait retenir un long râle de soulagement. Il ressortit petit à petit, caressant la paroi vaginale intérieure de J… Ce qui ne manqua pas de la faire défaillir de plaisir. Il rentra une nouvelle fois, aussi doucement que la première. Une fois à l’intérieur, il titilla cette fois assurément la partie intérieure du vagin.
La main de J., jusque là posée sagement sur la bosse de mon pantalon, défit le bouton de celui-ci, ouvrit la braguette, et tenta de s’emparer de ma verge tendue. J’esquissai alors un mouvement de recul.
Sa main s’empara prestement de mon pénis, et coulissa jusqu’à me décalotter. C’est alors qu’elle eut un geste qui manqua de peu de me faire jouir : elle caressa de son index mon frein. Le contact du froid, quelle sensation exquise. Ses doigts habiles recueillirent un peu de pré-sperme pour en enduire ma tige.
Elle commença alors un délicat mouvement de va-et-vient. La couverture se soulevait en rythme. Elle me décalottait entièrement, avant de caresser de sa paume mon gland gonflé de plaisir. Elle répéta son œuvre autant de fois que mon doigt la pénétrait.
Elle se leva alors, délaissant ma bite pour mieux trouver ma main sur son sexe afin de s’en emparer. Elle m’entraîna prestement dans la cuisine, saisissant au passage deux à trois préservatifs dans son sac à main. Après avoir poussé la porte, je la plaquai contre le plan de travail tout en m’accroupissant afin de me retrouver nez à nez avec sa chatte. Elle ne se rasait pas, mais n’avait pas une toison affolante. Parfait. Mes lèvres se refermèrent sur ce clitoris hors norme pour le suçoter avec avidité.
Je me redressai alors, après lui avoir prodigué une rapide léchouille sur la fente qui manqua de peu de la faire crier, et l’entraînai hors de la cuisine. Un seul endroit que l’on peut barricader, tout en prétextant faire autre chose : les toilettes. À peine entrée, J. retira sa chemise de nuit, me dévoilant une lourde poitrine, désirable. Elle se pressa alors contre moi et me retira mon pantalon, suivi de mon boxer.
Elle resta alors accroupie pour regarder à loisir mon pénis pris d’une incroyable érection. La plus forte que j’ai jamais eue, je pense. Elle se releva, ferma le capot des WC, s’y assit et écarta au maximum les jambes.
Enfin ! Ce que je préfère !
Mes mains se déposèrent sur les cuisses de ma partenaire, tandis que mon visage s’approchait de son entrejambe. Idem que peu de temps auparavant, ma bouche s’empara de ce clitoris que j’ai appris à tant désirer. Je l’embrassai tendrement, mais en appuyant dessus fermement. Ma langue délaissa alors cette protubérance pour contourner les grandes lèvres de sa chatte. Elle resserra ses petits ronds à chaque tour, si bien qu’elle arriva entre ces deux minuscules collines.
Ma langue se raidit alors pour effectuer des mouvements de va-et-vient, pénétrant un peu plus à chaque fois. Une fois le maximum atteint, j’embrassai son vagin comme j’aurais embrassé J… Elle laissa échapper plusieurs petits cris successifs. Peu importe si nous avions été découverts, nous étions tellement excités ! Elle posa alors ses mains sur ma tête, pour l’attirer le plus possible contre son sexe ruisselant. Au bout d’un moment, elle me repousse tendrement, se leva, et m’invita à faire de même. Elle prit alors une capote, déchira l’emballage, et la tint d’un air coquin mais embarrassé.
Ses doigts caressèrent alors mes testicules, puis ma verge turgescente, me décalottèrent, caressèrent mon gland avec la paume de sa main comme sur le matelas, puis me l’enfilèrent. Nous échangeâmes alors de place, je m’assis sur le capot des toilettes, et elle s’installa sur moi, sans lâcher ma queue. Elle guida alors mon sexe contre sa chatte, le fit pénétrer légèrement, plusieurs fois de suite, avant de venir littéralement s’empaler dessus.
Commença alors une longue chevauchée, au cours de laquelle nous nous embrassions, nous poussions de longs râles de plaisir tant attendu.
Un détail dont je me souviens, et que j’affectionne particulièrement encore aujourd’hui, c’est le bruit que produisait notre union. « Clap, clap ». Le bruit de mon sexe et de mon bas-ventre percutant son sexe ruisselant de mouille. « Clap, clap ». Et l’odeur de sa cyprine, je m’en souviens encore. Miam.
Après je ne saurais dire combien de temps, elle atteignit un orgasme prodigieux, renversant sa tête en arrière, son vagin resserrant par à-coups mon sexe emprisonné. Si bien que je me sentis également prêt à venir. Elle se redressa rapidement, me mit debout, se mit à genoux, et commença à me masturber frénétiquement. Elle me décalotta, et prit mon gland en bouche. C’est alors qu’elle aspira fortement, petit à petit, tout en continuant les va-et-vient.
C’est à cet instant que j’éjaculai. Elle le sentit, se retira un peu, me présentant sa poitrine. Elle tapota mon gland sur ses seins, étala le sperme, et me sourit…
Ce sourire je m’en souviens également…