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n° 12905Fiche technique14049 caractères14049
Temps de lecture estimé : 9 mn
07/10/08
Résumé:  Lors d'une soirée, Jean, senior actif, propose à une jeune amie de le faire profiter de ses charmes, moyennant un petit dédommagement. L'étreinte rapide, imaginée par la jeune femme, va dériver vers un scénario bien différent.
Critères:  fh hplusag hagé cadeau voir fsodo
Auteur : Gustave      Envoi mini-message
Un volcan que l'on croyait éteint

Il faut que je vous conte cette aventure qui m’est arrivée le mois dernier. Et tout d’abord, je me présente. Mon prénom est Jean. Je suis un senior, comme on dit aujourd’hui, de bientôt 70 printemps. Grand, sec, pas un poil de graisse, pas un poil de bedaine, yeux bleus-délavés, cheveux blancs et drus, je n’ai plus la prétention de séduire mais disons que je reste présentable.


Donc, ce jour-là, la soirée touchait à sa fin. Ma femme, Carole, n’avait pas voulu venir, arguant que ce genre de sauterie ne l’excitait guère. Nous étions trois, confortablement installés au fond de la salle, sirotant un dernier verre. Il y avait Laure, une jolie rouquine au sourire un peu taquin que je rencontre ici parfois. La trentaine bien entamée, Laure est ce qu’on peut appeler une fille bien roulée : grande, cheveux longs, poitrine menue mais ferme, longues jambes délicieusement galbées, bref ravissante. Sa copine, Chantal, que je rencontrais pour la première fois est plus jeune. Elle aussi dans un genre différent est une très belle fille : brune aux yeux marrons dans un joli visage ovale, poitrine opulente, cuisses nerveuses, bref, pour tout dire, ce qu’il est convenu d’appeler une très belle plante.


Nous commentions une discussion qui avait passablement animé notre petite communauté au cours du repas. Il s’agissait de savoir ce que chacun pensait des petits cadeaux en espèces, acceptés parfois par de jolies femmes -hors bien entendu du circuit professionnel- en récompense de leurs faveurs passagères. Mes deux amies semblaient plutôt tolérantes à de telles pratiques. Aussi, je me permis d’abonder dans ce sens en déclarant :



Ces propos restèrent sans écho et semblèrent plonger mes interlocutrices dans un abîme de perplexité. Peu après, Chantal, après un rapide bisou, prit son sac et s’excusa de devoir mettre un terme à cette soirée, prétextant devoir commencer tôt sa journée du lendemain.


Resté seul avec Laure, je lui demandai :



Laure ne pipa mot pendant un long moment. Puis sortant de son rêve, elle me dit :



Je restais ébahi en la regardant partir, sa jolie croupe tendant l’étoffe de sa petite jupe moulante, et bien décidé à ne pas manquer une si belle occasion. Décidément, les jeunes femmes d’aujourd’hui me surprendront toujours.


Inutile de vous dire que le lendemain à 17 heures précises, je sonnais chez Laure, le cœur battant un peu la chamade je l’avoue. Elle vint tout de suite m’ouvrir. Elle arborait un superbe chemisier vert-pomme que tendaient ses petits seins et une petite jupette blanche du plus ravissant effet, sous laquelle on devinait ses cuisses nerveuses. Je ne pus m’empêcher de la complimenter sur sa beauté et son élégance. Son appartement était des plus coquets et comme la maîtresse des lieux, net et clean mais plein de charme.


Nous nous assîmes et devisâmes quelques minutes en sirotant un café puis, je lui remis mon petit cadeau que j’avais préparé avant de venir. Elle disparut bientôt et revint quelques minutes après, vêtue d’une nuisette prune ne laissant rien ignorer des charmes de son anatomie. Elle s’était aussi délicatement parfumée. Je fus touché de cette charmante mise en scène. Peut-être était-ce une petite compensation qu’elle m’offrait vu le médiocre scénario qui nous attendait tous les deux. Sans attendre, elle me prit alors la main et m’entraîna vers sa chambre.

Les doubles rideaux avaient été tirés et la pièce baignait dans une agréable lumière orange tamisée.



Lorsque je revins, complètement nu, mon membre était déjà passablement gonflé. Il faut vous dire que, bien qu’accablé de certains défauts comme je l’ai dit, mon sexe a toujours été d’une taille respectable. Bien sûr, il n’a plus la puissance d’autrefois mais il peut remplir aisément les vagins les plus accueillants. Au sourire complice qui effleura un instant les lèvres de Laure j’en déduisis qu’elle n’était pas totalement insensible à cet aspect des choses.


Elle avait ôté sa nuisette et assise sur le lit ne conservait qu’une minuscule culotte de la même couleur. En une rapide pirouette elle retira celle-ci et s’installa au beau milieu du lit dans la position même que nous avions convenu. Je restais stupéfait de la beauté du spectacle qui m’était offert. La plupart des femmes que j’ai connues avaient une vulve tourmentée, pour ne pas dire massacrée. Rien de tel chez Laure. Sa vulve, fraichement rasée, était celle d’une jeune fille : deux jolies lèvres roses, longues et bien ourlées, mises en valeur par la teinte légèrement nacrée de sa peau et la lumière tamisée de la chambre.


Inutile de dire à quel point je bandais devant ce délicieux tableau.


Je m’approchai donc et posant deux doigts sur ces jolies lèvres pour les entrouvrir, je commençai à la pénétrer avec douceur. Le plaisir était indicible et je craignais fort de devoir comme d’habitude l’interrompre trop tôt, mais pour le moment tout semblait me sourire. Après quelques mouvements de va- et-vient au plus profond de ma charmante partenaire, je sortis d’elle et commençai à frotter délicatement mon gland turgescent tout le long de sa vulve, en m’attardant sur son clitoris et, chose pour le moins imprévue, il me sembla que la respiration de Laure s’accélérait. Je poursuivis ces mouvements de bas en haut, accompagnés de quelques incursions dans son vagin et, aucun doute, Laure prenait plaisir à nos ébats. Elle haletait maintenant et gémissait doucement. Son vagin commençait à mouiller légèrement.


Un peu plus tard, comme mon gland remontait vers le haut de sa vulve, elle fléchit légèrement les genoux, si bien que mon gland se retrouva bien plus haut que son sexe et pour tout dire exactement en face de son autre orifice. C’était clairement une invite.


« Jean, me dis-je en contemplant ce petit trou en forme d’étoile, c’est le moment de tenir le coup et il n’est pas question de décevoir la demoiselle. »


Vous me trouverez sans doute un peu demeuré, mais bien que j’aie souvent fantasmé sur ce qui, en cet instant, m’était offert sur un plateau, je n’ai jamais pu concrétiser ces rêves. J’ai bien tenté, à plusieurs reprises, d’y parvenir avec Carole mais elle a toujours fait semblant de ne pas comprendre ce que je lui demandais. Alors aujourd’hui devant cette charmante ouverture, hermétiquement close pour l’instant, bien que Laure écartât largement les fesses, il n’était pas question de rater cette occasion.


Mais l’orifice était minuscule et mon gland, tout gonflé de désir, était bien gros pour y pénétrer. Heureusement, le vagin de Laure était maintenant tout dégoulinant de mouille. J’y enfonçais donc les doigts afin d’en recueillir un peu de liquide puis, je les introduisis tout mouillés dans son petit trou afin de le lubrifier. J’enduisis également mon gland de cette liqueur parfumée en pénétrant son vagin, puis doucement, très doucement, je pénétrais ma jolie partenaire dans son intimité profonde. La sensation était délicieuse et les gémissements de Laure s’intensifièrent. C’était maintenant un râle qui s’amplifiait à mesure que j’entrais plus avant dans son intimité. Dans un premier temps, ma pénétration resta modeste car je craignais de lui faire mal. Mais elle ne l’entendait pas de cette façon.



Alors, plutôt passive jusqu’ici, Laure, à partir de cet instant, prit la direction des opérations. Comme j’explorais plus profondément son corps, pas assez vite à son goût semblait-il, elle me caressa les couilles puis les frotta violemment sur son vagin comme si elles devaient y pénétrer. Elle remuait maintenant la croupe avec ardeur. Malgré l’énorme bite plantée jusqu’à la garde entre ses fesses, elle semblait ne pas être encore suffisamment pleine à son goût. Son râle devint rauque, puis me poussant de ses fesses, elle m’obligea à m’asseoir puis à m’étendre sur le dos. Maintenant, c’était elle qui contrôlait nos mouvements. Elle sortait complètement ma verge de son postérieur, puis la prenant en main elle la frottait doucement contre sa vulve puis la guidait à nouveau vers son intimité profonde avec une grande douceur. Elle la faisait entrer en elle lentement, très lentement, comme pour mieux sentir le glissement de mon énorme gland le long de sa paroi intime. Manifestement, cette manœuvre la faisait jouir intensément.


Pendant ce temps, je contemplais avec délices ce petit cul devenu si accueillant et je pelotais ses jolis seins avec ardeur. Ils étaient bien plus volumineux que ce que j’avais pu en juger à travers son chemisier. Sa peau était douce et ses tétons fièrement dressés étaient durs comme du bois.


Le point d’orgue fut atteint lorsque, saisissant ma main, elle la guida vers son clitoris. Il était inondé de liquide, dur comme ses tétons et la douce caresse de mes doigts arracha à Laure des gémissements de bonheur.


Mais tout a une fin et ne pouvant me contrôler indéfiniment, j’inondai enfin son intimité d’une violente giclée de sperme. Était-ce le signal attendu ou la chaleur de mon liquide se déversant en elle, toujours est-il que Laure poussa un cri d’intense jouissance en s’affalant de tout son long sur moi, les cuisses largement écartées et mon membre toujours planté au plus profond d’elle-même.


Nous restâmes ainsi un long moment. Je la tenais étroitement embrassée contre ma poitrine, mes mains sur ses seins et son ventre, respirant le doux parfum de sa chevelure et baisant délicatement sa nuque pendant qu’elle reprenait haleine.

Quelques minutes plus tard, assis dans son petit salon, nous sirotions un dernier café.